Les sociétés secrètes
et leur pouvoir au 20ième siècle
par
Jan Van Helsing
(1995)
Les Illuminati
Un fil conducteur à travers l'enchevêtrement des loges, de la haute finance et de la politique.
Commission trilatérale, Bilderberger, CFR, ONU
Évidences de civilisations sur Mars
Le mieux est que vous vous fassiez votre propre opinion sur Mars. Les villes souterraines envisagées dans l'ALTERNATIVE 2 existent bel et bien. On peut se poser la question suivante : si on a réalisé Alternative 2, pourquoi n'aurait-on pas réalisé l'Alternative 3 ? (L'histoire complète de l'Alternative 3 est décrite dans le livre de Leslie Watkins : "Alternative 3" (voir : Bibliographie). Elle y décrit les conditions qui règnent soi-disant sur Mars et son atmosphère. On y apprend qu'on nous a caché les informations. On y découvre la construction de bases, les mesures prises pour se protéger et se camoufler, l'aménagement prévu pour le personnel, les moyens de transport, le lavage de cerveau du personnel et les difficultés rencontrées. Dans Littérature complémentaire se trouve aussi une adresse où on peut se procurer le film.) Ainsi que vous pouvez vous en rendre compte, le sujet des "OVNIs" a parfois une signification beaucoup plus terrestre et réaliste qu'on ne le croit. Vous comprendrez maintenant, je l'espère, pourquoi d'énormes sommes d'argent sont dépensées : il faut faire taire les chercheurs qui trouvent le secret de la construction d'engins volants grâce à un carburant qui ne peut être monopolisé ou taxé par un quelconque konzern que notre Terre. Il y a, cependant, des personnes privées qui ont construit des disques volants et s'en servent, ce qui est, évidement, loin de plaire aux multinationales. Il faut savoir qu'on ne peut pas acheter tous les scientifiques et tous les inventeurs. Certains ont compris que plutôt que de faire breveter une telle invention, il valait mieux la mettre aussitôt en production. Dans le cas contraire, ils auraient très vite quelqu'un à leur porte, soit pour leur acheter leur brevet et le faire disparaître à jamais, soit pour les menacer puisque l'élite ne désire pas que ces inventions voient le jour. Si vous voulez vous intéresser de plus près à ce genre d'engins volants ou aux machines à "énergie libre", écrivez à l'adresse de l'éditeur qui vous fournira les renseignements nécessaires pour obtenir des contacts.
Une arme : l'énergie
L'Allemagne et les autres pays occidentaux sont, de temps en temps, confrontés avec ce qu'on appelle une "crise d'énergie" provoquée par les banquiers internationaux. En l974, par exemple, le prix du pétrole brut monta en spirale à cause de l'embargo de l'OPEP sur le pétrole. Les banquiers internationaux avaient conclu, en coulisse, un accord avec les dirigeants arabes de l'OPEP. Le principe est très simple. Les Arabes y gagnaient, car le prix montait. L'automobiliste, c'est-à-dire l'acheteur, payait, et les konzerns du pétrole encaissaient. Ce fut le cas pour ARCO, SHELL, MOBIL, EXXOR, etc. qui étaient reliés avec la "Chase Manhattan Bank" (Rockefeller). La Chase Manhattan Bank avait, de son côté, conclu un accord avec les dirigeants do l'OPEP. Ceux-ci avaient vendu cher leur pétrole et leur part dans le marché consistait à placer leurs bénéfices pour 30 ans à 7% d'intérêt à la Chase Bank. Grâce à ces investissements, des prêts colossaux ont été consentis à des pays du tiers monde comme le Mexique, le Brésil et l'Argentine. Ces pays sont alors saignés par les remboursements excessivement élevés. Pour équilibrer ces remboursements d'intérêts, ce qu'ils ne peuvent faire avec de l'argent, ils sont obligés de subir un chantage de la part des banques et d'accepter d'elles une influence encore plus grande sur leur économie et leur politique. Les dirigeants sont donc contraints de se plier aux exigences des banquiers internationaux, sinon ils se verront remplacés par d'autres pions. Les banquiers internationaux ont, comme vous le voyez, tiré profit, à plusieurs reprises de l'embargo. D'abord grâce aux investissements des pays de l'OPEP, puis aux gains des konzerns du pétrole, qui sont assujettis aux banques et grâce aussi aux intérêts des prêts alloués aux pays du tiers monde. Les dettes de ces pays leur ont permis, de plus, d'avoir la mainmise sur eux. Selon les médias, la faute repose sur ces méchants Arabes mais personne ne mentionne les véritables auteurs, les banquiers internationaux qui ont passé les contrats avec les pays pétroliers arabes. Il y a, heureusement, toujours des journaux assez indépendants, tels que le "Spotlight" aux États-Unis et la "Neue Solidarität" en Allemagne, qui, eux au moins, osent en dire plus sur les Illuminati que d'autres journaux. (128)
La CIA et le shah d'Iran
En 1979, la révolution en Iran chassa le shah que tous haïssaient et qui avait accédé au pouvoir grâce à la CIA en 1953. Comme c'est la règle, la plupart des employés d'une ambassade américaine sont aussi membres de la CIA. Les rebelles iraniens, qui étaient au courant se vengèrent en prenant pour otages les membres de l'ambassade américaine (de la CIA). La CIA se vengea alors, elle aussi, en faisant comprendre au chef de l'Irak, SADDAM HUSSEIN que c'était une période très propice pour envahir l'Iran, affaibli à ce moment-là, ce qui reste, d'ailleurs, à prouver. L'invasion d'Hussein fut couronnée de succès et, par la suite, les preneurs d'otages iraniens firent savoir à Jimmy Carter qu'ils libéreraient les otages en échange d'armes. La majorité des armes que les Iraniens possédaient pendant le régime du shah venait, de toute façon, des États-Unis. Les Iraniens étaient donc obligés de recevoir les munitions et les pièces de rechange des États-Unis. Le président Carter refusa, cependant, de se prêter à ce marché et donna pour mission secrète à la CIA de libérer les otages (Desert One). Mais la CIA n'aimait pas particulièrement Carter, car il avait réduit rigoureusement leur budget. C'est pour cela qu'eut lieu un sondage d'opinion anticipé pour savoir qui, de Carter ou Reagan, gagnerait les prochaines élections. Le peuple opta pour Carter. La CIA préférait, cependant, Reagan et elle projeta donc de saboter l'opération de sauvetage "DESERT ONE" afin que Carter perde la face. Au même moment, WILLIAM CASEY, ex-chef de la CIA et président du comité électoral de Reagan, avait pris contact avec le chef révolutionnaire d'Iran, l'AYATOLLAH KHOMEYNI. William Casey dit à ce dernier que ce serait Reagan qui allait gagner les élections et que lui, Khomeyni, devait donc traiter avec lui, en tant que représentant de Reagan. William Casey avait une bonne réputation, car c'était grâce à lui que l'URSS avait pu construire l'entreprise "Kama-Fluss" (le plus grand fabricant de camions au monde). Casey étant aussi directeur de la banque "Export-Import", Khomeyni décida de collaborer avec lui.
La troisième semaine d'octobre 1980, GEORGE BUSH (futur président et membre de "Skull & Bones") et RICHARD ALLEN, en qualité de représentant de Casey, rencontrèrent les représentants des extrémistes iraniens d'Hesbollah à l'hôtel Raphaël à Paris. Là, il fut convenu que les États-Unis fourniraient des armes à l'Iran via Israël et que les Iraniens relâcheraient alors les otages lorsque Reagan serait élu président. La livraison d'armes devait commencer deux mois plus tard (en mars 1981). Le sabotage programmé de l'opération de sauvetage de la CIA se passa "comme sur des roulettes" (en effet, l'opération tourna mal) et Carter fut remplacé par Reagan. Les otages furent libérés et la première livraison d'armes à l'Iran eut lieu via Israël. Du 24 au 27 juillet 1981, le trafiquant d'armes israélien Yaacov Nimrodi signa un contrat de 135 millions de dollars avec l'Iran, stipulant la livraison de 50 "Land Missiles", 50 "Mobiles" et 68 "Hawk Anti-Aircraft Missiles".
Un autre marché, dévoilé depuis lors, concerna le trafic d'armes du Suisse Andras Jenni et de Stuart Allen McCafferty. Ils envoyèrent 360 tonnes de pièces de char M-48 en Iran par fret aérien avec le CI-44, qu'ils avaient loué à une compagnie argentine de transport aérien, la "Transports Aereo Rioplatense". Le tout leur coûta 27 millions de dollars et leurs deux premiers vols à destination de l'Iran en décollant d'Israël furent une réussite. Le 28 juillet 1983, cependant, leur avion, au retour du troisième trajet, fut abattu au-dessus de l'Arménie soviétique par un MIG-25 russe. Ces marchés d'armes n'auraient, sans doute, pas été possibles sans George Bush et Richard Allen. Dans ce cas aussi, les versions officielles présentées par les services d'informations étaient loin de refléter la réalité. (129)
Saddam Hussein et "Desert Storm"
L'Irak venait juste de sortir d'une guerre insensée contre l'Iran qui n'avait d'autre but que de permettre aux trafiquants d'armes multinationaux de faire des bénéfices fantastiques. Au début des années quatre-vingts, les États-Unis avaient fait parvenir, en effet, à l'Irak des renseignements erronés, soi-disant parvenus à leur services secrets (nous en avons déjà pris connaissance) qui suggéraient une victoire rapide contre l'Iran. Mais cette longue guerre avait fortement épuisé l'économie irakienne (65 millions de dollars de dettes rien qu'en 1989). La France avait été le principal fournisseur d'armes après l'URSS. Le temps était venu, et d'après la lettre d'Albert Pike, c'était la phase finale, de déclencher la troisième et dernière guerre. Pour cela, il fallait susciter un foyer de crise au Proche-Orient. C'était astucieusement pensé, car d'après l'Apocalypse de saint Jean, la dernière bataille débutera au Proche-Orient. Ainsi, les croyants mal informés de la géopolitique et ceux qui sont fidèles à la Bible sont mis sur une mauvaise piste en croyant que c'est le Jugement dernier. C'est pourquoi on voulut tendre un piège à SADDAM HUSSEIN. Il devait fournir à l'Angleterre et aux États-Unis le prétexte pour une intervention militaire, soi-disant pour assurer l'approvisionnement du monde en pétrole. En juin 1989, une délégation composée d'Alan Stoga (Kissinger Associates Ltd.), de membres des comités de direction de Bankers Trust, Mobil, Occidental Petroleum, etc. se rendit à Bagdad sur l'invitation de Saddam Hussein. Ils rejetèrent le projet du barrage Badush qui aurait rendu l'Irak indépendant de l'importation de denrées alimentaires en moins de cinq ans. Ils insistèrent pour que Hussein règle, d'abord, les dettes de l'État et privatise donc, au moins en partie, son industrie pétrolière. Il s'y refusa, bien évidemment.
Fin 1989, 2.3 milliards de dollars que George Bush avait déjà consentis à l'Irak furent bloqués (à lit Banca Nationale del Lavoro BNL). C'est ainsi que, début 1990, il ne fut plus possible à l'Irak d'obtenir quelconque crédit des banques occidentales. C'est alors qu'entra en jeu le cheikh Al-Sabah, émir du Koweït et ami de la famille royale anglaise. Celui-ci avait fait passer de l'argent en Irak sur l'ordre de Londres et Washington pour qu'on continue la guerre qui durait depuis huit ans et qui apportait aux trafiquants d'armes de l'argent et à Israël des avantages politiques. Début 1990, le Koweït reçut l'ordre d'inonder le marché avec du pétrole à bas prix et cela à l'encontre de tous les accords signés avec l'OPEP. Les autres pays de l'OPEP dont l'Irak déployèrent des efforts diplomatiques pour que le Koweït renonce à sa politique destructrice. Sans, succès. En juillet 1990, ce fut l'escalade des disputes entre le Koweït et l'Irak. Lors de la rencontre des Bilderberger du 6 au 9 juin 1990, il avait déjà été décidé ce qu'April Glapsie, l'ambassadrice américaine à Bagdad, communiquait à Saddam Hussein le 27 juillet : "Les États-Unis ne prendront pas position dans la querelle entre l'Irak et le Koweït." (l'Irak publia le compte-rendu officiel de cet entretien après le début de la guerre.) Ce fut, naturellement, le "feu vert" pour Saddam. Le 2 août, les troupes irakiennes entrèrent au Koweït. La CIA avait, bien sûr, averti auparavant la famille de Saddam, celle-ci avait quitté le pays avec son parc de Rolls-Royce et ses joyaux.
Les six mois suivants, on put assister à une pièce de théâtre bien mise en scène. George Bush annonça, le 11 septembre, son "Nouvel Ordre mondial". Il y eut de nombreuses négociations pour éviter une guerre qui était décidée depuis longtemps. C'est ainsi que les troupes américaines partirent pour la guerre du Golfe le 15 janvier 1991. James H. Webb, commandant en chef de la marine sous Reagan, déclare à propos de ce scénario : "Le but de notre présence dans le golfe Persique est d'inaugurer le "Nouvel Ordre Mondial" du gouvernement Bush (la marionnette des Illuminati) ; cela ne me plait pas du tout." Si vous compariez, une fois de plus, les nouvelles qui étaient alors diffusées... (130) Un an avant le début de la guerre du Golfe, William Cooper avait déjà annoncé la date exacte de l'entrée des troupes américaines. Il l'avait vue dans des documents secrets auxquels il avait accès quand il était officier dans la Naval Intelligence (service secret de la NAVY). Il communiqua cette date, entre autres, lors d'un séminaire qui fut enregistré sur vidéo. Cette guerre avait donc été préméditée et préparée déjà longtemps auparavant. C'est le cas aussi pour la troisième guerre mondiale, que cela vous plaise ou non !
Que réserve le futur au Proche-Orient assaillie de conflits ?
Des Griffin écrit à ce sujet que la déclaration faite par le Parlement israélien en juillet 1980 qui affirmait que Jérusalem était désormais la capitale politique d'Israël pourrait être de la plus grande importance. Cela ne signifie-t-il pas que les sionistes ont des visées encore bien plus ambitieuses ? Depuis des années, c'est un fait reconnu que les sionistes se proposent de faire de Jérusalem la métropole administrative d'un gouvernement mondial. Ce but a été exposé par DAVID BEN GURION, le Premier ministre d'Israël, en 1962. Des tentatives pour établir une telle alliance mondiale en prenant Jérusalem comme quartier général déclencheraient, à coup sûr, la troisième guerre mondiale que prophétisait l'un des plus grands Illuminés, Albert Pike, dans sa lettre à Mazzini. Pike dit que cette troisième guerre mondiale éclatera au Proche-Orient à cause de l'inimitié entre les Arabes et les Israéliens et qu'elle se terminera par l'instauration d'une dictature mondiale.
JAMES WARBURG résume, dans son discours devant le Sénat américain le 17 janvier 1950, l'attitude des banquiers internationaux face à l'édification d'un système d'esclavage pour tous les hommes : "Nous aurons un gouvernement mondial que cela nous plaise ou non. Reste seulement à savoir si on y arrivera en l'imposant aux hommes ou s'ils s'y plieront de plein gré." D'après William Cooper, la troisième guerre mondiale est prévue pour la mi-1996. Il a tiré cette information de documents secrets qu'il photocopia pendant son service à la Naval Intelligence (service secret de la NAVY), D'après ces documents, il est prévu d'anéantir une des plus grandes villes des États-Unis (New York, San Francisco ou Los Angeles) en y lançant une bombe atomique. On en rendrait responsables des extrémistes du Proche-Orient en crise (l'Irak ?) pour pouvoir justifier le déclenchement de la troisième guerre mondiale. La bombe qui éclata dans le World Trade Center n'aurait-elle pas été un test pour voir la réaction du public ? Réfléchissez-y ! [Évidemment ces lignes furent écrites avant (1995) la destruction des deux tours du WORLD TRADE CENTER à New York (11 septembre 2001) et dont George Bush W. Bush et les Sionistes sont responsables. La stratégie des banquiers internationaux avait changé, mais le résultat fut le même et les américains s'emparèrent de l'Irak avec des attaques dévastatrices contre Bagdad. Sans une telle altération au plan primaire des banquiers voraces, des millions de vies américaines auraient été sacrifiées au dieu Mammon dans une conflagration nucléaire. Néanmoins le pire est encore à venir, car une guerre se prépare par les américains contre l'Iran et dont le déclanchement sera probablement engagé par Israël.]
La réunification de l'Allemagne (pour sa perte)
L'URSS et le communisme ayant assuré leur rôle de "bête noire", on pouvait, à présent, se passer d'eux. Sous la pression de l'ennemi russe, on avait contraint les nations occidentales à conclure des pactes, tels que l'ONU et l'OTAN, dont les lois avaient priorité sur les lois nationales. Ce fut une réussite totale. Le temps était venu maintenant de réunir officiellement les États-Unis et l'URSS bien qu'il n'y ait jamais eu de vraie séparation dans les domaines de la production d'armes et du capital. (Est-ce un hasard que les Soviétiques, de même que les Américains, aient le pentagramme (étoile à cinq branches) sur toutes leurs armes, leurs avions et leur chars et que ce soit aussi le symbole de l'État (étoile rouge, Pentagone) ? De même, l'oeil qui voit tout des Illuminati se trouve non seulement sur le sceau de l'État américain, mais aussi au centre de l'emblème du régime marxiste.) C'était, une fois encore, au Big Brother de mettre en scène la suite des événements puisque son but était d'avoir une armée mondiale contrôlée par l'ONU. L'effondrement du coût du pétrole en 1986 avait fortement secoué l'économie planifiée des Soviétiques. L'activité qui avait amené le plus de devises au Kremlin depuis les années soixante-dix était l'exportation de pétrole à l'Ouest. Les bénéfices se mirent à diminuer précisément lorsque Gorbatchev promit avec ses réformes plus qu'il ne pouvait tenir. Le chaos économique contribua à ce que Moscou laissât tomber les pays satellites de l'Europe de l'Est. Maints Soviétiques misèrent sur l'Allemagne réunifiée qui serait un bon partenaire pour relancer l'économie soviétique.
En novembre 1981, la domination soviétique de la RDA commença à se fissurer. Sous la pression des réfugiés s'enfuyant par la Hongrie et du mouvement de liberté qui soufflait dans les rues de la RDA, la vieille RDA fut balayée en quelques semaines. Tandis qu'on fêtait la fin dramatique de la dictature communiste, les Illuminati craignaient que le peuple ne sorte vainqueur d'une révolution en Europe de l'Est. Ils redoutaient aussi qu'une alternative à la politique économique des États-Unis puisse se développer en Allemagne. C'est pourquoi ils firent aussitôt circuler le mot clé quatrième Reich dans les médias anglo-américains. Les stratèges politiques à Londres et à Washington ne virent que trop clairement les conséquences à long terme de l'unité allemande et donc d'une Allemagne à nouveau forte et éventuellement indépendante. Ils étaient conscients du danger que représentait ce projet d'une Allemagne puissante qui, grâce à la force et à la foi de 85 millions d'hommes pouvait s'avérer être un succès bien qu'il aille à l'encontre de la volonté des Illuminati. D'autres pays pourraient sortir de leur léthargie et être entraînés sur la même voie. (131)
L'été 1990, le gouvernement de Thatcher renforça, d'après les rapports de Londres, les activités du service secret britannique en Allemagne et inaugura, à cette fin, une nouvelle section des services secrets. Le gouvernement Bush fit aussi des démarches pour étendre son influence sur la politique allemande. Qu'un pays se développe librement et en tenant compte des intérêts du peuple ne fait pas partie du plan des Illuminati. C'est pourquoi Alfred Herrhausen, porte-parole du comité de direction de la Deutsche Bank et membre des Bilderberger, fut assassiné le 30 novembre 1989 par des tueurs professionnels (et non par la Fraction Armée Rouge). Herrhausen était un important conseiller de Kohl. Juste quelques jours auparavant, il avait donné une interview au Wall Street Journal pour développer ses objectifs sur la RECONSTRUCTION DE L'ALLEMAGNE DE L'EST. D'après lui, elle devait devenir, en une décennie, la nation industrielle la plus avancée de l'Europe. Herrhausen avait pensé aussi proposer un programme pour convertir les dettes du tiers monde. Il s'était opposé clairement au système de l' "ESTABLISHMENT", ce qu'il exprima à la conférence des BILDERBERGER en 1988 ainsi que lors d'une séance de l' "American Chamber of Commerce", également en 1988. Plus tard, ce fut Detlev Rohwedder, chef de la "Treuhand", qui fut tué d'un coup de fusil. Par contre, l'attentat commis contre la personne du ministre de l'intérieur de la RFA, Wolfgang Schäuble, ne fut pas fatal. Tous ces attentats furent en relation avec le programme de reconstruction de l'Allemagne de l'Est. (132)
C'est une mauvaise plaisanterie de présenter le FANTÔME de l'ARMÉE FRACTION ROUGE comme l'auteur du crime contre Herrhausen. Herrhausen était une des personnalités d'Allemagne les plus menacées, et il avait pris de nombreuses mesures de sécurité en conséquence. Le service de sécurité de la Deutsche Bank s'était chargé de la protection de sa personne, la police sillonnait constamment les alentours de sa résidence et des unités spécialement formées et équipées, issues d'un commando d'intervention mobile de la Hesse (MEK), auraient observé sans arrêt les environs de son domicile. Toujours est-il que les auteurs de l'attentat réussirent à creuser une tranchée dans la rue à Bad Homberg, à y déposer un câble et à refermer le revêtement en asphalte sans que quiconque s'en aperçoive. L'avocat fédéral général VON STAHL exposa devant les députés du parlement fédéral allemand le fait suivant : cet attentat avait été programmé huit jours plus tôt et les assassins avaient déjà installé presque tous les éléments du piège explosif, y compris le câble qu'on identifia, plus tard, et qui était relié à l'explosif. Le jour de l'attentat, les auteurs du crime installèrent même une barrière optique sur le lieu et placèrent la bombe montée sur une bicyclette de façon à ce que le véhicule de Herrhausen soit obligé de passer tout à côté. Une patrouille de police à pied contrôla, à peine une demi-heure avant l'attentat, l'endroit où tous ces préparatifs eurent lieu. Elle ne se serait aperçue de rien. C'est étrange : non loin de là, le gardien d'une piscine couverte aurait remarqué, environ une demi-heure auparavant, quelques jeunes hommes au comportement suspect. De plus, le piège explosif, déclenché par la barrière optique, ne pouvait entrer en action que si le véhicule de Herrhausen passait en premier.
Le précédent président de l'Office fédéral pour la protection de la constitution, Dr RICHARD MEIER, déclarait au parlement fédéral allemand une semaine après l'attentat qu'on avait fait le véhicule de tête du convoi de Herrhausen qui comportait normalement trois voitures (La Fraction Armée rouge avait-elle téléphoné pour expliquer que le véhicule de tête était gênant pour l'attentat ?) Le fait que la bombe avait la forme d'une charge creuse prouve que les auteurs de l'attentat avaient une grande expérience dans la manipulation d'explosifs militaires. L'onde de pression, d'une telle bombe ne diffuse pas de tous côtés mais prend la forme d'un faisceau, ce qui fait qu'on peut la diriger sur un but précis. La construction de cette bombe et aussi le fait de connaître les points faibles de cette limousine blindée Mercedes-Benz dont les vitres latérales s'ouvrent — fait connu seulement par quelques spécialistes de sécurité — empêchent, même avec la meilleure volonté du monde, de mettre cet acte criminel sur le compte de terroristes de la Fraction Armée rouge ou de débutants. Les autorités en la matière ne trouvèrent à l'endroit du crime aucune trace valable qui aurait pu renseigner sur les coupables. Juste un papier avec l'étoile à cinq branches, la reproduction de la mitraillette Heckler & Koch avec l'inscription "RAF" et les mots "commando Wolfgang Beer", ce qui, en soi, n'est pas une preuve. Comme dans toutes les actions revendiquées par la FRACTION ARMÉE ROUGE (RAF) depuis que la prétendue deuxième génération de la RAF avec Christian Klar a été arrêtée et depuis le passage dans la clandestinité d'une partie des terroristes dans la RDA de l'époque à partir de 1984, il n'y eut et il n'y a pas une seule preuve pouvant permettre d'affirmer qu'il existe des personnes qui appartiennent légitimement à une organisation terroriste de gauche RAF. Il n'y a aucune empreinte de doigts, aucune trace de salive sur des mégots, aucun cheveu ou aucun indice permettant de dire que ce sont eux les coupables qui, depuis maintenant neuf ans, lancent des bombes sous le nom de Fraction Armée rouge et qui, récemment, ont même dynamité des prisons. La lettre revendiquant l'attentat contre Herrhausen était si ridicule que le ministre de l'intérieur de ce temps-là SCHÄUBLE souligna qu'elle contrastait, d'une façon grossière, avec la perfection technique et la gravité de l'attentat. Il y a un manque total de preuves et même d'indices renvoyant à une organisation de terroristes de la Fraction Armée rouge, cependant, les servies de la sûreté de l'État allemand accusent toujours la Fraction Armée rouge d'être les auteurs du cime.
Le 1er juillet 1992, les auteurs de la HR et de la WDR (chaînes de télévision allemande) rendirent pour la première fois publics les résultats de leurs recherches dans l'émission Brennpunkt sous le titre "La fin de la légende de la Fraction Armée Rouge". Ils émirent la thèse que la prétendue "troisième génération de la RAF" qui est officiellement l'auteur des crimes terroristes de ces dernières années ne serait qu'une légende sans fondement. Les auteurs Wolfgang Landgraeber, Ekkehard Sieker et Gerhard Wisnewski approfondissent leur thèse dans le livre sur le fantôme de la RAF qui est paru aux éditions Knaur. Leurs arguments principaux sont :
1. contrairement à la première génération de la Fraction Armée rouge (Meinhof, Bader, Ensslin) et à la deuxième (Susanne Albrecht, Chrisian Elar), la prétendue troisième génération ne laisse jamais le moindre "soupçon de trace" sur le lieu du crime ;
2. les personnes qui appartiendraient à la troisième génération de la Fraction Armée rouge, comme par exemple Christian Seidler, ont toutes disparu depuis le milieu des années quatre-vingts sans laisser de traces et sans jamais redonner signe de vie ;
3. l'hypothèse que des terroristes dirigent à partir de leur prison la Fraction Armée rouge est fortement mie en doute ou même exclue par les spécialistes. Les directives du commando doivent émaner d'ailleurs ;
4. les seuls indices qui ont permis de conclure que les attentats de ces sept dernières années émanaient de la Fraction Armée rouge étaient des lettres revendiquant ces actes qualifiés d'authentiques par les services de sûreté allemands. Mais les méthodes appliquées ne résistent pas à une vérification ;
5. au beau milieu de l'émission, il y eut une interview avec le témoin principal du cas Herrhausen, Siegfried Nonne, qui rétracta son témoignage de janvier 1992. Il expliqua que des collaborateurs de l'organe de la protection de la constitution de la Hesse l'avaient menacé de le faire emprisonner ou de le tuer et l'avaient obligé à faire un faux témoignage, c'est-à-dire à déclarer qu'il avait hébergé les coupables dans son appartement à Bad Homburg et qu'il avait préparé avec eux l'attentat sur la personne d'Alfred Herrhausen.
L'équipe de télévision en tira cette conclusion lourde de conséquences : la troisième génération de la Fraction Armée rouge n'est qu'un fantôme maintenu artificiellement en vie dans le but conscient et voulu de tromper le peuple. De plus, l'équipe soupçonna la direction politique de la République fédérale d'Allemagne d'avoir non seulement toléré, mais d'avoir même contribué à la fin des années soixante-dix et au début des années quatre-vingts, à ce qu'une grande partie des membres de la Fraction Armée rouge disparaisse dans la RDA de l'époque. En fait, il est vraisemblable que non seulement les services secrets alliés mais aussi les autorités et services allemands aient su que les ex-membres de la Fraction Armée rouge étaient passés dans la clandestinité en RDA. On a fait croire au public que ces ex-membres, sans cesse recherchés au moyen d'affiches représentant leurs portraits, auraient été mêlés aux attentats commis dans les années quatre-vingts. Lors du dernier attentat qu'ils revendiquaient soi-disant, c'est-à-dire le dynamitage professionnel d'une prison à Weiterstadt, on trouva, comme d'habitude, juste un papier avec leur emblème et le nom du commando ; sinon il n'y avait aucune trace, aucune erreur, aucun témoin. Le journaliste italien Cipriani eut une interview avec l'ex-colonel de l'armée de l'air des États-Unis Fletcher Prouty : celui-ci percevait le motif du meurtre de Herrhausen dans les onze premières pages d'un discours qu'Herrhausen voulait tenir aux États-unis quatre jours après l'attentat. Herrhausen y dévoilait sa vision d'une nouvelle tournure que pourraient prendre les rapports entre l'Europe de l'Est et de l'Ouest, ce qui aurait pour conséquence de modifier le destin du monde. Le colonel Prouty ajouta dans l'interview qu'Alfred Herrhausen, John F. Kennedy, Aldo Moro, Enrico Mattei et Olof Palme avaient tous été assassinés pour le même motif — aucun d'eux n'aurait accepté que le monde soit contrôlé par le condominium de Yalta. Tous ces attentats sont le fait d'une petite élite qui voyait sa puissance fondée sur l'idée d'une "Pax mondiale" (paix mondiale) menacée. (133)
Remarque sur la situation actuelle :
Le flot des demandeurs d'asile arrivant en Allemagne a été programmé intentionnellement et fait partie du grand plan de l'élite qui veut ériger le "Nouvel Ordre Mondial". Il sert à attiser la xénophobie dans ce pays, qui a occasionné la montée des partis de droite et la multiplication des actes de violence commis par les milieux de droite envers les demandeurs d'asile et les handicapés. Ceux-ci servent à justifier la propagande lancée par l'establishment anglo-américain du quatrième Reich. Depuis la réunification de l'Allemagne et l'effondrement de l'ordre du monde établi à Versailles et à Yalta qui s'en suivit, la classe politique allemande a refusé de répondre publiquement aux attaques de propagande à visées géopolitiques ("la résurrection du quatrième Reich"). Au contraire : La voie agressive suivie en politique économique par certaines personnes influentes, comme par exemple le président de la Commission trilatérale européenne OTTO GRAF LAMBSDORFE provoque des effets similaires aux buts que poursuivent les puissances à visées géopolitiques : en voulant éviter toute rupture avec la politique du Fonds Monétaire International qui a échoué et en voulant opprimer les initiatives allemandes.
Le fait que Peter Glotz, qui fait partie des dirigeants du SPD (parti social-démocrate allemand), se soit élevé avec des propos coléreux contre ceux qui condamnent l'agression de la Grande Serbie en première page du "Frankfurter Allgemeine Zeitung" montre aussi que des tendances géopolitiques sont présentes en Allemagne. Les puissances à visées géopolitiques (l'Angleterre, la France et les États-Unis) désirent un autre Proche-Orient, un foyer de crise permanent au sud de l'Europe (la guerre de Yougoslavie) pour empêcher l'édification d'un nouvel ordre eurasien au centre duquel se trouveraient la Russie, la France et l'Allemagne. Si un pays peut influer sur les événements en Europe de l'Est, c'est bien l'Allemagne.
LORD CASTLEREAGHS, le manipulateur en chef du Congrès de Vienne, décrit ci-dessous de quelle façon on veut limiter la puissance de l'Allemagne en Europe (en plein accord avec le plan des "Sages de Sion") : "La puissance de l'Allemagne dans la nouvelle Europe doit être limitée, pour cela il faut exiger des Allemands qu'ils soient plus partie prenante dans l'OTAN et dans d'autres organisations internationales mais les États-Unis doivent en même temps collaborer étroitement avec la Grande-Bretagne, la France et d'autres pays pour limiter l'influence de l'Allemagne au sein de ces organisations." Les forces géopolitiques à Londres, à Paris et Washington mettent tout en oeuvre pour frustrer les tentatives lancées par ceux qui ne veulent pas que l'influence l'Allemagne soit restreinte. Cette politique s'oppose, par exemple, aux efforts allemands proposés pour soutenir le développement à l'Est. La vulnérabilité et la faiblesse du chancelier Helmut Kohl et de son gouvernement ne pouvaient être mieux démontrées à la face du monde que par l'assassinat du Dr Alfred Herrhausen, porte-parole du comité directeur de la Deutsche Bank : dû à des terroristes, il y eut, comme par hasard, le même mois où le mur fut abattu, en novembre 1989. Les auteurs et exécuteurs de cet attentat sont encore libres aujourd'hui, ils ne sont pas connus, donc pas poursuivis et peuvent se promener librement dans le monde entier.
Grâce à sa perspicacité, Alfred Herrhausen avait déjà proposé depuis quelque temps une remise de dettes pour les pays en voie de développement, spécialement pour l'année 1987, année du grand krach. Mais lorsqu'il exigea, en plus, un plan de reconstruction économique pour l'Europe de l'Est, ses propositions devinrent tout à fait inacceptables aux yeux de ses ennemis. Herrhausen parlait d'une banque polonaise de développement établie selon le modèle de la "banque de crédit pour la reconstruction". Le colonel Proutys ne fut pas le seul à remarquer qu'Herrhausen se heurtait aux lois non écrites des puissances monétaires de Londres et de New York. Il n'en fallait pas plus pour que ses ennemis passent à l'action. Alors que le système communiste à l'Est s'effondrait, le chancelier Kohl n'a pas su amorcer un virage global pour une véritable reconstruction économique de l'Est. Cela aurait exigé qu'il rompe avec les cercles monétaires tout-puissants dans son pays ainsi qu'à l'étranger, et cela aurait fait vaciller dans leurs bases les rapports traditionnels du pouvoir existant entre les puissances sorties victorieuses de la guerre. Après le meurtre de Herrhausen, Helmut Kohl, si on en croit le "Spiegel", reconnut qu'il avait perdu son conseiller intime, un bon stratège et que, depuis sa disparition, les esprits mercantiles foisonnaient en Allemagne. Kohl et son gouvernement n'osaient pas exposer au public les dessous de ce crime horrible ni mettre en branle les forces de police et les autorités chargées de l'enquête judiciaire afin qu'elles se saisissent des meurtriers et instigateurs, pour que leurs mobiles soient élucidés et leur acte expié. On préféra faire croire au public à l'aide, entre autres, de dépositions falsifiées, qu'il s'agissait d'une "troisième génération de la Fraction Armée rouge".
Trois ans et demi après l'assassinat de Herrhausen, la lacune laissée par sa disparition apparaît très clairement. Dans le milieu du patronat et des dirigeants de l'économie, des sciences et de la recherche, on voit toujours la nécessité d'un plan de développement LAROUCHE dans le "triangle productif" Paris-Berlin-Vienne qui implique une amélioration importante des infrastructures dans les secteurs de l'énergie, des transports et de l'aménagement des eaux comme moteur de l'essor eurasien. Mais personne n'est prêt à risquer sa vie, après la mort d'Herrhausen, pour mener à bien les changements nécessaires qui vont à l'encontre de l'idéologie prépondérante des puissances monétaires. Après le meurtre d'Herrhausen et de Rohwedder, les courants politiques qui se rattachent à une politique économique radicale selon la pire doctrine de libre-échange ont pris le dessus en Allemagne. Maintenant, après la première vague de grève au bout de soixante ans dans les nouveaux "Lander", quelques-uns reconnaissent toute l'ampleur et les conséquences dévastatrices de cette politique qui vise à ruiner l'économie. Le chiffre officiel des chômeurs va atteindre bientôt quatre millions, dont plus de 400 000 jeunes. Prognos s'attend à ce que le taux du chômage monte à 17 % et atteigne donc 7,5 millions de chômeurs. La presse qui, auparavant, avait déjà parlé du danger du quatrième Reich se sert, pour confirmer sa thèse de la flambée du néo-nazisme, des éclats de violence qui visent en particulier les étrangers mais aussi les handicapés et les sans-abri ; 17 personnes en furent les victimes en 1992 (parmi elles sept étrangers). Le gouvernement allemand a essayé de corriger cette image déformée en montrant d'autres aspects de cette réalité. Depuis l'automne 1992, plus de trois millions d'Allemands et d'étrangers sont descendus ensemble dans la rue, bougies en mains, pour montrer leur solidarité face à la xénophobie. Qui sont les coupables ? Plus de 70% des accusés ont moins de 20 ans. Ils ont grandi après la réforme de l'éducation de Willy Brandt à l'Ouest, ils ont été élevés par des parents qui avaient été imprégnés, eux-mêmes, de l'enseignement de la "FRANKFURTER SCHULE" (école de Francfort) à travers l'école, la radio ou la télévision. Le plus grand nombre d'actes de violence qualifiés d'extrême droite se produisit en Rhénanie-du-Nord-Westphalie (plus de 500), "Land" le plus peuplé, suivi du Bade-Wurtemberg (250) et du Brandebourg (229).
Le bourrage de crâne imposé à la population par cette image déformée en Allemagne et dans les autres pays dévoile les virées géopolitiques (l'affaiblissement des tentatives de reconstruction à l'Est). Il est aussi le signe d'une grande hypocrisie. À l'appui de documents officiels ainsi que d'interviews actuels avec des dirigeants néo-nazis américains et des membres du KKK, on peut se rendre compte qu'en Allemagne, les actions de racistes zélés et de skinheads américains remontent à bien des années en arrière, jusqu'aux années soixante-dix. Ce qui est choquant, c'est que le NSDAP / AO (parti allemand national-socialiste à l'étranger) en Amérique dirigé par GARY REX LAUCK ait pu déployer visiblement ses activités, jusqu'à aujourd'hui, au-delà de l'océan avec ses camarades allemands — dont MICHAEL KÜHNEN, mort du sida, qui était un proche partisan de Lauck — sans être inquiété par les autorités américaines ou des contrôles à la frontière. Choquants aussi les indices qui sont chaque jour plus nombreux et font conclure à une aide bienveillante d'un service secret qui soutient l'édification d'un mouvement néo-nazi, connu pour sa brutalité, en Allemagne mais aussi aux États-Unis. Les opposant à ce mouvement sont les autonomes de l'ANTIFA mouvement créé par les anciens réseaux de la Stasi qui rassemble soi-disant ceux que le régime nazi a persécutés, soit la VVN, association qui fut financée directement par la Stasi et l'ex-RDA, laquelle collabore aujourd'hui avec la BdA (Bund der Antifaschisten — Ligue des antifascistes) et se fait passer pour le fer de lance du "combat antifasciste". Ces opposants et le mouvement néo-nazi rassemblent chacun environ 6000 militants qui sèment la violence. Tous deux sont les instruments d'une stratégie de tension qui vise à miner la paix intérieure et extérieure de l'Allemagne.
Ainsi que vous le voyez, les Illuminati ont, de nouveau, selon la méthode de Machiavel qui a fait ses preuves, financé les deux camps, ce qui fait qu'ils les contrôlent. D'un côté se trouve la chaîne du Rite écossais franc-maçonnique (KKK, B'nai B'rith, Antidefamation League (ADL), NSDAP / AO) qui va jusqu'aux milieux des néo-nazis et des skinheads allemands, de l'autre le réseau de la Stasi contrôlé par le système communiste, réseau qui s'étend jusqu'aux milieux d'extrême gauche et jusqu'à l'Antifa. La GESINNUNGSGEMEINSCHAFT DER NEUEN FRONT (Gdnf — les amis politiques du nouveau front), fondée par Kühnen en 1977, fait parti, avec ses 400 membres, d'un des plus importants groupes d'encadrement étroitement relié au NSDAP / AO. Par ailleurs, une grande partie du matériel de propagande de la FAP (Freie Deutsche Arbeiterpartei — Parti ouvrier libre d'Allemagne) fut livrée par le NSDAP / AO. On en arrive à découvrir d'autres imbrications qui sont des plus intéressantes, par exemple : que le chef du groupe des skinheads anglais "SCREWDRIVER" Ian Stuart, collabora avec les extrémistes de droite de la "BRITISH NATIONAL FRONT". Jusqu'en 1985, ils faisaient partie du "WHITE NOISE CLUB', du "British National Front" rassemblant les bandes de skinheads racistes en Angleterre. En 1985, Ian Stuart fonda le mouvement ,"BLOOD & HONOUR" (sang et honneur) qui répandit de façon organisée les pensées du "White Power" (pouvoir des blancs) du Ku Klux Klan. Mais il n'y a pas que des bandes de skinheads qui y sont représentées. Le groupe satanique KISS (Kings in Satans Service — Les rois au service de Satan), qui se déclare ouvertement pour le satanisme et qui écrivait les deux S de Kiss en caractères runiques jusqu'à ce qu'on le lui défendit, est en contact avec la "CHURCH OF SATAN" d'Anton la Vey, l'Église satanique officielle la plus importante du monde. Cette "Church of Satan" a tissé, dans le passé, d'étroites relations avec beaucoup de groupes de rock sataniques anglais et c'est elle, par exemple, qui promut le groupe britannique BLACK SABBATH avec le chanteur Ozzy Osbourne. Les ROLLING STONES avaient aussi un lien étroit avec la "Church of Satan". MICHAEL AQUINO, chef néo-nazi et sataniste, est le dirigeant de la secte de Satan "TEMPLE OF SETH", issue de la "Church of Satan". Dans les années soixante et soixante-dix, il était officier pour la conduite de guerre psychologique des forces armées des États-Unis et, en même temps, auteur, philosophe et historien de la "CHURCH OF SATAN". En 1981, le lieutenant-colonel Aquino, sous le plus grand secret, fit fonction de "CONSEILLER EUROPÉEN DANS l'ÉTAT-MAJOR GÉNÉRAL AMÉRICAIN". Ce même Aquino tint une cérémonie satanique au "château Wewelsburg" en Allemagne, là où le chef des SS Heinrich Himmler avait jadis consacré une pièce aux messes noires (Walhalla).
Pour exercer ses fonctions actuelles de sataniste et d'extrémiste de droite au sein des forces armées des États-Unis, Aquino dut former un nouveau groupement avec un contrôle plus sévère qui allait plus loin que la "Church of Satan" : le "Temple of Seth" (temple de Seth). AQUINO, mêlé aussi à des abus sexuels et sataniques pratiqués sur des enfants, le néo-nazi GARY REX LAUCK et le prêtre satanique d'extrême droite ANTON SZANDOR LAVEY sont liés étroitement avec DENNIS MAHON, actuellement "grand dragon des chevaliers du Ku Klux Klan", de même que le défunt MICHAEL KÜHNEN (tous sont homosexuels). Par l'intermédiaire d'Aquino, tous sont en relation avec le "TAVISTOCK INSTITUT" de conduite de guerre psychologique, au Sussex, en Angleterre, dont nous avons déjà parlé. MONTAGU NORMAN, dirigeant de la banque centrale britannique de 1920 à 1944, qui favorisa l'ascension d'HJALMAR SCHACHT et donc de Hitler qui était, à ses dires, le meilleur ami d'Hitler. Norman était, en outre, un mystique sauvage, un théosophe et souffrait très souvent de dépressions psychotiques. Vers la fin de la guerre, il se retira de la Banque d'Angleterre et travailla pour l' "Union mondiale contre les maladies mentales". Il nomma le commandant JOHN RAWLINGS REES président de cette union. La femme de Norman était une fanatique radicale et faisait partie du "BRITISH HEALTH BOARD". Le commandant Rues, chef du département pour la guerre psychologique dans l'armée britannique, dirigeait le TAVISTOCK INSTITUT en Angleterre. C'est à cause de tels préconiseurs, entre autres, que le cauchemar de la doctrine des races promulguée par les nazis et leur conception du monde ont pu survivre en Occident. Beaucoup de chefs serbes qui ordonnent, aujourd'hui, en Bosnie-Herzégovine les épurations ethniques et les viols collectifs ont une formation psychiatrique qu'ils ont reçue, entre autres, à l'Institut Tavistock en Angleterre. (134)
Qu'en est-il des Serbes ?
La campagne de conquête entreprise par les Serbes n'aurait pas été possible si ces derniers n'avaient pas été couverts par Moscou et par l'administration Bush. LAWRENCE EAGLEBURGER, à l'époque adjoint au ministre des Affaires étrangères et partenaire éminent de l'entreprise consultante des "Kissinger Associates", veilla, récemment, avec un autre partenaire Kiss-Ass, LORD CARRINGTON, à ce que Belgrade ait les mains libres pour accomplir les nettoyages ethniques et le génocide actuel. Afin de financer cette campagne, ils créèrent les structures pour faciliter illégalement une arrivée massive d'argent à Belgrade, ce qui devait permettre aux Serbes de faire face aux frais d'importations d'armes, de pétrole et d'autres marchandises. Dans les derniers dix-huit mois, des banques privées de Belgrade proposèrent, à l'étonnement de tous, un taux d'intérêt mensuel de 15% sur le dépôt de devises et 200% sur le dépôt de dinars eu égard au taux d'inflation annuel de 25,000%. Étant donné le chômage important et le grand nombre de personne sans revenus, ces prestations d'intérêts furent une manoeuvre politique pour contrecarrer l'insatisfaction croissante du peuple causée par les conditions économiques difficiles entraînées par la guerre. Un observateur déclarait à ce sujet : "Cette tactique sert à financer discrètement un système d'aide sociale."
On découvrit des aspects de ces stratagèmes lorsque le banquier de Belgrade Jesdomir Vasiljevic, de la "JUGO-SKANDIE-BANK", se retira, en mars 1993, en Israël. Cette banque avait, selon les communiqués de la presse, jusqu'à 4 millions de comptes avec des dépôts d'épargne en devises qui s'élevaient à presque 2 milliards de dollars. D'où sortait cet argent ? Certes la Yougoslavie disposait avant-guerre d'une branche de tourisme florissante et d'une industrie d'armement qui produisait surtout des armes légères pour l'exportation, mais après avoir remboursé rapidement 14 milliards de dollars de dettes à l'étranger, il ne restait pas grand-chose. Entre-temps, le tourisme a cessé et la production d'armes a été affectée principalement à la guerre. Le gouvernement serbe bénéficie, de surcroît, du butin de guerre pris aux régions conquises mais c'est peu en égard aux besoins actuels du pays. Des livraisons d'armes et de pétrole se font, en règle générale, contre un paiement comptant. Sur le marché noir les prix du pétrole occidental, comme celui de la "Mobil-Oil-Raffinerie" à Thessalonique en Grèce, s'élèvent jusqu'à 400% du prix courant.
La source d'argent est à rechercher à Belgrade qui joue un rôle dans le trafic de drogue passant par les Balkans, ce qui lui donne accès au système international du blanchiment de l'argent. Les activités croissantes en Europe de l'Ouest de la "MAFIA SERBE" dirigée par Belgrade sont, sûrement, une des sources d'argent. Il y a une école à Belgrade pour vols avec effraction qui jouit, manifestement, de la protection des services de renseignements : ses anciens élèves sont affectés dans toute l'Europe où il transmettent les biens volés à des réseaux de receleurs bien organisés. Malgré cela, il est difficile de concevoir que ces ressources soient suffisantes pour couvrir les frais de la guerre serbe, même si la mafia serbe prend de plus en plus d'importance sur le marché occidental de la drogue. Des commentateurs simplets ont comparé à maintes reprises les stratagèmes de la "JUGOSKANDIC" et de son plus important institut de concurrence, la "DAFIMENT BANK", avec les opérations véreuses de certaines entreprises d'investissement qui soutirent de l'argent à leurs clients en leur promettant qu'ils vont toucher régulièrement des intérêts élevés grâce à des placements dans l'immobilier ou ailleurs. Cela se passe, en fait, autrement, ce n'est pas la petite Serbie qui a soutiré le capital aux grands joueurs sur les marchés financiers "chauds". Ce sont les mêmes puissances qui donnèrent le feu vert à la Serbie pour déclencher la guerre et qui la financèrent. Ce n'est pas la Serbie qui règle ce flot d'argent, elle n'en est que le bénéficiaire. Il y a, entre autres, des arrangements où certaines banques de Belgrade ou des filières étrangères servirent pour blanchir chaque mois, contre paiement de taxes correspondantes, une partie des revenus en liquide issus du marché international de la drogue. Belgrade n'y était pas perdante. Les intérêts courants pour blanchir l'argent se situent entre 3% et 7% mais en considérant les gains gigantesques réalisés sur le marché mondial des stupéfiants, les trafiquants peuvent payer jusqu'à 30% sans en pâtir. Defina Milanovic est directeur de la "DAFIMENT BANK" à Belgrade. Israël Kelman de Tel Aviv détient 25% des actions. Vasiljevic de la Jugoskandie s'est retiré à Tel Aviv, ce qui laisse supposer qu'il a joué un rôle clé dans la technique de financement de guerre inspirée par les intérêts anglo-américains.
C'est en employant la même tactique que certaines banques des États-Unis ont échappé à la banqueroute lors de la crise causée par les dettes des pays de l'Amérique latine en 1983 : grâce à de puissantes injections d'argent procuré par la drogue. Cela n'a pas grand-chose à voir avec l'économie libre de marché, selon les dires de la police allemande, celle-ci s'est rendu compte en enquêtant sur des mafiosi serbes que la police de Belgrade n'est pas prête à collaborer au niveau international et qu'à Belgrade, l'argent est donc probablement encore plus facilement blanchi qu'en Suisse. C'est à Chypre, centre bancaire très développé, que les banquiers de Belgrade font la plupart de leurs opérations.
Le succès évident du financement de la guerre, qui fut effectué par EAGLEBURGER et CARRINGTON (Comité des 300) par intérêt financier, n'est pas la conséquence d'un secret bien gardé mais d'une inertie de l'Europe de l'Ouest. Après avoir observé un an et demi les stratagèmes des banques de Belgrade, chacun savait bien, y compris les diplomates, que quelque chose clochait. On savait aussi qu'il y avait des représentants des banques à Chypre. Rien ne fut entrepris, pourtant les sanctions des Nations Unies auraient dû s'appliquer aussi au transport des finances vers la Serbie tant qu'il n'était pas destiné à des buts médicaux ou humanitaires. Ce n'est qu'en avril 1993 que la commission des sanctions des Nations Unies reconnut qu'on avait oublié de consulter les autorités chypriotes sur les relations bancaires des Serbes. Il y aurait eu "trop peu d'informations concrètes". Le banquier Vasiljevic a vécu 15 à 20 ans à l'étranger, surtout en Australie où il fut connu pour ses transactions dans les "pays en guerre d'Extrême-Orient" ainsi que le rapporte l'Observer britannique. Peut-être est-il un ancien ami de "Theodore Shackley" ? (135)
La situation actuelle
Les Illuminati tiennent le monde dans leur filet par l'intermédiaire des banquiers internationaux qui sont en liaison avec les sociétés d'élite déjà mentionnées et par les empires qu'ils ont construits. Ils sont sur le point de renforcer encore plus leur mainmise sur cette planète. Leur contrôle principal s'exerce grâce aux dettes nationales des pays. En outre, il existe une force de police internationale qui maintient "dans les rangs" les États indépendants, tels que la Libye et l'Iran : ce sont les troupes de l'ONU. La Libye qui manifeste son indépendance par rapport au contrôle international représente un défi pour le Nouvel Ordre Mondial. Mu'ammar al Kadhafi est présenté dans les médias comme un terroriste, ce qui permet de justifier les agressions contre son pays. Voilà encore ce qui s'appelle un bel exemple de lavage de cerveau.
GEORGE BUSH fut un des meilleurs partenaires que les Illuminati aient jamais eu, et il devra le rester jusqu'à son dernier souffle, car il est fortement impliqué dans le trafic illégal de la drogue (voir : §8 des Protocoles). (136) George Bush est un ex-chef de la CIA, un exN-chef du CFR, membre de l'ordre "Skull & Bones", membre de la "Commission trilatérale" et membre du "Comité des 300". Son concurrent aux dernières élections présidentielles, Bill Clinton, le président actuel, est membre du CFR, des "Bilderberger" et membre à vie de l' "ordre De Molay" franc-maçonnique. Il est membre aussi de la "Commission trilatérale" depuis le début des années quatre-vingts. Les plus proches collaborateurs de Clinton qui ont les meilleures chances d'accéder à des postes avancés dans le gouvernement font aussi partie de la "Commission trilatérale", parmi eux son principal conseiller en économie Felix Rohatyn de la banque new-yorkaise "Lazard Brothers", Paul Volcker, ex-chef de la banque d'émission sous Carter, Robert Hormats de la banque new-yorkaise "Goldman Sachs", sa conseillère pour les questions commerciales Paula Stern ainsi que son conseiller en politique extérieure Warren Christopher. L'équipe la plus restreinte de Clinton compte, en outre, des personnes en vue du "Council on Foreign Relations" (CFR) et du "Brookings Institute" dont les plus importantes sont les banquiers Peter Petersen, Robert Rubin et Roger Altinan. (137) Ce qui signifie donc que les deux candidats aux élections étaient des partenaires à 100% des Illuminati et que les citoyens des États-Unis n'avaient le choix qu'entre eux deux. Cela rappelle beaucoup les élections du Parti socialiste unifié d'Allemagne, le SED, dans l'ex-RDA.
Il se passe la même chose en Allemagne avec ses chanceliers. Brandt était membre du "Comité des 300" et des "Bilderberger". Schmidt et Kohl appartenaient aussi aux "Bilderberger". Engholm qui se retira entre-temps et qui aurait été, cependant le rival de Kohl aux élections suivantes, fait parti aussi des "Bilderberger" et du "DGAP". Le gouvernement des États-Unis reconnaît désormais la constitution des Nations Unies comme étant la "loi mondiale". Nous sommes très proches de la création d'un "gouvernement supra-mondial" que toutes les nations de la Terre vont reconnaître (voir : § 9 des Protocoles). En Russie aussi, nous avons assisté à un coup de maître. Boris Yeltzin a repris la charge de Gorbatchev. La prétendue dissolution du régime ne correspond, en fait, qu'à un changement de nom. L'appareil militaire est non seulement le même, mais il est plus puissant que jamais. Un des derniers actes posés par Bush fut une injection de 12 milliards de £ pour renforcer cet appareil militaire. N'avez-vous pas déjà remarqué que malgré ces sommes énormes que Clinton envoi en Russie, les Russes meurent de faim ? Savez-vous tout ce qu'on pourrait améliorer grâce à ces sommes d'argent ? Tout l'argent passe, en fait, dans la production d'armes et dans l'appareil des services secrets. D'après les "Vertrauliche Mitteilungen" (Communications confidentielles) du 12 octobre 1993, l'exportation d'armes de la Russie n'a baissé en 1992 que de 1,8 milliards de dollars. Cela ne correspond environ qu'à environ 6% des exportations d'armes de 1986, année de pointe ou les exportations s'élevaient à 26 milliards de dollars.
Quand la CEI (Communauté des États indépendants) va se joindre à l'armée américaine dans les troupes de l'ONU, les hommes vont croire à une alliance de deux superpuissances qui furent ennemies pendant des décennies (ce qui, en vérité, n'a jamais été le cas). D'autres nations s'y associeront librement ou seront contraintes d'y adhérer sous la pression de la future armée mondiale. Eduard Shewardnatse, ex-ministre des Affaires internationales de la Georgie et général de division du KGB, mêlé à la torture et à la répression politique, devient soudain un ami proche du secrétaire d'État américain George Baker et se voit proposé le poste de secrétaire général des Nations Unies par des mass médias tels que le New York Times (c'en est trop). Le FMI devient de plus en plus la force dominante dans les économies locales des États du Commonwealth. C'est sous sa direction que le prix de l'essence passa de 4 à 30 roubles par gallon en avril 1992. Le congrès des délégués du peuple russe est sur le point de se révolter contre les exigences du FMI, ce qui est compréhensible puisque la Russie est dans un état déplorable. [Considérons qu'il y a eu des changements radicaux avec la venue de Vladimir Putin.]
La guerre de Yougoslavie, nous l'avons vu, fait aussi partie du scénario des Illuminati qui désirent créer un "deuxième Proche-Orient" au sud de l'Europe pour empêcher un éventuel nouvel ordre eurasien. Si jamais l'Allemagne essayait de sortir des griffes des llluminati, ceux-ci pourraient facilement l'empêcher en provoquant une attaque de la part des Serbes ce qui serait d'autant plus facile que l'Allemagne a déjà été désignée comme ennemie no 1 dans la propagande de la Grande Serbie. (138) Voici une citation d'un rapport des "Vertraulichen Mitteilungen" (Communications confidentielles) du 20 juillet 1993 pour étayer mes propos : "Dans l'ex-village olympique des sports d'hiver Pale, non loin de Sarajevo, une personnalité britannique très remarquée s'est vue attribuer un des plus beaux appartements situé porte à porte avec le bureau du chef serbe bosniaque KARADZCIC. Son nom : SIR ALFRED SHERMAN. "Sherman a la réputation en Grande-Bretagne d'avoir "déniché" Margaret Tatcher". Lorsque le Parti des conservateurs entra en crise à cause du départ d'Edward Heath, ce fut Sherman qui proposa alors comme chef du parti Madame le premier ministre, qui allait se montrer si brillante par la suite. Tous deux fondèrent le "Centre for Policy Studies". Madame Thatcher anoblit Sherman, en témoignage, dit-on, de sa reconnaissance. "Celui-ci est présenté à Pale comme le conseiller des relations publiques de Karadzcic. Mais en réalité, le chef des Serbes synchroniserait chacun de ses pas politiques avec Sherman. Des observateurs locaux confirment qu'aucun jour ne se passe sans que les deux hommes n'aient de profonds échanges."
Les BILDERBERGER sont une des plus puissantes organisations internationales qui visent à un "Gouvernement mondial unique". Leurs activités sont tenues si secrètes que maints députés du Bundestag prétendent toujours que cette organisation n'existe pas. Elle est dû à une ignorance qui va jusqu'à l'entêtement ou à une volonté de dissimuler son existence ? En mai 1973, 84 membres des Bilderberger se réunirent à Saltsjöbaden, en Suède, (dans une propriété de la famille des banquiers Wallenberg) avec le but de consolider l'hégémonie défaillante des financiers anglo-américains afin que ceux-ci reprennent le contrôle mondial des opérations financières. C'est pour cette raison que les Bilderberger eurent recours, de nouveau, à cette arme providentielle qu'est le pétrole et qui a déjà si souvent fait ses preuves. Ils décidèrent d'augmenter de 400% le prix du pétrole afin de soutenir la monnaie américaine à l'aide des pétrodollars, ce qui s'est effectivement produit (d'après le journal Spotlight). Il est intéressant de souligner que c'était ROBERT D. MURPHY qui organisa cette rencontre à Saltsjöbaden. Mentionnons son parcours digne d'intérêt : il rencontra Adolf Hitler la première fois en 1922 alors qu'il était consul général aux États-Unis. Il envoya à Washington un rapport des plus favorables sur sa rencontre avec Hitler et sur les capacités de ce dernier. Murphy fut en 1944 le "conseiller politique dans le gouvernement américain pour l'Allemagne" et en 1945 le "conseiller politique du gouvernement militaire américain en Allemagne". En 1988, la rencontre des Bilderberger à laquelle participa aussi le chancelier Khol, eut lieu à Telfz, près d'Innsbruck, en Autriche. Une autre rencontre eut lieu à Baden Baden du 6 au 9 juin 1990. Un des sujets abordés fut le plan Marshall qui prévoyait 100 milliards de dollars pour soutenir la CIE qui exigeait, en compensation, que les États de la CIE adoptent l'économie de marché. Lors de cette réunion, il fut décidé aussi que Saddam Hussein entrerait au Koweït. La dernière rencontre dont j'ai eu connaissance fut celle d'Évian à l'hôtel Ermitage le 20 mai 1992 en France. Son principal contenu, dénommé l' "agenda 2000", concernait le gouvernement mondial tel qu'il était prévu jusqu'à l'an 2000. (139)
Comme vous le voyez, ce gouvernement mondial est plus actuel que jamais, même s'il n'en paraît rien. Willy Brandt, mort entre-temps, (et qui était membre des "Bilderberger" et du "Comité des 300") avait écrit un livre intitulé "Nord-Süd, ein Überlebensprogramm" (Nord-Sud, un programme de survie) où il décrit un gouvernement mondial mis en place par les Nations Unies (d'ici l'an 2000). La "ANTI-DEFAMATION LEAGUE" (ADL) de la B'NAI B'RITH est une agence d'espionnage non-officielle à l'étranger qui travaille pour Israël et qui a porté ces dernières années beaucoup d'accusations contre des enquêteurs, spécialement contre le journal "SpotIight". Elle collabore avec le "RITE ÉCOSSAIS DES FRANCS-MACONS", ce qui pourrait expliquer pourquoi elle opte si nettement pour le maintien du monument d'Albert Pike et s'oppose à l'économiste LYNDON LAROUCHE qui fut plusieurs fois candidat aux élections présidentielles. LaRouche se trouve incarcéré depuis le 29 janvier 1989 dans l'État du Minnesota en tant que prisonnier politique après avoir été condamné à 15 ans d'emprisonnement suite à un scandale judiciaire mis en place par l'establishment américain. LaRouche était devenu aux yeux des Illuminati un opposant très gênant, car il avait découvert les enchevêtrements entre l'establisment, le Ku Klux Klan, l 'ADL, la B'nai B'rith, le Rite Écossais, le CFR, la Commission trilatérale, etc. et eut le tort d'en parler publiquement. Suite à la propagande largement mise en oeuvre par l'ADL, il passa pour être un extrémiste de droite alors qu'il s'était battu avec acharnement pour que la statue d'Albert Pike soit supprimée à Washington. (140) Gary Allen écrit à ce sujet : "Une raison fondamentale pour laquelle on a rayé de l'histoire le rôle joué par les banquiers internationaux dans la politique s'explique par le fait que les Rothschild étaient juifs. Les antisémites se sont livrés aux mains des conspirateurs en faisant croire que la conspiration n'émanait que de juifs. Rien ne peut être plus éloigné de la vérité. Les institutions bancaires traditionnelles anglo-saxonnes de J.P. Morgan et Rockefeller ont eu, elles aussi, un rôle primordial dans la conspiration. Néanmoins, on ne peut nier le rôle important que les Rothschild et leurs satellites y ont joué.
Il est cependant tout aussi injuste et absurde de faire porter la faute à tous les juifs de ce dont les Rothschild sont coupables. C'est comme si nous rendions responsables tous les baptistes [ou évangéliques, catholiques, islamistes, bouddhistes, etc.] des actes criminels des Rockefeller. Les juifs parmi les conspirateurs utilisent une organisation qui s'appelle "Ligue anti-diffamatoire" (Andi-Defamation League, ADL) ; cette organisation leur sert d'instrument pour convaincre tout un chacun que le seul fait de parler négativement des Rothschild et de leurs alliés est une attaque contre les juifs. C'est de cette façon qu'ils ont pu étouffer presque toutes les informations authentiques sur les banquiers internationaux et en faire un sujet tabou dans nos universités. Tout individu ou tout livre qui cherche à en savoir plus est aussitôt attaqué par des centaines de comités de l'ADL qui se trouvent dans tout le pays. L'ADL ne se laisse jamais détourner ni par la vérité ni par la logique de sa tactique parfaite de diffamation. (...) En vérité, personne n'est plus en droit d'en vouloir aux Rothschild si ce n'est les juifs eux-mêmes. Les Warburg, une partie de l'empire Rothschild, ont aidé à financer Hitler. (...)" ("Die Insider", p. 51)
Il nous faut, à présent, parler du Japon. Le Japon est pour beaucoup de spécialistes le pays le mieux préparé aux changements globaux qui vont être apportés par la technologie au siècle prochain. Qu'il y ait des Japonais éminents dans la COMMISSION TRILATÉRALE ne signifie pas que le Japon est infiltré à 100%. L'élite japonaise est, en effet, englobée si puissamment dans un réseau de loges secrètes nationales que les multinationales anglo-américaines n'ont pu avoir, jusqu'à présent, qu'une moindre influence sur la puissance économique du Japon. C'est ce que montre très bien le livre écrit par AKIO MORITA, chef de SONY et par SHINTARO ISHIHARA, politicien en vue au Japon, intitulé "Le Japon qui sait dire non". Le livre qui était, au départ, seulement destiné aux Japonais, fait l'effet d'une bombe ! Il traite les États-Unis d'ami indésirable, de pays raciste et laisse à penser que le Japon pense lui rendre la monnaie de la pièce suite aux conditions de capitulation qui lui furent imposées. Les auteurs décrivent les États-Unis vus du côté des Japonais comme un colosse vacillant pourri du dedans, sur le point de succomber — après un coup mortel — sous sa bannière étoilée flottant tel un linceul. Selon eux, le Japon a obligé le système économique américain à capituler de facto. Ces mêmes auteurs disent sans détour ce que jusqu'alors les hommes d'affaires influents au Japon n'osaient exprimer que dans des cercles privés et en catimini : "L'armée américaine a bombardé pendant la Deuxième Guerre des cibles civiles en Allemagne mais ce n'est que sur le Japon, qui était, pourtant, prêt à capituler, qu'elle a lancé des bombes atomiques pour faire des tests. Ça, c'est une preuve abominable de racisme." Ceci renforce les dires de quelques personnalités éminentes au Japon qui ne cachent pas que les Japonais visent la destruction de l'économie américaine pour venger Hiroshima et Nagasaki. On les entend dire, par exemple : "Le Japon est en guerre avec les États-Unis. Nous vaincrons économiquement l'Amérique et nous userons de représailles pour nous venger des humiliations que nous ont imposées les États-Unis dans le Pacifique." (CODE Nr.2, février 1990)
D'après un article du "Wall Street Journal" de septembre 1991, presque un tiers des cent plus grandes banques mondiales et quatre sociétés d'assurance parmi les cinq premières du monde sont japonais. Une grande partie des propriétés foncières de Nouvelle-Zélande, la majeure partie des hôtels et des konzerns de la côte Est australienne et une grande partie des forêts canadiennes appartiennent à des Japonais. L'avenir nous dira dans quelle mesure les Japonais sont vraiment contrôlés et manipulés par les Illuminati. L' "agence des États-Unis pour le développement international" (USAID) est encore une autre organisation qui n'est pas ce qu'on croit. D'après le livre "Strategie der Spannung" (La stratégie de la tension) d'Anton Chaitkin et Jessica Primack, elle sert à camoufler les opérations accomplis par les espions de la CIA et c'est à elle aussi qu'incombe la principale responsabilité des interventions anglo-américaines dans toutes les parties du monde. Il existe, par exemple, un programme USAID d'un montant de 300 millions de dollars pour contrôler les naissances dans les pays du tiers monde dont la mission principale est de stériliser les populations de couleur.
L. RON UUBBARD, décédé, fondateur de la scientologie, est une autre personnalité au passé intéressant. Puisque nous nous intéressons dans ce livre aux dessous de l'histoire, regardons de plus près ce qui se rapporte à la vie de Ron Hubbard, dont l'organisation a été minutieusement et publiquement décortiquée. Dans les premiers jours du MK ULTRA, du programme de contrôle de la conscience des États-Unis, l'ex-officier de marine Hubbard, au courant de ce que la marine faisait en secret, se mit alors à étudier les mécanismes de la pensée humaine. Après avoir refusé de se joindre aux recherches gouvernementales ainsi qu'aux groupes de psychiatres, il publia le livre "LA DIANÉTIQUE — la science moderne de la santé mentale". Le livre proclamait que la liberté et l'intégrité de l'esprit étaient le droit de naissance de l'humanité. Le livre fut un best-seller et les techniques d' "auditing" d'Hubbard eurent de très bons résultats. Dans le but d'asservir les hommes, le gouvernement se servit, en secret, de quelques-unes des méthodes qu'Hubbard avait proposées dans la scientologie pour que les êtres humains accèdent à la liberté de l'esprit. D'autres techniques décrites par Hubbard étaient, en fait, un antidote aux méthodes MK ULTRA du contrôle de la conscience. Le gouvernement américain entama alors contre Hubbard une campagne de diffamation diabolique qui fut menée par la section de contrôle de la pensée de la CIA. Cet auteur, à l'époque encore jeune, avait révélé, vraisemblablement involontairement, la clé du secret le mieux gardé de la guerre froide. Son bureau fut fracturé et on lui vola un protocole qui décrivait les mécanismes de contrôle de la pensée désignés aujourd'hui sous le nom de "PSYCHOTRONICS". Hubbard et ses collègues furent agressés physiquement et échappèrent de peu à une tentative d'enlèvement. Hubbard, cependant, n'est pas un agneau innocent, comme nous le montre bien l'influence énorme exercée par l'Église de scientologie. Il était, certainement, au courant de maints faits essentiels se rapportant à des événements mondiaux, il ne se contenta pas de passer ses "années de magicien" dans l' "Église Thelema" d'Aleister Crowley en Californie mais se débrouilla pour se hisser jusqu'au 33ième degré du Rite Écossais franc-maçonnique (peut-étre même jusqu'à celui des Illuminati). Sa formation l'ayant familiarisé aux principes du pouvoir, il utilisa des techniques — dont le gouvernement se servait à la même période contre le peuple — pour intégrer aussi ses scientologues dans un système hiérarchique. (141)
Une autre personne à l'influence internationale est l'ex-président français FRANÇOIS MITTERRAND, grand maître du "Grand Orient", loge franc-maçonnique la plus importante en France, et membre du "Comité des 300". Signalons que chez les francs-maçons et aussi chez les chrétiens, 90% des membres sont utilisés par l'élite et qu'ils n'ont, pour la majorité, pas la moindre idée de ce qui se trame au sommet. C'est exactement pareil pour le "Lions Club", le "Rotary", etc... (L'éminent franc-maçon Paul Harris fonda le Rotary International sur l'ordre de la loge B'nai B'rith en 1905 à Chicago ; cette même loge créa le Lions International, également à Chicago, en 1917. (CODE 1/88, p. 47) Ces organisations sont très actives au niveau social aux bas degrés de la hiérarchie, et leurs programmes sont excellents. En général, les francs-maçons ou les chrétiens s'efforcent, par leur présence, de contribuer de façon constructive à la vie quotidienne. La plupart, au moins, ont à coeur de donner cette image (nous en avons un exemple frappant chez les chrétiens en Irlande qui s'entre-tuent). Une longue étude de l'homme est souvent nécessaire pour comprendre ce qui se passe en son for intérieur. [On les reconnaîtra à leurs fruits.] On peut dire, en principe, que plus on monte dans la "pyramide", (dans la hiérarchie) où les vrais secrets sont gardés, plus l'état d'esprit s'inverse si on le compare à celui des premiers degrés. Jacob Schiff fut, par exemple, un membre élevé de la "B'nai B'rith" et fut aussi celui qui manigançait dans l'ombre la révolution bolchevique. Franklin D. Roosevelt, grand maître des francs-maçons, a engagé beaucoup de réformes sociales pendant sa présidence mais il fut aussi celui qui a plongé les États-Unis dans la guerre et lancé l'attaque sur Pearl Harbour. Ce fut également lui qui complota lors des "trois grandes rencontres" avec Churchill et Staline pour vendre l'Europe de l'Est aux communistes. Comme on le voit, il s'avère qu'il est d'une grande efficacité de conserver un secret et que cette méthode est souvent employée.
[RT = la famille Rothschild, le tribunal Rothschil]
Emblème des États-Unis d'Amérique
Le sigle utilisé de Washington conformément au projet de Charles Thompson.
L'oiseau avec le long col représente un phénix.
Le phénix a été officieusement le premier oiseau d'écusson des États-Unis, toutefois il est remplacé en 1841 par l'aigle pécheur le Pyrague à tête blanche.
Aperçu des principales organisations connues des Illuminati
JOHN TODD, ex-membre du "conseil des 13", décrit ainsi la pyramide : "Le sceau fut créé sur l'ordre de la famille Rothschild à Londres (d'après le livre d'Ayn Raud "Atlas shrugged", il s'agissait de Philippe Rothschild, note de l'auteur). C'est une organisation luciférienne avec, à sa tête, les Rothschild. On y trouve des francs-maçons, des communistes et des membres d'autres associations. Cette organisation est très répandue. On y traite de politique et de finances et on y projette l'instauration d'un gouvernement mondial unifié. Cette organisation fera tout ce qui est en son pouvoir pour instituer ce gouvernement mondial même si cela exige une troisième guerre mondiale. Cette organisation s'appelle les "Illuminati", mot qui signifie les "porteurs de lumière". (Helmut Finkenstädt : "Eine Generation im Banne Satans" (Une génération ensorcelée par Satan)) Todd ainsi que Coralf ("Maitreya, der kommende Weltlehrer" ("Maitreya, le futur maître du monde")) décrivent les différents degrés comme suit :
L'oeil qui voit tout C'est l'oeil de Lucifer. C'est l'esprit qui guide, l'instance dirigeante intérieure.
RT C'est la famille Rothschild, le tribunal Rothschild. Les Illuminati les considèrent comme des dieux incarnés et leur parole fait office de loi. (On dit qu'ils seraient en contact direct avec Lucifer. Qui sait ?)
Le conseil des 13 C'est le grand conseil des druides — les 13 grands druides qui forment la prêtrise privée des Rothschild.
Le conseil des 33 Y sont représentés les francs-maçons des rangs les plus élevés du monde de la politique, de l'économie et de l'Église. Ils sont l'élite du "Comité des 300". (D'après Todd et Coralf)
Le comité des 300 Créé en 1729 par la BEIMC (British East India Merchant Company) pour s'occuper des affaires bancaires et commerciales internationales et soutenir le trafic d'opium, le Comité des 300 est dirigé par la Couronne britannique. Il représente le système bancaire mondial dans sa globalité et compte en plus, les représentants les plus importants des nations occidentales. Toutes les banques sont reliées aux Rothschild par le "Comité des 300". (142)
Le Dr John Coleman publie dans son livre "Conspirators Hierarchy : The Committee of 300" (La hiérarchie des conspirateurs : Le Comité des 300) les noms de 290 organisations, 125 banques ainsi que ceux de 341 membres actuels ou anciens du Comité des 300.
Je vous communique quelques noms :
Arthur Balfour
Willy Brandt
Edward Bulwer-Lytton auteur de "The Coming Race"
McGeorge Bundy
George Bush
Lord Carrington
Huston Stewart Chamberlain
Maison d'Orange Constanti
Famille Delano Frederic Delano fut membre du comité directeur de la "Federal Reserve".
Sir Francis Drake
Famille Du Pont
John M. Forbes
Frédéric IX foi du Danemark
Lloyd George
Grey, Sir Edward
Sir Douglas Haig
Averill Harriman
Maison des Hohenzollern
Colonel Mandel House
Lord Incheape
Henry Kissinger
Sir Harold Lever
Walter Lippmarm
Bruce Lockheart
Sir John Loudon
Guiseppe Mazzini
Andrew Mellon
Lord Alfred Milner
François Mitterand
J.P. Morgan
Montague Norman
Sir Harry Oppenheimer
Olof Palme
Princesse Beatrix
Prince Rainier
Reine Élisabeth II
Reine Juliana
Joseph (Ratzinger ?) Retinger [le pape actuel, Benoît XVI]
Cecil Rhodes
David Rockefeller
Lord Rothmere
Baron Edmond de Rothschild
George Shultz
Cardinal Spellman
Baron Hans Heinrich Thyssen-Bornemisza
Famille Vanderbilt
Baron August von Finck
Otto von Habsburg
Max von Thum und Taxis
S.G. Warburg
Comte Warren
0wen Young
Les autres loges des Illuminés de Bavière ont déjà été citées dans le livre.
Les Organisations les plus influentes agissant dans l'ombre
Le Council on Foreign Relations (CFR)
Fondé par la "Round Table" en 1921, on lui donne aussi le nom d' "establisment", de "gouvernement invisible" ou de "ministère Rockefeller des Affaires étrangères". Cette organisation à moitié secrète, dont les membres sont exclusivement des citoyens des États-Unis, compte parmi les plus influentes de ce pays. Le CFR exerce, de nos jours, un contrôle étroit sur les nations occidentales, que ce soit de façon directe, parce qu'il est en relation avec des organisations du même genre, ou que ce soit I'intermédiaire d'institutions, telles que la "Banque mondiale" qu'il préside. Depuis sa création, tous les présidents des États-Unis, sauf Ronald Reagan, y étaient déjà membres avant leur élection. En revanche, le vice-président de Reagan, George Bush, était membre du CFR. Il en fut même le directeur en 1977. Le CFR est contrôlé par le syndicat Rockefeller et sert à concrétiser son but : la création d'un "Gouvernement mondial unique". (143) Le cercle le plus intime du CFR est l'ordre de "Skull & Bones".
La Jason Society, noyau de la Skull & Bones
Ses propres membres l'appellent "The Order" (L'ordre). Beaucoup le connaissent depuis plus de 150 ans comme groupe local 322 d'une société secrète allemande. D'autres lui donnent le nom de "Brotherhood of Death" (Fraternité de la mort). L'ordre secret de "Skull & Bones" (traduction mot à mot : "crâne et os") fut introduit par William Huntington Russel et Alphonso Taft à l'Université de Yale en 1833. Russel, après avoir été en Allemagne où il fit des études en 1832, l'introduisit ensuite à Yale. En 1856, il fut incorporé au "Russel Trust". Cet ordre forme, entre autres, le "noyau" (l'élite) du CFR. Le noyau de Skull & Bones, à son tour, s'appelle la "Jason Society".
Les familles suivantes dominent cet ordre depuis 1833 :
Rockefeller Standard Oil
Harriman chemins de fer
Weyerhaeuser commerce de bois
Sloane commerce de détail
Pillsbury minotier
Davison J.P. Morgan
Payne Standard Oil
Issus de Massacbusetts :
Gilman 1638, Hingham
Wadsworth 1632, Newtown
Taft 1679, Braintree
Stimson 1635,Watertown
Perkins 1631, Boston
Whitney 1635, Watertown
Phelbs 1630, Dorchester
Bundy 1635, Boston
Lord 1635, Cambridge
(Extrait de "Skull & Bones" et "The Two Faces of George Bush" (Les deux faces de George Bush), d'Anthony C. Sutton)
Dans ce livre, nous avons suffisamment mentionné que cet ordre est relié à beaucoup d'autres organisations. Il est aussi en rapport avec le groupe de Lord Milner "The Round Table" duquel est issu le CFR.
La Round Table calquée sur la Société des Jésuites
La "Round Table" vit le jour le 5 février 1981 grâce à Cecil Rhodes en Angleterre. Ses membres fondateurs furent, entre autres, Stead, Lord Esher, Lord Alfred Milner, Lord Rothschild, Lord Arthur Balfour. La structure de ce groupe était — comme celle des SS de Hitler — calquée sur la Société de Jésus, l'ordre des Jésuites. Son but principal était d'élargir la domination britannique et l'utilisation de la langue anglaise au monde entier. D'après mes sources, Rhodes visait à un gouvernement mondial pour le bien des hommes mais la "Round Table" fut, plus tard, infiltrée par des agents des Illuminati. Ce groupe est relié aux sionistes par la famille Rothschild ainsi qu'aux familles américaines Schiff, Warburg, Guggenheim et Carnegie. Lord Milner en prit, plus tard, la direction. En sont issus le "Royal Institute of International Affairs" (RIIA) et le CFR. Milner est aussi un des membres principaux du "Comité des 300". L' "Instifute for Advanced Study" (IAS) pour lequel travaillèrent Robert Oppenheimer et Albert Einstein est issu de la "Round Table". Ceux-ci construisirent, plus tard, pour le IAS la première bombe atomique. (144) L'organisation annexe allemande du RIIA et du CFR est la DGAP, la "Deutsche Gesellschaft für Auswärtige Politik" (Société allemande de politique extérieure). Elle fut fondée le 29 mars 1955 et se proclame indépendante, au-dessus des partis. Ses membres débattent des problèmes politiques et économiques internationaux, et de ceux de l'Europe en particulier. L'influence que la DGAP exercée en Allemagne n'est probablement pas aussi grande que celle du CFR aux États-Unis mais les noms des principaux membres parlent d'eux-mêmes :
Liste en 1981 :
Hans Apel
Otto Wolff von Amerongen
Martin Bangemann Kurt président Birrenbach
Klaus von Dohnanyi
Hans-Dietrich Genscher
Karl Kaiser
Hans L. Merkle
Philip Rosenthal
Helmut Schmidt
Gerhard Stoltenberg
Wolfgang Wagner éditeur de l' "Europa-Archiv"
Richard von Weizsäcker
Hans-Jürgen Wischnewski
et autres...
Liste de 1992 :
Otto Wolff von Amerongen
Klaus von Dohnanyi
Björn Engholm
Karl Kaiser
Otto Graf Lambsdorff
Hans L. Merkle
Volker Rühe
Helmut Schmidt
Rita Süssmuth
Manfred Stolpe
Wolfgang Wagner
Theo Waigel
et autres...
(Noms extraits de la liste de 1981 et 1992 du DGAP e.V., Bonn. Vous trouverez la liste des membres au complet dans "The Rockefeller File" de Gary Allen.)
Il est, certes, intéressant de constater que les représentants des différents partis qui délibèrent tous en secret, assis autour d'une table, se lancent le lendemain publiquement les pires injures à la tête. Tout commentaire est superflu !
Les Bilderberger
Cette Organisation secrète fut créée en mai 1954 à l'hôtel de Bilderberg à Oosterbeek, en Hollande, par le prince Bernard des Pays-Bas. Elle est composée de 120 magnats de la haute finance d'Europe de l'Ouest, des États-Unis et du Canada. Ses buts principaux, formulés par le prince Bernard, sont l'institution d'un gouvernement mondial d'ici l'an 2000 et d'une armée globale sous le couvert de l'ONU. On l'appelle aussi le "gouvernement invisible". Un comité consultatif composé d'une commission de direction (avec 24 Européens et 15 Américains) décide des personnes à inviter à leurs rencontres. Johannes Rothkranz écrit que seuls sont invités ceux qui ont fait preuve d'une indéfectible loyauté dans les intrigues menées par les Rockefeller et les Rothschild. Toutes les personnes présentes ne sont pas des "initiés", elles peuvent être aussi seulement des représentants d'un groupement d'intérêts ou d'autres personnes. (145)
Le Groupe de Bilderberg est sans doute le plus puissant des réseaux d'influence. Il rassemble des personnalités de tous les pays, leaders de la politique, de l'économie, de la finance, des médias, des responsables de l'armée ou des services secrets, ainsi que quelques scientifiques et universitaires. Très structuré, le Groupe de Bilderberg est organisé en 3 cercles successifs. Le "cercle extérieur" est assez large et comprend 80% des participants aux réunions. Les membres de ce cercle ne connaissent qu'une partie des stratégies et des buts réels de l'organisation. Le deuxième cercle, beaucoup plus fermé, est le Steering Committee (Comité de Direction). Il est constitué d'environ 35 membres, exclusivement européens et américains. Ils connaissent à 90% les objectifs et stratégies du Groupe. Les membres américains sont également membres du CFR. Le cercle le plus central est le Bilderberg Advisory Committee (Comité consultatif). Il comprend une dizaine de membres, les seuls à connaître intégralement les stratégies et les buts réels de l'organisation.
Pour ceux qui enquêtent sur les réseaux de pouvoir, le Groupe de Bilderberg est un véritable gouvernement mondial occulte. Au cours de ses réunions, des décisions stratégiques essentielles y sont prises, hors des institutions démocratiques où ces débats devraient normalement avoir lieu. Les orientations stratégiques décidées par le Groupe de Bilderberg peuvent concerner le début d'une guerre, l'initiation d'une crise économique ou au contraire d'une phase de croissance, les fluctuations monétaires ou boursières majeures, les alternances politiques dans les "démocraties", les politiques sociales, ou encore la gestion démographique de la planète. Ces orientations conditionnent ensuite les décisions des institutions subalternes comme le G8 ou les gouvernements des états.
Les membres du Groupe de Bilderberg s'appellent eux-mêmes les "Bilderbergers". Ils sont choisis uniquement par cooptation. Le Groupe de Bilderberg se réunit une fois par an pendant environ 4 jours. Les réunions ont lieu chaque année au printemps dans une ville différente, mais toujours dans des châteaux ou des hôtels luxueux, entourés d'un parc ou situés en pleine nature, et si possible équipés d'un golf. Les réunions sont protégées par plusieurs centaines de policiers, militaires, et membres des services spéciaux du pays d'accueil. Si la réunion a lieu dans un hôtel, celui-ci est vidé de ses occupants une semaine avant l'arrivée des Bilderbergers. Les invités sont déposés par un ballet d'hélicoptères noirs et par des limousines aux vitres fumées avec la lettre "B" sur le parre-brise.
Les discussions se tiennent à huis-clos. Quelques journalistes dévoués à la "pensée unique" peuvent être parfois présent, mais rien ne doit filtrer des discussions. Il est interdit de prendre des notes ou de faire des déclarations à la presse. Mais quelques photographes arrivent parfois à prendre des photos à l'extérieur, au moment de l'arrivée des invités. La réunion 2004 du Groupe de Bilderberg s'est déroulée du 3 au 6 juin (juste avant la réunion du G8) à Stresa dans le nord de l'Italie près de la frontière suisse, dans un palace sur les rives du Lac Majeur, le "Grand Hôtel des Îles Borromées". En 2003, la réunion avait lieu en France du 15 au 18 Mai, au château de Versailles qui a été fermé au public pendant une semaine.
Quelques-uns des représentants INTERNATIONAUX les plus importants sont ou ont été :
Giovanni Agnelli patron de Fiat
Zbigniew Brzezinski président de la Commission trilatérale et agent Rockefeller le plus important.
George Bush ex-chef de la CIA, ex-chef du CFR, ex-président des États-Unis, membre du Comité des 300.
Lord (GB) Carrington membe du Comité des 300, des Kissinger Associates, ex-président de l'OTAN.
Allen Dulles ex-chef de la CIA
Bill Clinton président des États-Unis, membre du CFR et de la Commission trilatérale.
Henry II Ford
Felipe Gonzales secrétaire général du parti socialiste espagnol et, plus tard, Premier ministre.
Peter (A) Jankowitsch
David Kennedy
Henry Kisssinger aussi membre de la loge P2 italienne
Joseph Luns ex-secrétaire général de l'OTAN
Lord Roll of Ipsden ex-président du S.O. Warburg Group Plc.
Robert McNamara Banque mondiale
Wilfried (B) Martens
Olof Palme était aussi membre du Comité des 300
Walter R. Reuther
David Rockefeller
John D. Rockefeller
Nelson Rockefeller
Baron Edmund de Rothschild
Jan Tindemanns ex-premier ministre de la Belgique
Eric D. Warburg
Siegmund Warburg
Manfred OTAN Wörner
MEMBRES ALLEMANDS :
(Tous ont été présents au moins une fois)
Abbs Hermann Deutsche Bank
Egon Bahr
Rainer Barzel
Kurt Becker Kölner Stadtanzeiger
Berthold Beitz konzern de Krupp
Berg, Fritz président du BDI (fédération des syndicats patronaux de l'industrie).
Christoph Bertram
Kurt Biedenkopf
Kurt Birrenbach DGAP
Hans C. Boden
Willy Brandt
Max Brauer
Birgit Breuel Treuhand
Carl Carstens
Ralf Dahrendorf
Erich Dethleffsen
Werner H. Dieter Mannesmann AG
Klaus von Dohnanyi
Felix von Eckard
Ottmar Emminger Bundesbank (banque fédérale)
Björn Engholm
Ludwig Erhard
Fritz Erler
Ernst Falkenheim
Gerhard Geyer
Herbert Gross
Walter Hallstein
Alfred Herrhausen Deutsche Bank
Herwarth von Bittenfeld
Hans Heinrich
Rolf Heyn
Karl Kaiser
Dieter Kastrup
Walter Leisler Kiep
Kurt-Georg Keisinger
Helmut Kohl
Hilmar Kopper Deutsche Bank
Franz Krapf diplomate
Knut von Kühlmann-Stumm
Otto Graf Lambsdorff
Paul Leverkühn
Richard Löwenthal
Ernst Majonica
Klaus Mehnert
Alexander Menne
Hans Merkel
Alois Mertes ministre des Affaires étrangères
Karl Mommer
Rudolf Müller
Alfred Müller-Armack
Karl Otto Pöhl ex-président de la Bundesbank
Jürgen Ponto Dresdner Bank
Wolfgang Reitzle BMW AG
Ludwig Rosenberg
Volker Rühe
Friedrich Ruge
Heinz Ruhnau Lufthansa
Walter Scheel
Karl Schiller
Carlo Schmidt
Helmut Schmidt
Ernst George Schneider
Gerhard Schrôder
Hans-Günther Sohl Thyssen
Theo Sommer Die Zeit
Axel Springer Bild
Dolf Sternberger professeur en Politologie
Gerhard Stiltenberg
Franz Joseph Strauss
Erwin Teufel
Heintich Troeger Bundesbank
Ludger Westrick
Norbert Wieczorek
Hans-Jürgen Wischnewski
Otto Wolff von Amerongen gros industriel
et beaucoup d'autres...
NOTE : Ces noms ont été rassemblés par différents auteurs, dont la plupart sont des étrangers. Je les ai regroupés mais n'ai pas fait de plus amples recherches. (noms tirés de "The Spotlight" : Bilderberger Report, septembre 1991 ; F. William Engdahl : "Mit der Ölwaffe zur Weltmacht" p. 366 ; Politishes Lexikon von C.O.D.E. Nr 1/1 et C.O.D.E. Nr 9/1992 ; Stan Deyo : "The Cosmic Conspiracy" ; — West Australian Texas Trading, P.O. BOX 71 — Kalamunda, Western Australia 6076 ; "Diagnosen" Nr. 8, août 1985)
La Commission Trilatérale
Cette organisation secrète fut créée en juin 1972 par David Rockefeller et Zbigniew Brzezinski, notamment parce que les organisations bien établies, telles que les Nations Unies, n'allaient pas assez vite pour mettre en place le "Gouvemement mondial unique". Les "Big Boys" voulaient que "ça bouge". Cette organisation élitaire a pour but de réunir dans un seul pool les puissances de pointe des géants de l'industrie et de l'économie, c'est-à-dire des nations trilatérales — États-Unis, Japon et Europe de l'Ouest — et elle vise à créer, une fois pour toutes, le "Nouvel Ordre Mondial". Cette organisation permet à l'élite venant de diverses branches de la franc-maçonnerie de se rencontrer à une échelle mondiale pour collaborer à un travail secret ; elle doit aussi élargir l'influence politique des "Bilderberger". La plupart des membres européens avaient des contacts avec les Rockefeller pendant des années. Cette organisation se compose d'environ 200 membres qui, contrairement aux Bilderberger, sont permanents. La "Commission trilatérale" contrôle avec les membres du CFR toute l'économie des États-Unis, la politique, l'appareil militaire, le pétrole, l'énergie et le lobby des médias. Ses membres sont, entre autres, des patrons de konzerns, des banquiers, des agents immobiliers, des économistes, des politologues, des avocats, des éditeurs, des dirigeants syndicalistes, des présidents de fondations et des éditorialistes. (146)
LES MEMBRES LES PLUS IMPORTANTS SONT :
Zbigniew Brzezinski conseiller à la sûreté auprès du président des États-Unis
George Bush ex-président des États-Unis, ex-chef de la CIA, ex-chef du CFR
Bill Clinton membre des Bilderberger, du CFR, président des États-Unis
Henry Kissinger ex-ministre des Affaires étrangères des États-Unis
Robert McNamara Banque mondiale
David Rockefeller Chase Manhattan Bank, EXXON
John D. Rockefeller
Edmund de Rothschild Royal Dutch, Shell
LES MEMBRES ALLEMANDS LES PLUS IMPORTANTS SONT :
Otto Wolff von Amerongen président de la Otto Wolff AG
Kurt Biedenkopf membre du Bundestag
Kurt Birrenbach président de la DGAP, membre des Bilderberger
Ehmke Horst membre du Bundestag
Hartwig président de l'Union fédérale du commerce en gros et du commerce extérieure
Diether Hofmann auparavant Neue Heimat, Hamburg
Ludwig Huber Bayerische Landesbank et Girozentrale München
Horst Janott directeur de la Münchner Rückversicherung
Karl Kaiser dirigeant de l'institut de recherche de la DGAP
Norbert Kloten président de la Landeszentralbank
Erwin Kristoffersen dirigeant du département intérieur du DGB (Confédération des syndicats allemands)
Otto Graf Lambsdorff ex-ministre des affaires économiques
Walter Leisler-Kiep ex-trésorier de la CDU (Union chrétienne démocrate)
Hans Maull rédacteur au Bayerischer Rundfunk (radio bavaroise)
Alwin Münchmeyer père de Birgit Breuel
Fiedrich Neumann président du NRW (syndicat patronal)
Porzner membre du Bundestag, ex-secrétaire d'État
Klaus Richier directeurs des établissements d'optique G. Rodenstock
Volker Rühe membre du Bundestag, ministre de la défense
Hans Günther Sohl président du conseil d'administration de la Thyssen AG
Theo Sommer rédacteur en chef du journal "Die Zeit"
Helmut Schmidt ex-chancelier
Ronaldo Schmitz membre du conseil d'administration de la BASF AG
Gerhard Schöder ex-membre du Bundestag
Heinz-0skar Vetter ex-président du DGB (Confédération des syndicats allemands)
Joachim Zahn ex-président du conseil d'administration de la Daimler Benz AG
Les membres suivants peuvent officiellement être absents tant qu'ils occupent un poste dans le gouvernement :
Karl-Heinz Narjes vice-président de la Commission de la CE
Gerhard Stoltenberg ministre des finances
(Noms extraits des "Vertrauliche Mitteilungen" no 2628, feuille 2, du 3 juillet 1986.)
Le Club de Rome
Le "Club de Rome", que je n'ai pas mentionné jusqu'ici, regroupe d'après Ovin Demaris ("Dirty Business") des membres de l'establishment international de 25 pays (soit une cinquantaine de personnes). Il fut créé par le clan Rockefeller (dans leur propriété privée à Bellago, en Italie). Ce sont eux qui le financent aujourd'hui encore. Son but principal est aussi de créer un gouvernement mondial en s'appuyant sur l'élite. Il a, de plus, élaboré une religion unique mondiale et a fait croire dans les médias à une "crise de l'énergie" et à un surpeuplement de notre planète. D'après William Cooper, le "Club de Rome" aurait développé le virus du SIDA (avec l'antidote correspondant, bien sûr) et l'aurait répandu dans les populations pour introduire le grand programme d'assainissement des races en vue du gouvernement mondial de l'élite (dans le livre de William Cooper "Behold a Pale Horse" vous trouverez des faits et noms précis se rapportant au SIDA. (147)
Ce groupe a été organisé en 1968 par le "Morgenthau Group" dans le seul but d'accélérer les plans afin d'aboutir à un Nouvel Ordre Mondial pour les années 2000. Le Club de Rome développa un plan afin de diviser le monde en 10 régions ou royaumes. En 1976, la "United States Association of the Club of Rome" (USACOR) a été créée dans le seul but d'en finir graduellement avec l'économie des États-Unis d'Amérique. La "Technotronic Era" (le nom du plan). Le Club de Rome demanda à Zbigniew Brzezinski, qui était le National Security Advisor de Jimmy Carter, (qui aussi avec David Rockefeller a formé la Commission Trilatérale en 1973), d'écrire "The Technotronic Era" (L'ère Technotronique). C'est un plan poste-industriel de zéro croissance créé en parti pour détruire l'industrie des États-Unis dans le but de les préparer pour un Nouvel Ordre Mondial. Les représentants de l'OTAN au Club de Rome qui furent chargés d'actions urgentes anti-NASA ont été Walter J. Levy, Harland Cleveland, Claiborne K. Pell, Joseph Slater, George McGhee, William Watts, Robert Strausz-Hupe (Ambassadeur Américain à l'OTAN) et Donald Lesh. En mai 1967 un rendez-vous fut organisé par le "Comité Scientifique et Technologique du North Atlantic Assembly" et la "Foreign Policy Research Institute". Elle a été appelé "Conférence sur l'Imperfection et Collaboration Transatlantique" et eut lieu au palace privé de la Reine Élisabeth II à Deauville en France.
Les intentions basiques de cette conférence à Deauville furent d'en finir avec les progrès industriels et technologiques des États-Unis d'Amérique. En dehors de la conférence sortit deux livres, dont un dans lequel est mentionné l'ére Technotronique de Brzezinski. L'autre fut écrit pas un directeur de conférence, Aurellio Peccei, titré "The Chasm Ahead". Peccei a largement été d'accord avec Brzezinski, mais il ajouta que le monde serait dans le chaos si dans un futur monde nous ne serions pas contrôlé par un seul gouvernement mondial. Le rôle de Kissinger qui était de déstabiliser les États-Unis avec l'aide de trois guerres, celle du Moyen-Orient, de la Corée et du Vietnam, est très connu, car son rôle dans la guerre du Golfe, dans laquelle les États-Unis ont agi comme des mercenaires pour le comité des 300 en ramenant le Koweït sous son contrôle et au même moment de faire un exemple de l'Irak comme ça n'importe quelle autre petite nation ne sera pas tentée de chercher sur comment faire sa propre destinée. Le Club de Rome, agissant sous le Comité des 300 a ordonné l'élimination du Général Muhammad Zia-ul-Haq, et n'eut aucun remords à sacrifier les vies d'hommes au service des États-Unis à bord du vol, y comprit le chef de l'U.S Army Defense Intelligence Agency le Brigadier Général Herber Wassom. Le Général Zia-ul-Haq a été prévenu par les Services Secrets Turcs de ne pas voyager en avion, comme il était visé par un bombardement mid-air. Ayant cela à l'esprit, le Général Zia-ul-Haq a prit l'équipe des États-Unis avec lui en tant qu' "assurance vie" comme il l'a commenté à l'intérieur de son cercle de conseillers.
Le Club de Rome et ses financiers sous le titre du "German Marshall Fund" furent des corps conspirateurs trop organisés opérants sous la couverture de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) et la majorité des représentants du Club de Rome furent retirés de l'OTAN. Le Club de Rome a formulé tout ce que l'OTAN a affirmé être ses règles, avec l'aide des activités du membre du comité des 300 Lord Carrington, et fut capable de séparer l'OTAN en deux factions, un groupe de pouvoir politique (l'aile gauche) et son ancêtre d'alliance militaire. Le Club de Rome est toujours l'arme de politique étrangère la plus importante du comité des 300, et l'autre étant le groupe Bilderberg. Le Club a été formé en 1968 par un membre hard-core du group Morgenthau sur la base d'un coup de téléphone de la part de Aurellio Peccei pour une accélération nouvelle et urgente du plan de créer un seul Gouvernement Mondial maintenant appelé le Nouvel Ordre Mondial. L'appel téléphonique de Peccei fut répondu par les "planificateurs du futurs", les plus subversifs provenant des États-Unis d'Amérique, de la France, de la Suède, de la Grande Bretagne, de la Suisse, et du Japon auxquelles on pourrait se rallier.
Durant la période 1968-1972, le Club de Rome devint une entité cohésive de scientifiques de nouvelles sciences, d'inter mondialistes, de planificateurs du futurs et d'internationalistes de toutes les couleurs. Comme un délégué l'a dit, "We became Joseph's Coat of Many Colors". Le livre de Peccei "La Qualité Humaine" forme la base de la doctrine adoptée par l'aile politique de l'OTAN. Peccei dirigea le "Atlantic Institute's Economic Council" pendant 3 années alors qu'il était un chef officier exécutif de Giovanni Agnellis la Compagnie Fiat Motor. Agnelli, un membre d'une ancienne Famille de la Noblesse Noire Italienne du même nom, est un des membres les plus important du comité des 300. Il joua un rôle majeur dans les projets de développement de l'Union Soviétique.
Le Club de Rome est une organisation conspiratrice, un mariage entre les financiers Anglo-Américain et les familles Européennes de la Sombre Noblesse, particulièrement la soi-disante "noblesse" de Londres, Venise et Gênes. La clé pour un futur succès du contrôle du monde est dans leur habilité à créer et à gérer des récessions économiques sauvages et éventuellement des dépressions. Le comité des 300 cherche à créer des convulsions sociales à l'échelle mondiale, suivit par des dépressions, en tant que technique d'adoucissement pour les grosses choses à venir, sa méthode principale est de créer des masses de gens partout dans le monde qui deviendront leurs récipients de "bien être" pour le futur. Le comité apparaît de baser toutes ses décisions importantes affectant l'humanité sur la philosophie de l'aristocrate Polonais Felix Dzerzinski, qui voyait l'humanité être un peu plus au-dessus du niveau de troupeau. En tant qu'ami proche de Sydney Reilly du "British Intelligence Agency" (Reilly était actuellement le contrôleur de Dzerzinski durant les années de formation de la Révolution Bolchevik), il se confia souvent à Reilly durant ses moments de faiblesse dû à l'alcool. Dzerzinski était, bien sur, la bête qui a dirigé la Terreur Rouge. Il a déjà dit à Reilly, alors que les deux étaient déjà bien sous l'emprise de l'alcool, que "l'homme n'est d'aucune importance. Regardez ce qui arrive quand vous le laissez s'affamer. Il commence à manger ses compagnons morts pour resté en vie. L'homme est seulement intéressé en sa propre survie. C'est tout ce qui compte. Tous les trucs "Spinoza" ne servent à rien."
En respect avec le tiers monde, Harland Cleveland du Club de Rome prépara un rapport qui fut d'un très grand cynisme. À ce moment, Cleveland était un Ambassadeur des États-Unis à l'OTAN. Essentiellement, le papier dit qu'il serait du ressort des nations du Tiers Monde de décider parmi eux quelles populations devraient être exterminées. D'après une lettre écrite par Peccei (basé sur le rapport Cleveland, Cleveland Report) : "Endommagés par des conflits politiques de trois pays et blocs majeurs, rassemblés grosso modo ici et là, l'ordre économique international existant est visiblement entrain de se noyer. La nécessité du recours à la sélection décidant qui doit être sauvé est très morose effectivement. Mais, si lamentablement, les évènements comme cela devaient se passer, les droits de faire de telles décisions ne peuvent être laissés à juste quelques nations parce que cela les amèneraient à un pouvoir sinistre sur la vie et la faim dans le monde."
Le Club de Rome est aussi relié au projet « The Third Alternative » (la Troisième Alternative), pour établir des bases sur la Lune et sur Mars, projet qui fut réalisé en grand secret vers les années 1959.
Le Bohemian Club
Le Bohemian Club (ou "Bohemian Grove") a été fondé en 1872, et compte environ 2000 membres, exclusivement masculins. C'est une organisation de type "ésotérique" ou "occulte", où se retrouvent des hauts dirigeants de l'économie, de la finance et de la politique. Ces dirigeants sont supposés être des modèles de rationalité matérialiste. Mais chaque année au mois de juillet, ils se rendent en jet privé à Monte Rio en Californie, à 120 km au Nord de San Francisco, dans un immense domaine de 1500 hectares de nature sauvage, de forêts de séquoias et de lacs. Ils y discutent des affaires du monde et s'entendent sur des stratégies politiques ou économiques. Mais surtout, ils participent à des cérémonies païennes d'inspiration druidique et souvent satanique, avec notamment un bûcher nocturne devant une immense statue de hibou, et qui est en fait une représentation de Moloch, une divinité babylonienne, et de Lilith, une divinité sumérienne. Le hibou est aussi le logo du Bohemian Club. Moloch était une divinité à laquelle les Babyloniens offraient des sacrifices humains. Or selon des témoignages, des sacrifices humains ainsi que des rites sataniques à caractère sexuel auraient lieu dans les parties éloignées du parc. Il est probable que seule une partie des convives y participent.
D'autres activités ont un caractère allégorique ou théâtral. D'autres encore sont délibérément décadentes, et peuvent être qualifiées de beuverie et d'orgie collective. Le séjour est aussi agrémenté de promenades en canoë sur le lac du parc. À d'autres moments, des participants importants font des exposés qui définissent les orientations fondamentales de la politique mondiale. En 1982, Henry Kissinger a annoncé au Bohemian Club ce qu'allaient être la restructuration radicale de l'économie et l'instauration d'un Nouvel Ordre Mondial, dans un discours intitulé "Le défi des années 80". En 1991, Dick Cheney (alors ministre de la défense de Bush père) est intervenu sur le thème des "problèmes de la Défense au 21ième siècle". Les participants sont en majorité des Américains, souvent proches du Parti Républicain. Mais quelques Européens sont aussi invités, comme Michel Rocard (ancien premier ministre français) Valery Giscard d'Estaing (ancien président français, et concepteur de la Constitution Européenne), ou John Major (ancien premier ministre britannique).
Quelques membres du Bohemian Club :
David Rockefeller grand banquier, et membre du Groupe de Bilderberg, du CFR, de la Commission Trilatérale, entre autres...
Nelson Rockefeller grand banquier, et membre du CFR, et de MAJI — ou MJ12 — entre autres... Très lié au lobby militaro-industriel américain, c'est lui qui a placé au pouvoir Nixon et Kissinger
Henry Kissinger ancien ministre des affaires étrangères de Nixon, et membre du Groupe de Bilderberg, du CFR, de la Commission Trilatérale, et de MAJI — ou MJ12 — entre autres...
Theodore Roosevelt président des États-Unis de 1901 à 1909
William Howard Taft président des États-Unis de 1909 à 1913
Calvin Coolidge président des États-Unis de 1923 à 1929
Herbert Hoover président des États-Unis de 1929 à 1933
Harry Truman président des États-Unis de 1945 à 1952
Dwight Einsenhower président des États-Unis de 1953 à 1961
John Edgar Hoover directeur du FBI de 1924 jusqu'à sa mort en 1972
Richard Nixon président des États-Unis de 1969 à 1974
Gerald Ford président des États-Unis de 1974 à 1976
Ronald Reagan président des États-Unis de 1981 à 1988
George H.W. Bush président des États-Unis de 1989 à 1992, père de George W. Bush, ex-directeur de la CIA, membre des Skull and Bones, du CFR, de MAJI, entre autres
Bill Clinton président des États-Unis de 1993 à 2000
George W. Bush fils de George H.W. Bush. Président des États-Unis de 2001 à 2008, membre des Skull and Bones
Jeb Bush frère de George W. Bush, et gouverneur de Floride
Dick Cheney vice-président des États-Unis de 2001 à 2008, ministre de la défense de Bush père de 1989 à 1992
Karl Rove principal conseiller de George W. Bush
Colin Powell ministre de la défense de Bush père et ministre des affaires étrangères de Bush fils de 2001 à 2004
James Baker III ministre des affaires étrangères de Bush père
Caspar Weinberger ministre de la défense de Reagan, de 1981 à 1987
William Casey directeur de la CIA sous Reagan, de 1981 à 1987
William Webster directeur du FBI de 1978 à 1987
George Schultz ancien ministre des affaires étrangères de Reagan, ancien ministre de la Défense de Bush père, membre du CFR
Arnold Schwarzenegger gouverneur de Californie
Vernon Walters ancien chef d'état major de l'Armée américaine
Eliott Richardson ancien ministre de la défense américain
Paul Volker président de la FED, la banque centrale américaine, de 1979 à 1987
Alan Greenspan président de la FED de 1987 à 2005
Malcom Forbes milliardaire américain
Charles Schwab président de Charles Schwab & Co, l'une des plus grosses sociétés de gestion financière et d'investissements boursiers
Riley P.Bechtel PDG de Bechtel Corporation, l'un des leaders mondiaux dans le secteur du bâtiment et travaux publics, et à qui l'état américain accorde de très gros contrats, aux États-Unis ou à l'étranger.
David Packard co-fondateur de la société Hewlett-Packard
Lou Gerstner président d'IBM
Alex Mandl vice-président d'AT&T
Henry Ford II PDG de Ford Motor Company de 1945 to 1960 ; petit-fils de Henry Ford
Jack Welsh PDG de General Electric
Antonin Scala juge à la Cour Suprême américaine
Joseph Califano ancien ministre de la Justice de Nixon et Reagan
Newt Gingrich leader ultra-conservateur du Parti Républicain
Pete Wilson ancien gouverneur de Californie
Helmut Schmidt ancien chancellier allemand
Valery Giscard d'Estaing ancien président français, membre du Groupe de Bilderberg, concepteur de la Constitution Européenne
Michel Rocard ancien premier ministre français, membre du Groupe de Bilderberg
Tony Blair premier ministre britannique de 1997 à 2007, également membre du Groupe de Bilderberg
John Major premier ministre britannique de 1990 à 1997
Prince Philip Mountbatten Duc d'Edimbourg, Époux de la reine Élisabeth II
James Wolfensohn président de la Banque Mondiale de 1995 à 2005, ancien banquier, diplomé de Harvard
Ferdinando Salleo dernier gouverneur de Hong-Kong
Lee Kwan Yew premier ministre de Singapour de 1959 à 1990
Miguel de la Madrid ancien président du Mexique
Edward Teller père de la bombe H américaine
Walter Cronkite journaliste vedette de la chaine CBS
Francis Ford Coppola cinéaste
Franck Borman astronaute
Neil Armstrong astronaute
Alexander Shulgin chimiste moléculaire, inventeur de l'Extasy et de plus de 200 autres substances "psychédéliques" (génératrices d'états modifiés de la conscience)
Charlton Heston acteur, et président le la NRA (National Rifle Association), le lobby américain des propriétaires d'armes à feu
Clint Eastwood acteur
Bono chanteur du groupe U2, par ailleurs participant assidu du World Economic Forum de Davos
Les Nations Unies
Lors du congrès des francs-maçons du 28 au 30 juin 1917 à Paris, ceux-ci décidèrent de principes directeurs qui furent aussitôt votés : ce fut l'heure de naissance de la Société des Nations qui vit le jour en 1919 à Genève. Les Nations Unies naquirent de cette Société des Nations en 1945 à San Francisco. Cette institution créée par les Illuminati représente la plus grande loge franc-maçonnique du monde où doivent se réunir toutes les nations. Ainsi qu'il est écrit dans l'article 4 de Machiavel qui a été mentionné dans la préface, ses fondateurs furent les instigateurs des guerres menées durant ces deux derniers siècles. Quelle ironie du sort de voir, de nos jours, les hommes de toutes les nations demander aux Nations Unies d'aplanir les problèmes, d'arbitrer les guerres et d'y mettre fin ! Pour les peuples, l'ONU est l'ami sur lequel ils peuvent compter pour qu'il "prenne les choses en main". Lors de sa fondation, au moins 47 personnes parmi les délégués américains présents étaient membres du CFR dont David Rockefeller. Il saute aux yeux que l'emblème de l'ONU est un symbole franc-maçonnique. Je vais le décrire ici en le comparant au sceau d'État américain franc-maçonnique. (148) Le globe des Nations Unies et la forme circulaire du sceau de l'État américain avec l'inscription "Annuit coeptis" (notre entreprise — en fait, notre conjuration — est couronnée de succès) et en dessous "Novus Ordo Seclorum" (Nouvel Ordre Mondial) montrent le but poursuivi : celui d'une hégémonie mondiale. Les 33 parcelles du globe des Nations unies et les 33 pierres de la pyramide représentent les 33 degrés du "Rite Écossais" des francs-maçons. Le chiffre 13 qu'on retrouve dans les 13 épis à gauche et à droite du globe, dans les 13 marches de la pyramide et dans les 13 lettres des deux mots "Annuit Coeptis" est le chiffre juif de la chance. Ce chiffre 13 est le chiffre le plus important chez les francs-maçons et a différentes significations. Jésus avait douze disciples et fut lui-même le treizième. Dans la cabale, en numérologie et dans la 13ième carte du tarot, "la mort", ce chiffre 13 symbolise la transformation, l'alchimie, la renaissance, le phénix qui renaît de ses cendres, la connaissance des mystères et donc la faculté de matérialiser ou de dématérialiser, c'est-à-dire la faculté de créer à partir de l'éther (ce que firent Jésus, saint Germain, Bouddha, Hermes Trismegistos, Ramtha et beaucoup d'autres qui, par exemple, matérialisèrent du pain à partir de rien (de l'éther ?), ce qu'on appelle la "pierre philosophale"). Nous avons, de plus, sur le verso du sceau américain le phénix qui symbolise le chiffre 13, la transformation. Ses ailes ont 13 plumes, ses griffes à droite ont 13 flèches et celles de gauche serrent un rameau de 13 feuilles. Au-dessus de lui se trouve l'inscription "E Pluribus Unum" (Du multiple à l'un) composée de 13 lettres, surmontée de 13 étoiles présentées sous la forme d'une étoile de David, et sur sa poitrine la bannière aux 13 rayures qui représentent les 13 états fondateurs.
Remarque :
Les stations d'essence Dea des "Centrales électriques de la Rhénanie-West-phalie" (RWE) ont pour symbole une pyramide inversée avec 13 rayures. Une autres station d'essence aux États-Unis s'appelle "76", 7 + 6 = 13. Vous trouverez des centaines d'exemples si vous vous donnez la peine d'examiner les symboles des firmes, les produits, la publicité à la télévision, les armoiries d'États, les drapeaux, etc. (149) Le plus grand konzern franc-maçonnique en Amérique, Proeter & Gamble, contient 13 lettres et son emblème est un des plus vieux symboles francs-maçonniques : l'homme entouré d'un cercle avec 13 étoiles devant lui. Il est intéressant d'apprendre ce que le directeur général de "Proeter & Gamble" a dit à la télévision en octobre 1984, pendant le "Wisconsin Report, The Phil TV-Show" : "J'ai conclu un pacte avec Satan. J'ai vendu mon âme en échange d'une expansion économique. (...)" (150) (Vous trouverez plus d'informations sur l'interprétation des symboles dans "Die Insider" de Gary Allen ou dans la littérature franc-maçonnique.)
Ce sont les organisations les plus importantes parmi celles que nous connaissons qui touchent à l'économie, à la politique et au capital et qui veulent ériger un "Gouvernement mondial unique". Un groupe qui est pourtant d'une importance capitale et qui poursuit le même but mais que j'ai passé, jusqu'ici, sous silence, est L'EMPIRE ROCKEFELLER. Il a été traité déjà suffisamment dans les deux livres de Gary Allen. Cet empire est la principale source de financement du CFR, de la Commission trilatérale et du Club du Rome. Vous avez dû vous rendre compte que les mêmes noms reviennent sans arrêt. Il serait intéressant d'avoir une liste des membres du "Conseil des 33" ou du "Conseil des 13". Nous en connaissons, cependant, le but et la façon dont ils veulent le concrétiser. C'est, à mon avis, tout ce qu'il importe de savoir et ce devrait être suffisant. JohnTodd poursuit dans le livre de Finkenstädt "Eine Generation im Banne Satans" (Une génération ensorcelée par Satan) : "Si l'on demandait à un grand sorcier quelle est la plus grande sorcière du monde, on obtiendrait la réponse suivante : Ruth Carter Stapleton, la soeur de l'ex-président des États-Unis Jimmy Carter. Je ne sais si Jimmy Carter fait partie des francs-maçons. Tous les politiciens aux États-Unis en font habituellement partie, car c'est par ce biais qu'ils ont accès aux milieux politiques. Tous les présidents depuis Wilson, président pendant la Première Guerre mondiale faisaient partie des Illuminati, sauf Eisenhower qui était sous leur contrôle. Il y a environ 5000 personnes sur cette Terre qui connaissent bien les Illuminati, et des millions de personnes qui travaillent pour ces personnes-là. Il en est de même pour les francs-maçons. Seuls ceux qui en sont au 33ième degré du Rite Écossais savent. Les autres ne savent pas. Ils possèdent toutes les grandes compagnies pétrolières du monde ainsi que toutes les maisons de vente par correspondance aux États-Unis et 90% des grandes surfaces. Tous les ordinateurs des caisses des États-Unis sont reliés à un ordinateur géant à Dallas, au Texas, appelé "The beast" (La bête). Celui-ci est, à son tour, relié à deux autres ordinateurs à Bruxelles et à Amsterdam, portant, eux aussi, le nom de "The Beast". (151)
Résumé
Bien qu'il n'y ait dans ce livre que quelques extraits des "Protocoles des Sages de Sion" ainsi que du "Nouveau Testament de Satan", il nous est, cependant, possible d'avoir un bon aperçu des intrigues majeures menées par ceux qui tirent les ficelles à la surface de notre planète. Même en voulant affirmer qu'il est impensable ou impossible que les Illuminati puissent être capables de tels agissements pour accéder à la domination du monde, même en voulant contester que les peuples soient trompés ou que les masses soient dirigées et entraînées dans des guerres, il nous est, cependant, impossible, si nous avons un minimum d'esprit critique, de fermer les yeux sur ce qui existe : les guerres, les troubles, la faim et la misère, la haine, l'explosion des pays, la montée du racisme dans CHAQUE pays, la soif d'indépendance des peuples, l'impuissance des régnants, la corruption des politiciens, la perversion et la cruauté croissantes des humains, les dettes énormes des États, l'instabilité des monnaies, les crises économiques, les paysans accablés de dette, le chômage, l'insatisfaction générale, sans oublier tous ces gens frivoles et ceux qui ne croient en rien. On peut se demander par quel hasard l'état actuel du monde correspond précisément à celui souhaité par les Protocoles et s'étonner de la précision effrayante avec laquelle le plan d'Albert Pike a été mis en oeuvre ! Je voudrais rappeler, et c'est mentionné dans tous les livres d'histoire, que cinq agents ROTHSCHILD étaient présents lors des accords de Versailles et que ceux-ci firent fonction de CONSEILLERS des chefs d'État anglais, français et américains. Et puisque nous savons qu'une autre guerre devait inévitablement résulter de ces accords, il est facile de deviner ce que les conseillers ROTHSCHILD ont pu souffler aux oreilles des chefs d'État. Pensez-y encore sérieusement !
Rappelons-nous une parole de Roosevelt : "Rien de ce qui touche à la politique ne relève du hasard ! Soyons sûrs que tout ce qui se passe en politique a été bel et bien programmé !" J'en arrive donc à la conclusion que tout ce qui s'est passé jusqu'à ce jour en politique ou dans les finances s'est déroulé exactement comme le souhaitaient les Illuminati. Seuls ceux qui sont au courant sont à même de faire le rapprochement. Et si vous relisez le chapitre sur le contrôle de l'information et si vous repensez aux noms donnés dans les listes, vous comprendrez pourquoi il y en a très peu qui sont "vraiment au courant". C'est aussi la raison pour laquelle Hitler fit brûler tous les écrits occultes et instructifs. Ainsi que le dit si bien Dieter Rüggeberg : ...Seul un occultiste peut en reconnaître un autre." Un athée ou un matérialiste ne pourront jamais comprendre la façon de pensée d'un occultiste ni les motifs qui le font agir...
Voilà ce qui en résulte sur notre planète : Les plus grands occultistes poursuivant des buts négatifs, les Illuminati, l'élite et toutes les loges correspondantes, occupent presque tous les postes clé dans la haute direction des finances, de la politique, de l'économie, de la religion et des sciences. Ils se servent, de plus, de leur savoir ancestral satanique pour mener à bien leurs plans. Et nous sommes plus de six milliards d'hommes à vivre à côté d'eux, maintenus volontairement dans l'ignorance, que ce soit au moyen de la religion, de l'athéisme, du positivisme, du matérialisme, sans compter ceux parmi nous qui n'ont de foi que dans la science. Nous parlons un tout autre langage qu'eux et nous vivons notre vie sans le moindre pressentiment de ce qui se passe en réalité. Rüggeberg confirme ceci en écrivant : "Tous ces athées et agnostiques qui se joignent aux milieux progressistes de l'Église déclarant que l'occultisme et la magie ne sont que superstitions pour simples d'esprit sont loin de se douter qu'ils se sont laissé berner et n'ont fait que suivre des directives sciemment programmées par certaines loges ou Églises. Plus d'un athée célèbre en son temps se retournerait aujourd'hui dans sa tombe s'il apprenait que ce sont des membres d'ordres et de loges occultes qui lui ont remis ses prix d'honneur et ses décorations : il fallait bien, n'est-ce pas, qu'il continue à être un bon instrument capable de répandre des idées mensongères bien précises." ("Geheimpolitik", P. 61) (152)
Les Illuminati ont programmé les deux dernières guerres (ainsi que la troisième à venir) qu'ils ont financées et gagnées. On leur doit le fléau de la drogue. Ils programment et provoquent soit l'expansion, soit la crise de l'économie des pays, et ils utilisent pour leurs propres fins les événements politiques et économiques tout en laissant le peuple en pâtir. C'est ce qui explique leur richesse incroyable. D'un côté, ces hommes voudraient être adulés et respectés mais d'un autre côté, ils complotent des guerres et font le malheur des nations sans qu'elles s'en doutent. Des siècles durant, ils ont créé des clans opposés pour susciter la confusion parmi les hommes. Ils en utilisent certains pour faire le "sale boulot" et ce seront eux précisément que le peuple rendra responsables si ça tourne mal. En cas d'échec donc, ce sera de leur faute à eux (les marionnettes) alors que les véritables auteurs ne sont pas inquiétés. Une grande partie des hommes croit véritablement que la nation qui entre en guerre de nos jours en porte seule la responsabilité. Des gens se croient malins, ils affirment que telle nation est prédestinée à la guerre, comme par exemple les "méchants Russes", le "péril jaune" ou l'éternelle Allemagne fasciste (ou encore l'Iran), mais ces gens-là ne savent pas ce qu'ils disent. D'où croyez-vous qu'un gouvernement, qu'il soit chinois, russe, arabe, allemand, américain, serbe ou autre détienne l'argent nécessaire pour financer l'industrie d'armement ? De nos jours, il n'y a pas un seul pays au monde qui ne soit pas si endetté qu'il ne doive son existence aux crédits alloués par les banquiers internationaux. Pensez-vous que les Serbes aient de l'argent pour payer les armes qui leur permettent de mener cette guerre ? Ou si jamais les Russes s'étaient lancés dans une guerre mondiale, à qui auraient-ils, à votre avis, emprunté l'argent ? Aux banquiers internationaux, bien sûr ! Ce n'est pas pour rien qu'il y a une banque Rothschild au Kremlin. D'où leur nom de banquiers INTERNATIONAUX. Ils ne se sentent pas plus particulièrement concernés par l'Angleterre ou les États-Unis. Ils sont présents là où il y a de l'argent à gagner. Et la guerre étant la meilleure source d'argent possible, ils sont toujours intéressés à ce qu'il y en ait une qui se déclenche. Si ces banquiers ne sont pas d'accord pour une guerre, le pays n'aura ni crédit ni d'armes ! C'est aussi simple que cela. Donc, si un pays veut entrer en guerre, la première des choses qu'il doit faire est de demander aux banquiers leur assentiment. Si ces derniers sont d'accord, c'est grâce à leur soutien financier que le pays pourra s'armer et entrer en guerre. S'ils ne sont pas d'accord — parce qu'il est possible que cette guerre ne corresponde pas à leur propre plan — le pays n'aura aucun crédit, donc pas d'argent pour acheter des armes. Il sera dans l'impossibilité de déclencher la guerre, car les crédits nécessaires ne s'élèvent pas à quelques millions mais à plusieurs centaines de milliards. Ainsi que je l'ai démontré dans mon livre, ce sont les mêmes bailleurs de fonds qui ont procuré l'argent pendant la Deuxième Guerre mondiale aux bolcheviques, aux Allemands, aux Russes et même à Saddam Hussein. C'est pourquoi rien ne relève du hasard en ce qui est du domaine de la politique et de la guerre. S'il y a une guerre, cela signifie qu'elle a été programmée, sinon aucun fonds n'aurait été disponible. Les foyers de troubles actuels ou futurs sont, par conséquent, voulus et parfaitement programmés à cause du but poursuivi, celui du gouvernement mondial.
Les Illuminati prétextent qu'il faut parvenir à ce gouvernement mondial unique afin que règne la paix sur la Terre. Il est intéressant de remarquer qu'ils utilisent la guerre pour y parvenir. Croyez-vous que ces hommes vont changer de comportement une fois le gouvernement mondial en place ? Vous les reconnaîtrez à leur actes ! Il n'y aurait, à vrai dire, rien à objecter à un gouvernement mondial, c'est même le but ultime de notre planète, s'il était dirigé par des hommes qui ne pensent qu'au bien de l'humanité et se portent garants du développement en toute liberté de l'esprit et de l'âme, qui n'aient aucun secret et laissent libre cours à toutes les informations. Le gouvernement mondial dont je parle dans ce livre n'est pensé que pour et par l'élite qui prend les hommes pour des idiots bons à n'être que des esclaves. Si vous ne pouvez pas croire que votre sort n'intéresse nullement "ceux de là-haut", que ceux-ci se moquent de savoir comment vous allez ou comment vous pourrez survivre à la prochaine guerre, serez-vous convaincus du contraire si je vous apprends qu'aucun État, à de rares exceptions près, comme la Suisse, n'a d'abri pour le peuple ? Vous en étiez-vous déjà rendu compte ? Le danger d'une nouvelle guerre qui pourrait impliquer l'Allemagne est plus que probable d'après les Protocoles des Sages de Sion et la lettre d'Albert Pike. Il suffirait que les Allemands interviennent dans le conflit actuel en Yougoslavie pour que les Serbes mettent leur menace à exécution et qu'ils lancent des fusées sur l'Allemagne. Si jamais la misère et la faim augmentaient encore plus dans les pays de la CEI et dans ceux du "tiers monde", ce qui est prévisible sans don prophétique, on peut imaginer que les peuples ne se rendraient ni en Chine, ni aux États-Unis pour prendre ce dont ils ont besoin mais bien dans le pays le plus proche, l'Allemagne. Les Suisses n'ont pas ce problème puisqu'ils ont des abris, des armes chez eux et que beaucoup habitent dans des hauteurs difficilement accessibles. Les Allemands, quand à eux, se retrouveraient assez démunis face à cette situation. L'élite et les politiciens de ce pays, qui l'ont bien mérité, n'est-ce pas, y possèdent de nombreuses bases souterraines parfaitement aménagées avec des denrées alimentaires permettant de survivre pendant des décennies. On a oublié, par erreur, les va-nu-pieds. Comment les Allemands réagiraient-ils si les Serbes tiraient demain sur Stuttgart ou Munich ?
L'ex-Illuminati [Est-il possible de sortir des Illuminati sans être assassiné ???] George Orwell a très clairement décrit dans son livre "1984" comment les Illuminati se représentent le monde... Mais il n'est, bien sûr, pas trop tard. Beaucoup de choses pourraient changer si les hommes de toutes les nations reconnaissaient, enfin, leur ignorance criante et s'occupaient de notre planète. Mais les Illuminati ont réussi à nous rendre bel et bien prisonniers de nos propres petits problèmes si bien que nous en avons perdu toute vue globale et que nous nous sommes retirés des affaires de ce monde. Un petit exemple pour illustrer ce propos : Les mass media (sous contrôle des Illuminati) vous inculquent que si vous voulez être un bon français, vous devez avoir une belle auto, une maison à vous, une famille, des vêtements de marque et que vous devez réussir dans votre métier, etc... Après avoir regardé la télévision ou lu les journaux pendant des décennies, votre inconscient se trouve saturé par cette image du parfait "membre de la société" et vous ne pouvez qu'être convaincus que cela correspond à un réel besoin pour vous (cela concerne aussi la mode vestimentaire et la façon de se comporter.) Pour correspondre à cette image, vous devrez beaucoup, beaucoup travailler, car il est impossible d'y arriver tout de suite. Mais vous voulez tout immédiatement, il vous faut donc contracter des crédits, payer des mensualités. Vous voilà pris dans le filet qu'on vous a si parfaitement tendu. Vous voilà liés par vos obligations et vos dettes pour plusieurs décennies. S'y rajoutent la famille, les enfants, l'argent pour les vacances, les réparations pour votre auto... Vous êtes pris, finalement, dans un cercle infernal "créé par vous-mêmes". Et, mon Dieu, vous croulez sous tant de problèmes que vous n'avez plus ni l'envie ni le courage de réfléchir si vous faites vraiment ce qui vous tient à coeur ! Et un jour vous vous apercevrez que vos richesses extérieures ne font pas votre bonheur et que vous aimeriez mener une vie différente, mais c'est trop tard. Voilà une image simplifiée de ce qui est dépeint dans les Protocoles des Sages de Sion et de ce qui se passe depuis des décennies dans tous les pays du monde. Vous ne faites, peut-être, plus face à vos problèmes et pour les fuir, vous vous adonnez à l'alcool ou aux drogues. Une fois que vous en êtes arrivés là, vous en avez pratiquement fini avec la vie. Certains arrivent quand même à s'en sortir, car, ainsi que je le démontre dans le chapitre suivant, il n'est jamais trop tard. Il ne suffit quand même pas de soigner les symptômes en éliminant simplement les Illuminati, comme on enlèverait un organe malade. Il faut, ici, appliquer un traitement de fond. Vous-mêmes, vous êtes la solution à vos problèmes et à la situation dépeinte dans ce livre. Si vous soupesiez mieux vos choix et vos actes dans votre vie quotidienne, le monde serait différent, les Illuminati n'auraient aucune emprise sur vous. Avec ce mot "vous", je désigne chaque homme de cette planète. Ainsi que l'a bien exprimé Ross Perot, candidat aux présidentielles lors des dernières élections aux États-Unis : "Si tu veux voir ce qui cloche dans ton pays, prends un miroir et regarde-toi".
Certains vont peut-être rétorquer : "Ah, mais attention, cette situation existe depuis belle lurette, et nous sommes six milliards d'humains à influer le cours des événements, pourquoi serait-ce moi qui devrais justement commencer à changer le monde ?" Vous justement puisque vous avez compris que les choses vont mal, votre conscience a changé. Vous avez réalisé qu'il y a d'autres choix meilleurs dans la vie et c'est ce qui vous distingue de vos concitoyens "inconscients". Vous êtes responsables parce que vous savez maintenant ce qu'il en est. Auparavant vous auriez pu dire : "Je n'en savais rien du tout". Mais vous savez maintenant. Vous ne pouvez plus vous esquiver. On se sert de nous précisément parce que nous n'avons pas assez d'esprit critique et ne prêtons pas assez attention à ce que nous vivons. On nous a eus mais nous nous en sortirons ! Il se peut qu'il soit important, d'un point de vue purement matériel, que nous vivions en autosubsistance. En cultivant nous-mêmes nos céréales, en creusant un puits, en ayant quelques chèvres pour le fromage et le lait, en employant des sources d'énergies alternatives, en enterrant un peu d'or dans le jardin pour le cas où ...donc tout simplement en devenant autonomes. Ce qui ne signifie pas forcément qu'il faut ôter tout confort de notre vie quotidienne. Il y a, aujourd'hui, de nombreuses communautés qui vivent ainsi autonomes, avec un certain confort, probablement plus aux États-Unis qu'en France. Mais il y en a partout. Vous n'êtes pas obligés de faire cette démarche seul. Demandez à vos meilleurs amis, ceux en qui vous avez confiance, entamez quelque chose ensemble. Il est parfois plus facile d'agir ensemble puisque nous sommes chacun uniques et que nous avons chacun notre spécialité. Vous pouvez vous épauler, trouver ceux qui partagent votre point de vue. Vous pouvez lire des livres critiques ou assister à des conférences sur ce sujet ; continuez à vous instruire, provoquez des échanges. Des sujets tel que les "machines à énergie libre" et leur construction ne manquent pas d'intérêt. Échanger ses sentiments est aussi très important. Il est capital de passer à l'action, de ne pas seulement palabrer ou discuter.
Dans la bibliographie, vous avez des titres de livres qui pourront vous aider à trouver des solutions extérieures, c'est-à-dire concrètes. Plus d'un historien s'est déjà pris dans les mailles du filet en rejetant la responsabilité sur les sionistes ou les Juifs et maints chercheurs chrétiens s'en sont pris aux francs-maçons, les croyant seuls coupables. Les membres de la famille Rothschild n'ont pas, non plus, tous succombé à l'idéologie d'une hégémonie mondiale. Ne mettez donc pas tout le monde dans le même panier ! Ce livre n'a pas pour but de clouer au pilori un groupe de coupables. Non, par ce livre, je m'efforce de vous faire découvrir comment procèdent ces Illuminati et d'après quels principes ils agissent, et j'essaie de vous présenter des solutions adéquates.
Je me résume : Les Illuminati n'appartiennent à aucune religion, à aucun parti, à aucune nation ou autre groupement mais ils s'en servent pour couverture. Notons encore une fois que ce jeu a débuté des millénaires avant l'arrivée des personnes dont j'ai mentionné les noms dans ce livre et qu'il continuera après elles. Les personnes désignées, de nos jours, des satanistes ou les représentants des communautés sionistes (comme les Rothschild, les Warburg) ne sont que des pions dans un échiquier où l'enjeu est encore plus grand. Rüggeberg écrit à ce sujet : "RUDOLF STEINER a déjà souligné en 1920 que les noms des membres les plus élevés de sociétés secrètes occultes n'apparaissent jamais sur les listes nominatives... C'est la moindre des choses que dans les ordres faisant de la magie noire tous les documents importants sont codifiés dans une écriture secrète qui ne peut pas être déchiffrée par des non-initiés qui ne possèdent pas la clé correspondante. C'est en ce sens que les historiens matérialistes ont à apprendre, à moins qu'ils ne renoncent à trouver toute la vérité." ("Geheimpolitik" — La politique secrète, p. 195.) Les Illuminatine voient d'abord qu'eux-mêmes, ils veulent être tout-puissants et tout posséder, ils veulent s'emparer du monde entier, leur ego s'est démesurément développé. Vous pouvez donc être sûrs qu'à ce jeu des tout-puissants ils y jouent entre eux comme avec les peuples. Chacun veut être le meilleur, le plus riche et le plus puissant. Je doute que ces êtres-là aient un sommeil paisible, qu'ils connaissent le bonheur et la plénitude. William Bramley montre dans son livre "Die Götter von Eden" (Les dieux d'Éden) que ces Illuminati sont utilisés à leur tour, que les loges secrètes sont en relation avec les extraterrestre, à commencer par la "Confrérie du Serpent". Ceux qui s'imaginent avoir la puissance absolue ne sont, en fait, eux-mêmes que les marionnettes d'autres êtres. (Pour en savoir plus, consulter la Bibliographie.) Ces sentences, ne s'appliquent-elles pas vraiment bien à notre propos ? "Tel est pris qui croyait prendre." ou "Tous ceux qui veulent s'élever seront rabaissé." ou bien "Qui se ressemble s'assemble."
Que pouvons-nous faire ?
Il y a quantité de solutions envisageables face à cette situation. Certains aimeraient qu'on élimine une partie des Illuminati, ce qui, à mon avis, ne servirait pas à grand-chose, car il seraient vite remplacés. Je vais vous raconter une petite histoire : Imaginez que vous êtes en voiture et que le voyant d'huile se mette à clignoter. Vous vous rendez chez un garagiste qui vous déclare : "Aucun problème, je vais vous arranger ça." Le voilà qui dévisse l'ampoule. Certes, le voyant d'huile ne clignote plus mais, vous le savez bien, la cause du problème n'est pas pour autant éliminée. Et vous n'êtes, évidemment, pas d'accord avec la façon de procéder du garagiste. Mais quand votre corps est malade ou quand vous avez certaines difficultés, réalisez-vous que, la plupart du temps, vous ne vous opposez pas à cette façon de faire ? Il est bien connu qu'en médecine officielle, on supprime l'organe malade ou la partie cancéreuse mais ce faisant, on ne traite pas pour autant la cause. On soigne simplement les symptômes, ce qui est nettement insuffisant. Un traitement de fond est nécessaire. Vouloir supprimer ce qui gêne, cela équivaut à ne dévisser que l'ampoule qui clignote et à ignorer le problème qui est toujours là.
Pour en revenir au sujet qui nous préoccupe, les Illuminati ne sont que le symptôme d'un problème qui, en fait, se situe ailleurs. Ils ont autant de pouvoir parce qu'ils se servent de nous, ce qui est facile puisque nous n'assumons pas nos responsabilités et que nous nous satisfaisons de notre indolence. Le coeur du problème est donc au plus profond de chacun de nous. Si nous ne nous changeons pas et si nous ne transmuons pas nos faiblesses, il ne sert à rien d'éliminer ces êtres, car il y en aurait aussitôt d'autres qui se chargeraient de nous puisque nous acceptons d'être manipulés. Peut-être y a-t-il parmi vous des petits futés qui se disent qu'ils pourraient bien contacter la Société Thulé ou ceux qui ont écrit des livres sur les OVNIs pour se procurer les plans de soucoupes volantes ? Ils pourraient donc quitter la Terre, mais qui sait ce qui les attendrait sur les autres planètes ? Ou bien certains d'entre vous sont passionnés par ce qui se passe à l'intérieur de la Terre et voudraient, sur les traces d'Hitler, rechercher le royaume d'Agartha ? D'autres encore aimeraient se retirer dans les montagnes pour y vivre en autosubsistance afin de pouvoir, de là-haut, embrasser du regard tout ce drame. Certains même désireraient rechercher, peut-être, de l'aide dans la prière ? [Nous vous conseillons de lire le Nouveau Testament afin de connaître le Seigneur Jésus qui seul peut vous délivrer et vous donner la paix.]
Que pouvons nous entreprendre de positif pour rectifier ce qui a mal tourné dans le passé et pour empêcher que cela se reproduise dans l'avenir ? Pour y répondre, il nous faut nous poser la question primordiale sur le sens de la vie. Il est difficile de trouver un sens à notre vie simplement dans la nourriture, la boisson, le sommeil, le sexe et la possession. Beaucoup parmi nous en sont déjà bien conscients. Il est capital d'être conscients qu'à la fin de notre vie nous abandonnerons toutes ces choses extérieures, y compris notre corps. Nus, nous sommes arrivés, nus nous repartiront. Cela signifie que même des soucoupes votantes et l'énergie libre ne peuvent nous rendre que partiellement heureux, car les voyages dans une autre galaxie, s'ils nous permettent de changer d'endroit, ne nous permettent pas pour autant de changer de corps. Il est relativement peu important que des membres de la Société Vril aient pu visiter d'autres planètes avec des soucoupes ou que les États-Unis aient pu construire, grâce à leur technologie, leur première base sur Mars, il y a déjà plus de trente ans. Ces hommes sont rivés à la matière, ils sont, pour ainsi dire, prisonniers d'eux-mêmes et ne peuvent pas "quitter leur peau". Une technologie avancée ne rendra pas plus aimable un homme qui ne pense qu'à détruire, c'est même plutôt le contraire qui risque de se produire. En considérant la situation telle qu'elle est sur Terre aujourd'hui, et les événements prédits par maints prophètes pour l'entrée dans le nouveau millénaire, il serait, certes, judicieux soit de quitter tout simplement ce "futur lieu de terreur", soit de voyager avec une machine vers le futur. Mais ces voyages sont entrepris depuis plus longtemps qu'on ne se l'imagine et ne modifient nullement l'intérieur de l'être humain. Un être à l'esprit destructeur le restera même s'il voyage dans le temps et il gardera les mêmes pensées, les mêmes sentiments, les mêmes motivations qu'auparavant. Il sera de plus, dépendant de la machine. Si on la lui confisque, il se retrouvera avec ses mêmes points faibles qu'auparavant et à la prochaine difficulté qui se présentera, soit il se précipitera vers une autre machine, soit il se décidera à vaincre, enfin, sa peur et à regarder son problème en face. Nous sommes venus sans machine en ce monde et nous en repartirons de la même façon. Tirons-en la conclusion que l'homme doit atteindre à la perfection et à son plein épanouissement sans aucune machine. C'est le chemin qui permet d'accéder à la conscience : recueillir des connaissances en devenant responsables, en ne dépendant de personne et en ne nous servant d'aucun artifice matériel. C'est ainsi que nous évoluons. Un sage l'exprima ainsi : "Il faut apprendre aux hommes à pêcher et non leur donner du poisson".
Au chercheur
En conclusion, je voudrais encore souligner que le second but de ce livre est de vous montrer qu'il existe une toute autre réalité que celle que vous vous laissez conter quotidiennement. Je ne prétends pas que le tableau que je vous ai présenté soit complet ; le début de l'historique que vous venez de lire ainsi que les développements qui s'en suivent ne sont pas forcément exacts. Les événements dont j'ai parlé ne sont aussi qu'une petite partie de ce qui est reconnu et de ce qui est parvenu à la connaissance du public. J'ai intentionnellement condensé dans le minimum de pages le volume de ce livre et le flot des informations parce que je désire éveiller votre curiosité sur des sujets que vous avez ignorés jusqu'à présent. Il me tenait particulièrement à coeur de communiquer aussi des informations critiques à ceux qui, surmenés par leur vie quotidienne stressante, ne disposent pas du temps nécessaire pour se plonger plus à fond dans ces sujets. Je me suis efforcé de présenter ce thème selon mon propre ressenti pour la raison suivante : les livres spécialisés qui traitent de tels sujets en détail rebutent souvent le lecteur à cause de la façon déroutante et souvent fanatique de leurs propos. J'ai fait un résumé de tous ces livres disponibles dans chacun de mes chapitres. Vous comprendrez, j'espère, que je n'ai pas pu donner suffisamment de détails sur chacun de mes sujets pour vous convaincre tous.
On pourrait probablement me reprocher de ne pas avoir réussi à satisfaire à 100% mes lecteurs dont les conceptions du monde sont religieuses ou autres et à répondre dans le dernier chapitre à toutes les questions sur le sens de la vie... Ce livre est un résumé de nombreuses oeuvres, il est donc inévitable qu'avec la quantité d'informations données, il y ait des passages que d'autres auteurs ont SOI-DISANT démenti. Mais je puis vous affirmer qu'avant de mettre ce livre par écrit, j'ai voyagé pendant quatre ans dans plus de vingt pays pour accéder à tous ces renseignements, puisque la liberté d'opinion et d'informations ne sont en Allemagne que de belles paroles. J'ai trouvé, de plus, dans chacun de ces pays les mêmes informations "sous la couverture", ce qui m'a été confirmé dans ce que j'expose. Mais s'il devait s'avérer que, dans certains cas, des détails bien précis sont inexacts, il ne faudrait pas pour autant que vous "jetiez le bébé avec l'eau du bain", que vous fassiez fi de tout ce que j'ai écrit dans ce livre. Même en supposant qu'un tiers seulement des informations soit exact, ce tiers est assez important pour remettre fortement en question nos habitudes, les "opinions de la société" et notre façon de vivre ou de voir les choses.
Source:
http://nous-les-dieux.org/PDF:Les_Soci%C3%A9t%C3%A9s_Secr%C3%A8tes.pdf