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vendredi 10 juin 2011

LES TALL WHITES UN NOUVEAU PHÉNOMÈNE EXTRATERRESTRE?

Des extraterrestres luminescents, de grande taille, à la peau blanche et aux yeux bleus, courrant à plus de 60 km/h et vivant 800 ans auraient investi depuis très longtemps la base de Nellis (Area 51) dans le Nevada.
Une nouvelle mystification? Pas du tout, s'il faut en croire des spécialistes comme Paola Harris ou Michael Salla qui ont rencontré Charles Hall, cet ancien observateur météo de l'Air Force qui a décidé de témoigner dans 3 livres –Millenial Hospitality- aujourd'hui disponibles- de son expérience avec ces extraterrestres.
Charles Hall nous a également accordé une interview –une première dans le monde francophone- que vous pouvez consulter dans le cadre de ce dossier spécial “Tall Whites”.

Un phénomène cohérent?

Les “Tall Whites” ou “Grand Blancs” ne sont pas une race de requins particulièrement belliqueuse mais bien une “nouvelle” espèce d'extraterrestres, nouvelle dans le sens où Charles Hall, un ancien météorologue de l'Air Force a révélé tout récemment au grand public l'existence de cette très étrange race humanoïde de grande taille. A l'instar du phénomène des Ummites ou des Pléadiens de Billy Meier, nous sommes en présence d'un récit cohérent formant un tout et donnant un aperçu assez large, avec néanmoins certaines lacunes (comme leur origine exacte), de l'existence d'une civilisation extraterrestre à part entière. Cependant, le point commun avec les Ummites ou les Pléadiens s'arrête au niveau de la simple cohérence du récit car l'affaire des Tall Whites présente ses propres originalités. A première vue, il est sans doute normal que l'on n'en ait pas beaucoup entendu parler auparavant comme ce fut le cas avec les « Short Greys » parce que les Tall Whites ne seraient pas enclins à perpétrer des abductions. Par conséquent, à notre connaissance, il ne doit pas exister énormément de récits d'abductés, de contactés ou de simples témoins qui soient entrés en contact de façon significative avec les Tall Whites. Mais ce n'est pas parce que nous ne sommes pas parvenus à identifier clairement des témoignages évoquant des interactions avec ceux-ci qu'ils n'existent pas. Il reviendra à des spécialistes de la question de passer en revue tous les témoignages existant pour voir s'ils correspondent aux traits caractéristiques des comportements et de l'apparence de ces “Grands Blancs”.
Que sont-ils ?
Mais que sont tout d'abord les Tall Whites ? Comment se présentent-ils? Ce sont des humanoïdes de grande taille (minimum 1m 80 à 2 mètres pour les plus jeunes individus, bien plus grands pour les plus âgés) à la peau très blanche et crayeuse. Ils ont une longévité étonnante par rapport à nous puisqu'ils atteignent les 800 ans. Selon Charles Hall, c'est justement dans la seconde phase de leur existence, lorsqu'ils deviennent plus âgés, qu'ils se mettent à véritablement à grandir, atteignant des tailles assez exceptionnelles selon nos critères. Par contre, un observateur aurait du mal à distinguer un enfant Tall White d'un enfant humain. Ils ont un visage qui pourrait ressembler aux nôtres si ce n'est que les Tall Whites sont dotés de grands yeux bleus, bien plus larges que les nôtres puisque leurs limites dépassent la frontière temporale, les orbites se poursuivant un peu en dessous des lobes temporaux. Ils sont minces, portent des cheveux courts, blonds, un corps apparemment bien proportionnés. La principale différence entre eux et nous réside dans leurs mains qui n'ont pas de pouces opposables d'une part. D'autre part, ils ont 4 doigts qui, au lieu de se terminer par des ongles, se terminent par des pinces. Les femmes ont des traits féminins distinctifs semblables aux femmes humaines. Elles ont des cheveux courts. Ils sont généralement vêtus de combinaisons très moulées, argentées et qui émet une lumière variable qui peut être parfois très éblouissante. Ils ont des capacités de lévitation, sans doute générée par un équipement logé dans leur combinaison ainsi que le pouvoir de créer autour d'eux une sorte de champ magnétique « isolant » qui les protège d'éventuels projectiles comme des balles de fusil ou des pierres qui leur seraient lancées. Ils peuvent courir et dépasser les 60 km/h, ils sont physiquement très fort. Lorsqu'ils communiquent entre eux, ils émettent des sortes d'aboiements et de sifflements. Ils ont des capacités télépathiques grâce à un dispositif technologique et sont capables de parler notre langage et de nous comprendre, sans doute également par le biais d'une technologie. Créatures improbables ? L'analyse du récit de Charles Hall et de la description très détaillée des extraterrestres et de leur comportement par des spécialistes en exobiologie démontre que ses descriptions sont cohérentes et qu'il est très probable que de telles créatures physiques se manifestent de la sorte.
Où les trouve-t-on ?
Comment Charles Hall les a-t-il rencontrés ? Entre 1965 et 1967, ce spécialiste en météorologie, aujourd'hui ingénieur nucléaire pour une firme à Albuquerque au Nouveau-Mexique, avait été assigné comme observateur météo par l'US Air Force sur l'immense base de Nellis dans le Nevada. Il faut savoir que la base de Nellis est vaste comme un petit pays, sans doute comme la Suisse et regroupe en son sein plusieurs «sous» bases, à savoir différentes zones d'essais pour l'artillerie, les simulations de combats aériens et de bombardements ainsi que pour les essais des fameux «black projects», ces armements ultrasecrets , principalement des avions et autres appareils furtifs aux performances très confidentielles. C'est sur la base de Nellis, principalement au nord-est que se situe la fameuse Area 51 , la zone 51 de Groom Lake. Si vous voulez trouver de nombreuses informations sur les lieux d'implantation des Tall Whites ainsi qu'un excellent résumé du phénomène, consultez le site anglophone de Gerry ZeitlinOpen Seti. Gerry a de plus l'intention de publier sur CD Rom, puis dans un livre, des rendus en 3 dimensions des vaisseaux spatiaux des Tall Whites ainsi que de leurs installations sur base des témoignages de Charles Hall. Les Tall Whites étaient installés dans des zones voisines de l'Aire 51, principalement l'Aire 52 et 53, au sud du côté d'Indian Springs.
Solitude dans le désert du Nevada
Charles Hall succédait, nous raconte-t-il, à une longue liste de ses prédécesseurs qui s'étaient soit enfuis, soit avaient craqués nerveusement ou étaient tout simplement décédés suite à leurs interactions avec cette étrange race d'extraterrestres dont le moins que l'on puisse dire est qu'ils peuvent se montrer très agressifs et assez radicaux dans leurs moyens de défense, n'hésitant pas à tuer un être humain s'ils se sentaient en danger. Hall était contraint de séjourner de très longues périodes seuls dans ce magnifique et inhospitalier désert, installé dans un bunker niché entre les rochers arides, ocres, jaunes et blancs, les couleurs principales que l'on retrouve dans cette région. Etant donné que la tâche principale de Hall est de prendre des séries de mesures météo et d'observer les formations nuageuses pour le compte des exercices d'artillerie de l'Air Force, l'intéressé passait beaucoup de temps à se balader dans la zone avoisinant son baraquement “bunker” et à regarder le ciel. Il ne pouvait pas manquer de voir les nombreuses activités, souvent nocturnes, parfois diurnes de ces êtres étranges qui se déplaçaient dans des appareils ne ressemblant en rien aux modèles militaires. Souvent, les soirs de pleine lune, il pouvait apercevoir clairement les allers et venues de vaisseaux spatiaux de petite et moyenne taille emportant des Tall Whites parfois accompagnés de hauts gradés (des généraux) de l'Air Force. Il était également témoin de regroupements de ces vaisseaux, parfois plusieurs dizaines (jusqu'à 75) sur une zone d'atterrissage bordant les portes d'un hangar bunker installé à flanc de montagne.

Les vaisseaux des Tall Whites

Hall a pu noté que les Tall Whites disposaient de trois type de vaisseaux : un petit vaisseau “éclaireur” (scout craft) de portée moyenne, un vaisseau moyenne taille et un vaisseau “mère” de grande taille conçu pour voyager sur de très longues distances. Selon Hall, ces vaisseaux intersidéraux (deep space craft) auraient 500 pieds de long, 300 pieds de large et 70 pieds de haut, (150m sur 90m sur 21m de haut) une taille assez conséquente. Hall affirme en outre que ces vaisseaux sont dotés de moyens de propulsion basés sur l'anti-gravité et peuvent se déplacer plus vite que la vitesse de la lumière. Les vaisseaux des Tall Whites ne présentent pas les caractéristiques classiques des disques volants ou des triangles noirs. Il est assez difficile de se figurer la forme de ces appareils sur base des descriptions de Charles. Par exemple, le scout craft est une sorte de quadrilatère ayant une forme générale “éliptique” sans angles ni arrêtes puisque tous les “bords” du vaisseau seraient “arrondis”. Dans un texte de Michael Salla, on évoque sur base des propos de Hall, une forme qui s'apparente à un bus volant avec des fenêtres dans le poste de pilotage ainsi que des hublots. Hall souligne enfin que la taille, par exemple, de l'Aire 51 est trop restreinte (6 miles) pour pouvoir accueillir en toute sécurité des vaisseaux d'une telle puissance. Une opinion qui va à l'encontre de toutes les affirmations déjà entendues sur l'Aire 51 qui est décrite par certains auteurs comme «l'astroport» par excellence de la région, la zone d'essai de tous les appareils hors norme par d'autres et enfin, l'immense base souterraine, véritable zone d'accueil pour de multiples races extraterrestres pour d'autres encore. Il est probable que le témoignage de Charles Hall qui sera, paraît-il, corroboré par d'autres témoignages d'anciens collègues, policiers et membres du personnel de la base, risque de changer diamétralement la vision que l'on avait jusqu'à présent de Nellis. Quoi que… Hall précise dans l'interview qu'il nous a accordée qu'il n'a jamais été sur l'Aire 51 et Papoose Lake puisqu'il était stationné sur une installation voisine. Mais selon lui, les Tall Whites n'auraient jamais toléré pour leur propre sécurité, le voisinage d'extraterrestres aussi inquisiteurs et interventionnistes que sont les Short Greys. Les Tall Whites sont également curieux des êtres humains mais pas au point de les enlever comme le feraient les Gris.
La violence des Tall Whites ?
De temps à autre, ces curieux individus, surtout leurs enfants s'intéressaient à lui, l'approchaient de très près. Hall raconte avoir éprouvé des états de terreur sans nom et sans limite. Imaginez qu'un ou plusieurs individus dont émane une lumière parfois éblouissante, faisant penser à des fantômes, s'approchent de vous en émettant de drôles de bruit. Il paraît que la sensation d'étrangeté et d'incompréhension de ce qui se manifeste face à vous peut réellement vous submerger et vous plonger dans un état de panique incontrôlable. C'est sans doute ces réactions de panique et de fuite des collègues de Charles qui ont poussé des Tall Whites à interpréter ces comportements comme une agression. D'où les “accidents”. Vous auriez beau vous y préparer, l'angoisse est bien plus forte, explique Charles Hall. Ensuite, il y a les rumeurs selon lesquelles plusieurs membres de l'Air Force dont des observateurs météo ont été tués par ces créatures plutôt effrayantes. Hall explique en détail dans un de ses livres que lui aussi a été victime de brutalités de la part des Tall Whites et que c'est par miracle qu'il a finalement survécu. Ce serait justement sa volonté de survie, le strict respect des distances (surtout à l'égard des enfants Tall Whites) et des procédures de prudence ainsi que son acharnement à rester à son poste qui finirent par le faire respecter par les Tall Whites. Selon Hall, ces créatures extraterrestres sont très sensibles à la hiérarchie et se montrent d'autant plus courtois avec les généraux et hauts gradés de l'Air Force qu'ils se montrent dédaigneux et méprisant à l'égard des subalternes. Hall affirme avoir été en quelque sorte “adopté” par ces créatures parce qu'un de leurs “hauts gradés” surnommé le professeur, apparemment, la responsable des programmes de recherches et d'enseignement de la communauté, s'intéressait à lui. Pour quelle raison Hall faisait l'objet de cet intérêt, l'intéressé est incapable de répondre à cette question.
Adopté par les Tall Whites
Mais c'est sans doute à cause de ce respect que lui témoignaient finalement les Tall Whites ainsi que sa capacité à survivre que Hall finit par devenir malgré lui le sujet d'un programme «mixte» entre les êtres humains et les Tall Whites portant sur l'observation des points communs relatifs aux comportements respectifs des deux races. Hall aurait en quelque sorte servi d'intermédiaire entre l'Air Force et les extraterrestres sur certains aspects de leurs communications. Il a également pu observer de très près certaines activités des Tall Whites comme la réparation de certains vaisseaux, certaines procédures d'atterrissages que même les hauts gradés de l'Air Force n'étaient pas autorisés à observer. Hall finit par établir une certaine forme d'amitié avec la “professeur”. Il a pu observer certains de leurs comportements, de leurs coutumes, de leurs habitudes alimentaires ou vestimentaires. Ils ne mangent pas de viande mais des sortes de végétaux semblables à des champignons. La « professeur » avait ainsi vivement déconseillé à Hall de manger l'une de leur portion de nourriture car son corps le supporterait mal. Il s'en suivrait également un fort état de désorientation psychologique comparable à l'ingestion d'alcool. L'Air Force fournissait aux enfants Tall Whites des vêtements achetés dans des grandes surfaces de Las Vegas. Quant à la présence d'enfants Tall Whites sur ces bases et donc dans une région aussi inhospitalière que la terre à leur yeux, elle s'explique difficilement selon nos critères. Selon les critères Tall Whites, les enfants ont une énorme importance dans leur système social et les « adultes » ne s'en séparent jamais. Hall souligne en outre que les Tall Whites étaient très choqués par notre manière désinvolte et protectrice de traiter nos enfants.
Il a pu vérifier qu'ils disposaient d'une écriture comparable au système des hiéroglyphes égyptiens et qu'ils communiquaient entre eux par des sons dont nous ne percevons pas toutes les fréquences. Il s'est rendu compte que ces extraterrestres pratiquaient sans doute le commerce puisqu'ils emportaient avec eux certaines quantités de nos biens manufacturés, surtout nos vêtements. Il a pu déduire que le sentiment religieux ne leur était pas inconnu puisqu'au cours d'une conversation, les Tall Whites ne semblaient pas surpris ou même perplexe lorsqu'il était question de religion. Quant à savoir s'ils croient en un système métaphysique ou s'ils “pratiquent” une idée de Dieu, Hall n'a pas été en mesure d'approfondir le sujet. Charles Hall est d'ailleurs bien incapable de répondre à toutes les questions que l'on est en droit de se poser sur leur existence tout simplement parce qu'il n'a pas toutes les réponses et aussi parce qu'il n'a pas pu poser toutes les questions qu'il aurait voulu leur poser. Il semble clair dans la relation qu'il entretenait avec ces créatures qu'il était dans une position de soumission dans laquelle il subissait les événements et où il était bien incapable de mener la relation là où il l'aurait voulu. Tout comme il n'a jamais osé prendre des photos de peur que cet acte soit interprété comme un acte d'agression ou soit sanctionné par l'Air Force.

Victime de pressions ?

La dernière question qui se pose est de savoir si Hall a fait l'objet de pressions et de menaces de la part de l'Air Force pour tenir secret cet épisode de sa vie. Hall répond en deux temps à cette question : au départ, il lui a été vivement conseillé de ne pas s'exprimer; de ne rien dire. Malgré tout, le poste d'observateur météo qu'il occupait ne le liait pas au respect d'une obligation de conserver le secret dans la mesure où il ne travaillait pas dans un secteur sensible comme le renseignement, la sécurité ou l'armement. Dans cette mesure seulement, le fait qu'il révèle aujourd'hui son histoire ne le met pas hors la loi vis à vis de l'Air Force, son ex-employeur. Néanmoins, par acquis de conscience, il a attendu que ses enfants aient quittés le giron familial et soient professionnellement “installés” pour livrer au grand public son étrange confession. Aujourd'hui il affirme que ni l'Air Force, ni le gouvernement ne l'ont menacé d'une quelconque manière. Pour quelle raison? On ne peut se livrer qu'à des spéculations. Le menacer aurait donné du crédit à son histoire. Néanmoins, vous découvrirez que Sweeps Fox (voir interview) a une autre interprétation sur la raison pour laquelle Hall jouit d'une paix relative. Nous n'en dirons pas plus sur ces extraterrestres bizarres et nous préférons que vous preniez connaissance du sujet sur base des propos de Charles Hall lui-même, propos tenus dans le cadre d'une interview exclusive qu'il nous a accordée. Pour contrebalancer cet entretien, nous vous proposons de lire également l'interview de “Sweeps Fox”, l'animateur américano-irlandais d'une émission radio populaire en Irlande (retransmise aussi sur le Web) consacrée aux Ovnis, aux extraterrestres, au “paranormal” et aux “anomalies” en général. Sweeps est également le fondateur et le patron de “l'Irishufology Forum Outreach & Paranormal Studies ”, une association ufologique irlandaise très dynamique comptant plus de 6.900 membres de par le monde. Nous avons interviewé Sweeps d'une part parce qu'il est un des premiers, si pas le premier animateur radio à avoir invité Charles Hall et d'autre part, parce qu'il a, au cours de ses recherches, accumulé bon nombre d'informations sur Nellis, l'Aire 51 et le phénomène extraterrestre en général.
Karma One
Karma One - © Karmapolis - Avril 2005