Les sociétés secrètes 
et leur pouvoir au 20ième siècle
par
Jan Van Helsing
(1995)
Les Illuminati
Un fil conducteur à travers l'enchevêtrement des loges, de la haute finance et de la politique.
Commission trilatérale, Bilderberger, CFR, ONU
Évidences de civilisations sur Mars 
Le mieux est que vous vous  fassiez votre propre opinion sur Mars. Les villes souterraines  envisagées dans l'ALTERNATIVE 2 existent bel et bien. On peut se poser  la question suivante : si on a réalisé Alternative 2, pourquoi  n'aurait-on pas réalisé l'Alternative 3 ? (L'histoire complète de  l'Alternative 3 est décrite dans le livre de Leslie Watkins :  "Alternative 3" (voir : Bibliographie). Elle y décrit les conditions qui  règnent soi-disant sur Mars et son atmosphère. On y apprend qu'on nous a  caché les informations. On y découvre la construction de bases, les  mesures prises pour se protéger et se camoufler, l'aménagement prévu  pour le personnel, les moyens de transport, le lavage de cerveau du  personnel et les difficultés rencontrées. Dans Littérature  complémentaire se trouve aussi une adresse où on peut se procurer le  film.) Ainsi que vous pouvez vous en rendre compte, le sujet des "OVNIs"  a parfois une signification beaucoup plus terrestre et réaliste qu'on  ne le croit. Vous comprendrez maintenant, je l'espère, pourquoi  d'énormes sommes d'argent sont dépensées : il faut faire taire les  chercheurs qui trouvent le secret de la construction d'engins volants  grâce à un carburant qui ne peut être monopolisé ou taxé par un  quelconque konzern que notre Terre. Il y a, cependant, des personnes  privées qui ont construit des disques volants et s'en servent, ce qui  est, évidement, loin de plaire aux multinationales. Il faut savoir qu'on  ne peut pas acheter tous les scientifiques et tous les inventeurs.  Certains ont compris que plutôt que de faire breveter une telle  invention, il valait mieux la mettre aussitôt en production. Dans le cas  contraire, ils auraient très vite quelqu'un à leur porte, soit pour  leur acheter leur brevet et le faire disparaître à jamais, soit pour les  menacer puisque l'élite ne désire pas que ces inventions voient le  jour. Si vous voulez vous intéresser de plus près à ce genre d'engins  volants ou aux machines à "énergie libre", écrivez à l'adresse de  l'éditeur qui vous fournira les renseignements nécessaires pour obtenir  des contacts.
Une arme : l'énergie
L'Allemagne et les autres pays  occidentaux sont, de temps en temps, confrontés avec ce qu'on appelle  une "crise d'énergie" provoquée par les banquiers internationaux. En  l974, par exemple, le prix du pétrole brut monta en spirale à cause de  l'embargo de l'OPEP sur le pétrole. Les banquiers internationaux avaient  conclu, en coulisse, un accord avec les dirigeants arabes de l'OPEP. Le  principe est très simple. Les Arabes y gagnaient, car le prix montait.  L'automobiliste, c'est-à-dire l'acheteur, payait, et les konzerns du  pétrole encaissaient. Ce fut le cas pour ARCO, SHELL, MOBIL, EXXOR, etc.  qui étaient reliés avec la "Chase Manhattan Bank" (Rockefeller). La  Chase Manhattan Bank avait, de son côté, conclu un accord avec les  dirigeants do l'OPEP. Ceux-ci avaient vendu cher leur pétrole et leur  part dans le marché consistait à placer leurs bénéfices pour 30 ans à 7%  d'intérêt à la Chase Bank. Grâce à ces investissements, des prêts  colossaux ont été consentis à des pays du tiers monde comme le Mexique,  le Brésil et l'Argentine. Ces pays sont alors saignés par les  remboursements excessivement élevés. Pour équilibrer ces remboursements  d'intérêts, ce qu'ils ne peuvent faire avec de l'argent, ils sont  obligés de subir un chantage de la part des banques et d'accepter  d'elles une influence encore plus grande sur leur économie et leur  politique. Les dirigeants sont donc contraints de se plier aux exigences  des banquiers internationaux, sinon ils se verront remplacés par  d'autres pions. Les banquiers internationaux ont, comme vous le voyez,  tiré profit, à plusieurs reprises de l'embargo. D'abord grâce aux  investissements des pays de l'OPEP, puis aux gains des konzerns du  pétrole, qui sont assujettis aux banques et grâce aussi aux intérêts des  prêts alloués aux pays du tiers monde. Les dettes de ces pays leur ont  permis, de plus, d'avoir la mainmise sur eux. Selon les médias, la faute  repose sur ces méchants Arabes mais personne ne mentionne les  véritables auteurs, les banquiers internationaux qui ont passé les  contrats avec les pays pétroliers arabes. Il y a, heureusement, toujours  des journaux assez indépendants, tels que le "Spotlight" aux États-Unis  et la "Neue Solidarität" en Allemagne, qui, eux au moins, osent en dire  plus sur les Illuminati que d'autres journaux. (128)
La CIA et le shah d'Iran
En 1979, la révolution en Iran  chassa le shah que tous haïssaient et qui avait accédé au pouvoir grâce à  la CIA en 1953. Comme c'est la règle, la plupart des employés d'une  ambassade américaine sont aussi membres de la CIA. Les rebelles  iraniens, qui étaient au courant se vengèrent en prenant pour otages les  membres de l'ambassade américaine (de la CIA). La CIA se vengea alors,  elle aussi, en faisant comprendre au chef de l'Irak, SADDAM HUSSEIN que  c'était une période très propice pour envahir l'Iran, affaibli à ce  moment-là, ce qui reste, d'ailleurs, à prouver. L'invasion d'Hussein fut  couronnée de succès et, par la suite, les preneurs d'otages iraniens  firent savoir à Jimmy Carter qu'ils libéreraient les otages en échange  d'armes. La majorité des armes que les Iraniens possédaient pendant le  régime du shah venait, de toute façon, des États-Unis. Les Iraniens  étaient donc obligés de recevoir les munitions et les pièces de rechange  des États-Unis. Le président Carter refusa, cependant, de se prêter à  ce marché et donna pour mission secrète à la CIA de libérer les otages  (Desert One). Mais la CIA n'aimait pas particulièrement Carter, car il  avait réduit rigoureusement leur budget. C'est pour cela qu'eut lieu un  sondage d'opinion anticipé pour savoir qui, de Carter ou Reagan,  gagnerait les prochaines élections. Le peuple opta pour Carter. La CIA  préférait, cependant, Reagan et elle projeta donc de saboter l'opération  de sauvetage "DESERT ONE" afin que Carter perde la face. Au même  moment, WILLIAM CASEY, ex-chef de la CIA et président du comité  électoral de Reagan, avait pris contact avec le chef révolutionnaire  d'Iran, l'AYATOLLAH KHOMEYNI. William Casey dit à ce dernier que ce  serait Reagan qui allait gagner les élections et que lui, Khomeyni,  devait donc traiter avec lui, en tant que représentant de Reagan.  William Casey avait une bonne réputation, car c'était grâce à lui que  l'URSS avait pu construire l'entreprise "Kama-Fluss" (le plus grand  fabricant de camions au monde). Casey étant aussi directeur de la banque  "Export-Import", Khomeyni décida de collaborer avec lui.
La troisième semaine d'octobre  1980, GEORGE BUSH (futur président et membre de "Skull & Bones") et  RICHARD ALLEN, en qualité de représentant de Casey, rencontrèrent les  représentants des extrémistes iraniens d'Hesbollah à l'hôtel Raphaël à  Paris. Là, il fut convenu que les États-Unis fourniraient des armes à  l'Iran via Israël et que les Iraniens relâcheraient alors les otages  lorsque Reagan serait élu président. La livraison d'armes devait  commencer deux mois plus tard (en mars 1981). Le sabotage programmé de  l'opération de sauvetage de la CIA se passa "comme sur des roulettes"  (en effet, l'opération tourna mal) et Carter fut remplacé par Reagan.  Les otages furent libérés et la première livraison d'armes à l'Iran eut  lieu via Israël. Du 24 au 27 juillet 1981, le trafiquant d'armes  israélien Yaacov Nimrodi signa un contrat de 135 millions de dollars  avec l'Iran, stipulant la livraison de 50 "Land Missiles", 50 "Mobiles"  et 68 "Hawk Anti-Aircraft Missiles".
Un autre marché, dévoilé depuis  lors, concerna le trafic d'armes du Suisse Andras Jenni et de Stuart  Allen McCafferty. Ils envoyèrent 360 tonnes de pièces de char M-48 en  Iran par fret aérien avec le CI-44, qu'ils avaient loué à une compagnie  argentine de transport aérien, la "Transports Aereo Rioplatense". Le  tout leur coûta 27 millions de dollars et leurs deux premiers vols à  destination de l'Iran en décollant d'Israël furent une réussite. Le 28  juillet 1983, cependant, leur avion, au retour du troisième trajet, fut  abattu au-dessus de l'Arménie soviétique par un MIG-25 russe. Ces  marchés d'armes n'auraient, sans doute, pas été possibles sans George  Bush et Richard Allen. Dans ce cas aussi, les versions officielles  présentées par les services d'informations étaient loin de refléter la  réalité. (129)
Saddam Hussein et "Desert Storm"
L'Irak venait juste de sortir  d'une guerre insensée contre l'Iran qui n'avait d'autre but que de  permettre aux trafiquants d'armes multinationaux de faire des bénéfices  fantastiques. Au début des années quatre-vingts, les États-Unis avaient  fait parvenir, en effet, à l'Irak des renseignements erronés, soi-disant  parvenus à leur services secrets (nous en avons déjà pris connaissance)  qui suggéraient une victoire rapide contre l'Iran. Mais cette longue  guerre avait fortement épuisé l'économie irakienne (65 millions de  dollars de dettes rien qu'en 1989). La France avait été le principal  fournisseur d'armes après l'URSS. Le temps était venu, et d'après la  lettre d'Albert Pike, c'était la phase finale, de déclencher la  troisième et dernière guerre. Pour cela, il fallait susciter un foyer de  crise au Proche-Orient. C'était astucieusement pensé, car d'après  l'Apocalypse de saint Jean, la dernière bataille débutera au  Proche-Orient. Ainsi, les croyants mal informés de la géopolitique et  ceux qui sont fidèles à la Bible sont mis sur une mauvaise piste en  croyant que c'est le Jugement dernier. C'est pourquoi on voulut tendre  un piège à SADDAM HUSSEIN. Il devait fournir à l'Angleterre et aux  États-Unis le prétexte pour une intervention militaire, soi-disant pour  assurer l'approvisionnement du monde en pétrole. En juin 1989, une  délégation composée d'Alan Stoga (Kissinger Associates Ltd.), de membres  des comités de direction de Bankers Trust, Mobil, Occidental Petroleum,  etc. se rendit à Bagdad sur l'invitation de Saddam Hussein. Ils  rejetèrent le projet du barrage Badush qui aurait rendu l'Irak  indépendant de l'importation de denrées alimentaires en moins de cinq  ans. Ils insistèrent pour que Hussein règle, d'abord, les dettes de  l'État et privatise donc, au moins en partie, son industrie pétrolière.  Il s'y refusa, bien évidemment.
Fin 1989, 2.3 milliards de  dollars que George Bush avait déjà consentis à l'Irak furent bloqués (à  lit Banca Nationale del Lavoro BNL). C'est ainsi que, début 1990, il ne  fut plus possible à l'Irak d'obtenir quelconque crédit des banques  occidentales. C'est alors qu'entra en jeu le cheikh Al-Sabah, émir du  Koweït et ami de la famille royale anglaise. Celui-ci avait fait passer  de l'argent en Irak sur l'ordre de Londres et Washington pour qu'on  continue la guerre qui durait depuis huit ans et qui apportait aux  trafiquants d'armes de l'argent et à Israël des avantages politiques.  Début 1990, le Koweït reçut l'ordre d'inonder le marché avec du pétrole à  bas prix et cela à l'encontre de tous les accords signés avec l'OPEP.  Les autres pays de l'OPEP dont l'Irak déployèrent des efforts  diplomatiques pour que le Koweït renonce à sa politique destructrice.  Sans, succès. En juillet 1990, ce fut l'escalade des disputes entre le  Koweït et l'Irak. Lors de la rencontre des Bilderberger du 6 au 9 juin  1990, il avait déjà été décidé ce qu'April Glapsie, l'ambassadrice  américaine à Bagdad, communiquait à Saddam Hussein le 27 juillet : "Les  États-Unis ne prendront pas position dans la querelle entre l'Irak et le  Koweït." (l'Irak publia le compte-rendu officiel de cet entretien après  le début de la guerre.) Ce fut, naturellement, le "feu vert" pour  Saddam. Le 2 août, les troupes irakiennes entrèrent au Koweït. La CIA  avait, bien sûr, averti auparavant la famille de Saddam, celle-ci avait  quitté le pays avec son parc de Rolls-Royce et ses joyaux.
Les six mois suivants, on put  assister à une pièce de théâtre bien mise en scène. George Bush annonça,  le 11 septembre, son "Nouvel Ordre mondial". Il y eut de nombreuses  négociations pour éviter une guerre qui était décidée depuis longtemps.  C'est ainsi que les troupes américaines partirent pour la guerre du  Golfe le 15 janvier 1991. James H. Webb, commandant en chef de la marine  sous Reagan, déclare à propos de ce scénario : "Le but de notre  présence dans le golfe Persique est d'inaugurer le "Nouvel Ordre  Mondial" du gouvernement Bush (la marionnette des Illuminati) ; cela ne  me plait pas du tout." Si vous compariez, une fois de plus, les  nouvelles qui étaient alors diffusées... (130) Un an avant le début de  la guerre du Golfe, William Cooper avait déjà annoncé la date exacte de  l'entrée des troupes américaines. Il l'avait vue dans des documents  secrets auxquels il avait accès quand il était officier dans la Naval  Intelligence (service secret de la NAVY). Il communiqua cette date,  entre autres, lors d'un séminaire qui fut enregistré sur vidéo. Cette  guerre avait donc été préméditée et préparée déjà longtemps auparavant.  C'est le cas aussi pour la troisième guerre mondiale, que cela vous  plaise ou non !
Que réserve le futur au Proche-Orient assaillie de conflits ?
Des Griffin écrit à ce sujet que  la déclaration faite par le Parlement israélien en juillet 1980 qui  affirmait que Jérusalem était désormais la capitale politique d'Israël  pourrait être de la plus grande importance. Cela ne signifie-t-il pas  que les sionistes ont des visées encore bien plus ambitieuses ? Depuis  des années, c'est un fait reconnu que les sionistes se proposent de  faire de Jérusalem la métropole administrative d'un gouvernement  mondial. Ce but a été exposé par DAVID BEN GURION, le Premier ministre  d'Israël, en 1962. Des tentatives pour établir une telle alliance  mondiale en prenant Jérusalem comme quartier général déclencheraient, à  coup sûr, la troisième guerre mondiale que prophétisait l'un des plus  grands Illuminés, Albert Pike, dans sa lettre à Mazzini. Pike dit que  cette troisième guerre mondiale éclatera au Proche-Orient à cause de  l'inimitié entre les Arabes et les Israéliens et qu'elle se terminera  par l'instauration d'une dictature mondiale.
JAMES WARBURG résume, dans son  discours devant le Sénat américain le 17 janvier 1950, l'attitude des  banquiers internationaux face à l'édification d'un système d'esclavage  pour tous les hommes : "Nous aurons un gouvernement mondial que cela  nous plaise ou non. Reste seulement à savoir si on y arrivera en  l'imposant aux hommes ou s'ils s'y plieront de plein gré." D'après  William Cooper, la troisième guerre mondiale est prévue pour la mi-1996.  Il a tiré cette information de documents secrets qu'il photocopia  pendant son service à la Naval Intelligence (service secret de la NAVY),  D'après ces documents, il est prévu d'anéantir une des plus grandes  villes des États-Unis (New York, San Francisco ou Los Angeles) en y  lançant une bombe atomique. On en rendrait responsables des extrémistes  du Proche-Orient en crise (l'Irak ?) pour pouvoir justifier le  déclenchement de la troisième guerre mondiale. La bombe qui éclata dans  le World Trade Center n'aurait-elle pas été un test pour voir la  réaction du public ? Réfléchissez-y ! [Évidemment ces lignes furent  écrites avant (1995) la destruction des deux tours du WORLD TRADE CENTER  à New York (11 septembre 2001) et dont George Bush W. Bush et les  Sionistes sont responsables. La stratégie des banquiers internationaux  avait changé, mais le résultat fut le même et les américains  s'emparèrent de l'Irak avec des attaques dévastatrices contre Bagdad.  Sans une telle altération au plan primaire des banquiers voraces, des  millions de vies américaines auraient été sacrifiées au dieu Mammon dans  une conflagration nucléaire. Néanmoins le pire est encore à venir, car  une guerre se prépare par les américains contre l'Iran et dont le  déclanchement sera probablement engagé par Israël.]
La réunification de l'Allemagne (pour sa perte)
L'URSS et le communisme ayant  assuré leur rôle de "bête noire", on pouvait, à présent, se passer  d'eux. Sous la pression de l'ennemi russe, on avait contraint les  nations occidentales à conclure des pactes, tels que l'ONU et l'OTAN,  dont les lois avaient priorité sur les lois nationales. Ce fut une  réussite totale. Le temps était venu maintenant de réunir officiellement  les États-Unis et l'URSS bien qu'il n'y ait jamais eu de vraie  séparation dans les domaines de la production d'armes et du capital.  (Est-ce un hasard que les Soviétiques, de même que les Américains, aient  le pentagramme (étoile à cinq branches) sur toutes leurs armes, leurs  avions et leur chars et que ce soit aussi le symbole de l'État (étoile  rouge, Pentagone) ? De même, l'oeil qui voit tout des Illuminati se  trouve non seulement sur le sceau de l'État américain, mais aussi au  centre de l'emblème du régime marxiste.) C'était, une fois encore, au  Big Brother de mettre en scène la suite des événements puisque son but  était d'avoir une armée mondiale contrôlée par l'ONU. L'effondrement du  coût du pétrole en 1986 avait fortement secoué l'économie planifiée des  Soviétiques. L'activité qui avait amené le plus de devises au Kremlin  depuis les années soixante-dix était l'exportation de pétrole à l'Ouest.  Les bénéfices se mirent à diminuer précisément lorsque Gorbatchev  promit avec ses réformes plus qu'il ne pouvait tenir. Le chaos  économique contribua à ce que Moscou laissât tomber les pays satellites  de l'Europe de l'Est. Maints Soviétiques misèrent sur l'Allemagne  réunifiée qui serait un bon partenaire pour relancer l'économie  soviétique.
En novembre 1981, la domination  soviétique de la RDA commença à se fissurer. Sous la pression des  réfugiés s'enfuyant par la Hongrie et du mouvement de liberté qui  soufflait dans les rues de la RDA, la vieille RDA fut balayée en  quelques semaines. Tandis qu'on fêtait la fin dramatique de la dictature  communiste, les Illuminati craignaient que le peuple ne sorte vainqueur  d'une révolution en Europe de l'Est. Ils redoutaient aussi qu'une  alternative à la politique économique des États-Unis puisse se  développer en Allemagne. C'est pourquoi ils firent aussitôt circuler le  mot clé quatrième Reich dans les médias anglo-américains. Les stratèges  politiques à Londres et à Washington ne virent que trop clairement les  conséquences à long terme de l'unité allemande et donc d'une Allemagne à  nouveau forte et éventuellement indépendante. Ils étaient conscients du  danger que représentait ce projet d'une Allemagne puissante qui, grâce à  la force et à la foi de 85 millions d'hommes pouvait s'avérer être un  succès bien qu'il aille à l'encontre de la volonté des Illuminati.  D'autres pays pourraient sortir de leur léthargie et être entraînés sur  la même voie. (131)
L'été 1990, le gouvernement de  Thatcher renforça, d'après les rapports de Londres, les activités du  service secret britannique en Allemagne et inaugura, à cette fin, une  nouvelle section des services secrets. Le gouvernement Bush fit aussi  des démarches pour étendre son influence sur la politique allemande.  Qu'un pays se développe librement et en tenant compte des intérêts du  peuple ne fait pas partie du plan des Illuminati. C'est pourquoi Alfred  Herrhausen, porte-parole du comité de direction de la Deutsche Bank et  membre des Bilderberger, fut assassiné le 30 novembre 1989 par des  tueurs professionnels (et non par la Fraction Armée Rouge). Herrhausen  était un important conseiller de Kohl. Juste quelques jours auparavant,  il avait donné une interview au Wall Street Journal pour développer ses  objectifs sur la RECONSTRUCTION DE L'ALLEMAGNE DE L'EST. D'après lui,  elle devait devenir, en une décennie, la nation industrielle la plus  avancée de l'Europe. Herrhausen avait pensé aussi proposer un programme  pour convertir les dettes du tiers monde. Il s'était opposé clairement  au système de l' "ESTABLISHMENT", ce qu'il exprima à la conférence des  BILDERBERGER en 1988 ainsi que lors d'une séance de l' "American Chamber  of Commerce", également en 1988. Plus tard, ce fut Detlev Rohwedder,  chef de la "Treuhand", qui fut tué d'un coup de fusil. Par contre,  l'attentat commis contre la personne du ministre de l'intérieur de la  RFA, Wolfgang Schäuble, ne fut pas fatal. Tous ces attentats furent en  relation avec le programme de reconstruction de l'Allemagne de l'Est.  (132)
C'est une mauvaise plaisanterie  de présenter le FANTÔME de l'ARMÉE FRACTION ROUGE comme l'auteur du  crime contre Herrhausen. Herrhausen était une des personnalités  d'Allemagne les plus menacées, et il avait pris de nombreuses mesures de  sécurité en conséquence. Le service de sécurité de la Deutsche Bank  s'était chargé de la protection de sa personne, la police sillonnait  constamment les alentours de sa résidence et des unités spécialement  formées et équipées, issues d'un commando d'intervention mobile de la  Hesse (MEK), auraient observé sans arrêt les environs de son domicile.  Toujours est-il que les auteurs de l'attentat réussirent à creuser une  tranchée dans la rue à Bad Homberg, à y déposer un câble et à refermer  le revêtement en asphalte sans que quiconque s'en aperçoive. L'avocat  fédéral général VON STAHL exposa devant les députés du parlement fédéral  allemand le fait suivant : cet attentat avait été programmé huit jours  plus tôt et les assassins avaient déjà installé presque tous les  éléments du piège explosif, y compris le câble qu'on identifia, plus  tard, et qui était relié à l'explosif. Le jour de l'attentat, les  auteurs du crime installèrent même une barrière optique sur le lieu et  placèrent la bombe montée sur une bicyclette de façon à ce que le  véhicule de Herrhausen soit obligé de passer tout à côté. Une patrouille  de police à pied contrôla, à peine une demi-heure avant l'attentat,  l'endroit où tous ces préparatifs eurent lieu. Elle ne se serait aperçue  de rien. C'est étrange : non loin de là, le gardien d'une piscine  couverte aurait remarqué, environ une demi-heure auparavant, quelques  jeunes hommes au comportement suspect. De plus, le piège explosif,  déclenché par la barrière optique, ne pouvait entrer en action que si le  véhicule de Herrhausen passait en premier.
Le précédent président de  l'Office fédéral pour la protection de la constitution, Dr RICHARD  MEIER, déclarait au parlement fédéral allemand une semaine après  l'attentat qu'on avait fait le véhicule de tête du convoi de Herrhausen  qui comportait normalement trois voitures (La Fraction Armée rouge  avait-elle téléphoné pour expliquer que le véhicule de tête était gênant  pour l'attentat ?) Le fait que la bombe avait la forme d'une charge  creuse prouve que les auteurs de l'attentat avaient une grande  expérience dans la manipulation d'explosifs militaires. L'onde de  pression, d'une telle bombe ne diffuse pas de tous côtés mais prend la  forme d'un faisceau, ce qui fait qu'on peut la diriger sur un but  précis. La construction de cette bombe et aussi le fait de connaître les  points faibles de cette limousine blindée Mercedes-Benz dont les vitres  latérales s'ouvrent — fait connu seulement par quelques spécialistes de  sécurité — empêchent, même avec la meilleure volonté du monde, de  mettre cet acte criminel sur le compte de terroristes de la Fraction  Armée rouge ou de débutants. Les autorités en la matière ne trouvèrent à  l'endroit du crime aucune trace valable qui aurait pu renseigner sur  les coupables. Juste un papier avec l'étoile à cinq branches, la  reproduction de la mitraillette Heckler & Koch avec l'inscription  "RAF" et les mots "commando Wolfgang Beer", ce qui, en soi, n'est pas  une preuve. Comme dans toutes les actions revendiquées par la FRACTION  ARMÉE ROUGE (RAF) depuis que la prétendue deuxième génération de la RAF  avec Christian Klar a été arrêtée et depuis le passage dans la  clandestinité d'une partie des terroristes dans la RDA de l'époque à  partir de 1984, il n'y eut et il n'y a pas une seule preuve pouvant  permettre d'affirmer qu'il existe des personnes qui appartiennent  légitimement à une organisation terroriste de gauche RAF. Il n'y a  aucune empreinte de doigts, aucune trace de salive sur des mégots, aucun  cheveu ou aucun indice permettant de dire que ce sont eux les coupables  qui, depuis maintenant neuf ans, lancent des bombes sous le nom de  Fraction Armée rouge et qui, récemment, ont même dynamité des prisons.  La lettre revendiquant l'attentat contre Herrhausen était si ridicule  que le ministre de l'intérieur de ce temps-là SCHÄUBLE souligna qu'elle  contrastait, d'une façon grossière, avec la perfection technique et la  gravité de l'attentat. Il y a un manque total de preuves et même  d'indices renvoyant à une organisation de terroristes de la Fraction  Armée rouge, cependant, les servies de la sûreté de l'État allemand  accusent toujours la Fraction Armée rouge d'être les auteurs du cime.
Le 1er juillet 1992, les auteurs  de la HR et de la WDR (chaînes de télévision allemande) rendirent pour  la première fois publics les résultats de leurs recherches dans  l'émission Brennpunkt sous le titre "La fin de la légende de la Fraction  Armée Rouge". Ils émirent la thèse que la prétendue "troisième  génération de la RAF" qui est officiellement l'auteur des crimes  terroristes de ces dernières années ne serait qu'une légende sans  fondement. Les auteurs Wolfgang Landgraeber, Ekkehard Sieker et Gerhard  Wisnewski approfondissent leur thèse dans le livre sur le fantôme de la  RAF qui est paru aux éditions Knaur. Leurs arguments principaux sont :
1.  contrairement  à la première génération de la Fraction Armée rouge (Meinhof, Bader,  Ensslin) et à la deuxième (Susanne Albrecht, Chrisian Elar), la  prétendue troisième génération ne laisse jamais le moindre "soupçon de  trace" sur le lieu du crime ;
2.  les  personnes qui appartiendraient à la troisième génération de la Fraction  Armée rouge, comme par exemple Christian Seidler, ont toutes disparu  depuis le milieu des années quatre-vingts sans laisser de traces et sans  jamais redonner signe de vie ;
3.  l'hypothèse  que des terroristes dirigent à partir de leur prison la Fraction Armée  rouge est fortement mie en doute ou même exclue par les spécialistes.  Les directives du commando doivent émaner d'ailleurs ;
4.  les  seuls indices qui ont permis de conclure que les attentats de ces sept  dernières années émanaient de la Fraction Armée rouge étaient des  lettres revendiquant ces actes qualifiés d'authentiques par les services  de sûreté allemands. Mais les méthodes appliquées ne résistent pas à  une vérification ;
5.  au  beau milieu de l'émission, il y eut une interview avec le témoin  principal du cas Herrhausen, Siegfried Nonne, qui rétracta son  témoignage de janvier 1992. Il expliqua que des collaborateurs de  l'organe de la protection de la constitution de la Hesse l'avaient  menacé de le faire emprisonner ou de le tuer et l'avaient obligé à faire  un faux témoignage, c'est-à-dire à déclarer qu'il avait hébergé les  coupables dans son appartement à Bad Homburg et qu'il avait préparé avec  eux l'attentat sur la personne d'Alfred Herrhausen.
L'équipe de télévision en tira  cette conclusion lourde de conséquences : la troisième génération de la  Fraction Armée rouge n'est qu'un fantôme maintenu artificiellement en  vie dans le but conscient et voulu de tromper le peuple. De plus,  l'équipe soupçonna la direction politique de la République fédérale  d'Allemagne d'avoir non seulement toléré, mais d'avoir même contribué à  la fin des années soixante-dix et au début des années quatre-vingts, à  ce qu'une grande partie des membres de la Fraction Armée rouge  disparaisse dans la RDA de l'époque. En fait, il est vraisemblable que  non seulement les services secrets alliés mais aussi les autorités et  services allemands aient su que les ex-membres de la Fraction Armée  rouge étaient passés dans la clandestinité en RDA. On a fait croire au  public que ces ex-membres, sans cesse recherchés au moyen d'affiches  représentant leurs portraits, auraient été mêlés aux attentats commis  dans les années quatre-vingts. Lors du dernier attentat qu'ils  revendiquaient soi-disant, c'est-à-dire le dynamitage professionnel  d'une prison à Weiterstadt, on trouva, comme d'habitude, juste un papier  avec leur emblème et le nom du commando ; sinon il n'y avait aucune  trace, aucune erreur, aucun témoin. Le journaliste italien Cipriani eut  une interview avec l'ex-colonel de l'armée de l'air des États-Unis  Fletcher Prouty : celui-ci percevait le motif du meurtre de Herrhausen  dans les onze premières pages d'un discours qu'Herrhausen voulait tenir  aux États-unis quatre jours après l'attentat. Herrhausen y dévoilait sa  vision d'une nouvelle tournure que pourraient prendre les rapports entre  l'Europe de l'Est et de l'Ouest, ce qui aurait pour conséquence de  modifier le destin du monde. Le colonel Prouty ajouta dans l'interview  qu'Alfred Herrhausen, John F. Kennedy, Aldo Moro, Enrico Mattei et Olof  Palme avaient tous été assassinés pour le même motif — aucun d'eux  n'aurait accepté que le monde soit contrôlé par le condominium de Yalta.  Tous ces attentats sont le fait d'une petite élite qui voyait sa  puissance fondée sur l'idée d'une "Pax mondiale" (paix mondiale)  menacée. (133)
Remarque sur la situation actuelle :  
Le flot des demandeurs d'asile  arrivant en Allemagne a été programmé intentionnellement et fait partie  du grand plan de l'élite qui veut ériger le "Nouvel Ordre Mondial". Il  sert à attiser la xénophobie dans ce pays, qui a occasionné la montée  des partis de droite et la multiplication des actes de violence commis  par les milieux de droite envers les demandeurs d'asile et les  handicapés. Ceux-ci servent à justifier la propagande lancée par  l'establishment anglo-américain du quatrième Reich. Depuis la  réunification de l'Allemagne et l'effondrement de l'ordre du monde  établi à Versailles et à Yalta qui s'en suivit, la classe politique  allemande a refusé de répondre publiquement aux attaques de propagande à  visées géopolitiques ("la résurrection du quatrième Reich"). Au  contraire : La voie agressive suivie en politique économique par  certaines personnes influentes, comme par exemple le président de la  Commission trilatérale européenne OTTO GRAF LAMBSDORFE provoque des  effets similaires aux buts que poursuivent les puissances à visées  géopolitiques : en voulant éviter toute rupture avec la politique du  Fonds Monétaire International qui a échoué et en voulant opprimer les  initiatives allemandes.
Le fait que Peter Glotz, qui  fait partie des dirigeants du SPD (parti social-démocrate allemand), se  soit élevé avec des propos coléreux contre ceux qui condamnent  l'agression de la Grande Serbie en première page du "Frankfurter  Allgemeine Zeitung" montre aussi que des tendances géopolitiques sont  présentes en Allemagne. Les puissances à visées géopolitiques  (l'Angleterre, la France et les États-Unis) désirent un autre  Proche-Orient, un foyer de crise permanent au sud de l'Europe (la guerre  de Yougoslavie) pour empêcher l'édification d'un nouvel ordre eurasien  au centre duquel se trouveraient la Russie, la France et l'Allemagne. Si  un pays peut influer sur les événements en Europe de l'Est, c'est bien  l'Allemagne.
LORD CASTLEREAGHS, le  manipulateur en chef du Congrès de Vienne, décrit ci-dessous de quelle  façon on veut limiter la puissance de l'Allemagne en Europe (en plein  accord avec le plan des "Sages de Sion") : "La puissance de l'Allemagne  dans la nouvelle Europe doit être limitée, pour cela il faut exiger des  Allemands qu'ils soient plus partie prenante dans l'OTAN et dans  d'autres organisations internationales mais les États-Unis doivent en  même temps collaborer étroitement avec la Grande-Bretagne, la France et  d'autres pays pour limiter l'influence de l'Allemagne au sein de ces  organisations." Les forces géopolitiques à Londres, à Paris et  Washington mettent tout en oeuvre pour frustrer les tentatives lancées  par ceux qui ne veulent pas que l'influence l'Allemagne soit restreinte.  Cette politique s'oppose, par exemple, aux efforts allemands proposés  pour soutenir le développement à l'Est. La vulnérabilité et la faiblesse  du chancelier Helmut Kohl et de son gouvernement ne pouvaient être  mieux démontrées à la face du monde que par l'assassinat du Dr Alfred  Herrhausen, porte-parole du comité directeur de la Deutsche Bank : dû à  des terroristes, il y eut, comme par hasard, le même mois où le mur fut  abattu, en novembre 1989. Les auteurs et exécuteurs de cet attentat sont  encore libres aujourd'hui, ils ne sont pas connus, donc pas poursuivis  et peuvent se promener librement dans le monde entier.
Grâce à sa perspicacité, Alfred  Herrhausen avait déjà proposé depuis quelque temps une remise de dettes  pour les pays en voie de développement, spécialement pour l'année 1987,  année du grand krach. Mais lorsqu'il exigea, en plus, un plan de  reconstruction économique pour l'Europe de l'Est, ses propositions  devinrent tout à fait inacceptables aux yeux de ses ennemis. Herrhausen  parlait d'une banque polonaise de développement établie selon le modèle  de la "banque de crédit pour la reconstruction". Le colonel Proutys ne  fut pas le seul à remarquer qu'Herrhausen se heurtait aux lois non  écrites des puissances monétaires de Londres et de New York. Il n'en  fallait pas plus pour que ses ennemis passent à l'action. Alors que le  système communiste à l'Est s'effondrait, le chancelier Kohl n'a pas su  amorcer un virage global pour une véritable reconstruction économique de  l'Est. Cela aurait exigé qu'il rompe avec les cercles monétaires  tout-puissants dans son pays ainsi qu'à l'étranger, et cela aurait fait  vaciller dans leurs bases les rapports traditionnels du pouvoir existant  entre les puissances sorties victorieuses de la guerre. Après le  meurtre de Herrhausen, Helmut Kohl, si on en croit le "Spiegel",  reconnut qu'il avait perdu son conseiller intime, un bon stratège et  que, depuis sa disparition, les esprits mercantiles foisonnaient en  Allemagne. Kohl et son gouvernement n'osaient pas exposer au public les  dessous de ce crime horrible ni mettre en branle les forces de police et  les autorités chargées de l'enquête judiciaire afin qu'elles se  saisissent des meurtriers et instigateurs, pour que leurs mobiles soient  élucidés et leur acte expié. On préféra faire croire au public à  l'aide, entre autres, de dépositions falsifiées, qu'il s'agissait d'une  "troisième génération de la Fraction Armée rouge".
Trois ans et demi après  l'assassinat de Herrhausen, la lacune laissée par sa disparition  apparaît très clairement. Dans le milieu du patronat et des dirigeants  de l'économie, des sciences et de la recherche, on voit toujours la  nécessité d'un plan de développement LAROUCHE dans le "triangle  productif" Paris-Berlin-Vienne qui implique une amélioration importante  des infrastructures dans les secteurs de l'énergie, des transports et de  l'aménagement des eaux comme moteur de l'essor eurasien. Mais personne  n'est prêt à risquer sa vie, après la mort d'Herrhausen, pour mener à  bien les changements nécessaires qui vont à l'encontre de l'idéologie  prépondérante des puissances monétaires. Après le meurtre d'Herrhausen  et de Rohwedder, les courants politiques qui se rattachent à une  politique économique radicale selon la pire doctrine de libre-échange  ont pris le dessus en Allemagne. Maintenant, après la première vague de  grève au bout de soixante ans dans les nouveaux "Lander", quelques-uns  reconnaissent toute l'ampleur et les conséquences dévastatrices de cette  politique qui vise à ruiner l'économie. Le chiffre officiel des  chômeurs va atteindre bientôt quatre millions, dont plus de 400 000  jeunes. Prognos s'attend à ce que le taux du chômage monte à 17 % et  atteigne donc 7,5 millions de chômeurs. La presse qui, auparavant, avait  déjà parlé du danger du quatrième Reich se sert, pour confirmer sa  thèse de la flambée du néo-nazisme, des éclats de violence qui visent en  particulier les étrangers mais aussi les handicapés et les sans-abri ;  17 personnes en furent les victimes en 1992 (parmi elles sept  étrangers). Le gouvernement allemand a essayé de corriger cette image  déformée en montrant d'autres aspects de cette réalité. Depuis l'automne  1992, plus de trois millions d'Allemands et d'étrangers sont descendus  ensemble dans la rue, bougies en mains, pour montrer leur solidarité  face à la xénophobie. Qui sont les coupables ? Plus de 70% des accusés  ont moins de 20 ans. Ils ont grandi après la réforme de l'éducation de  Willy Brandt à l'Ouest, ils ont été élevés par des parents qui avaient  été imprégnés, eux-mêmes, de l'enseignement de la "FRANKFURTER SCHULE"  (école de Francfort) à travers l'école, la radio ou la télévision. Le  plus grand nombre d'actes de violence qualifiés d'extrême droite se  produisit en Rhénanie-du-Nord-Westphalie (plus de 500), "Land" le plus  peuplé, suivi du Bade-Wurtemberg (250) et du Brandebourg (229).
Le bourrage de crâne imposé à la  population par cette image déformée en Allemagne et dans les autres  pays dévoile les virées géopolitiques (l'affaiblissement des tentatives  de reconstruction à l'Est). Il est aussi le signe d'une grande  hypocrisie. À l'appui de documents officiels ainsi que d'interviews  actuels avec des dirigeants néo-nazis américains et des membres du KKK,  on peut se rendre compte qu'en Allemagne, les actions de racistes zélés  et de skinheads américains remontent à bien des années en arrière,  jusqu'aux années soixante-dix. Ce qui est choquant, c'est que le NSDAP /  AO (parti allemand national-socialiste à l'étranger) en Amérique dirigé  par GARY REX LAUCK ait pu déployer visiblement ses activités, jusqu'à  aujourd'hui, au-delà de l'océan avec ses camarades allemands — dont  MICHAEL KÜHNEN, mort du sida, qui était un proche partisan de Lauck —  sans être inquiété par les autorités américaines ou des contrôles à la  frontière. Choquants aussi les indices qui sont chaque jour plus  nombreux et font conclure à une aide bienveillante d'un service secret  qui soutient l'édification d'un mouvement néo-nazi, connu pour sa  brutalité, en Allemagne mais aussi aux États-Unis. Les opposant à ce  mouvement sont les autonomes de l'ANTIFA mouvement créé par les anciens  réseaux de la Stasi qui rassemble soi-disant ceux que le régime nazi a  persécutés, soit la VVN, association qui fut financée directement par la  Stasi et l'ex-RDA, laquelle collabore aujourd'hui avec la BdA (Bund der  Antifaschisten — Ligue des antifascistes) et se fait passer pour le fer  de lance du "combat antifasciste". Ces opposants et le mouvement  néo-nazi rassemblent chacun environ 6000 militants qui sèment la  violence. Tous deux sont les instruments d'une stratégie de tension qui  vise à miner la paix intérieure et extérieure de l'Allemagne.
Ainsi que vous le voyez, les  Illuminati ont, de nouveau, selon la méthode de Machiavel qui a fait ses  preuves, financé les deux camps, ce qui fait qu'ils les contrôlent.  D'un côté se trouve la chaîne du Rite écossais franc-maçonnique (KKK,  B'nai B'rith, Antidefamation League (ADL), NSDAP / AO) qui va jusqu'aux  milieux des néo-nazis et des skinheads allemands, de l'autre le réseau  de la Stasi contrôlé par le système communiste, réseau qui s'étend  jusqu'aux milieux d'extrême gauche et jusqu'à l'Antifa. La  GESINNUNGSGEMEINSCHAFT DER NEUEN FRONT (Gdnf — les amis politiques du  nouveau front), fondée par Kühnen en 1977, fait parti, avec ses 400  membres, d'un des plus importants groupes d'encadrement étroitement  relié au NSDAP / AO. Par ailleurs, une grande partie du matériel de  propagande de la FAP (Freie Deutsche Arbeiterpartei — Parti ouvrier  libre d'Allemagne) fut livrée par le NSDAP / AO. On en arrive à  découvrir d'autres imbrications qui sont des plus intéressantes, par  exemple : que le chef du groupe des skinheads anglais "SCREWDRIVER" Ian  Stuart, collabora avec les extrémistes de droite de la "BRITISH NATIONAL  FRONT". Jusqu'en 1985, ils faisaient partie du "WHITE NOISE CLUB', du  "British National Front" rassemblant les bandes de skinheads racistes en  Angleterre. En 1985, Ian Stuart fonda le mouvement ,"BLOOD &  HONOUR" (sang et honneur) qui répandit de façon organisée les pensées du  "White Power" (pouvoir des blancs) du Ku Klux Klan. Mais il n'y a pas  que des bandes de skinheads qui y sont représentées. Le groupe satanique  KISS (Kings in Satans Service — Les rois au service de Satan), qui se  déclare ouvertement pour le satanisme et qui écrivait les deux S de Kiss  en caractères runiques jusqu'à ce qu'on le lui défendit, est en contact  avec la "CHURCH OF SATAN" d'Anton la Vey, l'Église satanique officielle  la plus importante du monde. Cette "Church of Satan" a tissé, dans le  passé, d'étroites relations avec beaucoup de groupes de rock sataniques  anglais et c'est elle, par exemple, qui promut le groupe britannique  BLACK SABBATH avec le chanteur Ozzy Osbourne. Les ROLLING STONES avaient  aussi un lien étroit avec la "Church of Satan". MICHAEL AQUINO, chef  néo-nazi et sataniste, est le dirigeant de la secte de Satan "TEMPLE OF  SETH", issue de la "Church of Satan". Dans les années soixante et  soixante-dix, il était officier pour la conduite de guerre psychologique  des forces armées des États-Unis et, en même temps, auteur, philosophe  et historien de la "CHURCH OF SATAN". En 1981, le lieutenant-colonel  Aquino, sous le plus grand secret, fit fonction de "CONSEILLER EUROPÉEN  DANS l'ÉTAT-MAJOR GÉNÉRAL AMÉRICAIN". Ce même Aquino tint une cérémonie  satanique au "château Wewelsburg" en Allemagne, là où le chef des SS  Heinrich Himmler avait jadis consacré une pièce aux messes noires  (Walhalla).
Pour exercer ses fonctions  actuelles de sataniste et d'extrémiste de droite au sein des forces  armées des États-Unis, Aquino dut former un nouveau groupement avec un  contrôle plus sévère qui allait plus loin que la "Church of Satan" : le  "Temple of Seth" (temple de Seth). AQUINO, mêlé aussi à des abus sexuels  et sataniques pratiqués sur des enfants, le néo-nazi GARY REX LAUCK et  le prêtre satanique d'extrême droite ANTON SZANDOR LAVEY sont liés  étroitement avec DENNIS MAHON, actuellement "grand dragon des chevaliers  du Ku Klux Klan", de même que le défunt MICHAEL KÜHNEN (tous sont  homosexuels). Par l'intermédiaire d'Aquino, tous sont en relation avec  le "TAVISTOCK INSTITUT" de conduite de guerre psychologique, au Sussex,  en Angleterre, dont nous avons déjà parlé. MONTAGU NORMAN, dirigeant de  la banque centrale britannique de 1920 à 1944, qui favorisa l'ascension  d'HJALMAR SCHACHT et donc de Hitler qui était, à ses dires, le meilleur  ami d'Hitler. Norman était, en outre, un mystique sauvage, un théosophe  et souffrait très souvent de dépressions psychotiques. Vers la fin de la  guerre, il se retira de la Banque d'Angleterre et travailla pour l'  "Union mondiale contre les maladies mentales". Il nomma le commandant  JOHN RAWLINGS REES président de cette union. La femme de Norman était  une fanatique radicale et faisait partie du "BRITISH HEALTH BOARD". Le  commandant Rues, chef du département pour la guerre psychologique dans  l'armée britannique, dirigeait le TAVISTOCK INSTITUT en Angleterre.  C'est à cause de tels préconiseurs, entre autres, que le cauchemar de la  doctrine des races promulguée par les nazis et leur conception du monde  ont pu survivre en Occident. Beaucoup de chefs serbes qui ordonnent,  aujourd'hui, en Bosnie-Herzégovine les épurations ethniques et les viols  collectifs ont une formation psychiatrique qu'ils ont reçue, entre  autres, à l'Institut Tavistock en Angleterre. (134)
Qu'en est-il des Serbes ?
La campagne de conquête  entreprise par les Serbes n'aurait pas été possible si ces derniers  n'avaient pas été couverts par Moscou et par l'administration Bush.  LAWRENCE EAGLEBURGER, à l'époque adjoint au ministre des Affaires  étrangères et partenaire éminent de l'entreprise consultante des  "Kissinger Associates", veilla, récemment, avec un autre partenaire  Kiss-Ass, LORD CARRINGTON, à ce que Belgrade ait les mains libres pour  accomplir les nettoyages ethniques et le génocide actuel. Afin de  financer cette campagne, ils créèrent les structures pour faciliter  illégalement une arrivée massive d'argent à Belgrade, ce qui devait  permettre aux Serbes de faire face aux frais d'importations d'armes, de  pétrole et d'autres marchandises. Dans les derniers dix-huit mois, des  banques privées de Belgrade proposèrent, à l'étonnement de tous, un taux  d'intérêt mensuel de 15% sur le dépôt de devises et 200% sur le dépôt  de dinars eu égard au taux d'inflation annuel de 25,000%. Étant donné le  chômage important et le grand nombre de personne sans revenus, ces  prestations d'intérêts furent une manoeuvre politique pour contrecarrer  l'insatisfaction croissante du peuple causée par les conditions  économiques difficiles entraînées par la guerre. Un observateur  déclarait à ce sujet : "Cette tactique sert à financer discrètement un  système d'aide sociale."
On découvrit des aspects de ces  stratagèmes lorsque le banquier de Belgrade Jesdomir Vasiljevic, de la  "JUGO-SKANDIE-BANK", se retira, en mars 1993, en Israël. Cette banque  avait, selon les communiqués de la presse, jusqu'à 4 millions de comptes  avec des dépôts d'épargne en devises qui s'élevaient à presque 2  milliards de dollars. D'où sortait cet argent ? Certes la Yougoslavie  disposait avant-guerre d'une branche de tourisme florissante et d'une  industrie d'armement qui produisait surtout des armes légères pour  l'exportation, mais après avoir remboursé rapidement 14 milliards de  dollars de dettes à l'étranger, il ne restait pas grand-chose.  Entre-temps, le tourisme a cessé et la production d'armes a été affectée  principalement à la guerre. Le gouvernement serbe bénéficie, de  surcroît, du butin de guerre pris aux régions conquises mais c'est peu  en égard aux besoins actuels du pays. Des livraisons d'armes et de  pétrole se font, en règle générale, contre un paiement comptant. Sur le  marché noir les prix du pétrole occidental, comme celui de la  "Mobil-Oil-Raffinerie" à Thessalonique en Grèce, s'élèvent jusqu'à 400%  du prix courant.
La source d'argent est à  rechercher à Belgrade qui joue un rôle dans le trafic de drogue passant  par les Balkans, ce qui lui donne accès au système international du  blanchiment de l'argent. Les activités croissantes en Europe de l'Ouest  de la "MAFIA SERBE" dirigée par Belgrade sont, sûrement, une des sources  d'argent. Il y a une école à Belgrade pour vols avec effraction qui  jouit, manifestement, de la protection des services de renseignements :  ses anciens élèves sont affectés dans toute l'Europe où il transmettent  les biens volés à des réseaux de receleurs bien organisés. Malgré cela,  il est difficile de concevoir que ces ressources soient suffisantes pour  couvrir les frais de la guerre serbe, même si la mafia serbe prend de  plus en plus d'importance sur le marché occidental de la drogue. Des  commentateurs simplets ont comparé à maintes reprises les stratagèmes de  la "JUGOSKANDIC" et de son plus important institut de concurrence, la  "DAFIMENT BANK", avec les opérations véreuses de certaines entreprises  d'investissement qui soutirent de l'argent à leurs clients en leur  promettant qu'ils vont toucher régulièrement des intérêts élevés grâce à  des placements dans l'immobilier ou ailleurs. Cela se passe, en fait,  autrement, ce n'est pas la petite Serbie qui a soutiré le capital aux  grands joueurs sur les marchés financiers "chauds". Ce sont les mêmes  puissances qui donnèrent le feu vert à la Serbie pour déclencher la  guerre et qui la financèrent. Ce n'est pas la Serbie qui règle ce flot  d'argent, elle n'en est que le bénéficiaire. Il y a, entre autres, des  arrangements où certaines banques de Belgrade ou des filières étrangères  servirent pour blanchir chaque mois, contre paiement de taxes  correspondantes, une partie des revenus en liquide issus du marché  international de la drogue. Belgrade n'y était pas perdante. Les  intérêts courants pour blanchir l'argent se situent entre 3% et 7% mais  en considérant les gains gigantesques réalisés sur le marché mondial des  stupéfiants, les trafiquants peuvent payer jusqu'à 30% sans en pâtir.  Defina Milanovic est directeur de la "DAFIMENT BANK" à Belgrade. Israël  Kelman de Tel Aviv détient 25% des actions. Vasiljevic de la Jugoskandie  s'est retiré à Tel Aviv, ce qui laisse supposer qu'il a joué un rôle  clé dans la technique de financement de guerre inspirée par les intérêts  anglo-américains.
C'est en employant la même  tactique que certaines banques des États-Unis ont échappé à la  banqueroute lors de la crise causée par les dettes des pays de  l'Amérique latine en 1983 : grâce à de puissantes injections d'argent  procuré par la drogue. Cela n'a pas grand-chose à voir avec l'économie  libre de marché, selon les dires de la police allemande, celle-ci s'est  rendu compte en enquêtant sur des mafiosi serbes que la police de  Belgrade n'est pas prête à collaborer au niveau international et qu'à  Belgrade, l'argent est donc probablement encore plus facilement blanchi  qu'en Suisse. C'est à Chypre, centre bancaire très développé, que les  banquiers de Belgrade font la plupart de leurs opérations.
Le succès évident du financement  de la guerre, qui fut effectué par EAGLEBURGER et CARRINGTON (Comité  des 300) par intérêt financier, n'est pas la conséquence d'un secret  bien gardé mais d'une inertie de l'Europe de l'Ouest. Après avoir  observé un an et demi les stratagèmes des banques de Belgrade, chacun  savait bien, y compris les diplomates, que quelque chose clochait. On  savait aussi qu'il y avait des représentants des banques à Chypre. Rien  ne fut entrepris, pourtant les sanctions des Nations Unies auraient dû  s'appliquer aussi au transport des finances vers la Serbie tant qu'il  n'était pas destiné à des buts médicaux ou humanitaires. Ce n'est qu'en  avril 1993 que la commission des sanctions des Nations Unies reconnut  qu'on avait oublié de consulter les autorités chypriotes sur les  relations bancaires des Serbes. Il y aurait eu "trop peu d'informations  concrètes". Le banquier Vasiljevic a vécu 15 à 20 ans à l'étranger,  surtout en Australie où il fut connu pour ses transactions dans les  "pays en guerre d'Extrême-Orient" ainsi que le rapporte l'Observer  britannique. Peut-être est-il un ancien ami de "Theodore Shackley" ?  (135)
La situation actuelle
Les Illuminati tiennent le monde  dans leur filet par l'intermédiaire des banquiers internationaux qui  sont en liaison avec les sociétés d'élite déjà mentionnées et par les  empires qu'ils ont construits. Ils sont sur le point de renforcer encore  plus leur mainmise sur cette planète. Leur contrôle principal s'exerce  grâce aux dettes nationales des pays. En outre, il existe une force de  police internationale qui maintient "dans les rangs" les États  indépendants, tels que la Libye et l'Iran : ce sont les troupes de  l'ONU. La Libye qui manifeste son indépendance par rapport au contrôle  international représente un défi pour le Nouvel Ordre Mondial. Mu'ammar  al Kadhafi est présenté dans les médias comme un terroriste, ce qui  permet de justifier les agressions contre son pays. Voilà encore ce qui  s'appelle un bel exemple de lavage de cerveau.
GEORGE BUSH fut un des meilleurs  partenaires que les Illuminati aient jamais eu, et il devra le rester  jusqu'à son dernier souffle, car il est fortement impliqué dans le  trafic illégal de la drogue (voir : §8 des Protocoles). (136) George  Bush est un ex-chef de la CIA, un exN-chef du CFR, membre de l'ordre  "Skull & Bones", membre de la "Commission trilatérale" et membre du  "Comité des 300". Son concurrent aux dernières élections  présidentielles, Bill Clinton, le président actuel, est membre du CFR,  des "Bilderberger" et membre à vie de l' "ordre De Molay"  franc-maçonnique. Il est membre aussi de la "Commission trilatérale"  depuis le début des années quatre-vingts. Les plus proches  collaborateurs de Clinton qui ont les meilleures chances d'accéder à des  postes avancés dans le gouvernement font aussi partie de la "Commission  trilatérale", parmi eux son principal conseiller en économie Felix  Rohatyn de la banque new-yorkaise "Lazard Brothers", Paul Volcker,  ex-chef de la banque d'émission sous Carter, Robert Hormats de la banque  new-yorkaise "Goldman Sachs", sa conseillère pour les questions  commerciales Paula Stern ainsi que son conseiller en politique  extérieure Warren Christopher. L'équipe la plus restreinte de Clinton  compte, en outre, des personnes en vue du "Council on Foreign Relations"  (CFR) et du "Brookings Institute" dont les plus importantes sont les  banquiers Peter Petersen, Robert Rubin et Roger Altinan. (137) Ce qui  signifie donc que les deux candidats aux élections étaient des  partenaires à 100% des Illuminati et que les citoyens des États-Unis  n'avaient le choix qu'entre eux deux. Cela rappelle beaucoup les  élections du Parti socialiste unifié d'Allemagne, le SED, dans l'ex-RDA.
Il se passe la même chose en  Allemagne avec ses chanceliers. Brandt était membre du "Comité des 300"  et des "Bilderberger". Schmidt et Kohl appartenaient aussi aux  "Bilderberger". Engholm qui se retira entre-temps et qui aurait été,  cependant le rival de Kohl aux élections suivantes, fait parti aussi des  "Bilderberger" et du "DGAP". Le gouvernement des États-Unis reconnaît  désormais la constitution des Nations Unies comme étant la "loi  mondiale". Nous sommes très proches de la création d'un "gouvernement  supra-mondial" que toutes les nations de la Terre vont reconnaître (voir  : § 9 des Protocoles). En Russie aussi, nous avons assisté à un coup de  maître. Boris Yeltzin a repris la charge de Gorbatchev. La prétendue  dissolution du régime ne correspond, en fait, qu'à un changement de nom.  L'appareil militaire est non seulement le même, mais il est plus  puissant que jamais. Un des derniers actes posés par Bush fut une  injection de 12 milliards de £ pour renforcer cet appareil militaire.  N'avez-vous pas déjà remarqué que malgré ces sommes énormes que Clinton  envoi en Russie, les Russes meurent de faim ? Savez-vous tout ce qu'on  pourrait améliorer grâce à ces sommes d'argent ? Tout l'argent passe, en  fait, dans la production d'armes et dans l'appareil des services  secrets. D'après les "Vertrauliche Mitteilungen" (Communications  confidentielles) du 12 octobre 1993, l'exportation d'armes de la Russie  n'a baissé en 1992 que de 1,8 milliards de dollars. Cela ne correspond  environ qu'à environ 6% des exportations d'armes de 1986, année de  pointe ou les exportations s'élevaient à 26 milliards de dollars.
Quand la CEI (Communauté des  États indépendants) va se joindre à l'armée américaine dans les troupes  de l'ONU, les hommes vont croire à une alliance de deux superpuissances  qui furent ennemies pendant des décennies (ce qui, en vérité, n'a jamais  été le cas). D'autres nations s'y associeront librement ou seront  contraintes d'y adhérer sous la pression de la future armée mondiale.  Eduard Shewardnatse, ex-ministre des Affaires internationales de la  Georgie et général de division du KGB, mêlé à la torture et à la  répression politique, devient soudain un ami proche du secrétaire d'État  américain George Baker et se voit proposé le poste de secrétaire  général des Nations Unies par des mass médias tels que le New York Times  (c'en est trop). Le FMI devient de plus en plus la force dominante dans  les économies locales des États du Commonwealth. C'est sous sa  direction que le prix de l'essence passa de 4 à 30 roubles par gallon en  avril 1992. Le congrès des délégués du peuple russe est sur le point de  se révolter contre les exigences du FMI, ce qui est compréhensible  puisque la Russie est dans un état déplorable. [Considérons qu'il y a eu  des changements radicaux avec la venue de Vladimir Putin.]
La guerre de Yougoslavie, nous  l'avons vu, fait aussi partie du scénario des Illuminati qui désirent  créer un "deuxième Proche-Orient" au sud de l'Europe pour empêcher un  éventuel nouvel ordre eurasien. Si jamais l'Allemagne essayait de sortir  des griffes des llluminati, ceux-ci pourraient facilement l'empêcher en  provoquant une attaque de la part des Serbes ce qui serait d'autant  plus facile que l'Allemagne a déjà été désignée comme ennemie no 1 dans  la propagande de la Grande Serbie. (138) Voici une citation d'un rapport  des "Vertraulichen Mitteilungen" (Communications confidentielles) du 20  juillet 1993 pour étayer mes propos : "Dans l'ex-village olympique des  sports d'hiver Pale, non loin de Sarajevo, une personnalité britannique  très remarquée s'est vue attribuer un des plus beaux appartements situé  porte à porte avec le bureau du chef serbe bosniaque KARADZCIC. Son nom :  SIR ALFRED SHERMAN. "Sherman a la réputation en Grande-Bretagne d'avoir  "déniché" Margaret Tatcher". Lorsque le Parti des conservateurs entra  en crise à cause du départ d'Edward Heath, ce fut Sherman qui proposa  alors comme chef du parti Madame le premier ministre, qui allait se  montrer si brillante par la suite. Tous deux fondèrent le "Centre for  Policy Studies". Madame Thatcher anoblit Sherman, en témoignage, dit-on,  de sa reconnaissance. "Celui-ci est présenté à Pale comme le conseiller  des relations publiques de Karadzcic. Mais en réalité, le chef des  Serbes synchroniserait chacun de ses pas politiques avec Sherman. Des  observateurs locaux confirment qu'aucun jour ne se passe sans que les  deux hommes n'aient de profonds échanges."
Les BILDERBERGER sont une des  plus puissantes organisations internationales qui visent à un  "Gouvernement mondial unique". Leurs activités sont tenues si secrètes  que maints députés du Bundestag prétendent toujours que cette  organisation n'existe pas. Elle est dû à une ignorance qui va jusqu'à  l'entêtement ou à une volonté de dissimuler son existence ? En mai 1973,  84 membres des Bilderberger se réunirent à Saltsjöbaden, en Suède,  (dans une propriété de la famille des banquiers Wallenberg) avec le but  de consolider l'hégémonie défaillante des financiers anglo-américains  afin que ceux-ci reprennent le contrôle mondial des opérations  financières. C'est pour cette raison que les Bilderberger eurent  recours, de nouveau, à cette arme providentielle qu'est le pétrole et  qui a déjà si souvent fait ses preuves. Ils décidèrent d'augmenter de  400% le prix du pétrole afin de soutenir la monnaie américaine à l'aide  des pétrodollars, ce qui s'est effectivement produit (d'après le journal  Spotlight). Il est intéressant de souligner que c'était ROBERT D.  MURPHY qui organisa cette rencontre à Saltsjöbaden. Mentionnons son  parcours digne d'intérêt : il rencontra Adolf Hitler la première fois en  1922 alors qu'il était consul général aux États-Unis. Il envoya à  Washington un rapport des plus favorables sur sa rencontre avec Hitler  et sur les capacités de ce dernier. Murphy fut en 1944 le "conseiller  politique dans le gouvernement américain pour l'Allemagne" et en 1945 le  "conseiller politique du gouvernement militaire américain en  Allemagne". En 1988, la rencontre des Bilderberger à laquelle participa  aussi le chancelier Khol, eut lieu à Telfz, près d'Innsbruck, en  Autriche. Une autre rencontre eut lieu à Baden Baden du 6 au 9 juin  1990. Un des sujets abordés fut le plan Marshall qui prévoyait 100  milliards de dollars pour soutenir la CIE qui exigeait, en compensation,  que les États de la CIE adoptent l'économie de marché. Lors de cette  réunion, il fut décidé aussi que Saddam Hussein entrerait au Koweït. La  dernière rencontre dont j'ai eu connaissance fut celle d'Évian à l'hôtel  Ermitage le 20 mai 1992 en France. Son principal contenu, dénommé l'  "agenda 2000", concernait le gouvernement mondial tel qu'il était prévu  jusqu'à l'an 2000. (139)
Comme vous le voyez, ce  gouvernement mondial est plus actuel que jamais, même s'il n'en paraît  rien. Willy Brandt, mort entre-temps, (et qui était membre des  "Bilderberger" et du "Comité des 300") avait écrit un livre intitulé  "Nord-Süd, ein Überlebensprogramm" (Nord-Sud, un programme de survie) où  il décrit un gouvernement mondial mis en place par les Nations Unies  (d'ici l'an 2000). La "ANTI-DEFAMATION LEAGUE" (ADL) de la B'NAI B'RITH  est une agence d'espionnage non-officielle à l'étranger qui travaille  pour Israël et qui a porté ces dernières années beaucoup d'accusations  contre des enquêteurs, spécialement contre le journal "SpotIight". Elle  collabore avec le "RITE ÉCOSSAIS DES FRANCS-MACONS", ce qui pourrait  expliquer pourquoi elle opte si nettement pour le maintien du monument  d'Albert Pike et s'oppose à l'économiste LYNDON LAROUCHE qui fut  plusieurs fois candidat aux élections présidentielles. LaRouche se  trouve incarcéré depuis le 29 janvier 1989 dans l'État du Minnesota en  tant que prisonnier politique après avoir été condamné à 15 ans  d'emprisonnement suite à un scandale judiciaire mis en place par  l'establishment américain. LaRouche était devenu aux yeux des Illuminati  un opposant très gênant, car il avait découvert les enchevêtrements  entre l'establisment, le Ku Klux Klan, l 'ADL, la B'nai B'rith, le Rite  Écossais, le CFR, la Commission trilatérale, etc. et eut le tort d'en  parler publiquement. Suite à la propagande largement mise en oeuvre par  l'ADL, il passa pour être un extrémiste de droite alors qu'il s'était  battu avec acharnement pour que la statue d'Albert Pike soit supprimée à  Washington. (140) Gary Allen écrit à ce sujet : "Une raison  fondamentale pour laquelle on a rayé de l'histoire le rôle joué par les  banquiers internationaux dans la politique s'explique par le fait que  les Rothschild étaient juifs. Les antisémites se sont livrés aux mains  des conspirateurs en faisant croire que la conspiration n'émanait que de  juifs. Rien ne peut être plus éloigné de la vérité. Les institutions  bancaires traditionnelles anglo-saxonnes de J.P. Morgan et Rockefeller  ont eu, elles aussi, un rôle primordial dans la conspiration. Néanmoins,  on ne peut nier le rôle important que les Rothschild et leurs  satellites y ont joué.
Il est cependant tout aussi  injuste et absurde de faire porter la faute à tous les juifs de ce dont  les Rothschild sont coupables. C'est comme si nous rendions responsables  tous les baptistes [ou évangéliques, catholiques, islamistes,  bouddhistes, etc.] des actes criminels des Rockefeller. Les juifs parmi  les conspirateurs utilisent une organisation qui s'appelle "Ligue  anti-diffamatoire" (Andi-Defamation League, ADL) ; cette organisation  leur sert d'instrument pour convaincre tout un chacun que le seul fait  de parler négativement des Rothschild et de leurs alliés est une attaque  contre les juifs. C'est de cette façon qu'ils ont pu étouffer presque  toutes les informations authentiques sur les banquiers internationaux et  en faire un sujet tabou dans nos universités. Tout individu ou tout  livre qui cherche à en savoir plus est aussitôt attaqué par des  centaines de comités de l'ADL qui se trouvent dans tout le pays. L'ADL  ne se laisse jamais détourner ni par la vérité ni par la logique de sa  tactique parfaite de diffamation. (...) En vérité, personne n'est plus  en droit d'en vouloir aux Rothschild si ce n'est les juifs eux-mêmes.  Les Warburg, une partie de l'empire Rothschild, ont aidé à financer  Hitler. (...)" ("Die Insider", p. 51)
Il nous faut, à présent, parler  du Japon. Le Japon est pour beaucoup de spécialistes le pays le mieux  préparé aux changements globaux qui vont être apportés par la  technologie au siècle prochain. Qu'il y ait des Japonais éminents dans  la COMMISSION TRILATÉRALE ne signifie pas que le Japon est infiltré à  100%. L'élite japonaise est, en effet, englobée si puissamment dans un  réseau de loges secrètes nationales que les multinationales  anglo-américaines n'ont pu avoir, jusqu'à présent, qu'une moindre  influence sur la puissance économique du Japon. C'est ce que montre très  bien le livre écrit par AKIO MORITA, chef de SONY et par SHINTARO  ISHIHARA, politicien en vue au Japon, intitulé "Le Japon qui sait dire  non". Le livre qui était, au départ, seulement destiné aux Japonais,  fait l'effet d'une bombe ! Il traite les États-Unis d'ami indésirable,  de pays raciste et laisse à penser que le Japon pense lui rendre la  monnaie de la pièce suite aux conditions de capitulation qui lui furent  imposées. Les auteurs décrivent les États-Unis vus du côté des Japonais  comme un colosse vacillant pourri du dedans, sur le point de succomber —  après un coup mortel — sous sa bannière étoilée flottant tel un  linceul. Selon eux, le Japon a obligé le système économique américain à  capituler de facto. Ces mêmes auteurs disent sans détour ce que  jusqu'alors les hommes d'affaires influents au Japon n'osaient exprimer  que dans des cercles privés et en catimini : "L'armée américaine a  bombardé pendant la Deuxième Guerre des cibles civiles en Allemagne mais  ce n'est que sur le Japon, qui était, pourtant, prêt à capituler,  qu'elle a lancé des bombes atomiques pour faire des tests. Ça, c'est une  preuve abominable de racisme." Ceci renforce les dires de quelques  personnalités éminentes au Japon qui ne cachent pas que les Japonais  visent la destruction de l'économie américaine pour venger Hiroshima et  Nagasaki. On les entend dire, par exemple : "Le Japon est en guerre avec  les États-Unis. Nous vaincrons économiquement l'Amérique et nous  userons de représailles pour nous venger des humiliations que nous ont  imposées les États-Unis dans le Pacifique." (CODE Nr.2, février 1990)
D'après un article du "Wall  Street Journal" de septembre 1991, presque un tiers des cent plus  grandes banques mondiales et quatre sociétés d'assurance parmi les cinq  premières du monde sont japonais. Une grande partie des propriétés  foncières de Nouvelle-Zélande, la majeure partie des hôtels et des  konzerns de la côte Est australienne et une grande partie des forêts  canadiennes appartiennent à des Japonais. L'avenir nous dira dans quelle  mesure les Japonais sont vraiment contrôlés et manipulés par les  Illuminati. L' "agence des États-Unis pour le développement  international" (USAID) est encore une autre organisation qui n'est pas  ce qu'on croit. D'après le livre "Strategie der Spannung" (La stratégie  de la tension) d'Anton Chaitkin et Jessica Primack, elle sert à  camoufler les opérations accomplis par les espions de la CIA et c'est à  elle aussi qu'incombe la principale responsabilité des interventions  anglo-américaines dans toutes les parties du monde. Il existe, par  exemple, un programme USAID d'un montant de 300 millions de dollars pour  contrôler les naissances dans les pays du tiers monde dont la mission  principale est de stériliser les populations de couleur.
L. RON UUBBARD, décédé,  fondateur de la scientologie, est une autre personnalité au passé  intéressant. Puisque nous nous intéressons dans ce livre aux dessous de  l'histoire, regardons de plus près ce qui se rapporte à la vie de Ron  Hubbard, dont l'organisation a été minutieusement et publiquement  décortiquée. Dans les premiers jours du MK ULTRA, du programme de  contrôle de la conscience des États-Unis, l'ex-officier de marine  Hubbard, au courant de ce que la marine faisait en secret, se mit alors à  étudier les mécanismes de la pensée humaine. Après avoir refusé de se  joindre aux recherches gouvernementales ainsi qu'aux groupes de  psychiatres, il publia le livre "LA DIANÉTIQUE — la science moderne de  la santé mentale". Le livre proclamait que la liberté et l'intégrité de  l'esprit étaient le droit de naissance de l'humanité. Le livre fut un  best-seller et les techniques d' "auditing" d'Hubbard eurent de très  bons résultats. Dans le but d'asservir les hommes, le gouvernement se  servit, en secret, de quelques-unes des méthodes qu'Hubbard avait  proposées dans la scientologie pour que les êtres humains accèdent à la  liberté de l'esprit. D'autres techniques décrites par Hubbard étaient,  en fait, un antidote aux méthodes MK ULTRA du contrôle de la conscience.  Le gouvernement américain entama alors contre Hubbard une campagne de  diffamation diabolique qui fut menée par la section de contrôle de la  pensée de la CIA. Cet auteur, à l'époque encore jeune, avait révélé,  vraisemblablement involontairement, la clé du secret le mieux gardé de  la guerre froide. Son bureau fut fracturé et on lui vola un protocole  qui décrivait les mécanismes de contrôle de la pensée désignés  aujourd'hui sous le nom de "PSYCHOTRONICS". Hubbard et ses collègues  furent agressés physiquement et échappèrent de peu à une tentative  d'enlèvement. Hubbard, cependant, n'est pas un agneau innocent, comme  nous le montre bien l'influence énorme exercée par l'Église de  scientologie. Il était, certainement, au courant de maints faits  essentiels se rapportant à des événements mondiaux, il ne se contenta  pas de passer ses "années de magicien" dans l' "Église Thelema"  d'Aleister Crowley en Californie mais se débrouilla pour se hisser  jusqu'au 33ième degré du Rite Écossais franc-maçonnique (peut-étre même  jusqu'à celui des Illuminati). Sa formation l'ayant familiarisé aux  principes du pouvoir, il utilisa des techniques — dont le gouvernement  se servait à la même période contre le peuple — pour intégrer aussi ses  scientologues dans un système hiérarchique. (141)
Une autre personne à l'influence  internationale est l'ex-président français FRANÇOIS MITTERRAND, grand  maître du "Grand Orient", loge franc-maçonnique la plus importante en  France, et membre du "Comité des 300". Signalons que chez les  francs-maçons et aussi chez les chrétiens, 90% des membres sont utilisés  par l'élite et qu'ils n'ont, pour la majorité, pas la moindre idée de  ce qui se trame au sommet. C'est exactement pareil pour le "Lions Club",  le "Rotary", etc... (L'éminent franc-maçon Paul Harris fonda le Rotary  International sur l'ordre de la loge B'nai B'rith en 1905 à Chicago ;  cette même loge créa le Lions International, également à Chicago, en  1917. (CODE 1/88, p. 47) Ces organisations sont très actives au niveau  social aux bas degrés de la hiérarchie, et leurs programmes sont  excellents. En général, les francs-maçons ou les chrétiens s'efforcent,  par leur présence, de contribuer de façon constructive à la vie  quotidienne. La plupart, au moins, ont à coeur de donner cette image  (nous en avons un exemple frappant chez les chrétiens en Irlande qui  s'entre-tuent). Une longue étude de l'homme est souvent nécessaire pour  comprendre ce qui se passe en son for intérieur. [On les reconnaîtra à  leurs fruits.] On peut dire, en principe, que plus on monte dans la  "pyramide", (dans la hiérarchie) où les vrais secrets sont gardés, plus  l'état d'esprit s'inverse si on le compare à celui des premiers degrés.  Jacob Schiff fut, par exemple, un membre élevé de la "B'nai B'rith" et  fut aussi celui qui manigançait dans l'ombre la révolution bolchevique.  Franklin D. Roosevelt, grand maître des francs-maçons, a engagé beaucoup  de réformes sociales pendant sa présidence mais il fut aussi celui qui a  plongé les États-Unis dans la guerre et lancé l'attaque sur Pearl  Harbour. Ce fut également lui qui complota lors des "trois grandes  rencontres" avec Churchill et Staline pour vendre l'Europe de l'Est aux  communistes. Comme on le voit, il s'avère qu'il est d'une grande  efficacité de conserver un secret et que cette méthode est souvent  employée.
[RT = la famille Rothschild, le tribunal Rothschil]
Emblème des États-Unis d'Amérique
Le sigle utilisé de Washington conformément au projet de Charles Thompson.
L'oiseau avec le long col représente un phénix.
Le phénix a été officieusement  le premier oiseau d'écusson des États-Unis, toutefois il est remplacé en  1841 par l'aigle pécheur le Pyrague à tête blanche.
Aperçu des principales organisations connues des Illuminati
JOHN TODD, ex-membre du "conseil  des 13", décrit ainsi la pyramide : "Le sceau fut créé sur l'ordre de  la famille Rothschild à Londres (d'après le livre d'Ayn Raud "Atlas  shrugged", il s'agissait de Philippe Rothschild, note de l'auteur).  C'est une organisation luciférienne avec, à sa tête, les Rothschild. On y  trouve des francs-maçons, des communistes et des membres d'autres  associations. Cette organisation est très répandue. On y traite de  politique et de finances et on y projette l'instauration d'un  gouvernement mondial unifié. Cette organisation fera tout ce qui est en  son pouvoir pour instituer ce gouvernement mondial même si cela exige  une troisième guerre mondiale. Cette organisation s'appelle les  "Illuminati", mot qui signifie les "porteurs de lumière". (Helmut  Finkenstädt : "Eine Generation im Banne Satans" (Une génération  ensorcelée par Satan)) Todd ainsi que Coralf ("Maitreya, der kommende  Weltlehrer" ("Maitreya, le futur maître du monde")) décrivent les  différents degrés comme suit :
L'oeil qui voit tout  C'est l'oeil de Lucifer. C'est l'esprit qui guide, l'instance dirigeante intérieure.
RT  C'est  la famille Rothschild, le tribunal Rothschild. Les Illuminati les  considèrent comme des dieux incarnés et leur parole fait office de loi.  (On dit qu'ils seraient en contact direct avec Lucifer. Qui sait ?)
Le conseil des 13  C'est le grand conseil des druides — les 13 grands druides qui forment la prêtrise privée des Rothschild.
Le conseil des 33  Y  sont représentés les francs-maçons des rangs les plus élevés du monde  de la politique, de l'économie et de l'Église. Ils sont l'élite du  "Comité des 300". (D'après Todd et Coralf)
Le comité des 300  Créé  en 1729 par la BEIMC (British East India Merchant Company) pour  s'occuper des affaires bancaires et commerciales internationales et  soutenir le trafic d'opium, le Comité des 300 est dirigé par la Couronne  britannique. Il représente le système bancaire mondial dans sa  globalité et compte en plus, les représentants les plus importants des  nations occidentales. Toutes les banques sont reliées aux Rothschild par  le "Comité des 300". (142)
Le Dr John Coleman publie dans  son livre "Conspirators Hierarchy : The Committee of 300" (La hiérarchie  des conspirateurs : Le Comité des 300) les noms de 290 organisations,  125 banques ainsi que ceux de 341 membres actuels ou anciens du Comité  des 300.
Je vous communique quelques noms :
Arthur Balfour   
Willy Brandt   
Edward Bulwer-Lytton  auteur de "The Coming Race"
McGeorge Bundy   
George Bush   
Lord Carrington   
Huston Stewart Chamberlain   
Maison d'Orange Constanti   
Famille Delano  Frederic Delano fut membre du comité directeur de la "Federal Reserve".
Sir Francis Drake   
Famille Du Pont   
John M. Forbes   
Frédéric IX  foi du Danemark
Lloyd George   
Grey, Sir Edward   
Sir Douglas Haig   
Averill Harriman   
Maison des Hohenzollern   
Colonel Mandel House   
Lord Incheape   
Henry Kissinger   
Sir Harold Lever   
Walter Lippmarm   
Bruce Lockheart   
Sir John Loudon   
Guiseppe Mazzini   
Andrew Mellon   
Lord Alfred Milner   
François Mitterand   
J.P. Morgan   
Montague Norman   
Sir Harry Oppenheimer   
Olof Palme   
Princesse Beatrix   
Prince Rainier   
Reine Élisabeth II   
Reine Juliana   
Joseph (Ratzinger ?) Retinger  [le pape actuel, Benoît XVI]
Cecil Rhodes   
David Rockefeller   
Lord Rothmere   
Baron Edmond de Rothschild   
George Shultz   
Cardinal Spellman   
Baron Hans Heinrich Thyssen-Bornemisza   
Famille Vanderbilt   
Baron August von Finck   
Otto von Habsburg   
Max von Thum und Taxis   
S.G. Warburg   
Comte Warren   
0wen Young   
Les autres loges des Illuminés de Bavière ont déjà été citées dans le livre.
Les Organisations les plus influentes agissant dans l'ombre
Le Council on Foreign Relations (CFR)
Fondé par la "Round Table" en  1921, on lui donne aussi le nom d' "establisment", de "gouvernement  invisible" ou de "ministère Rockefeller des Affaires étrangères". Cette  organisation à moitié secrète, dont les membres sont exclusivement des  citoyens des États-Unis, compte parmi les plus influentes de ce pays. Le  CFR exerce, de nos jours, un contrôle étroit sur les nations  occidentales, que ce soit de façon directe, parce qu'il est en relation  avec des organisations du même genre, ou que ce soit I'intermédiaire  d'institutions, telles que la "Banque mondiale" qu'il préside. Depuis sa  création, tous les présidents des États-Unis, sauf Ronald Reagan, y  étaient déjà membres avant leur élection. En revanche, le vice-président  de Reagan, George Bush, était membre du CFR. Il en fut même le  directeur en 1977. Le CFR est contrôlé par le syndicat Rockefeller et  sert à concrétiser son but : la création d'un "Gouvernement mondial  unique". (143) Le cercle le plus intime du CFR est l'ordre de "Skull  & Bones".
La Jason Society, noyau de la Skull & Bones
Ses propres membres l'appellent  "The Order" (L'ordre). Beaucoup le connaissent depuis plus de 150 ans  comme groupe local 322 d'une société secrète allemande. D'autres lui  donnent le nom de "Brotherhood of Death" (Fraternité de la mort).  L'ordre secret de "Skull & Bones" (traduction mot à mot : "crâne et  os") fut introduit par William Huntington Russel et Alphonso Taft à  l'Université de Yale en 1833. Russel, après avoir été en Allemagne où il  fit des études en 1832, l'introduisit ensuite à Yale. En 1856, il fut  incorporé au "Russel Trust". Cet ordre forme, entre autres, le "noyau"  (l'élite) du CFR. Le noyau de Skull & Bones, à son tour, s'appelle  la "Jason Society".
Les familles suivantes dominent cet ordre depuis 1833 :
Rockefeller  Standard Oil   
Harriman  chemins de fer   
Weyerhaeuser  commerce de bois   
Sloane  commerce de détail   
Pillsbury  minotier   
Davison  J.P. Morgan   
Payne  Standard Oil
Issus de Massacbusetts :
Gilman  1638, Hingham   
Wadsworth  1632, Newtown   
Taft  1679, Braintree   
Stimson  1635,Watertown   
Perkins  1631, Boston   
Whitney  1635, Watertown   
Phelbs  1630, Dorchester   
Bundy  1635, Boston   
Lord  1635, Cambridge
(Extrait de "Skull & Bones" et "The Two Faces of George Bush" (Les deux faces de George Bush), d'Anthony C. Sutton)
Dans ce livre, nous avons  suffisamment mentionné que cet ordre est relié à beaucoup d'autres  organisations. Il est aussi en rapport avec le groupe de Lord Milner  "The Round Table" duquel est issu le CFR.
La Round Table calquée sur la Société des Jésuites
La "Round Table" vit le jour le 5  février 1981 grâce à Cecil Rhodes en Angleterre. Ses membres fondateurs  furent, entre autres, Stead, Lord Esher, Lord Alfred Milner, Lord  Rothschild, Lord Arthur Balfour. La structure de ce groupe était — comme  celle des SS de Hitler — calquée sur la Société de Jésus, l'ordre des  Jésuites. Son but principal était d'élargir la domination britannique et  l'utilisation de la langue anglaise au monde entier. D'après mes  sources, Rhodes visait à un gouvernement mondial pour le bien des hommes  mais la "Round Table" fut, plus tard, infiltrée par des agents des  Illuminati. Ce groupe est relié aux sionistes par la famille Rothschild  ainsi qu'aux familles américaines Schiff, Warburg, Guggenheim et  Carnegie. Lord Milner en prit, plus tard, la direction. En sont issus le  "Royal Institute of International Affairs" (RIIA) et le CFR. Milner est  aussi un des membres principaux du "Comité des 300". L' "Instifute for  Advanced Study" (IAS) pour lequel travaillèrent Robert Oppenheimer et  Albert Einstein est issu de la "Round Table". Ceux-ci construisirent,  plus tard, pour le IAS la première bombe atomique. (144) L'organisation  annexe allemande du RIIA et du CFR est la DGAP, la "Deutsche  Gesellschaft für Auswärtige Politik" (Société allemande de politique  extérieure). Elle fut fondée le 29 mars 1955 et se proclame  indépendante, au-dessus des partis. Ses membres débattent des problèmes  politiques et économiques internationaux, et de ceux de l'Europe en  particulier. L'influence que la DGAP exercée en Allemagne n'est  probablement pas aussi grande que celle du CFR aux États-Unis mais les  noms des principaux membres parlent d'eux-mêmes :
Liste en 1981 :
Hans Apel   
Otto Wolff von Amerongen   
Martin Bangemann Kurt  président Birrenbach   
Klaus von Dohnanyi   
Hans-Dietrich Genscher   
Karl Kaiser   
Hans L. Merkle   
Philip Rosenthal   
Helmut Schmidt   
Gerhard Stoltenberg   
Wolfgang Wagner  éditeur de l' "Europa-Archiv"
Richard von Weizsäcker   
Hans-Jürgen Wischnewski   
et autres...   
Liste de 1992 :
Otto Wolff von Amerongen   
Klaus von Dohnanyi   
Björn Engholm   
Karl Kaiser   
Otto Graf Lambsdorff   
Hans L. Merkle   
Volker Rühe   
Helmut Schmidt   
Rita Süssmuth   
Manfred Stolpe   
Wolfgang Wagner   
Theo Waigel   
et autres...   
(Noms extraits de la liste de  1981 et 1992 du DGAP e.V., Bonn. Vous trouverez la liste des membres au  complet dans "The Rockefeller File" de Gary Allen.)
Il est, certes, intéressant de  constater que les représentants des différents partis qui délibèrent  tous en secret, assis autour d'une table, se lancent le lendemain  publiquement les pires injures à la tête. Tout commentaire est superflu !
Les Bilderberger
Cette Organisation secrète fut  créée en mai 1954 à l'hôtel de Bilderberg à Oosterbeek, en Hollande, par  le prince Bernard des Pays-Bas. Elle est composée de 120 magnats de la  haute finance d'Europe de l'Ouest, des États-Unis et du Canada. Ses buts  principaux, formulés par le prince Bernard, sont l'institution d'un  gouvernement mondial d'ici l'an 2000 et d'une armée globale sous le  couvert de l'ONU. On l'appelle aussi le "gouvernement invisible". Un  comité consultatif composé d'une commission de direction (avec 24  Européens et 15 Américains) décide des personnes à inviter à leurs  rencontres. Johannes Rothkranz écrit que seuls sont invités ceux qui ont  fait preuve d'une indéfectible loyauté dans les intrigues menées par  les Rockefeller et les Rothschild. Toutes les personnes présentes ne  sont pas des "initiés", elles peuvent être aussi seulement des  représentants d'un groupement d'intérêts ou d'autres personnes. (145)
Le Groupe de Bilderberg est sans  doute le plus puissant des réseaux d'influence. Il rassemble des  personnalités de tous les pays, leaders de la politique, de l'économie,  de la finance, des médias, des responsables de l'armée ou des services  secrets, ainsi que quelques scientifiques et universitaires. Très  structuré, le Groupe de Bilderberg est organisé en 3 cercles successifs.  Le "cercle extérieur" est assez large et comprend 80% des participants  aux réunions. Les membres de ce cercle ne connaissent qu'une partie des  stratégies et des buts réels de l'organisation. Le deuxième cercle,  beaucoup plus fermé, est le Steering Committee (Comité de Direction). Il  est constitué d'environ 35 membres, exclusivement européens et  américains. Ils connaissent à 90% les objectifs et stratégies du Groupe.  Les membres américains sont également membres du CFR. Le cercle le plus  central est le Bilderberg Advisory Committee (Comité consultatif). Il  comprend une dizaine de membres, les seuls à connaître intégralement les  stratégies et les buts réels de l'organisation.
Pour ceux qui enquêtent sur les  réseaux de pouvoir, le Groupe de Bilderberg est un véritable  gouvernement mondial occulte. Au cours de ses réunions, des décisions  stratégiques essentielles y sont prises, hors des institutions  démocratiques où ces débats devraient normalement avoir lieu. Les  orientations stratégiques décidées par le Groupe de Bilderberg peuvent  concerner le début d'une guerre, l'initiation d'une crise économique ou  au contraire d'une phase de croissance, les fluctuations monétaires ou  boursières majeures, les alternances politiques dans les "démocraties",  les politiques sociales, ou encore la gestion démographique de la  planète. Ces orientations conditionnent ensuite les décisions des  institutions subalternes comme le G8 ou les gouvernements des états.
Les membres du Groupe de  Bilderberg s'appellent eux-mêmes les "Bilderbergers". Ils sont choisis  uniquement par cooptation. Le Groupe de Bilderberg se réunit une fois  par an pendant environ 4 jours. Les réunions ont lieu chaque année au  printemps dans une ville différente, mais toujours dans des châteaux ou  des hôtels luxueux, entourés d'un parc ou situés en pleine nature, et si  possible équipés d'un golf. Les réunions sont protégées par plusieurs  centaines de policiers, militaires, et membres des services spéciaux du  pays d'accueil. Si la réunion a lieu dans un hôtel, celui-ci est vidé de  ses occupants une semaine avant l'arrivée des Bilderbergers. Les  invités sont déposés par un ballet d'hélicoptères noirs et par des  limousines aux vitres fumées avec la lettre "B" sur le parre-brise.
Les discussions se tiennent à  huis-clos. Quelques journalistes dévoués à la "pensée unique" peuvent  être parfois présent, mais rien ne doit filtrer des discussions. Il est  interdit de prendre des notes ou de faire des déclarations à la presse.  Mais quelques photographes arrivent parfois à prendre des photos à  l'extérieur, au moment de l'arrivée des invités. La réunion 2004 du  Groupe de Bilderberg s'est déroulée du 3 au 6 juin (juste avant la  réunion du G8) à Stresa dans le nord de l'Italie près de la frontière  suisse, dans un palace sur les rives du Lac Majeur, le "Grand Hôtel des  Îles Borromées". En 2003, la réunion avait lieu en France du 15 au 18  Mai, au château de Versailles qui a été fermé au public pendant une  semaine.
Quelques-uns des représentants INTERNATIONAUX les plus importants sont ou ont été :
Giovanni Agnelli  patron de Fiat
Zbigniew Brzezinski  président de la Commission trilatérale et agent Rockefeller le plus important.
George Bush  ex-chef de la CIA, ex-chef du CFR, ex-président des États-Unis, membre du Comité des 300.
Lord (GB) Carrington  membe du Comité des 300, des Kissinger Associates, ex-président de l'OTAN.
Allen Dulles  ex-chef de la CIA
Bill Clinton  président des États-Unis, membre du CFR et de la Commission trilatérale.
Henry II Ford   
Felipe Gonzales  secrétaire général du parti socialiste espagnol et, plus tard, Premier ministre.
Peter (A) Jankowitsch   
David Kennedy   
Henry Kisssinger  aussi membre de la loge P2 italienne
Joseph Luns  ex-secrétaire général de l'OTAN
Lord Roll of Ipsden  ex-président du S.O. Warburg Group Plc.
Robert McNamara  Banque mondiale
Wilfried (B) Martens   
Olof Palme  était aussi membre du Comité des 300
Walter R. Reuther   
David Rockefeller   
John D. Rockefeller   
Nelson Rockefeller   
Baron Edmund de Rothschild   
Jan Tindemanns  ex-premier ministre de la Belgique
Eric D. Warburg   
Siegmund Warburg   
Manfred OTAN Wörner   
MEMBRES ALLEMANDS :
(Tous ont été présents au moins une fois)
Abbs Hermann  Deutsche Bank
Egon Bahr   
Rainer Barzel   
Kurt Becker  Kölner Stadtanzeiger
Berthold Beitz  konzern de Krupp
Berg, Fritz  président du BDI (fédération des syndicats patronaux de l'industrie).
Christoph Bertram   
Kurt Biedenkopf   
Kurt Birrenbach  DGAP
Hans C. Boden   
Willy Brandt   
Max Brauer   
Birgit Breuel  Treuhand
Carl Carstens   
Ralf Dahrendorf   
Erich Dethleffsen   
Werner H. Dieter  Mannesmann AG
Klaus von Dohnanyi   
Felix von Eckard   
Ottmar Emminger  Bundesbank (banque fédérale)
Björn Engholm   
Ludwig Erhard   
Fritz Erler   
Ernst Falkenheim   
Gerhard Geyer   
Herbert Gross   
Walter Hallstein   
Alfred Herrhausen  Deutsche Bank
Herwarth von Bittenfeld   
Hans Heinrich   
Rolf Heyn   
Karl Kaiser   
Dieter Kastrup   
Walter Leisler Kiep   
Kurt-Georg Keisinger   
Helmut Kohl   
Hilmar Kopper  Deutsche Bank
Franz Krapf  diplomate
Knut von Kühlmann-Stumm   
Otto Graf Lambsdorff   
Paul Leverkühn   
Richard Löwenthal   
Ernst Majonica   
Klaus Mehnert   
Alexander Menne   
Hans Merkel   
Alois Mertes  ministre des Affaires étrangères
Karl Mommer   
Rudolf Müller   
Alfred Müller-Armack   
Karl Otto Pöhl  ex-président de la Bundesbank
Jürgen Ponto  Dresdner Bank
Wolfgang Reitzle  BMW AG
Ludwig Rosenberg   
Volker Rühe   
Friedrich Ruge   
Heinz Ruhnau  Lufthansa
Walter Scheel   
Karl Schiller   
Carlo Schmidt   
Helmut Schmidt   
Ernst George Schneider   
Gerhard Schrôder   
Hans-Günther Sohl  Thyssen
Theo Sommer  Die Zeit
Axel Springer  Bild
Dolf Sternberger  professeur en Politologie
Gerhard Stiltenberg   
Franz Joseph Strauss   
Erwin Teufel   
Heintich Troeger  Bundesbank
Ludger Westrick   
Norbert Wieczorek   
Hans-Jürgen Wischnewski   
Otto Wolff von Amerongen  gros industriel
et beaucoup d'autres...   
NOTE :  Ces  noms ont été rassemblés par différents auteurs, dont la plupart sont  des étrangers. Je les ai regroupés mais n'ai pas fait de plus amples  recherches. (noms tirés de "The Spotlight" : Bilderberger Report,  septembre 1991 ; F. William Engdahl : "Mit der Ölwaffe zur Weltmacht" p.  366 ; Politishes Lexikon von C.O.D.E. Nr 1/1 et C.O.D.E. Nr 9/1992 ;  Stan Deyo : "The Cosmic Conspiracy" ; — West Australian Texas Trading,  P.O. BOX 71 — Kalamunda, Western Australia 6076 ; "Diagnosen" Nr. 8,  août 1985)
La Commission Trilatérale
Cette organisation secrète fut  créée en juin 1972 par David Rockefeller et Zbigniew Brzezinski,  notamment parce que les organisations bien établies, telles que les  Nations Unies, n'allaient pas assez vite pour mettre en place le  "Gouvemement mondial unique". Les "Big Boys" voulaient que "ça bouge".  Cette organisation élitaire a pour but de réunir dans un seul pool les  puissances de pointe des géants de l'industrie et de l'économie,  c'est-à-dire des nations trilatérales — États-Unis, Japon et Europe de  l'Ouest — et elle vise à créer, une fois pour toutes, le "Nouvel Ordre  Mondial". Cette organisation permet à l'élite venant de diverses  branches de la franc-maçonnerie de se rencontrer à une échelle mondiale  pour collaborer à un travail secret ; elle doit aussi élargir  l'influence politique des "Bilderberger". La plupart des membres  européens avaient des contacts avec les Rockefeller pendant des années.  Cette organisation se compose d'environ 200 membres qui, contrairement  aux Bilderberger, sont permanents. La "Commission trilatérale" contrôle  avec les membres du CFR toute l'économie des États-Unis, la politique,  l'appareil militaire, le pétrole, l'énergie et le lobby des médias. Ses  membres sont, entre autres, des patrons de konzerns, des banquiers, des  agents immobiliers, des économistes, des politologues, des avocats, des  éditeurs, des dirigeants syndicalistes, des présidents de fondations et  des éditorialistes. (146)
LES MEMBRES LES PLUS IMPORTANTS SONT :
Zbigniew Brzezinski  conseiller à la sûreté auprès du président des États-Unis
George Bush  ex-président des États-Unis, ex-chef de la CIA, ex-chef du CFR
Bill Clinton  membre des Bilderberger, du CFR, président des États-Unis
Henry Kissinger  ex-ministre des Affaires étrangères des États-Unis
Robert McNamara  Banque mondiale
David Rockefeller  Chase Manhattan Bank, EXXON
John D. Rockefeller   
Edmund de Rothschild  Royal Dutch, Shell
LES MEMBRES ALLEMANDS LES PLUS IMPORTANTS SONT :
Otto Wolff von Amerongen  président de la Otto Wolff AG
Kurt Biedenkopf  membre du Bundestag
Kurt Birrenbach  président de la DGAP, membre des Bilderberger
Ehmke Horst  membre du Bundestag
Hartwig  président de l'Union fédérale du commerce en gros et du commerce extérieure
Diether Hofmann  auparavant Neue Heimat, Hamburg
Ludwig Huber  Bayerische Landesbank et Girozentrale München
Horst Janott  directeur de la Münchner Rückversicherung
Karl Kaiser  dirigeant de l'institut de recherche de la DGAP
Norbert Kloten  président de la Landeszentralbank
Erwin Kristoffersen  dirigeant du département intérieur du DGB (Confédération des syndicats allemands)
Otto Graf Lambsdorff  ex-ministre des affaires économiques
Walter Leisler-Kiep  ex-trésorier de la CDU (Union chrétienne démocrate)
Hans Maull  rédacteur au Bayerischer Rundfunk (radio bavaroise)
Alwin Münchmeyer  père de Birgit Breuel
Fiedrich Neumann  président du NRW (syndicat patronal)
Porzner  membre du Bundestag, ex-secrétaire d'État
Klaus Richier  directeurs des établissements d'optique G. Rodenstock
Volker Rühe  membre du Bundestag, ministre de la défense
Hans Günther Sohl  président du conseil d'administration de la Thyssen AG
Theo Sommer  rédacteur en chef du journal "Die Zeit"
Helmut Schmidt  ex-chancelier
Ronaldo Schmitz  membre du conseil d'administration de la BASF AG
Gerhard Schöder  ex-membre du Bundestag
Heinz-0skar Vetter  ex-président du DGB (Confédération des syndicats allemands)
Joachim Zahn  ex-président du conseil d'administration de la Daimler Benz AG
Les membres suivants peuvent officiellement être absents tant qu'ils occupent un poste dans le gouvernement :
Karl-Heinz Narjes  vice-président de la Commission de la CE
Gerhard Stoltenberg  ministre des finances
(Noms extraits des "Vertrauliche Mitteilungen" no 2628, feuille 2, du 3 juillet 1986.)
Le Club de Rome
Le "Club de Rome", que je n'ai  pas mentionné jusqu'ici, regroupe d'après Ovin Demaris ("Dirty  Business") des membres de l'establishment international de 25 pays (soit  une cinquantaine de personnes). Il fut créé par le clan Rockefeller  (dans leur propriété privée à Bellago, en Italie). Ce sont eux qui le  financent aujourd'hui encore. Son but principal est aussi de créer un  gouvernement mondial en s'appuyant sur l'élite. Il a, de plus, élaboré  une religion unique mondiale et a fait croire dans les médias à une  "crise de l'énergie" et à un surpeuplement de notre planète. D'après  William Cooper, le "Club de Rome" aurait développé le virus du SIDA  (avec l'antidote correspondant, bien sûr) et l'aurait répandu dans les  populations pour introduire le grand programme d'assainissement des  races en vue du gouvernement mondial de l'élite (dans le livre de  William Cooper "Behold a Pale Horse" vous trouverez des faits et noms  précis se rapportant au SIDA. (147)
Ce groupe a été organisé en 1968  par le "Morgenthau Group" dans le seul but d'accélérer les plans afin  d'aboutir à un Nouvel Ordre Mondial pour les années 2000. Le Club de  Rome développa un plan afin de diviser le monde en 10 régions ou  royaumes. En 1976, la "United States Association of the Club of Rome"  (USACOR) a été créée dans le seul but d'en finir graduellement avec  l'économie des États-Unis d'Amérique. La "Technotronic Era" (le nom du  plan). Le Club de Rome demanda à Zbigniew Brzezinski, qui était le  National Security Advisor de Jimmy Carter, (qui aussi avec David  Rockefeller a formé la Commission Trilatérale en 1973), d'écrire "The  Technotronic Era" (L'ère Technotronique). C'est un plan poste-industriel  de zéro croissance créé en parti pour détruire l'industrie des  États-Unis dans le but de les préparer pour un Nouvel Ordre Mondial. Les  représentants de l'OTAN au Club de Rome qui furent chargés d'actions  urgentes anti-NASA ont été Walter J. Levy, Harland Cleveland, Claiborne  K. Pell, Joseph Slater, George McGhee, William Watts, Robert  Strausz-Hupe (Ambassadeur Américain à l'OTAN) et Donald Lesh. En mai  1967 un rendez-vous fut organisé par le "Comité Scientifique et  Technologique du North Atlantic Assembly" et la "Foreign Policy Research  Institute". Elle a été appelé "Conférence sur l'Imperfection et  Collaboration Transatlantique" et eut lieu au palace privé de la Reine  Élisabeth II à Deauville en France.
Les intentions basiques de cette  conférence à Deauville furent d'en finir avec les progrès industriels  et technologiques des États-Unis d'Amérique. En dehors de la conférence  sortit deux livres, dont un dans lequel est mentionné l'ére  Technotronique de Brzezinski. L'autre fut écrit pas un directeur de  conférence, Aurellio Peccei, titré "The Chasm Ahead". Peccei a largement  été d'accord avec Brzezinski, mais il ajouta que le monde serait dans  le chaos si dans un futur monde nous ne serions pas contrôlé par un seul  gouvernement mondial. Le rôle de Kissinger qui était de déstabiliser  les États-Unis avec l'aide de trois guerres, celle du Moyen-Orient, de  la Corée et du Vietnam, est très connu, car son rôle dans la guerre du  Golfe, dans laquelle les États-Unis ont agi comme des mercenaires pour  le comité des 300 en ramenant le Koweït sous son contrôle et au même  moment de faire un exemple de l'Irak comme ça n'importe quelle autre  petite nation ne sera pas tentée de chercher sur comment faire sa propre  destinée. Le Club de Rome, agissant sous le Comité des 300 a ordonné  l'élimination du Général Muhammad Zia-ul-Haq, et n'eut aucun remords à  sacrifier les vies d'hommes au service des États-Unis à bord du vol, y  comprit le chef de l'U.S Army Defense Intelligence Agency le Brigadier  Général Herber Wassom. Le Général Zia-ul-Haq a été prévenu par les  Services Secrets Turcs de ne pas voyager en avion, comme il était visé  par un bombardement mid-air. Ayant cela à l'esprit, le Général  Zia-ul-Haq a prit l'équipe des États-Unis avec lui en tant qu'  "assurance vie" comme il l'a commenté à l'intérieur de son cercle de  conseillers.
Le Club de Rome et ses  financiers sous le titre du "German Marshall Fund" furent des corps  conspirateurs trop organisés opérants sous la couverture de  l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) et la majorité des  représentants du Club de Rome furent retirés de l'OTAN. Le Club de Rome a  formulé tout ce que l'OTAN a affirmé être ses règles, avec l'aide des  activités du membre du comité des 300 Lord Carrington, et fut capable de  séparer l'OTAN en deux factions, un groupe de pouvoir politique (l'aile  gauche) et son ancêtre d'alliance militaire. Le Club de Rome est  toujours l'arme de politique étrangère la plus importante du comité des  300, et l'autre étant le groupe Bilderberg. Le Club a été formé en 1968  par un membre hard-core du group Morgenthau sur la base d'un coup de  téléphone de la part de Aurellio Peccei pour une accélération nouvelle  et urgente du plan de créer un seul Gouvernement Mondial maintenant  appelé le Nouvel Ordre Mondial. L'appel téléphonique de Peccei fut  répondu par les "planificateurs du futurs", les plus subversifs  provenant des États-Unis d'Amérique, de la France, de la Suède, de la  Grande Bretagne, de la Suisse, et du Japon auxquelles on pourrait se  rallier.
Durant la période 1968-1972, le  Club de Rome devint une entité cohésive de scientifiques de nouvelles  sciences, d'inter mondialistes, de planificateurs du futurs et  d'internationalistes de toutes les couleurs. Comme un délégué l'a dit,  "We became Joseph's Coat of Many Colors". Le livre de Peccei "La Qualité  Humaine" forme la base de la doctrine adoptée par l'aile politique de  l'OTAN. Peccei dirigea le "Atlantic Institute's Economic Council"  pendant 3 années alors qu'il était un chef officier exécutif de Giovanni  Agnellis la Compagnie Fiat Motor. Agnelli, un membre d'une ancienne  Famille de la Noblesse Noire Italienne du même nom, est un des membres  les plus important du comité des 300. Il joua un rôle majeur dans les  projets de développement de l'Union Soviétique.
Le Club de Rome est une  organisation conspiratrice, un mariage entre les financiers  Anglo-Américain et les familles Européennes de la Sombre Noblesse,  particulièrement la soi-disante "noblesse" de Londres, Venise et Gênes.  La clé pour un futur succès du contrôle du monde est dans leur habilité à  créer et à gérer des récessions économiques sauvages et éventuellement  des dépressions. Le comité des 300 cherche à créer des convulsions  sociales à l'échelle mondiale, suivit par des dépressions, en tant que  technique d'adoucissement pour les grosses choses à venir, sa méthode  principale est de créer des masses de gens partout dans le monde qui  deviendront leurs récipients de "bien être" pour le futur. Le comité  apparaît de baser toutes ses décisions importantes affectant l'humanité  sur la philosophie de l'aristocrate Polonais Felix Dzerzinski, qui  voyait l'humanité être un peu plus au-dessus du niveau de troupeau. En  tant qu'ami proche de Sydney Reilly du "British Intelligence Agency"  (Reilly était actuellement le contrôleur de Dzerzinski durant les années  de formation de la Révolution Bolchevik), il se confia souvent à Reilly  durant ses moments de faiblesse dû à l'alcool. Dzerzinski était, bien  sur, la bête qui a dirigé la Terreur Rouge. Il a déjà dit à Reilly,  alors que les deux étaient déjà bien sous l'emprise de l'alcool, que  "l'homme n'est d'aucune importance. Regardez ce qui arrive quand vous le  laissez s'affamer. Il commence à manger ses compagnons morts pour resté  en vie. L'homme est seulement intéressé en sa propre survie. C'est tout  ce qui compte. Tous les trucs "Spinoza" ne servent à rien."
En respect avec le tiers monde,  Harland Cleveland du Club de Rome prépara un rapport qui fut d'un très  grand cynisme. À ce moment, Cleveland était un Ambassadeur des  États-Unis à l'OTAN. Essentiellement, le papier dit qu'il serait du  ressort des nations du Tiers Monde de décider parmi eux quelles  populations devraient être exterminées. D'après une lettre écrite par  Peccei (basé sur le rapport Cleveland, Cleveland Report) : "Endommagés  par des conflits politiques de trois pays et blocs majeurs, rassemblés  grosso modo ici et là, l'ordre économique international existant est  visiblement entrain de se noyer. La nécessité du recours à la sélection  décidant qui doit être sauvé est très morose effectivement. Mais, si  lamentablement, les évènements comme cela devaient se passer, les droits  de faire de telles décisions ne peuvent être laissés à juste quelques  nations parce que cela les amèneraient à un pouvoir sinistre sur la vie  et la faim dans le monde."
Le Club de Rome est aussi relié  au projet « The Third Alternative » (la Troisième Alternative), pour  établir des bases sur la Lune et sur Mars, projet qui fut réalisé en  grand secret vers les années 1959.
Le Bohemian Club
Le Bohemian Club (ou "Bohemian  Grove") a été fondé en 1872, et compte environ 2000 membres,  exclusivement masculins. C'est une organisation de type "ésotérique" ou  "occulte", où se retrouvent des hauts dirigeants de l'économie, de la  finance et de la politique. Ces dirigeants sont supposés être des  modèles de rationalité matérialiste. Mais chaque année au mois de  juillet, ils se rendent en jet privé à Monte Rio en Californie, à 120 km  au Nord de San Francisco, dans un immense domaine de 1500 hectares de  nature sauvage, de forêts de séquoias et de lacs. Ils y discutent des  affaires du monde et s'entendent sur des stratégies politiques ou  économiques. Mais surtout, ils participent à des cérémonies païennes  d'inspiration druidique et souvent satanique, avec notamment un bûcher  nocturne devant une immense statue de hibou, et qui est en fait une  représentation de Moloch, une divinité babylonienne, et de Lilith, une  divinité sumérienne. Le hibou est aussi le logo du Bohemian Club. Moloch  était une divinité à laquelle les Babyloniens offraient des sacrifices  humains. Or selon des témoignages, des sacrifices humains ainsi que des  rites sataniques à caractère sexuel auraient lieu dans les parties  éloignées du parc. Il est probable que seule une partie des convives y  participent.
D'autres activités ont un  caractère allégorique ou théâtral. D'autres encore sont délibérément  décadentes, et peuvent être qualifiées de beuverie et d'orgie  collective. Le séjour est aussi agrémenté de promenades en canoë sur le  lac du parc. À d'autres moments, des participants importants font des  exposés qui définissent les orientations fondamentales de la politique  mondiale. En 1982, Henry Kissinger a annoncé au Bohemian Club ce  qu'allaient être la restructuration radicale de l'économie et  l'instauration d'un Nouvel Ordre Mondial, dans un discours intitulé "Le  défi des années 80". En 1991, Dick Cheney (alors ministre de la défense  de Bush père) est intervenu sur le thème des "problèmes de la Défense au  21ième siècle". Les participants sont en majorité des Américains,  souvent proches du Parti Républicain. Mais quelques Européens sont aussi  invités, comme Michel Rocard (ancien premier ministre français) Valery  Giscard d'Estaing (ancien président français, et concepteur de la  Constitution Européenne), ou John Major (ancien premier ministre  britannique).
Quelques membres du Bohemian Club :
David Rockefeller  grand banquier, et membre du Groupe de Bilderberg, du CFR, de la Commission Trilatérale, entre autres...
Nelson Rockefeller  grand  banquier, et membre du CFR, et de MAJI — ou MJ12 — entre autres... Très  lié au lobby militaro-industriel américain, c'est lui qui a placé au  pouvoir Nixon et Kissinger
Henry Kissinger  ancien  ministre des affaires étrangères de Nixon, et membre du Groupe de  Bilderberg, du CFR, de la Commission Trilatérale, et de MAJI — ou MJ12 —  entre autres...
Theodore Roosevelt  président des États-Unis de 1901 à 1909
William Howard Taft  président des États-Unis de 1909 à 1913
Calvin Coolidge  président des États-Unis de 1923 à 1929
Herbert Hoover  président des États-Unis de 1929 à 1933
Harry Truman  président des États-Unis de 1945 à 1952
Dwight Einsenhower  président des États-Unis de 1953 à 1961
John Edgar Hoover  directeur du FBI de 1924 jusqu'à sa mort en 1972
Richard Nixon  président des États-Unis de 1969 à 1974
Gerald Ford  président des États-Unis de 1974 à 1976
Ronald Reagan  président des États-Unis de 1981 à 1988
George H.W. Bush  président  des États-Unis de 1989 à 1992, père de George W. Bush, ex-directeur de  la CIA, membre des Skull and Bones, du CFR, de MAJI, entre autres
Bill Clinton  président des États-Unis de 1993 à 2000
George W. Bush  fils de George H.W. Bush. Président des États-Unis de 2001 à 2008, membre des Skull and Bones
Jeb Bush  frère de George W. Bush, et gouverneur de Floride
Dick Cheney  vice-président des États-Unis de 2001 à 2008, ministre de la défense de Bush père de 1989 à 1992
Karl Rove  principal conseiller de George W. Bush
Colin Powell  ministre de la défense de Bush père et ministre des affaires étrangères de Bush fils de 2001 à 2004
James Baker III  ministre des affaires étrangères de Bush père
Caspar Weinberger  ministre de la défense de Reagan, de 1981 à 1987
William Casey  directeur de la CIA sous Reagan, de 1981 à 1987
William Webster  directeur du FBI de 1978 à 1987
George Schultz  ancien ministre des affaires étrangères de Reagan, ancien ministre de la Défense de Bush père, membre du CFR
Arnold Schwarzenegger  gouverneur de Californie
Vernon Walters  ancien chef d'état major de l'Armée américaine
Eliott Richardson  ancien ministre de la défense américain
Paul Volker  président de la FED, la banque centrale américaine, de 1979 à 1987
Alan Greenspan  président de la FED de 1987 à 2005
Malcom Forbes  milliardaire américain
Charles Schwab  président de Charles Schwab & Co, l'une des plus grosses sociétés de gestion financière et d'investissements boursiers
Riley P.Bechtel  PDG  de Bechtel Corporation, l'un des leaders mondiaux dans le secteur du  bâtiment et travaux publics, et à qui l'état américain accorde de très  gros contrats, aux États-Unis ou à l'étranger.
David Packard  co-fondateur de la société Hewlett-Packard
Lou Gerstner  président d'IBM
Alex Mandl  vice-président d'AT&T
Henry Ford II  PDG de Ford Motor Company de 1945 to 1960 ; petit-fils de Henry Ford
Jack Welsh  PDG de General Electric
Antonin Scala  juge à la Cour Suprême américaine
Joseph Califano  ancien ministre de la Justice de Nixon et Reagan
Newt Gingrich  leader ultra-conservateur du Parti Républicain
Pete Wilson  ancien gouverneur de Californie
Helmut Schmidt  ancien chancellier allemand
Valery Giscard d'Estaing  ancien président français, membre du Groupe de Bilderberg, concepteur de la Constitution Européenne
Michel Rocard  ancien premier ministre français, membre du Groupe de Bilderberg
Tony Blair  premier ministre britannique de 1997 à 2007, également membre du Groupe de Bilderberg
John Major  premier ministre britannique de 1990 à 1997
Prince Philip Mountbatten  Duc d'Edimbourg, Époux de la reine Élisabeth II
James Wolfensohn  président de la Banque Mondiale de 1995 à 2005, ancien banquier, diplomé de Harvard
Ferdinando Salleo  dernier gouverneur de Hong-Kong
Lee Kwan Yew  premier ministre de Singapour de 1959 à 1990
Miguel de la Madrid  ancien président du Mexique
Edward Teller  père de la bombe H américaine
Walter Cronkite  journaliste vedette de la chaine CBS
Francis Ford Coppola  cinéaste
Franck Borman  astronaute
Neil Armstrong  astronaute
Alexander Shulgin  chimiste  moléculaire, inventeur de l'Extasy et de plus de 200 autres substances  "psychédéliques" (génératrices d'états modifiés de la conscience)
Charlton Heston  acteur, et président le la NRA (National Rifle Association), le lobby américain des propriétaires d'armes à feu
Clint Eastwood  acteur
Bono  chanteur du groupe U2, par ailleurs participant assidu du World Economic Forum de Davos
Les Nations Unies
Lors du congrès des  francs-maçons du 28 au 30 juin 1917 à Paris, ceux-ci décidèrent de  principes directeurs qui furent aussitôt votés : ce fut l'heure de  naissance de la Société des Nations qui vit le jour en 1919 à Genève.  Les Nations Unies naquirent de cette Société des Nations en 1945 à San  Francisco. Cette institution créée par les Illuminati représente la plus  grande loge franc-maçonnique du monde où doivent se réunir toutes les  nations. Ainsi qu'il est écrit dans l'article 4 de Machiavel qui a été  mentionné dans la préface, ses fondateurs furent les instigateurs des  guerres menées durant ces deux derniers siècles. Quelle ironie du sort  de voir, de nos jours, les hommes de toutes les nations demander aux  Nations Unies d'aplanir les problèmes, d'arbitrer les guerres et d'y  mettre fin ! Pour les peuples, l'ONU est l'ami sur lequel ils peuvent  compter pour qu'il "prenne les choses en main". Lors de sa fondation, au  moins 47 personnes parmi les délégués américains présents étaient  membres du CFR dont David Rockefeller. Il saute aux yeux que l'emblème  de l'ONU est un symbole franc-maçonnique. Je vais le décrire ici en le  comparant au sceau d'État américain franc-maçonnique. (148) Le globe des  Nations Unies et la forme circulaire du sceau de l'État américain avec  l'inscription "Annuit coeptis" (notre entreprise — en fait, notre  conjuration — est couronnée de succès) et en dessous "Novus Ordo  Seclorum" (Nouvel Ordre Mondial) montrent le but poursuivi : celui d'une  hégémonie mondiale. Les 33 parcelles du globe des Nations unies et les  33 pierres de la pyramide représentent les 33 degrés du "Rite Écossais"  des francs-maçons. Le chiffre 13 qu'on retrouve dans les 13 épis à  gauche et à droite du globe, dans les 13 marches de la pyramide et dans  les 13 lettres des deux mots "Annuit Coeptis" est le chiffre juif de la  chance. Ce chiffre 13 est le chiffre le plus important chez les  francs-maçons et a différentes significations. Jésus avait douze  disciples et fut lui-même le treizième. Dans la cabale, en numérologie  et dans la 13ième carte du tarot, "la mort", ce chiffre 13 symbolise la  transformation, l'alchimie, la renaissance, le phénix qui renaît de ses  cendres, la connaissance des mystères et donc la faculté de matérialiser  ou de dématérialiser, c'est-à-dire la faculté de créer à partir de  l'éther (ce que firent Jésus, saint Germain, Bouddha, Hermes  Trismegistos, Ramtha et beaucoup d'autres qui, par exemple,  matérialisèrent du pain à partir de rien (de l'éther ?), ce qu'on  appelle la "pierre philosophale"). Nous avons, de plus, sur le verso du  sceau américain le phénix qui symbolise le chiffre 13, la  transformation. Ses ailes ont 13 plumes, ses griffes à droite ont 13  flèches et celles de gauche serrent un rameau de 13 feuilles. Au-dessus  de lui se trouve l'inscription "E Pluribus Unum" (Du multiple à l'un)  composée de 13 lettres, surmontée de 13 étoiles présentées sous la forme  d'une étoile de David, et sur sa poitrine la bannière aux 13 rayures  qui représentent les 13 états fondateurs.
Remarque :  
Les stations d'essence Dea des  "Centrales électriques de la Rhénanie-West-phalie" (RWE) ont pour  symbole une pyramide inversée avec 13 rayures. Une autres station  d'essence aux États-Unis s'appelle "76", 7 + 6 = 13. Vous trouverez des  centaines d'exemples si vous vous donnez la peine d'examiner les  symboles des firmes, les produits, la publicité à la télévision, les  armoiries d'États, les drapeaux, etc. (149) Le plus grand konzern  franc-maçonnique en Amérique, Proeter & Gamble, contient 13 lettres  et son emblème est un des plus vieux symboles francs-maçonniques :  l'homme entouré d'un cercle avec 13 étoiles devant lui. Il est  intéressant d'apprendre ce que le directeur général de "Proeter &  Gamble" a dit à la télévision en octobre 1984, pendant le "Wisconsin  Report, The Phil TV-Show" : "J'ai conclu un pacte avec Satan. J'ai vendu  mon âme en échange d'une expansion économique. (...)" (150) (Vous  trouverez plus d'informations sur l'interprétation des symboles dans  "Die Insider" de Gary Allen ou dans la littérature franc-maçonnique.)
Ce sont les organisations les  plus importantes parmi celles que nous connaissons qui touchent à  l'économie, à la politique et au capital et qui veulent ériger un  "Gouvernement mondial unique". Un groupe qui est pourtant d'une  importance capitale et qui poursuit le même but mais que j'ai passé,  jusqu'ici, sous silence, est L'EMPIRE ROCKEFELLER. Il a été traité déjà  suffisamment dans les deux livres de Gary Allen. Cet empire est la  principale source de financement du CFR, de la Commission trilatérale et  du Club du Rome. Vous avez dû vous rendre compte que les mêmes noms  reviennent sans arrêt. Il serait intéressant d'avoir une liste des  membres du "Conseil des 33" ou du "Conseil des 13". Nous en connaissons,  cependant, le but et la façon dont ils veulent le concrétiser. C'est, à  mon avis, tout ce qu'il importe de savoir et ce devrait être suffisant.  JohnTodd poursuit dans le livre de Finkenstädt "Eine Generation im  Banne Satans" (Une génération ensorcelée par Satan) : "Si l'on demandait  à un grand sorcier quelle est la plus grande sorcière du monde, on  obtiendrait la réponse suivante : Ruth Carter Stapleton, la soeur de  l'ex-président des États-Unis Jimmy Carter. Je ne sais si Jimmy Carter  fait partie des francs-maçons. Tous les politiciens aux États-Unis en  font habituellement partie, car c'est par ce biais qu'ils ont accès aux  milieux politiques. Tous les présidents depuis Wilson, président pendant  la Première Guerre mondiale faisaient partie des Illuminati, sauf  Eisenhower qui était sous leur contrôle. Il y a environ 5000 personnes  sur cette Terre qui connaissent bien les Illuminati, et des millions de  personnes qui travaillent pour ces personnes-là. Il en est de même pour  les francs-maçons. Seuls ceux qui en sont au 33ième degré du Rite  Écossais savent. Les autres ne savent pas. Ils possèdent toutes les  grandes compagnies pétrolières du monde ainsi que toutes les maisons de  vente par correspondance aux États-Unis et 90% des grandes surfaces.  Tous les ordinateurs des caisses des États-Unis sont reliés à un  ordinateur géant à Dallas, au Texas, appelé "The beast" (La bête).  Celui-ci est, à son tour, relié à deux autres ordinateurs à Bruxelles et  à Amsterdam, portant, eux aussi, le nom de "The Beast". (151)
 
Résumé
Bien qu'il n'y ait dans ce livre  que quelques extraits des "Protocoles des Sages de Sion" ainsi que du  "Nouveau Testament de Satan", il nous est, cependant, possible d'avoir  un bon aperçu des intrigues majeures menées par ceux qui tirent les  ficelles à la surface de notre planète. Même en voulant affirmer qu'il  est impensable ou impossible que les Illuminati puissent être capables  de tels agissements pour accéder à la domination du monde, même en  voulant contester que les peuples soient trompés ou que les masses  soient dirigées et entraînées dans des guerres, il nous est, cependant,  impossible, si nous avons un minimum d'esprit critique, de fermer les  yeux sur ce qui existe : les guerres, les troubles, la faim et la  misère, la haine, l'explosion des pays, la montée du racisme dans CHAQUE  pays, la soif d'indépendance des peuples, l'impuissance des régnants,  la corruption des politiciens, la perversion et la cruauté croissantes  des humains, les dettes énormes des États, l'instabilité des monnaies,  les crises économiques, les paysans accablés de dette, le chômage,  l'insatisfaction générale, sans oublier tous ces gens frivoles et ceux  qui ne croient en rien. On peut se demander par quel hasard l'état  actuel du monde correspond précisément à celui souhaité par les  Protocoles et s'étonner de la précision effrayante avec laquelle le plan  d'Albert Pike a été mis en oeuvre ! Je voudrais rappeler, et c'est  mentionné dans tous les livres d'histoire, que cinq agents ROTHSCHILD  étaient présents lors des accords de Versailles et que ceux-ci firent  fonction de CONSEILLERS des chefs d'État anglais, français et  américains. Et puisque nous savons qu'une autre guerre devait  inévitablement résulter de ces accords, il est facile de deviner ce que  les conseillers ROTHSCHILD ont pu souffler aux oreilles des chefs  d'État. Pensez-y encore sérieusement !
Rappelons-nous une parole de  Roosevelt : "Rien de ce qui touche à la politique ne relève du hasard !  Soyons sûrs que tout ce qui se passe en politique a été bel et bien  programmé !" J'en arrive donc à la conclusion que tout ce qui s'est  passé jusqu'à ce jour en politique ou dans les finances s'est déroulé  exactement comme le souhaitaient les Illuminati. Seuls ceux qui sont au  courant sont à même de faire le rapprochement. Et si vous relisez le  chapitre sur le contrôle de l'information et si vous repensez aux noms  donnés dans les listes, vous comprendrez pourquoi il y en a très peu qui  sont "vraiment au courant". C'est aussi la raison pour laquelle Hitler  fit brûler tous les écrits occultes et instructifs. Ainsi que le dit si  bien Dieter Rüggeberg : ...Seul un occultiste peut en reconnaître un  autre." Un athée ou un matérialiste ne pourront jamais comprendre la  façon de pensée d'un occultiste ni les motifs qui le font agir...
Voilà ce qui en résulte sur  notre planète : Les plus grands occultistes poursuivant des buts  négatifs, les Illuminati, l'élite et toutes les loges correspondantes,  occupent presque tous les postes clé dans la haute direction des  finances, de la politique, de l'économie, de la religion et des  sciences. Ils se servent, de plus, de leur savoir ancestral satanique  pour mener à bien leurs plans. Et nous sommes plus de six milliards  d'hommes à vivre à côté d'eux, maintenus volontairement dans  l'ignorance, que ce soit au moyen de la religion, de l'athéisme, du  positivisme, du matérialisme, sans compter ceux parmi nous qui n'ont de  foi que dans la science. Nous parlons un tout autre langage qu'eux et  nous vivons notre vie sans le moindre pressentiment de ce qui se passe  en réalité. Rüggeberg confirme ceci en écrivant : "Tous ces athées et  agnostiques qui se joignent aux milieux progressistes de l'Église  déclarant que l'occultisme et la magie ne sont que superstitions pour  simples d'esprit sont loin de se douter qu'ils se sont laissé berner et  n'ont fait que suivre des directives sciemment programmées par certaines  loges ou Églises. Plus d'un athée célèbre en son temps se retournerait  aujourd'hui dans sa tombe s'il apprenait que ce sont des membres  d'ordres et de loges occultes qui lui ont remis ses prix d'honneur et  ses décorations : il fallait bien, n'est-ce pas, qu'il continue à être  un bon instrument capable de répandre des idées mensongères bien  précises." ("Geheimpolitik", P. 61) (152)
Les Illuminati ont programmé les  deux dernières guerres (ainsi que la troisième à venir) qu'ils ont  financées et gagnées. On leur doit le fléau de la drogue. Ils  programment et provoquent soit l'expansion, soit la crise de l'économie  des pays, et ils utilisent pour leurs propres fins les événements  politiques et économiques tout en laissant le peuple en pâtir. C'est ce  qui explique leur richesse incroyable. D'un côté, ces hommes voudraient  être adulés et respectés mais d'un autre côté, ils complotent des  guerres et font le malheur des nations sans qu'elles s'en doutent. Des  siècles durant, ils ont créé des clans opposés pour susciter la  confusion parmi les hommes. Ils en utilisent certains pour faire le  "sale boulot" et ce seront eux précisément que le peuple rendra  responsables si ça tourne mal. En cas d'échec donc, ce sera de leur  faute à eux (les marionnettes) alors que les véritables auteurs ne sont  pas inquiétés. Une grande partie des hommes croit véritablement que la  nation qui entre en guerre de nos jours en porte seule la  responsabilité. Des gens se croient malins, ils affirment que telle  nation est prédestinée à la guerre, comme par exemple les "méchants  Russes", le "péril jaune" ou l'éternelle Allemagne fasciste (ou encore  l'Iran), mais ces gens-là ne savent pas ce qu'ils disent. D'où  croyez-vous qu'un gouvernement, qu'il soit chinois, russe, arabe,  allemand, américain, serbe ou autre détienne l'argent nécessaire pour  financer l'industrie d'armement ? De nos jours, il n'y a pas un seul  pays au monde qui ne soit pas si endetté qu'il ne doive son existence  aux crédits alloués par les banquiers internationaux. Pensez-vous que  les Serbes aient de l'argent pour payer les armes qui leur permettent de  mener cette guerre ? Ou si jamais les Russes s'étaient lancés dans une  guerre mondiale, à qui auraient-ils, à votre avis, emprunté l'argent ?  Aux banquiers internationaux, bien sûr ! Ce n'est pas pour rien qu'il y a  une banque Rothschild au Kremlin. D'où leur nom de banquiers  INTERNATIONAUX. Ils ne se sentent pas plus particulièrement concernés  par l'Angleterre ou les États-Unis. Ils sont présents là où il y a de  l'argent à gagner. Et la guerre étant la meilleure source d'argent  possible, ils sont toujours intéressés à ce qu'il y en ait une qui se  déclenche. Si ces banquiers ne sont pas d'accord pour une guerre, le  pays n'aura ni crédit ni d'armes ! C'est aussi simple que cela. Donc, si  un pays veut entrer en guerre, la première des choses qu'il doit faire  est de demander aux banquiers leur assentiment. Si ces derniers sont  d'accord, c'est grâce à leur soutien financier que le pays pourra  s'armer et entrer en guerre. S'ils ne sont pas d'accord — parce qu'il  est possible que cette guerre ne corresponde pas à leur propre plan — le  pays n'aura aucun crédit, donc pas d'argent pour acheter des armes. Il  sera dans l'impossibilité de déclencher la guerre, car les crédits  nécessaires ne s'élèvent pas à quelques millions mais à plusieurs  centaines de milliards. Ainsi que je l'ai démontré dans mon livre, ce  sont les mêmes bailleurs de fonds qui ont procuré l'argent pendant la  Deuxième Guerre mondiale aux bolcheviques, aux Allemands, aux Russes et  même à Saddam Hussein. C'est pourquoi rien ne relève du hasard en ce qui  est du domaine de la politique et de la guerre. S'il y a une guerre,  cela signifie qu'elle a été programmée, sinon aucun fonds n'aurait été  disponible. Les foyers de troubles actuels ou futurs sont, par  conséquent, voulus et parfaitement programmés à cause du but poursuivi,  celui du gouvernement mondial.
Les Illuminati prétextent qu'il  faut parvenir à ce gouvernement mondial unique afin que règne la paix  sur la Terre. Il est intéressant de remarquer qu'ils utilisent la guerre  pour y parvenir. Croyez-vous que ces hommes vont changer de  comportement une fois le gouvernement mondial en place ? Vous les  reconnaîtrez à leur actes ! Il n'y aurait, à vrai dire, rien à objecter à  un gouvernement mondial, c'est même le but ultime de notre planète,  s'il était dirigé par des hommes qui ne pensent qu'au bien de l'humanité  et se portent garants du développement en toute liberté de l'esprit et  de l'âme, qui n'aient aucun secret et laissent libre cours à toutes les  informations. Le gouvernement mondial dont je parle dans ce livre n'est  pensé que pour et par l'élite qui prend les hommes pour des idiots bons à  n'être que des esclaves. Si vous ne pouvez pas croire que votre sort  n'intéresse nullement "ceux de là-haut", que ceux-ci se moquent de  savoir comment vous allez ou comment vous pourrez survivre à la  prochaine guerre, serez-vous convaincus du contraire si je vous apprends  qu'aucun État, à de rares exceptions près, comme la Suisse, n'a d'abri  pour le peuple ? Vous en étiez-vous déjà rendu compte ? Le danger d'une  nouvelle guerre qui pourrait impliquer l'Allemagne est plus que probable  d'après les Protocoles des Sages de Sion et la lettre d'Albert Pike. Il  suffirait que les Allemands interviennent dans le conflit actuel en  Yougoslavie pour que les Serbes mettent leur menace à exécution et  qu'ils lancent des fusées sur l'Allemagne. Si jamais la misère et la  faim augmentaient encore plus dans les pays de la CEI et dans ceux du  "tiers monde", ce qui est prévisible sans don prophétique, on peut  imaginer que les peuples ne se rendraient ni en Chine, ni aux États-Unis  pour prendre ce dont ils ont besoin mais bien dans le pays le plus  proche, l'Allemagne. Les Suisses n'ont pas ce problème puisqu'ils ont  des abris, des armes chez eux et que beaucoup habitent dans des hauteurs  difficilement accessibles. Les Allemands, quand à eux, se  retrouveraient assez démunis face à cette situation. L'élite et les  politiciens de ce pays, qui l'ont bien mérité, n'est-ce pas, y possèdent  de nombreuses bases souterraines parfaitement aménagées avec des  denrées alimentaires permettant de survivre pendant des décennies. On a  oublié, par erreur, les va-nu-pieds. Comment les Allemands  réagiraient-ils si les Serbes tiraient demain sur Stuttgart ou Munich ?
L'ex-Illuminati [Est-il possible  de sortir des Illuminati sans être assassiné ???] George Orwell a très  clairement décrit dans son livre "1984" comment les Illuminati se  représentent le monde... Mais il n'est, bien sûr, pas trop tard.  Beaucoup de choses pourraient changer si les hommes de toutes les  nations reconnaissaient, enfin, leur ignorance criante et s'occupaient  de notre planète. Mais les Illuminati ont réussi à nous rendre bel et  bien prisonniers de nos propres petits problèmes si bien que nous en  avons perdu toute vue globale et que nous nous sommes retirés des  affaires de ce monde. Un petit exemple pour illustrer ce propos : Les  mass media (sous contrôle des Illuminati) vous inculquent que si vous  voulez être un bon français, vous devez avoir une belle auto, une maison  à vous, une famille, des vêtements de marque et que vous devez réussir  dans votre métier, etc... Après avoir regardé la télévision ou lu les  journaux pendant des décennies, votre inconscient se trouve saturé par  cette image du parfait "membre de la société" et vous ne pouvez qu'être  convaincus que cela correspond à un réel besoin pour vous (cela concerne  aussi la mode vestimentaire et la façon de se comporter.) Pour  correspondre à cette image, vous devrez beaucoup, beaucoup travailler,  car il est impossible d'y arriver tout de suite. Mais vous voulez tout  immédiatement, il vous faut donc contracter des crédits, payer des  mensualités. Vous voilà pris dans le filet qu'on vous a si parfaitement  tendu. Vous voilà liés par vos obligations et vos dettes pour plusieurs  décennies. S'y rajoutent la famille, les enfants, l'argent pour les  vacances, les réparations pour votre auto... Vous êtes pris, finalement,  dans un cercle infernal "créé par vous-mêmes". Et, mon Dieu, vous  croulez sous tant de problèmes que vous n'avez plus ni l'envie ni le  courage de réfléchir si vous faites vraiment ce qui vous tient à coeur !  Et un jour vous vous apercevrez que vos richesses extérieures ne font  pas votre bonheur et que vous aimeriez mener une vie différente, mais  c'est trop tard. Voilà une image simplifiée de ce qui est dépeint dans  les Protocoles des Sages de Sion et de ce qui se passe depuis des  décennies dans tous les pays du monde. Vous ne faites, peut-être, plus  face à vos problèmes et pour les fuir, vous vous adonnez à l'alcool ou  aux drogues. Une fois que vous en êtes arrivés là, vous en avez  pratiquement fini avec la vie. Certains arrivent quand même à s'en  sortir, car, ainsi que je le démontre dans le chapitre suivant, il n'est  jamais trop tard. Il ne suffit quand même pas de soigner les symptômes  en éliminant simplement les Illuminati, comme on enlèverait un organe  malade. Il faut, ici, appliquer un traitement de fond. Vous-mêmes, vous  êtes la solution à vos problèmes et à la situation dépeinte dans ce  livre. Si vous soupesiez mieux vos choix et vos actes dans votre vie  quotidienne, le monde serait différent, les Illuminati n'auraient aucune  emprise sur vous. Avec ce mot "vous", je désigne chaque homme de cette  planète. Ainsi que l'a bien exprimé Ross Perot, candidat aux  présidentielles lors des dernières élections aux États-Unis : "Si tu  veux voir ce qui cloche dans ton pays, prends un miroir et regarde-toi".
Certains vont peut-être  rétorquer : "Ah, mais attention, cette situation existe depuis belle  lurette, et nous sommes six milliards d'humains à influer le cours des  événements, pourquoi serait-ce moi qui devrais justement commencer à  changer le monde ?" Vous justement puisque vous avez compris que les  choses vont mal, votre conscience a changé. Vous avez réalisé qu'il y a  d'autres choix meilleurs dans la vie et c'est ce qui vous distingue de  vos concitoyens "inconscients". Vous êtes responsables parce que vous  savez maintenant ce qu'il en est. Auparavant vous auriez pu dire : "Je  n'en savais rien du tout". Mais vous savez maintenant. Vous ne pouvez  plus vous esquiver. On se sert de nous précisément parce que nous  n'avons pas assez d'esprit critique et ne prêtons pas assez attention à  ce que nous vivons. On nous a eus mais nous nous en sortirons ! Il se  peut qu'il soit important, d'un point de vue purement matériel, que nous  vivions en autosubsistance. En cultivant nous-mêmes nos céréales, en  creusant un puits, en ayant quelques chèvres pour le fromage et le lait,  en employant des sources d'énergies alternatives, en enterrant un peu  d'or dans le jardin pour le cas où ...donc tout simplement en devenant  autonomes. Ce qui ne signifie pas forcément qu'il faut ôter tout confort  de notre vie quotidienne. Il y a, aujourd'hui, de nombreuses  communautés qui vivent ainsi autonomes, avec un certain confort,  probablement plus aux États-Unis qu'en France. Mais il y en a partout.  Vous n'êtes pas obligés de faire cette démarche seul. Demandez à vos  meilleurs amis, ceux en qui vous avez confiance, entamez quelque chose  ensemble. Il est parfois plus facile d'agir ensemble puisque nous sommes  chacun uniques et que nous avons chacun notre spécialité. Vous pouvez  vous épauler, trouver ceux qui partagent votre point de vue. Vous pouvez  lire des livres critiques ou assister à des conférences sur ce sujet ;  continuez à vous instruire, provoquez des échanges. Des sujets tel que  les "machines à énergie libre" et leur construction ne manquent pas  d'intérêt. Échanger ses sentiments est aussi très important. Il est  capital de passer à l'action, de ne pas seulement palabrer ou discuter.
Dans la bibliographie, vous avez  des titres de livres qui pourront vous aider à trouver des solutions  extérieures, c'est-à-dire concrètes. Plus d'un historien s'est déjà pris  dans les mailles du filet en rejetant la responsabilité sur les  sionistes ou les Juifs et maints chercheurs chrétiens s'en sont pris aux  francs-maçons, les croyant seuls coupables. Les membres de la famille  Rothschild n'ont pas, non plus, tous succombé à l'idéologie d'une  hégémonie mondiale. Ne mettez donc pas tout le monde dans le même panier  ! Ce livre n'a pas pour but de clouer au pilori un groupe de coupables.  Non, par ce livre, je m'efforce de vous faire découvrir comment  procèdent ces Illuminati et d'après quels principes ils agissent, et  j'essaie de vous présenter des solutions adéquates.
Je me résume : Les Illuminati  n'appartiennent à aucune religion, à aucun parti, à aucune nation ou  autre groupement mais ils s'en servent pour couverture. Notons encore  une fois que ce jeu a débuté des millénaires avant l'arrivée des  personnes dont j'ai mentionné les noms dans ce livre et qu'il continuera  après elles. Les personnes désignées, de nos jours, des satanistes ou  les représentants des communautés sionistes (comme les Rothschild, les  Warburg) ne sont que des pions dans un échiquier où l'enjeu est encore  plus grand. Rüggeberg écrit à ce sujet : "RUDOLF STEINER a déjà souligné  en 1920 que les noms des membres les plus élevés de sociétés secrètes  occultes n'apparaissent jamais sur les listes nominatives... C'est la  moindre des choses que dans les ordres faisant de la magie noire tous  les documents importants sont codifiés dans une écriture secrète qui ne  peut pas être déchiffrée par des non-initiés qui ne possèdent pas la clé  correspondante. C'est en ce sens que les historiens matérialistes ont à  apprendre, à moins qu'ils ne renoncent à trouver toute la vérité."  ("Geheimpolitik" — La politique secrète, p. 195.) Les Illuminatine  voient d'abord qu'eux-mêmes, ils veulent être tout-puissants et tout  posséder, ils veulent s'emparer du monde entier, leur ego s'est  démesurément développé. Vous pouvez donc être sûrs qu'à ce jeu des  tout-puissants ils y jouent entre eux comme avec les peuples. Chacun  veut être le meilleur, le plus riche et le plus puissant. Je doute que  ces êtres-là aient un sommeil paisible, qu'ils connaissent le bonheur et  la plénitude. William Bramley montre dans son livre "Die Götter von  Eden" (Les dieux d'Éden) que ces Illuminati sont utilisés à leur tour,  que les loges secrètes sont en relation avec les extraterrestre, à  commencer par la "Confrérie du Serpent". Ceux qui s'imaginent avoir la  puissance absolue ne sont, en fait, eux-mêmes que les marionnettes  d'autres êtres. (Pour en savoir plus, consulter la Bibliographie.) Ces  sentences, ne s'appliquent-elles pas vraiment bien à notre propos ? "Tel  est pris qui croyait prendre." ou "Tous ceux qui veulent s'élever  seront rabaissé." ou bien "Qui se ressemble s'assemble."
Que pouvons-nous faire ?
Il y a quantité de solutions  envisageables face à cette situation. Certains aimeraient qu'on élimine  une partie des Illuminati, ce qui, à mon avis, ne servirait pas à  grand-chose, car il seraient vite remplacés. Je vais vous raconter une  petite histoire : Imaginez que vous êtes en voiture et que le voyant  d'huile se mette à clignoter. Vous vous rendez chez un garagiste qui  vous déclare : "Aucun problème, je vais vous arranger ça." Le voilà qui  dévisse l'ampoule. Certes, le voyant d'huile ne clignote plus mais, vous  le savez bien, la cause du problème n'est pas pour autant éliminée. Et  vous n'êtes, évidemment, pas d'accord avec la façon de procéder du  garagiste. Mais quand votre corps est malade ou quand vous avez  certaines difficultés, réalisez-vous que, la plupart du temps, vous ne  vous opposez pas à cette façon de faire ? Il est bien connu qu'en  médecine officielle, on supprime l'organe malade ou la partie cancéreuse  mais ce faisant, on ne traite pas pour autant la cause. On soigne  simplement les symptômes, ce qui est nettement insuffisant. Un  traitement de fond est nécessaire. Vouloir supprimer ce qui gêne, cela  équivaut à ne dévisser que l'ampoule qui clignote et à ignorer le  problème qui est toujours là.
Pour en revenir au sujet qui  nous préoccupe, les Illuminati ne sont que le symptôme d'un problème  qui, en fait, se situe ailleurs. Ils ont autant de pouvoir parce qu'ils  se servent de nous, ce qui est facile puisque nous n'assumons pas nos  responsabilités et que nous nous satisfaisons de notre indolence. Le  coeur du problème est donc au plus profond de chacun de nous. Si nous ne  nous changeons pas et si nous ne transmuons pas nos faiblesses, il ne  sert à rien d'éliminer ces êtres, car il y en aurait aussitôt d'autres  qui se chargeraient de nous puisque nous acceptons d'être manipulés.  Peut-être y a-t-il parmi vous des petits futés qui se disent qu'ils  pourraient bien contacter la Société Thulé ou ceux qui ont écrit des  livres sur les OVNIs pour se procurer les plans de soucoupes volantes ?  Ils pourraient donc quitter la Terre, mais qui sait ce qui les  attendrait sur les autres planètes ? Ou bien certains d'entre vous sont  passionnés par ce qui se passe à l'intérieur de la Terre et voudraient,  sur les traces d'Hitler, rechercher le royaume d'Agartha ? D'autres  encore aimeraient se retirer dans les montagnes pour y vivre en  autosubsistance afin de pouvoir, de là-haut, embrasser du regard tout ce  drame. Certains même désireraient rechercher, peut-être, de l'aide dans  la prière ? [Nous vous conseillons de lire le Nouveau Testament afin de  connaître le Seigneur Jésus qui seul peut vous délivrer et vous donner  la paix.]
Que pouvons nous entreprendre de  positif pour rectifier ce qui a mal tourné dans le passé et pour  empêcher que cela se reproduise dans l'avenir ? Pour y répondre, il nous  faut nous poser la question primordiale sur le sens de la vie. Il est  difficile de trouver un sens à notre vie simplement dans la nourriture,  la boisson, le sommeil, le sexe et la possession. Beaucoup parmi nous en  sont déjà bien conscients. Il est capital d'être conscients qu'à la fin  de notre vie nous abandonnerons toutes ces choses extérieures, y  compris notre corps. Nus, nous sommes arrivés, nus nous repartiront.  Cela signifie que même des soucoupes votantes et l'énergie libre ne  peuvent nous rendre que partiellement heureux, car les voyages dans une  autre galaxie, s'ils nous permettent de changer d'endroit, ne nous  permettent pas pour autant de changer de corps. Il est relativement peu  important que des membres de la Société Vril aient pu visiter d'autres  planètes avec des soucoupes ou que les États-Unis aient pu construire,  grâce à leur technologie, leur première base sur Mars, il y a déjà plus  de trente ans. Ces hommes sont rivés à la matière, ils sont, pour ainsi  dire, prisonniers d'eux-mêmes et ne peuvent pas "quitter leur peau". Une  technologie avancée ne rendra pas plus aimable un homme qui ne pense  qu'à détruire, c'est même plutôt le contraire qui risque de se produire.  En considérant la situation telle qu'elle est sur Terre aujourd'hui, et  les événements prédits par maints prophètes pour l'entrée dans le  nouveau millénaire, il serait, certes, judicieux soit de quitter tout  simplement ce "futur lieu de terreur", soit de voyager avec une machine  vers le futur. Mais ces voyages sont entrepris depuis plus longtemps  qu'on ne se l'imagine et ne modifient nullement l'intérieur de l'être  humain. Un être à l'esprit destructeur le restera même s'il voyage dans  le temps et il gardera les mêmes pensées, les mêmes sentiments, les  mêmes motivations qu'auparavant. Il sera de plus, dépendant de la  machine. Si on la lui confisque, il se retrouvera avec ses mêmes points  faibles qu'auparavant et à la prochaine difficulté qui se présentera,  soit il se précipitera vers une autre machine, soit il se décidera à  vaincre, enfin, sa peur et à regarder son problème en face. Nous sommes  venus sans machine en ce monde et nous en repartirons de la même façon.  Tirons-en la conclusion que l'homme doit atteindre à la perfection et à  son plein épanouissement sans aucune machine. C'est le chemin qui permet  d'accéder à la conscience : recueillir des connaissances en devenant  responsables, en ne dépendant de personne et en ne nous servant d'aucun  artifice matériel. C'est ainsi que nous évoluons. Un sage l'exprima  ainsi : "Il faut apprendre aux hommes à pêcher et non leur donner du  poisson".
Au chercheur
En conclusion, je voudrais  encore souligner que le second but de ce livre est de vous montrer qu'il  existe une toute autre réalité que celle que vous vous laissez conter  quotidiennement. Je ne prétends pas que le tableau que je vous ai  présenté soit complet ; le début de l'historique que vous venez de lire  ainsi que les développements qui s'en suivent ne sont pas forcément  exacts. Les événements dont j'ai parlé ne sont aussi qu'une petite  partie de ce qui est reconnu et de ce qui est parvenu à la connaissance  du public. J'ai intentionnellement condensé dans le minimum de pages le  volume de ce livre et le flot des informations parce que je désire  éveiller votre curiosité sur des sujets que vous avez ignorés jusqu'à  présent. Il me tenait particulièrement à coeur de communiquer aussi des  informations critiques à ceux qui, surmenés par leur vie quotidienne  stressante, ne disposent pas du temps nécessaire pour se plonger plus à  fond dans ces sujets. Je me suis efforcé de présenter ce thème selon mon  propre ressenti pour la raison suivante : les livres spécialisés qui  traitent de tels sujets en détail rebutent souvent le lecteur à cause de  la façon déroutante et souvent fanatique de leurs propos. J'ai fait un  résumé de tous ces livres disponibles dans chacun de mes chapitres. Vous  comprendrez, j'espère, que je n'ai pas pu donner suffisamment de  détails sur chacun de mes sujets pour vous convaincre tous.
On pourrait probablement me  reprocher de ne pas avoir réussi à satisfaire à 100% mes lecteurs dont  les conceptions du monde sont religieuses ou autres et à répondre dans  le dernier chapitre à toutes les questions sur le sens de la vie... Ce  livre est un résumé de nombreuses oeuvres, il est donc inévitable  qu'avec la quantité d'informations données, il y ait des passages que  d'autres auteurs ont SOI-DISANT démenti. Mais je puis vous affirmer  qu'avant de mettre ce livre par écrit, j'ai voyagé pendant quatre ans  dans plus de vingt pays pour accéder à tous ces renseignements, puisque  la liberté d'opinion et d'informations ne sont en Allemagne que de  belles paroles. J'ai trouvé, de plus, dans chacun de ces pays les mêmes  informations "sous la couverture", ce qui m'a été confirmé dans ce que  j'expose. Mais s'il devait s'avérer que, dans certains cas, des détails  bien précis sont inexacts, il ne faudrait pas pour autant que vous  "jetiez le bébé avec l'eau du bain", que vous fassiez fi de tout ce que  j'ai écrit dans ce livre. Même en supposant qu'un tiers seulement des  informations soit exact, ce tiers est assez important pour remettre  fortement en question nos habitudes, les "opinions de la société" et  notre façon de vivre ou de voir les choses.
Source: 
http://nous-les-dieux.org/PDF:Les_Soci%C3%A9t%C3%A9s_Secr%C3%A8tes.pdf