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dimanche 28 août 2011

Sergent Clifford Stone, interprète des ETs


Ajoutée par AlphaZebra le 15 juin 2010

Sergent Clifford Stone, interprète des ETs
Roswell, Nouveau-Mexique
Novembre 2006
Nous avons rencontré Clifford Stone au Musée Roswell, au Nouveau-Mexique, et il a eu la gentillesse de nous accorder plusieurs heures d'entretien. Pratiquement dès le départ, il est apparu que nous étions à l’évidence en présence d'un personnage extraordinaire.
Cet homme nous raconte posément une histoire stupéfiante à propos de son ami aliène, Korona; comment il a été amené à participer à des missions de récupération d'épaves au Vietnam dans les années 60; comment il a aidé un E.T. à s'échapper alors qu’il était maintenu en détention par les militaires.
C'est un homme de très grand cœur, qui possède une largesse d'esprit capable d'englober le monde entier. Il nous parle des droits de ceux qui visitent notre planète lorsqu'ils sont maintenus en captivité; de leur sens du sacrifice pour le bien de l'humanité. Il parle du besoin de s'intéresser à ce qui arrive à l' « autre », et comment ce sont les vrais sentiments les uns pour les autres qui feront la différence alors que nous nous préparons à rejoindre la « communauté galactique ».
http://www.youtube.com/watch?v=2gvqY1J6DH8&feature=player_embedded
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Une interview vidéo
Filmé, monté et réalisé par Kerry Cassidy et Bill Ryan

Clifford Stone (CS) : Que voulez-vous ? Une histoire incroyable ou la vérité ? Ce qu'il se passe ? Ce que notre gouvernement sait et depuis quand il le sait ?

Kerry Cassidy (KC) : Vous étiez l'interface entre le gouvernement, ou les militaires et les visiteurs aliènes. Est-ce exact ?

CS : C'est correct. Il y a un prix à payer quand vous commencez à parler et je ne veux pas trop entrer dans ces considérations-là parce que quand vous commencez à revivre ça... vous n'avez pas idée de ce que je vois dans mon esprit en ce moment en parlant juste de la surface des choses.

Par deux ou trois fois, je suis sorti du domaine ovni, mais vous voulez que je vous confie un secret ? On ne peut pas. Il y a des gens là bas, et j'en suis un... ça n'a rien à voir avec l'argent. Mon Dieu, je le voudrais bien. Nous pourrions sortir du Cosmos et rendre visite à d'autres systèmes solaires, d'autres planètes que la nôtre. Mais pour faire cela il faut que l'on s'élève spirituellement. Autrement dit, il va falloir que nous nous occupions de ce qui arrive aux autres.
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Début de l'interview

KC : Clifford Stone, je suis très heureuse de pouvoir vous interviewer aujourd'hui. Nous respectons beaucoup ce que vous avez fait et admirons le courage dont vous faites preuve en venant parler ici. C'est vraiment passionnant de pouvoir vous filmer.

Sgt. Clifford StoneCS : Merci Madame.

KC : Nous sommes ici dans un endroit étonnant, c'est le musée de Roswell. Pouvez-vous nous dire comment vous avez abouti à Roswell ?

CS : Et bien, c'est l'armée des États-Unis qui m'a envoyé ici. Je suis militaire à la retraite.

KC : OK…

CS : Donc, en étant retraité de l'armée, vous êtes toujours susceptible d'être rappelé pour intervenir en tant que consultant. J'étais sergent de première classe lors de mon départ à la retraite.

KC : Votre titre était « employé », si j'ai bien compris, c'était une couverture n'est-ce pas ?

CS : En fait, nous avions une vie réelle à l'armée, nous avions une mission. La seule fois où cet autre emploi devenait nécessaire, c’était s'il y avait un incident impliquant des ovnis et que vous vous trouviez dans les parages. Je peux vous dire qu'en 1965 au Vietnam, il y avait une base d'où l'on a essayé de tirer ouvertement sur un ovni. A la minute même où ils ont essayé, plus aucune de leurs armes ne fonctionnait. Il y eut une coupure de courant générale jusqu'à ce l'ovni ait disparu. Je peux vous le dire ayant servi au Vietnam pendant quatre ans. Oui quatre ans ; les dossiers indiquent 37 mois mais si vous ajoutez le temps TDY, ça fait quatre ans tout juste. TDY signifiant « service temporaire » [Temporary duty]. N'avoir aucun pouvoir sur les évènements est très, très effrayant et cette période a été très, très éprouvante.

KC : En tant que communicant – c'est ainsi qu'on vous appelait dans votre vie militaire – à partir de quel âge avez-vous commencé à travailler dans cette branche, diriez-vous ?

CS : Probablement vers 19, 20 ans.

KC : OK.

CS : Pour les gens qui font de l'interface, il n'y a pas d'école. Il y avait des choses qui se passaient dans votre vie... quand je suis sorti de là, il y avait sept personnes qui étaient toujours à l'armée qui faisaient de l'interface, seulement sept, et c'était dans l'armée entière, tous corps confondus.

On m'a impliqué dans un incident, sans que l'on nous dise où c'était mais je sais... que nous avons atterri à Ben Hua parce que quand j'y repense, il y avait un panneau, c'est là que nous avons atterri.

KC : Ben Hua ?

CS : C'est au Vietnam.

KC : Oh.

CS : Je sais que c'était Ben Hua parce que j’ai vu le même panneau quand j'y suis retourné. C'était un incident qui était survenu...

KC : C'était un crash ? Ou bien une visite ?

CS : On a vu les entités.

KC : OK…

CS : On y est allé pour essayer d'extraire un avion et nous l'avons extrait en le découpant en sept morceaux, je crois…

KC : C'était à eux ?

CS : Non, non c'était un B-52...

KC : OK…

CS : ... qui ne s'était pas écrasé normalement.

KC : C'était une expérience de voyage dans le temps ?

CS : Nan, nan. C'était un avion abattu. Tout le monde était mort... tout le monde était mort à bord du B-52.

KC : Abattu par les visiteurs ?

CS : Ils étaient sur une mission de bombardement au dessus de... je n'ai aucun moyen de le savoir, mais je suis sûr qu'ils étaient en mission de bombardement au Nord Vietnam. Les dégâts subis par l'avion étaient dus au feu anti-aérien contre le B-52. C'était ce type de dégâts. Et c'était utilisé pour le bombardement conventionnel. Quand j'ai dit que nous y sommes allés, nous y sommes allés en hélico. C'était comme si une main gigantesque avait attrapé l'avion en vol pour le poser sur le sol de la jungle; et c'était ça qui nous intéressait.

KC : Oh...

CS : On ne savait pas. On ne vous dit rien. A l'embarquement aux États-Unis avant de partir, on nous a dit qu'on allait en Floride.

KC : [Rires]

CS : Quand on a atterri à Oakland, on savait qu'on n'allait pas en Floride. On nous a donné un petit sac de plastique. Il fallait retirer « US Army » de nos affaires. Il a fallu ôter les plaques d'identification de « G.I 's », chose qui ne se fait jamais. On les a retirées. Chaque objet qui pouvait vous identifier est allé dans ce sac plastique. Ils ont été gardés pour nous à Ben Hua jusqu'à notre retour. Après cet évènement, ils m'ont mis dans ce GP... je veux dire une tente, il y avait une chaise, une table et un lit, quelques stylos mais j'ai pris un crayon. Je devais m'asseoir là et écrire mes pensées.

KC : OK…

CS : C'est tout ce qu'il y avait dans la tente. J'y suis donc entré et je m'ennuyais. J'ai commencé à faire des jeux de tic-tac-toe. Je suis sorti pour fumer, en prenant le papier avec moi, j'en ai fait une boulette que j'ai mise dans ma poche. Quand ils ont trouvé ce morceau de papier – là, souvenez-vous, tout ce qu'il y avait dessus, c'était des jeux de tic-tac-toe – et bien, le type que j'appelais le Colonel et qui était toujours là, est arrivé immédiatement, a balancé le cigare de ma bouche et a commencé à m'injurier abondamment : Qu'est-ce que tu fais là, pourquoi tu as ça ? Tu pourrais te faire tuer à cause de ce papier dans ta poche.

Pourquoi ? Parce que ça faisait partie des déchets classifiés, on n'emportait pas de papier là dedans, on ne prenait rien à l'intérieur. Tout ce qu'il y avait à l'intérieur devait y rester. Donc tout ce que j'écrivais était immédiatement mis dans un… un attaché case et quittait l'endroit par transport spécial. Malgré que j'en aie été l'auteur, je n'ai jamais eu l'autorisation nécessaire pour lire ce que j'avais écrit.

KC : Hmm…

CS : Ça vous est-il arrivé d'écrire des choses quelquefois sans même le savoir ? Sûrement, je peux vous dire que tout ce que je lis, je peux en avoir une compréhension plus complète que certaines des choses que je fais. Paul [l'ami qui l'a accompagné lors de notre rencontre] peut vous dire que je peux faire beaucoup de choses en matière de « téléchargement » mais vous savez quoi ? Je n'ai pas à lire chaque page... mais je scanne chaque page. Pendant que je scanne, ils peuvent percevoir tout ce qu'il y a là, à travers moi. Ce ne sont pas des « nouvelles fraîches » pour eux mais ils trouvent des choses intéressantes. Et ils trouvent des choses qui sont pour eux un puzzle parce que nous allons dans la bonne direction mais nous n'avons pas les points sur les « i » correctement. Et si vous connaissez quoi que ce soit en formules mathématiques, c’est comme si nous avions les choses dans l'ordre inverse. Mais cela vous effraye parfois parce que vous pensez : eh bien !, est-ce bon … parce que vous êtes conduit à faire cela.

KC : C'est fascinant parce que nous n'avons pas l'habitude de penser qu'en temps de guerre, au Vietnam, nous serions aussi occupés à entretenir des relations avec des cultures d'un autre monde.

CS : Vous savez pourquoi ? On leur a vraiment dit d'appeler ça des hélicoptères. Vous êtes dans une zone de guerre, alors ce que vous faites, est d'y aller, de mettre un peu de rasoir d'Occam là-dedans et de vous abaisser au dénominateur le plus bas. Les ovnis ne peuvent pas exister. Je répète, ovnis : ça n'est pas la bonne dénomination. Les transports interplanétaires ne peuvent pas exister. Alors il faut que ce soit quelque chose de très terrestre. La NSA a commencé et a appelé les ovnis "ovni" quand nous surveillions les communications avec l'Union Soviétique. Mais ils ont toujours appelé les ovnis " ovni" dans l'espoir qu'avec le début du Sunshine Act, qui allait devenir le Freedom of Information Act (Loi de la Liberté d’Information), ils ne seraient pas importunés par cette loi en disant, par exemple : 7 ovnis sont observés par untel à tel endroit. Mais quand ils diraient 7 ovnis, ils ajouteraient entre parenthèses : probablement des ballons. Sans même dire que dans le document dont je parle, les sept ovnis voyageaient à la vitesse de 2700 km/heure. Les ballons ne font pas ça.

KC : En effet.

CS : Ça m'a toujours stupéfié, même quand j'étais gosse ; j'étais étonné quand les gens disaient : Je ne crois pas aux fantômes, cependant, telle et telle chose se sont passées... et puis, ils racontaient une excellente histoire de fantômes. J'ai compris très tôt que pour moi, nier la réalité des ovnis et d’autres phénomènes qui se produisent reviendrait à me nier moi-même.

KC : Donc, en tant que communicant, vous...

CS : Vous ne dites pas toujours aux autres tout ce qui se passe. Souvenez-vous de ce que je vous ai dit, vous ressentez...

KC : Vous éprouvez ce qu'ils éprouvent tout comme ils éprouvent, ressentent et savent tout ce que vous éprouvez et pensez.

CS : Vous n'en parlez pas toujours parce qu'il y a ce que vous ressentez quand on vous dit qu'ils sont des invités. Si nos supérieurs militaires nous disent : Bien, voici l'un de nos invités..., ils ne traitent pas cet être comme un invité et ce qui se passe, c'est que vous éprouvez ce que cet être ressent...

KC : Hmm…

CS : Et... J'ai eu une situation où j'ai même aidé l'un d'entre eux à s'échapper. Et ça, alors c'était... [rires] … je ne raconte pas tout ce qui a été dit...

KC : Je suis curieuse. Que s'est-il passé quand vous avez fait ça ? C'était... d'abord, quelle sorte d'entité était-ce ? Je comprends qu'ils étaient maintenus prisonniers. Mais comment avez-vous pu... ? En fait, Dan Burisch raconte la même chose.

CS : Et bien je ne sais pas si c'était un portail stellaire ou quelque chose comme ça, mais à l'intérieur où nous avions cette entité, si nous devions... Il y a une bande sonore qui raconte tout cela en détails... mais si nous avions essayé d'extraire cette entité de là où nous étions, alors il y aurait eu des personnes tuées et cette entité ne l'acceptait pas. Et vous pouviez ressentir ce qu'elle ressentait. C'est la meilleure façon de l'expliquer. J'essaie de dire ça sans entrer dans ... certains détails. Mais j'ai convaincu celui que j'appelais le Colonel – c'est comme cela que je l'appelais durant toute cette période. Nous y sommes allés... et j'ai dit, vous savez, il a besoin de me montrer quelque chose, mais tout le monde doit être sorti de là et c'est juste lui et moi.

Et tout le monde est sorti. Il y avait un Spec-5 resté là pour m'aider. Et j'ai dit : Nous devons couper cette barrière de protection là,... On peut avoir des ennuis pour ça. Et j'ai dit : Oui, je sais, c'est pour ça que je te demande de laisser tomber tes outils. [rires] Il ne l'a pas fait, il a coupé les câbles pour moi. Et on a sorti l'entité à l’extérieur.

Quand ils ont compris, l'entité était en dehors du périmètre. Mais ils l’ont poursuivi et ils étaient très énervés et sur le point de lui tirer dessus. Mais l'entité était maintenant sous une lumière éblouissante descendante. Je n'ai pas vu le vaisseau, peut-être parce que je ne regardais pas. Mais tout d'un coup cette entité était là, puis ne l'était plus. Et alors, bien sûr, le type que j'appelais le Colonel m'a dit que je pourrais passer en cour martiale, puis il a ajouté : on va passer l'éponge pour cette fois mais ne recommence pas.

Bien sûr, je rétorquais : S'ils sont supposés être nos invités... pourquoi les traitons-nous avec cruauté, comme des prisonniers, en fait encore plus mal que des prisonniers ? Je n'ai vu aucun des films sur les candidats mandchous (NDT : ces individus qui deviennent des tueurs grâce à un mot code déclencheur qui a été mémorisé par l'assassin sous hypnose. Cette appellation est tirée d'un film de 1959 sur un aspect de la guerre de Corée – The Mandchurian Candidate – avec Frank Sinatra dans le rôle principal du tueur qui s'ignore mais également d'un livre de John Marks, ancien officier au département d'état qui a écrit le premier best-seller sur MKUltra). Nous savions une chose, c'est que nous avions identifié 57 espèces différentes quand je suis sorti. Nous les appelions affectueusement Heinz 57. J'ai compris que c'était une phrase de l'un de ces films.

KC : Hmm…hmm.

CS : Ben, j'adorerais dire qu'il n'y a que deux ou trois races... ou seulement quatre ou cinq ou même une seule. J'aimerais dire ça, mais avec ce que je sais, si je change quoi que ce soit à ce que je sais, alors ce n'est pas la réalité, c'est juste aller dire ce que les gens veulent bien entendre.

KC : Euh... Bien pourquoi voudriez-vous dire qu'il n'y a qu'une ou deux races ?

CS : Et bien, des personnes diraient : Nous trouverions votre histoire plus crédible si vous disiez... et Cette entité n'est-elle pas un [petit] gris, parce que ce serait plus crédible ? Que voulez-vous, une histoire crédible ou la vérité ? La vérité ne s'adapte pas à ce que vous croyez, mais c'est la vérité telle que je la connais. Et étant celle que je connais, c'est la seule que je puisse raconter.

KC : Avez-vous vu... Je présume qu'ils photographient ces êtres ? N'est-ce pas ?

CS : Il y a des photos.

KC : OK. Et vous ? Les avez-vous dessinés ? En avez-vous des dessins ?

CS : Oui, j'ai quelques dessins.

KC : Et en avez-vous déjà distribué...

CS : Non.

KC : Pouvez-vous, avez-vous le droit de les donner ou de les montrer ?

CS : J'en ai donné certains, j'en ai gardé d'autres.

KC : Et êtes-vous au courant des bases souterraines ?

CS : Oui ainsi que la technologie qui va avec.

KC : OK. Alors je présume que vous vous êtes allé dans une base souterraine ?

CS : Pas par choix.

KC : Pas par choix ? C'est crédible. Avez-vous déjà vu des reptiliens ? Vous savez ce qu'on appelle des reptiliens dans les milieux ufologiques ?

CS : Certaines espèces pourraient être appelées reptiliennes, oui.

KC : Et pouvez-vous communiquer avec eux télépathiquement ?

CS : Ils communiquent avec vous. C'est difficile à expliquer. Vous ne pouvez pas garder de secrets.

KC : Ah !

CS : Ce qu'il faut aussi savoir, je le rappelle, c'est que le programme est conçu de façon telle que vous apprenez uniquement ce que vous avez besoin de savoir. Souvent, vous en savez plus mais vous ne savez pas tout.

KC : Oui, bien sûr.

CS : Je répète que si quelqu'un vous dit tout savoir, c'est un menteur, ce n'est pas vrai.

KC : Avez-vous des amis aliènes spéciaux, qui sont restés avec vous depuis le début et le sont toujours ? En communication... ?

CS : J'en ai mentionné un.

KC : Ah oui ?

CS : J'en ai mentionné un.

KC : Un. OK. C'est Korona ?

CS : Correct.

KC : OK. Et Korona, de quelle planète est-il... le savez-vous ?

CS : Euh...euh. Je sais que c'est à 100 années lumière d'ici parce que j'utilise souvent ça comme exemple.

KC : OK…

CS : En temps réel, à partir du départ – et il y a un petit truc sympa à ce sujet – à partir du moment où ils quittent leur planète, qui se trouve dans un système stellaire à 100 années lumière de la planète Terre, en temps réel de voyage, ça fait une heure et quarante minutes jusqu'à leur arrivée ici.

KC : C'est merveilleux. Quelle sorte de vaisseau utilisent-ils ? Est-ce qu'ils se téléportent à travers l'espace ou est-ce qu'ils prennent un vaisseau ? Parce que...

CS : C'est un vaisseau. Ils voyagent réellement. Mais c'est à travers un... ce qu'on appelle « un trou de vers traversable ».

KC : Ah… eh bien, êtes-vous jamais allé avec eux ?

CS : Non, pas que je sache. Je dis ça mais je me souviens avoir vu des étoiles que je n'avais jamais vues nulle part sur Terre. Mais donc, pas que je sache.

KC : Donc, vous n'avez pas de souvenir conscient de ce genre d'évènement, c'est ce que vous voulez dire ? C'est peut-être arrivé ?

CS : Il m'est arrivé des choses dans ma vie, réellement effrayantes. Je veux dire, vous ressentez la peur, vous éprouvez une véritable peur avant de voir l'entité.

KC : Donc, une personne comme vous, on penserait que vous êtes libérée de toute peur parce que vous êtes tellement conscient de votre interaction avec ces êtres, que je suis étonnée de vous entendre dire que vous avez réellement peur. Avez-vous toujours peur aujourd'hui ou parlez-vous du passé ?

CS : Quand ces évènements se produisent, oui, vous avez toujours cette peur. Je veux dire, il y a de la peur, là. Et encore plus parce que vous ressentez la peur qu'ils éprouvent. Nous sommes une espèce très dangereuse.

KC : Oui.

CS : Alors croyez-moi, s'ils tombent entre nos mains, il y a cette peur.

KC : OK. Donc, c'est la raison pour laquelle je présume qu'ils vous approchent en tant que communicant ou interface comme vous dites, n'est-ce pas ?

CS : Eh bien, ils se sentent concernés par notre bien-être. Beaucoup de gens ne veulent pas croire cela. Nous nous sommes fait des choses horribles. Ils le savent et nous... Ils essaient de comprendre certaines choses à notre sujet. Et je pense qu'en même temps, ils échangent de l'information, du type : Écoutez, voilà ce que vous vous êtes fait à vous-mêmes. Je pense que c'est lié à certaines abductions qui ont eu lieu, je pense que c'est lié aux mutilations animales et je pense que c'est lié à la disparition de nombreuses personnes de la surface de la Terre.

KC : OK. Il y a donc des gens qui disparaissent régulièrement ?

CS : Oh oui.

KC : Et ils vont vers d'autres planètes ? Ils vont sur des bases hors-terre, je suppose... ?

CS : Je n'ai pas de réponse à cela.

KC : OK.

CS : Si vous me demandez si j'aurais pu quitter la Terre, c’est possible. Mais comme je le dis, il y a une raison et je ne connais pas cette raison.

KC : Est-ce que votre mission est de rendre les gens plus conscients, pas seulement des autres entités là-bas et des autres races etc. mais aussi peut-être pour se préparer ou prévenir un évènement ? Parce qu'on dirait que vous faites allusion à un évènement dont vous-même ne connaissez rien.

CS : Tout comme deux points au loin se rapprochent de plus en plus jusqu’à ce que, finalement, nous savons qu’au bout du compte, le contact va se faire.

Le Département d'Astrobiologie de la NASA a tenu une conférence en 2000. Oublions le rapport Brookings. Il est très court. Ce rapport dit : Nous ne savons pas ce que serait la réaction mondiale. Combien de gens en ont entendu parler et combien l'ont lu ? Quand nous disons que nous pouvons accepter la présence des visiteurs ici, nous parlons pour nous-mêmes et quand bien même nous l'acceptons, combien d'entre nous sont-ils vraiment prêts à une confrontation en face à face ?

Et je peux vous dire que c'est différent à chaque fois. Et à chaque fois, il y a cette petite appréhension dans votre tête : Que va-t-il se passer cette fois-ci ?

Et chaque fois vous savez que ça pourrait tourner mal... que cela pourrait aller jusqu’à la perte de la vie. Non pas parce qu'ils sont dangereux, mais parce que nous sommes un danger pour nous-mêmes. Donc toute la question est la suivante : comment préparer la population mondiale pour ce contact ultime, qui ne sera pas ce que les astro-astronomes avaient l’habitude de croire – que cela allait se faire par signal radio de l'espace profond jusqu'ici – mais qui sera plutôt un face à face, qui se produira ici sur Terre.

KC : Bien, mais ça arrive chaque jour avec les militaires n'est-ce pas ?

CS : Oui. Et encore plus que ce que les gens n’imaginent. Mais là aussi la plupart des gens n'en parleront pas... La seule chose à laquelle vous aspirez en sortant de l'armée, ce que vous voulez le plus au monde... c'est d'être comme tout le monde.

KC : Pourquoi ? Pourquoi vouloir être comme tout le monde ?

CS : Pour moi, la plus grande chose que vous puissiez être, c’est d'être un serviteur. S'occuper des autres est ce qu'il y a de plus important. Le Soi, le Soi devrait être satisfait d'être capable d'aider les autres. C'est important. Mais trop souvent, les gens se mettent devant les autres, et là, nous voyons les problèmes que nous avons aujourd'hui dans le monde.

KC : Je reviens à ce que vous disiez sur le contact, dans un sens, vous êtes en première ligne. Une personne qui peut préparer le reste de l'humanité pour ce vrai contact ; parce que vous avez eu des contacts. Dans un sens, les aliènes ou les extraterrestres ont communiqué, ont choisi les personnes sur la planète pour communiquer avec eux; vous êtes l'une de ces personnes n'est-ce pas ? Donc le contact est quelque chose qui est en train de se préparer. Est-ce exact ?

CS : Au niveau mondial.

KC : OK. Pensez-vous que... Beaucoup de gens disent que ça va arriver ... que les aliènes vont atterrir sur la pelouse de la Maison Blanche, quelque chose comme ça...

CS : Non.

KC : Dans un certain sens, ça arrive tous les jours. Les militaires ont affaire avec... Ils ont capturé, comme vous dites, ils ont fait prisonniers ces entités. Nous avons aussi des traités avec certaines races, n'est-ce pas ?

CS : OK. J'ai entendu parler des traités, mais là aussi, je n'ai pas travaillé avec.

KC : OK.

CS : Bien, je vous dis ceci : Je pense qu'en 2016, quelque chose de bénéfique aura eu lieu. Parce qu'en 2016, je crois que nous allons devoir annoncer au monde qu'il y a une sonde qui s'approche beaucoup de la Terre tous les 15-20 ans et que nous appelons un astéroïde. Ce n'est pas un astéroïde. En réalité c'est une sonde artificielle. Autrement dit, quelqu'un d’autre l'a mise là. Ils nous ont trouvés il y a longtemps. La technologie sera sûrement équivalente à... disons « Voyager ». Ce sera une technologie ancienne et désuète selon leurs standards.

KC : Oh là... Que dites-vous ? Cette sonde... savez-vous quelle race ?

CS : Je dis que nous l'avons trouvée. Notre paradigme dit qu'il ne peut y avoir de vaisseau artificiel d'aucune sorte. Donc nous refusons d'accepter cela et nous l'appelons un astéroïde. Je parle de BG1991. En gros : 30 mètres de diamètre, surface extrêmement polie. Les astéroïdes n'ont pas de surface polie. Cette sonde a changé sa trajectoire afin d'éviter une collision avec un autre astéroïde, ça n'arrive habituellement pas. Celle ci l'a fait.

KC : Alors où… de quelle race cela vient-il, de quelle planète ? Le savez-vous ?

CS : Je ne sais pas.

KC : Pensez-vous que les aliènes vous ont fait une mise à jour de votre ADN, qu’ils l’ont modifié d’une façon ou d’une autre ? Vous rendez-vous compte que vos capacités ont augmenté ?

CS : Oui, mais vous essayez de ne pas l'utiliser, sinon vous pouvez... Vous savez les choses avant qu'elles n’arrivent et la plupart du temps vous ne pouvez rien faire pour les changer. Je savais que, sans savoir qui, mais je savais que l'un de mes enfants allait se faire tuer sur sa moto. C'est dur. Je veux dire, avant que mon fils soit tué, le mercredi d'avant, je savais qu'il garait sa moto derrière la voiture... Je savais que je pouvais faire une marche arrière et écraser la moto plusieurs fois. Mais je savais aussi que ma famille ne comprendrait pas que je fasse cela pour empêcher ce qui... disons, essayer d'empêcher ce que je savais arriver.

KC : Vous êtes donc un « prescient ». C'est ainsi qu'on les appelle. Vous connaissiez le futur avant qu'il se produise. Vous ne pouviez pas le changer ou l'arrêter, mais il y a une raison aux évènements. Je pense que vous êtes d'accord.

CS : Oh oui…

KC : Dans un sens, peut-être êtes-vous en paix parce qu'il n'y a pas que vous qui savez mais les âmes savent aussi ce qui va arriver. Les âmes sont conscientes. En fait, nous savons tous que nous allons mourir, peut-être pas consciemment mais nous le savons tous n'est-ce pas ? Donc ce n'est pas à vous de prévenir un évènement ou pas si c'est quelque chose dont nous avons accepté le scénario en tant qu'âme, n'est-ce pas ?

CS : Eh bien, comme je le dis, ils peuvent même communiquer avec ce que nous appelons l'au-delà. Mais même là, avec toute leur technologie avancée, il y a encore des questions interdites.

KC : OK.

CS : Je viens d'essayer d'éviter quelque chose, là ! Disons qu'avec la mort de mon fils... ils m'ont aidé à lui rendre visite une fois.

KC : Bien.

CS : Comme j'ai dit, il y a des questions, si vous les posez... c'était... je savais que si je revenais en arrière de 15 minutes, je pouvais stopper l'accident. Tout ce que j'avais à faire, c'était de le retarder pendant ces 15 minutes, d'une minute ou deux... et j'aurais changé le résultat.

KC : Mais…

CS : Une fois de plus, il y a cette réalité [mouvement des mains] et ici vous créez ce parallèle. Pour une certaine raison, ce n'est pas conseillé, et ils le savent. En outre, il a été précisé que vous ne pouvez pas échapper à la réalité de votre continuum espace-temps, parce que sa mort est ma réalité dans l'espace-temps dans lequel je me trouve.

Je dois revenir au point à partir duquel je pars dans mon espace-temps. Je ne vais pas rester dans l'autre. Et beaucoup de gens resteraient bien dans l'autre. Et bien, non. Cela m'a été montré très clairement et je ne peux l'expliquer... Je ne peux pas avoir un débat scientifique, mais il y a une barrière naturelle. C’est la raison pour laquelle dans le voyage spatio-temporel, quand on en fera la découverte dans notre futur, nous n'en trouverons pas de preuves laissées quelque part le long du voyage... à cause de cette barrière naturelle. Nous pouvons les voir, les sentir, il se peut même que nous puissions interagir avec eux jusqu'à un certain point.

Mais rien d’associé au futur et de lié au jour où nous découvrirons le voyage spatio-temporel ne sera laissé dans une réalité alternée. On dit : OK, le voyage spatio-temporel n'existe toujours pas car nous en aurions les preuves. Et bien, il n'y aura aucune preuve tangible et il y a une barrière naturelle là. La situation globale est que nous faisons partie de quelque chose de plus grand, de plus vaste, et nous prenons part à une aventure. Nous faisons partie de cette aventure.

KC : Oui…

CS : Et nous jouons tous certains rôles là-dedans. Mais comme vous l'avez dit : Ils sont nous... et j'ajoute [en se référant à Paul] il m'a entendu le dire, il a souri quand vous avez dit ça. La situation est la suivante : nous cherchons les différences entre les races, les 57, nous regardons les similitudes et nous commençons à réaliser combien nous avons en commun, et au bout du compte nous arrivons à penser : ils sont nous... parce que tout dans l'univers est étroitement lié. Toutes les espèces sont connectées. Personne ne s'est jamais demandé pourquoi le dénominateur commun était humanoïde ? On ne s'attendrait pas à trouver cela s'il n'y avait pas une sorte de prototype galactique. Vous devenez spirituellement éclairé en traversant cette vie, même ceux que l'on appelle les malades mentaux. De l'autre coté, ils ne sont pas malades.

KC : Nous pourrions peut-être en apprendre plus sur les types de visiteurs que vous avez rencontrés ? Les voyez-vous physiquement ? Ou bien êtes-vous dans un état de conscience modifié ? Ou alors pouvez-vous les voir dans votre esprit ? Avez-vous des communications télépathiques avec eux ?

CS : Ils sont aussi physiques que vous et moi.

KC : OK…

CS : Oui. C'est télépathiquement et il y en a qui pouvaient parler comme vous et moi.

KC : OK.

CS : Mais il y en a beaucoup qui ... qui ne parlent pas, ils veulent tous communiquer avec vous. Mais il y a une chose qu'il faut savoir, et que beaucoup de gens négligent. Et c'est pour cela que c'est si difficile d'en parler. Vous ne faites pas que leur parler. Ils savent tout ce que vous savez et ils ressentent tout ce que vous ressentez, vous entrez et vous ressentez ce qu'ils ressentent. Et voyez-vous, pour certains d'entre eux... nous n'étions pas vraiment des braves types. Nous nous servons du terme visiteur...

KC : Oui.

CS : … mais ils sont traités comme des prisonniers...

KC : Je comprends.

CS : Et il n'y a pas de loi pour leur protection, comme pour la protection des prisonniers.

KC : Hmm hm. Dan Burisch en a parlé aussi.

CS : En 1960 – et je peux vous fournir le document – a été formulé et rédigé, en fait par la NASA, un livre appelé : « Lois de l'Espace « [Outer space laws]. Ce n'est pas avant les années 70's que la question des droits légitimes d'un être conscient, hors de notre monde, ne soit réellement apparue. Et savez-vous ce que sont ces droits ? Il n'y en a aucun.

KC : Et selon vous, il en est toujours ainsi à ce jour.

CS : Pas plus de droits qu'un... Un animal de laboratoire aurait plus de droits que l'un de nos visiteurs. Cependant, ils sont de loin nos supérieurs intellectuellement et même spirituellement. Ils accepteraient de se laisser tués – ils sont nombreux dans ce cas, de nombreuses espèces – plutôt que de faire quelque chose qui pourrait nous blesser ou nous tuer. Et... pardonnez-moi [émotions], mais... c'est ce que j'essaie d'éviter.

KC : Je comprends. OK. Donc, dans un certain sens, ils se sacrifieraient parce qu'ils ont une compréhension très juste de ce que nous faisons réellement.

CS : Absolument.

KC : Vous devez être très finement accordé spirituellement pour pouvoir communiquer avec différentes races issues d'autres planètes, de la façon dont vous le faites. Vous l'exprimez d'ailleurs très bien, c'est vraiment un don. Comme vous le dites, ce n'est pas quelque chose d'acquis, c'est quelque chose d'inné, venu avec votre incarnation.

CS : J'aime à penser de moi même... que je suis ordinaire, si vous me comprenez.

KC : OK.

CS : Je comprends ce que vous voulez dire.

KC : Extérieurement, vous apparaissez comme une personne normale et vous avez surement eu des professions très ordinaires en plus de ce que vous faisiez, n'est-ce pas ? Mais vous êtes aussi « ultra normal », vous utilisez certains des attributs de l'humanité qui sont les meilleurs et ne sont pas utilisés par l'homme ordinaire n'est-ce pas ?

CS : Et bien, je l'espère... [Rires]

KC : OK. C'est une très belle chose. Et nous sommes très heureux de rencontrer personnellement quelqu'un qui agit de cette façon.

CS : Et bien, je pense que la seule chose... voyons si je peux le dire vite et bien. Quand j'étais jeune, je jouais avec des enfants que les autres ne voyaient pas. Pour moi, c'était parfaitement normal. Et je savais des choses sur ces amis imaginaires et ce genre de choses, mais c'était différent et c'était normal. Ils m'aidaient même pour mes devoirs... et c'était parfaitement normal. Personne ne pouvait voir ces gens. Et bien sûr, ça, je ne pouvais pas le comprendre. Bien sûr, ils me disaient : Ils n'ont pas été choisis, et ils ne peuvent pas nous voir, parce que j'essayais de dire aux autres personnes qu'ils étaient là. Je pensais que tout le monde vivait ces mêmes expériences. J'étais enfant et je ne réalisais pas que ça n'était pas le cas. Cela faisait partie de mon environnement, de ma réalité, ces choses m'arrivaient. Mais je pensais que tout un chacun vivait ce genre d’expériences. Mais quand j'ai réalisé et que j'ai vu que les gens me traitaient de fou et que j’étais juste différent... ça aurait été vraiment facile d'être normal et de dire... héhéhé... c'est une blague, et de tout nier. Je ne peux pas expliquer pourquoi il m'était impossible de le nier, mais je ne le pouvais pas.

KC : OK…

CS : Et tout ce qui se passait... rien de vraiment ordinaire n'arrivait. Et jusqu'à... J'ai toujours fait attention aux animaux, et quand j'en trouvais un de blessé, j'essayais toujours de le guérir. Enfant, je ne comprenais pas pourquoi, lorsque je me coupais, ma mère tenait toujours ma main sous l'eau, pour nettoyer. Et un jour, j'ai trouvé cet oisillon tombé du nid et je suis allé le ramasser et j’ai mis ce petit... j'essaie de raconter ça sans... j'ai pris l'oisillon et je l'ai tenu sous le robinet sans me rendre compte que j'allais le noyer en faisant ça. Je voulais l'aider. J'ai pleuré plus d'une semaine pour avoir tué cet oisillon.

KC : Hmm hm

CS : Tout de suite, pour la toute première fois, ceux que j'appelais les enfants... J'ai vu à quoi ils ressemblaient réellement. Et cet être particulier que j'ai toujours connu en tant que « Korona « ... il me disait : Je suis Korona et c'est avec un « K ». A l'époque, je ne savais même pas comment épeler Korona.

KC : Quel type d'espèce, quelle race ?

CS : Les gens aimeraient dire que c'est un gris. Mais non, il était vert, je veux dire un vert pastel. Mais immédiatement, il a voulu savoir pourquoi je ressentais ce que je ressentais. C'était inhabituel. Puis, immédiatement après, c'était pour cela que je ressentais ce que lui ressentait... parce qu'il était pour moi comme un moniteur.

KC : Il a donc naturellement des qualités et des capacités d'empathie, comme vous-même, semble-t-il. Ça fonctionnait dans les deux sens comme la télépathie.

CS : J'irai un cran au-dessus. Nous voyons nos visiteurs comme des personnages de dessin animé. Or, ils ont des cultures, ils ont des sociétés, ils ont des familles, ils aiment, ils ont des répulsions, ils ont des désirs, ils sentent la douleur et ils éprouvent la peur.

KC : C'était donc votre première introduction dans ce monde, d'une façon bien personnelle ?

CS : C'était le premier aperçu, un choc... que ces choses arrivent mais ne sont pas partagées par tout le monde. Je me sentais si seul. Je me souviens d'avoir craqué et pleuré, en suppliant ma mère et mon père de m'emmener voir un médecin parce que je savais que le docteur pouvait faire disparaitre les monstres.

KC : Je me demande si quelqu'un comme vous, l'un des sept capables de communiquer avec les aliènes, n'a pas été emmené sur une base lunaire ou martienne. Que vous en ayez le souvenir ou pas, car je ne sais pas s'ils utilisent des techniques pour vous faire oublier certaines parties de l'expérience.

CS : Il y a des choses dont je n'ai aucune idée si elles sont arrivées ou non sur Terre... et que je garde en mémoire de façon vive. Par exemple, avez-vous déjà entendu parler d'une petite tasse à café, vous mettez du café dedans et le pot à café, ce n'est pas une cafetière... de couleur dorée, les tasses étaient dorées, mais quand vous mettez le café dedans vous pouvez le boire et la tasse se remplit de nouveau jusqu'en haut. Vous voyez ce que je raconte ? Vous comprenez pourquoi j'hésite à parler trop de ces choses là ?

KC : OK. C'est vraiment étonnant. Il faut admettre que du point de vue des gens qui ne sont pas allés sur la Lune ou sur Mars... vous êtes là à nous parler et cependant vous avez eu des expériences qui sont si loin de notre quotidien sur cette planète que vous devez... Je veux dire, il doit y avoir un moment ou vous aimeriez partager ces expériences.

CS : Oh oui ! Parfois je fais des erreurs en laissant les gens voir des choses qu'ils n'auraient pas dû voir parce que c'est une partie importante de ma vie et que je dois bien en faire quelque chose.

KC : Bien sûr.

CS : Je ne saisis pas tout cela, je ne sais pas.

KC : C'est étonnant car vous avez travaillé dans ce monde là depuis les années 60's, vous parlez donc d'environ 40 ans et vous vous demandez toujours ce que c'est. Pour vous, tout ceci est lié à votre destin et à ce que vous devrez faire plus tard, je crois. Est-ce que je vous comprends ?

CS : Il y a un évènement qui surviendra et nous y serons mêlés, et je ne sais pas ce que c'est.

KC : Vous avez commencé dans les années 60's en tant qu'interface ?

CS : La fin des années 60's.

KC : OK. Et je suppose jusqu'à aujourd'hui, car vous ne perdez pas la capacité, et puisque vous êtes sept. Un de ces jours ils vont frapper à votre porte.

CS : Et bien ils vérifient de temps en temps.

KC : Bien. Il y a les visiteurs de différentes communautés. Ils savent sûrement comment vous trouver, où que vous soyez, à n'importe quel moment. Et comme vous le dites, ils voient ou vous en êtes pour ainsi dire. Par exemple, ils pourraient nous voir en ce moment. Ils pourraient même vous avoir dit : Allez-y parce que c'est bien. N'est-ce pas ? En fait, vous parlez de votre destin, qui n'a rien à voir avec l'argent... ce n'est pas réellement un travail au sens propre du mot, c'est une mission, mais c'est une mission terrestre – si vous voulez – que vous avez.

CS : Je vous suivrais bien là. Vous êtes poussé à faire quelque chose, vous n'avez pas à comprendre totalement, mais c'est quelque chose que vous devez faire. Et l'autre aspect effrayant à son sujet ? Vous savez que ... vous ne savez ni pourquoi ni quoi, mais ce que vous faites arrive à son point culminant, c'est une course contre la montre.

KC : Réglée sur 2012 ? Est-ce le calendrier que vous avez en tête ?

CS : Je ne sais pas et beaucoup de gens disent : Ah... pour avoir travaillé avec tout ça, vous avez toutes les réponses. Vous n'avez pas toutes les réponses et celui qui dit les avoir n'est pas sincère avec vous. Vous ne savez pas ce que c'est ! Pourquoi voudrait-on aller de l'avant, intégrer ce milieu et être sujet au ridicule ?

Et puis il y a les problèmes de famille. Ma famille ne comprend pas cela. Ils en ont pourtant pas mal vu pour savoir, ma femme plus que mes enfants. Ma fille au Vietnam, peut-être, comprendrait. Nous nous sommes battus pendant 30 ans pour ramener notre fille du Vietnam. Quoiqu’il en soit, quand elle est venue, bien sûr elle avait sa propre famille avec elle et quand nous avons parlé ovnis, ils étaient tous au courant et connaissaient mon implication dans certaines choses et c'est le gouvernement vietnamien qui leur avait dit, ce qui m'a d’ailleurs un peu choqué. En ce moment il y a un très grand intérêt populaire pour les ovnis au Vietnam.

KC : Oh... vraiment ?

CS : Au Vietnam, la première chose qui me soit arrivée est qu'ils m'ont appelé correctement par mon nom. Les gens m'appellent habituellement Cliff or Stoney, mais ... nous leur avons tiré dessus et j'étais le premier à tirer et c'était : Clifford, que fais-tu là ? Tu n'es pas censé être ici. Et j'étais militaire et nous étions en mission... mais ce qui est étrange... qu'essayaient-ils de me dire ? Que je n'étais pas supposé être dans l'armée ? Mais, ici sur Terre, les militaires, ce sont les hommes. Nos visiteurs, qu'avaient-ils planifié pour moi ?

KC : Vous pouvez répondre là ?

CS : Je n'ai pas de réponse. J'ai plus de questions que vous n'en avez sur moi.

Deux ou trois fois, je suis sorti du milieu ovni. Et vous savez quoi ? Vous ne pouvez pas. Il y a des gens et j'en suis un ... ce n'est pas pour l'argent – ah je voudrais bien – je me bats tous les jours... il peut vous le dire [fait allusion à Paul] chaque mois pour payer les factures, mais c'est autre chose. La chose la plus difficile à faire maintenant est de faire en sorte que les gens pensent par eux-mêmes et lisent. S'ils pensent par eux-mêmes et s'ils lisent la documentation disponible – et là je parle des propres preuves du gouvernement – s'ils lisent cela avec un esprit ouvert, ils diront : Vous savez, il y a autre chose, il se passe quelque chose.

KC : Correct.

CS : Les seules questions qui restent à poser sont : Que se passe-t-il ? Que sait notre gouvernement ? Depuis quand savent-ils ce qu'ils savent ?

KC : Bien. Nous tenons à vous remercier pour votre courage, votre intégrité, votre développement spirituel et votre conscience qui vous rendent capable de communiquer avec ceux des autres mondes à un moment ou peu de gens sur la planète sont capables de le faire consciemment.

Addendum

CS : Il y a eu des moments où nous étions à quelques minutes de tirs nucléaires à cause des observations d'ovnis. Grâce au téléphone rouge qui fut établi et présenté au peuple américain comme une garantie qu'il n'y aurait pas de guerre nucléaire déclenchée par accident du fait d'échos radar erronés... bien sûr tout le monde a eu peur de ce genre de guerre. Les ovnis étaient une réalité. Les ovnis ont existé. Ils ont été déclarés sur les rapports. Ils ont été vus sur les radars, vous aviez les deux : écho et visuel, en même temps. Vous aviez des chasseurs qui essayaient de les intercepter, alors pour se rassurer l'un l'autre que ce n'était pas nous... Et c'était évident que si l'un des deux avait eu cette technologie... Il n'y avait rien que l'autre aurait pu faire.

Nous avions des missiles qui ont été mis hors d'état, sans être détruits, mais rendus incapables de tirer. Nous avions des avions de combat qui tiraient sur des ovnis et les armes US qui ne fonctionnaient pas.

KC : En fait, vous avez utilisé les bons penchants de l'humanité, qui ne sont habituellement pas utilisés par l'homme ordinaire, n'est-ce pas ?

CS : Et bien, je l'espère... [Rires]
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Bill Ryan et Kerry Cassidy, Project Camelot
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