John Lear raconte tout...
Las Vegas, Nevada. Avril 2008
Source
4/9 : Mon Ami Bob Lazar
John Lear: Il rentre chez lui, le temps que j'arrive à Los Angeles et prenne mon portable.
Je dis:
Bob?
Il répond:
Mais qu'est-ce que tu fous?
Et je dis: Et bien,
j'ai pris le mauvais avion, par erreur. Je suis à Los Angeles.
Alors là, la blague a duré 5 ans. John Lear s'est gourré d'avion.
Début de l'Interview
Kerry Cassidy: [rit] Okay. Et avec vos idées bien tranchées, au fond, vos amis sont d'accord avec vous?
John: Je n'ai aucun ami. [tout le monde rit]
Kerry: Allez John, je ne vous crois pas. Vous êtes l'un des hommes le plus charmeur que nous ayons rencontré.
John: Mon
bon ami, Bob Lazar pense que je suis cinglé. Alors...
Kerry: Ah, vraiment?
John: Oui. Il nous l'a dit lors de la fête de mon anniversaire.
Kerry: Et il travaille sur les Ovnis, alors...
John: En fait, si vous pouvez regarder derrière vous, j'aimerai vous lire son cadeau d'anniversaire. C'est cette choppe avec l'inscription "JL"
Kerry: Très bien.
John: Passez-la moi..[Kerry rit] écoutez, Bob Lazar a fait faire ça pour moi et c'est mon cadeau d'anniversaire. Ce que c'est...
Kerry: [rit en donnant la tasse à John] Que dit l'inscription?
John: [lit la tasse et la montre à la caméra]...est le
tableau périodique des éléments. Et l'élément 116 est " JL." Cela dit que c'est " un solide humain". Et que la masse atomique est de 256.89. Il y a toutes les caractéristiques ici [tourne la tasse pour lire] Voilà:
*
Elément: John Lear
*Lieu: Trouvé principalement dans le Nevada. [rires]
*Propriétés physiques: JL est un élément rare et instable. Connu principalement pour sa résistance exceptionnelle au bon sens et aux faits.
*Appliqué généreusement, JL est connu pour augmenter la qualité des vies. Egalement réputé pour son absorption de grandes quantités de substances coûteuses. C'est l'un des agents connu des hommes les plus puissants pour la réduction de sommes d'argent.
*
L'exposition prolongée à cet élément peut causer des troubles sévères physiques, mentaux et financiers. [ tout le monde rigole]
Kerry: C'est drôle. Ok. Vous nous avez dit, en aparté, que Bob Lazar est revenu, à travailler pour le gouvernement.
John: Oui. Il travaille de nouveau au Los Alamos National Laboratory.
Kerry: Il travaille sur quoi?
John: Aucune idée. Il nous a juste dit que quand il est revenu travailler, ils ont eu un petit entretien avec lui [Rires de Bill et Kerry] Et avant de lui donner ses autorisations, ils lui ont dit:
" Ok Bob, vous n'allez pas nous causer quelques problèmes de plus, n'est-ce pas? " Et il a dit: " Non."
Kerry: Oui, mais ils l'ont pratiquement menacé pour qu'il revienne, n'est-ce pas? Il avait des tas de problèmes juste avant ça.
John: je...n'étais pas au courant de cette partie là.
Kerry: Bien. Mais il est dedans depuis 4 ans.
John: Je pense que c'est ça.
Kerry: Et vous avez dit qu'il est possible qu'il donne des interviews?
John: Oui,oui. Il a fait la Travel Channel il y a deux ans, et l'autre jour il a fait une autre émission. Mais ce serait mieux si vous ne parlez pas de moi. Appelez le juste comme ça, comme si de rien.[ rires de Kerry]
Kerry: Ok. Mais il est bien votre ami?
John: Ah oui, oui. Un bon ami. Il est venu ici, c'était vraiment super.
Comme je vous avais dit, j'avais deux fauteuils en osier ici. En 1987 j'ai commencé à parler d'ovnis. J'ai donné une conférence à la bibliothèque de Spring Valley. Ah mais ça a créé un tel barouf ici à Vegas ! Les gens appelaient, d'autres voulaient m'interviewer, je veux dire, ça explosait de partout. Et bien sûr, ça a transformé ma vie de famille ici à cause des appels. A la fin, Marilee avait coupé mon téléphone et embarqué tous mes dossiers Ovnis. Période difficile.
C'est alors qu'en 1988, un type m'appelle.:
"Mon nom est Gene Huff. Je suis un agent immobilier et j'aimerais avoir certaines de vos bandes etc..."
J'ai dit:
" Gene, je ne suis plus dans le coup. Ça m'a presque coûté ma famille, vraiment j'ai arrêté."
Il a dit:
" Et bien, vous savez, si vous voulez échanger des enregistrements, je vous ferais une estimation immobilière en échange."
Et j'ai dit:
" Oh, attendez. "Parce que vous savez, j'avais besoin d'argent. J'ai dit:
" Ok. je vous donnerai ces bandes et vous estimez ma maison."
Alors il est venu le jour suivant pour prendre les mesures. Bien sûr, il ne savait pas que a faisait 715 m2 ! Il se plaint depuis, qu'il ait eu à faire un tel travail pour quelques bandes et peu d'information. Enfin, quand il est venu, il est arrivé avec ce type appelé Bob Lazar et il me l'a présenté. Bob était celui qui tenait l'autre bout du mètre.
Et l'agent immobilier continue:
" Bob a travaillé au Laboratoires De Los Alamos et il vit en ville maintenant et développe des photos." Je lui ai répondu que c'était super.
Donc, Gene et moi, nous parlions ovnis, et Bob levait ses yeux au ciel en disant:
" vous êtes dingues, les gars. ce n'est pas possible, j'y ai travaillé à Los Alamos, j'avais une autorisation " Q", si ç'était vrai je l'aurais su. J'ai assez fourré mon nez partout là-bas." Et il ne voulait rien entendre de tout ça.
C'était environ... en juin 88 et les mois suivants, Gene, Bob et moi-même avons échangé des informations. Et Bob était... comment dire ...il y avait trois ou quatre choses qui le faisaient basculer de:
"c'est complètement ridicule ", à:
"ça pourrait être vrai " et l'une de ces choses est la suivante:
A cette époque, nous connaissions l'existence d'une installation secrète à Los Alamos appelée
" YY-II ", et ce que je savais, c'est qu'ils y gardaient des aliènes. Et il y avait autre chose. Et Bob a trouvé , oui, il y avait bien un "
" YY-II "et oui, c'était
beaucoup plus classifié que le niveau que lui donnait son autorisation. Et c'est en novembre que Bob a décidé :
" Et bien, vous savez, je crois que je vais voir si je peux travailler sur l'aire 51. " Il a donc appelé le Dr. Teller qu'il connaissait de Los Alamos, et j'étais là quand Bob lui a parlé.
Teller:" Voulez-vous travailler à Lawrence Livermore avec moi ou bien ici dans le Nevada? "
Bob: "Je voudrais travailler à Groom Lake. "[large sourire] [ i]Teller:[/i]" Ok. Je vous rappellerai. "
Puis, Bob a eu 3 interviews chez EG&G, et il venait ici après chacune d'entre elles. Je me souviens qu'après sa seconde interview, la première question était:
" Connaissez-vous John Lear? " et
" Que pensez-vous de John Lear? " Et Bob dit:
" Oui, je le connais et il se mêle de ce qui ne le regarde pas. " et il ajoute:
" Ce que je ne leur ai pas dit, c'est que moi aussi j'aimais fourrer mon nez partout." [rires de Kerry] Il a eu sa troisième interview et il nous a dit qu'il les avaient sciés parce qu'ils devenaient très technique et il a sorti tout son bagage technique. Il a dit lui même qu'il avait fait du
bon boulot.
Quoiqu'il en soit, l'évènement suivant, c'est le 6 décembre 1988.
Bob arrive, s'assoit, et dit: "
J'ai vu un disque aujourd'hui."
Et je suis en train d'écrire des chèques, vous savez, je ne fais pas attention. J'ai dit: "
Quoi? "
Il dit:
" J'ai vu une soucoupe aujourd'hui. "
Et moi...
" Une soucoupe? A eux ou à nous? " Il répond:
" A eux. "
Je dis:
" T'es allé à Groom Lake ? "
Bob:
" Oui. "
J'ai dit:
" Alors qu'est-ce que tu fais là ! Ils te suivent certainement. Pourquoi est-ce que tu ne travailles pas là bas quelque temps et puis ensuite reviens pour nous dire ce qui s'est passé. "
Bob:
" parce que je t'ai vu encaisser tellement de trucs dingues ces 6 derniers mois là dessus. Je te dis que c'est vrai. Je l'ai vu. Je l'ai touchée. "
Voilà. Puis, nous avons parlé de ça pendant deux heures. Et c'était tout simplement sidérant, et...
Kerry: Oui, mais racontez-nous l'histoire. On l'a sur l'autre bande mais c'est tellement drôle, quand il s'assoit et dit:
" John, tu ne sauras jamais ce que c'est de... "
John: C'était en janvier. Il avait été là bas deux ou trois fois, peut-être quatre ou cinq. Je ne sais pas combien de fois. Je me souviens que c'était en janvier parce qu'il faisait très froid et je portais une chemise à manches courtes comme celle ci. [ se frotte les bras] Bob arrive, s'assoit et vous savez, il est juste... il est juste "
ON " quoi.
Complètement allumé. Et il a besoin de parler de quelque chose. Et nous savions que nous ne devions pas parler à l'intérieur, alors on est sorti du coté de la piscine.
Et Marilee vient vers nous en disant:
" Qu'est-ce que vous faites tous les deux? " " Nous allons parler " Elle se méfie de
tout, de toutes façons alors bien sûr, elle ne croit pas ça non plus mais nous laisse partir. On arrive dans le petit coin derrière près de l'écurie. Je le regarde en criant:
" Quoi? quoi? quoi? " et il répond:
" John, Tu ne sauras jamais ce que ça fait de voit ton premier aliène. "
j'ai dit:
" Tu en as vu un ? t'en as vu un ? " et il répond:
" Oui. " Et moi:
" ça pouvait pas être une poupée? ça n'aurait pas pu être... ":il dit
" Non. C'était un vrai. " [rires de Kerry]
Et vous savez quoi? aujourd'hui, vous lui posez la question et il dit:
"Et bien, je ne sais pas. Ça aurait pu être une poupée. Ils faisaient tous ces trucs bizarres. "
Kerry: Oh, oui.
John: Mais CE soir là, c'est EXACTEMENT ce qu'il a dit.
Kerry: Ok.
John: Et j'avais demandé:
Comment est-ce arrivé?
Réponse: "
" Je marchais dans le couloir, avec un garde de chaque coté, je suis entré par cette porte et il y avait une ouverture d'environ 30 cm, vitrée avec des câbles dans la vitre, j'ai regardé à travers et il y avait deux types en blouse de laboratoire qui me faisaient face et un aliène debout qui leur parlait. " Je vous ai montré la photo?
Kerry: Je ne pense pas.
John: Parce qu'il a fait un dessin pour moi.
Kerry: Vraiment?
John: Vous voulez que je le cherche?
Kerry: Ah oui, absolument.
John: [montre des papiers sur le bureau] Tout ça, ce sont plein de choses que j'ai gardées de Bob. Par exemple, voici comment les autorisations de sécurité fonctionnent. L'autorisation la plus basse que vous puissiez obtenir s'appelle :"Top Secret " et au dessus de ça, il y a 28 niveaux de Top Secret Crypto, et encore au dessus, il y a 10 niveaux. Bon, ce ne sont pas les vrais noms, à part pour celui du haut qui est Majestic.
Puis, chacun de ces niveaux est compartimenté. Vous pouvez avoir Top Secret Crypto 25, mais vous ne connaissez pas toute l'information dédiée à ce niveau, vous ne connaissez que ce que vous avez besoin de savoir. En d'autres termes, quand vous êtes à Top Secret Crypto 25, personne ne vient vous dire:
" Voilà TOUT ce que les types du niveau Top Secret Crypto 25 ont le droit de savoir. " C'est compartimenté.
On avait ces données pour montrer que le Président des Etats-Unis est comme un Top Secret Crypto 17. Il n'a pas besoin d'en savoir beaucoup. C'est un représentant. Il fait ce qui lui est dit.
Kerry: Oui.
John: Il n'a donc aucun besoin de savoir tout ça. D'après ce que je comprends, le dernier président qui a eu droit à un briefing, de quelque sorte soit-il, était Président Nixon. Ford savait quelques petites choses. Reagan aussi. Bien sûr, Bush savait quelque chose parce qu'il était le Directeur de la CIA. Ce qui ne veut pas dire qu'ils disent quoi que ce soit au Directeur de la CIA. Il est nommé à ce poste et ils DETESTENT ces personnes là, donc il savait des choses pour une autre raison. C'est comme ça que l'organigramme fonctionnait.
[prend une cassette] Ce sont les...Quand Bob a décidé de
ne pas retourner travailler pour le gouvernement on lui a fait faire trois sessions d'hypnose régressive avec Lane Keck. et Lane devait venir pour mon anniversaire et je ne me souviens pas s'il est venu ou non. On le verra sur le DVD. Il a conduit les régressions pour Bob. et ce qu'on a essayé, .. c'était
extrêmement intéressant. La première nous ne l'avons pas parce que la machine qui enregistrait a dérapé mais Gene Huff a pris des notes. Mais la
seconde, je l'ai et c'est là qu'on a essayé de soutirer des informations. Et je vous dirais quoi ici, plus tard si vous voulez, j'en ai une transcription, je vous laisserai le lire parce que c'est très intéressant.
Kerry: Oui, ce serait passionnant.
John: [montre un dessin sur un papier] C'est quand Bob me racontait comment vous allez en avant et en arrière dans le temps.
Kerry: Okay. J'allais vous demander cela. Bob a travaillé sur le voyage temporel n'est-ce pas?
John: Il n'a pas travaillé dessus, il
a été briefé sur le sujet. Voyez, quand il est allé là bas...
Kerry: S'il connaissait Teller, il a dû... et il a travaillé à Los Alamos.
John: Il connaissait Teller parce qu'il l'a rencontré lors d'une lecture que Teller a faite et Bob figurait sur la couverture de
Los Alamos Monitor avec sa voiture spéciale. Il s'est donc avancé vers le Dr. Teller et a dit:
" Je suis le type sur qui vous lisez ". Dr. Teller a dit: [i" Oh, réellement? Génial. "[/i] Et ils ont eu une petite conversation. Bob ne le connaissait que de là. Il n'avait jamais travaillé avec lui mais il a travaillé à Los Alamos et il a écouté Teller parler.
Kerry: Okay. Je vois.
John: Quand Bob est arrivé sur la zone S-4, ils ont dit:
" Vous devez choisir ce que vous voulez faire . Vous ne pouvez pas avoir un petit peu de tout. Vous devez choisir. Vous savez, voulez-vous travailler sur ceci ou cela." Et Bob voulait travailler sur la rétroconception de la propulsion; c'était son travail. Mais il a été briefé sur tout ça. Et ce qu'il m'a montré là, [montre un dessin] c'est comment vous allez en avant dans le temps, ce qui est: exercer une traction gravitationnelle puissante. Et comment vous allez... il a commencé à dessiner comme ça et puis il a gribouillé d'autres choses.
[montre un autre dessin] Bob Lazar en 1987. Il me dessinait les formes différentes de véhicules qui se trouvaient sur S-4. Et celui là, il m'en montre un qui a été touché par un projectile.
[fouille dans ses papiers.] Quand j'ai commencé à montrer à Bob les photos de la Lune, en lui montrant ce qu'il y avait dessus, ...par exemple, je disais:
" Regarde ça, regarde, tu vois ... la vapeur, et ceci... et cela..". Et il me regardait, complètement sceptique. Je sortais de chez lui quand il a dit:
" Tu sais John, si quoi que ce soit dans ce que tu avances est vrai, il va falloir que je me supprime moi-même." Je lui ai répondu:
"Tu sais Bob, donne moi ça par écrit. " Puis, [gros plan de la feuille], je lui ai fait signer ceci. Je lis:
" Je soussigné Bob Lazar, promets que je me supprimerai si quoique ce soit des histoires de John sur la Lune est avéré. Signé Bob Lazar, 23 août 1996. "
ET bien, la suite est là. Quand j' ai enfin pu trouver quelqu'un pour... quand j'avais commandé cette photo de la NASA, vous savez? Ils m'ont envoyé un
négatif. C'était un négatif de 40x50cm.
|
| Avant que la technologie puisse... même à Las Vegas pour faire une photo d'un négatif de cette taille. Alors quand je l'ai eue je l'ai apportée chez Bob et...[caméra zoom sur la photo] il l'a passée au scanner. Et ce sont les scans qui ont été postés sur ATS. Et là haut [montre la photo], je vous laisserai faire un gros plan plus tard, il y a clairement ce qui ressemble à un parking- garage.
Donc Bob regarde, regarde et regarde. Puis il fait: " Je dois l'admettre, ce n'est pas naturel. C'est quelque chose ". Je disais: " Tu sais Bob, on est amis depuis longtemps, et je sais que tu es un homme d'honneur, tu as bien dit que si quoi que ce soit de mes documents sur la Lune étaient vrai, tu te supprimerais ". et j'ajoute: " ne voudrais pas signer cette déclaration là? " [rires de Kerry] et [montre la feuille signée.]
Donc celle ci, c'est le 5 août 1998, 2 ans plus tard et il est écrit: |
" Je soussigné Bob Lazar, admets, sans contrainte, que l'objet dans le cratère Copernicus sur la Lune, nommé " caisse de pommes " est une boite dont je me demande ce qu'elle fait là. Ceci en compensation de ne pas avoir honoré ma décision de me supprimer si la moindre affirmation de John Lear sur la Lune était exacte. Signé Bob Lazar. " Je n'ai pu obtenir mieux que ça.
[gros plan de la photo] Voici le célèbre parking montré à tous et posté sur ATS, et les gens disaient:
" Non; je ne vois pas de parking ici ". Je vous montrerai les agrandissements plus tard. Il y a d'autres dessins, en voici un qu'il a fait sur le fonctionnement du réacteur anti matière.
Kerry: C'était quelle année?
John: Tout cela, c'est entre décembre 1988 et mars 1989 [montre des papiers] voilà les notes que je prenais:
rencontre avec Bob Lazar, 2 novembre 1988, J'ai tapé tout ça.
Kerry: Je vois. A-t-il dessiné un aliène ou pas?
John: Oui.
Kerry: Vous l'avez là? On aimerai bien le voir. [John cherche dans ses papiers]
John: [sort un dossier d'une pile] L'original est bleu et je suis sûr que c'est là quelque part, mais voici le dessin original qu'il m'a fait.[gros-plan]
" dessiné par Bob Lazar, janvier 1988. Cette scène se passe à S-4, position du Gray par rapport aux deux scientifiques en blouses de laboratoire. Taille, orientation et matériaux de la fenêtre." A travers laquelle il a vu les scientifiques et le gris. C'est donc... nous étions assis et il gribouillait partout. C'était le site des tests, où se trouve la zone S-4. C'était la longueur des hangars: 110m et chaque baie faisait 12m de long. Ce que Bob a dessiné, les deux scientifiques en blouse et là le petit aliène qui leur fait face, il a dessiné la porte et aussi le câble qui passe dans la vitre, il a dit qu'il a regardé par là et ils étaient là, devant la fenêtre.
Kerry: C'est super. Il n'a jamais eu de contact ou de communication avec eux?
John: Oui. trois fois. au moins trois fois.
Kerry: Réellement?
John: Je montre encore ça, [tient un autre papier] parce que c'est sur le verso de la feuille. C'est l'Aurora, c'est l'avion qui vole à 250.000 pieds et qui va jusqu'à Mach12. Et c'était en 1988. Et voilà à quoi il ressemble quand il sort du Boeing 737... Quand il a marché sur la rampe, l'Aurora était parqué devant lui si bien qu'il voyait l'arrière et il a dit que c'était absolument énorme, qu'il y avait 2 carrés gigantesques pour l'échappement. Un homme ressemblerait à une poupée s'il se tenait debout dedans.
Kerry: Wow
Bill Ryan: Il le regarde de l'arrière?
John: Oui. Bon, alors les trois fois qu'il a vu l'aliène... la première fois c'était quand ils lui ont donné le liquide à l'odeur de pin. Ce qu'ils ont fait est vraiment intéressant. Quand Bob est venu ici le tout premier jour en disant:
" J'ai vu un disque " ... il avait l'habitude de porter une bague, j'ai oublié quel doigt c'était, mais je lui ai dit:
" Ok, maintenant écoute moi Bob. Ils vont te... ils vont te donner des drogues pour te faire oublier ce que tu fais, alors je voudrais que tu fasses la chose suivante: Quand ils t'emmènent pour te donner les produits, je veux que tu prennes ta bague et discrètement, la mettes sur ton autre main. Tu ne t'en souviendras pas, mais quand tu viendras me voir, je le verrais et tu sauras donc que tu as reçu les produits. " Et là, il dit:
" Ils ont déjà fait ça aujourd'hui ".
Kerry: Oh, wow !
John: Et je dis:
" déjà ? " Il a décrit ce test très élaboré. Comment ils prennent une aiguille, ils grattent un rectangle sur son bras et font des lignes croisées pour obtenir une sorte de grille. Puis, ils prennent quelque chose qu'ils mettent dans chaque petit carré. Ensuite ils l'emmènent dans une pièce qui ressemble au bureau d'un médecin ordinaire avec un divan et il s'allonge. Il y a un écran qui cache quelque chose et Bob sait que le Gray se cache derrière. Il y a un militaire avec un M-16, un médecin et une infirmière.
Ils lui font boire le liquide à l'odeur de pin, il boit tout et ressent immédiatement comme des vertiges. Il se sent dans un puits de 30 m de profondeur, ses bras font 30m de long et il sent qu'il se tient sur les parois du puits avec le bout de ses doigts.
Puis, ils commencent à lui lire l'autorisation, le briefing de l'autorisation qui lui est donnée. Par exemple, ils lisent une phrase et Bob répond:
" Et je comprends cela. " ou,
" Je suis en phase de briefing. " Et à la fin, le soldat prend son M-16 et lui enfonce dans l'estomac. Il nous a dit par la suite que la douleur est REELLE. Et à chaque paragraphe différent de l'autorisation, le soldat prend le M-16 et lui en envoie un coup dans le plexus solaire. Donc, dans les enregistrements que Lane Keck a fait, quand on a essayé d'obtenir des infos , vous vous souvenez... ils lui ont dit beaucoup de choses intéressantes et quand on arrivait à ce qui va se passer dans le futur, il disait:
" Je ne suis pas censé parler de ça. " Et quand Lane essayait d'en obtenir plus en étant subtil, Bob disait:
"Non, je ne peux pas, ça fait mal. "
Kerry: Oh mon... wow. Une réaction programmée.
John: Oui.
Kerry: A-t-il réussi la combine de la bague?
John: Non, parce que c'était trop tard. Ils l'avait déjà drogué.
Kerry: Mais il continuait à y aller..
John: Voyez, il est parti parce que quand on s'est fait prendre... il nous invitait pour qu'on voit les essais de vols de soucoupe. Le 21 mars 1989, et j'ai cette bande ici, je vous montrerai, ça dure 9 minutes. On a pris le Celestron 8 [montre le télescope] et on a vu...Il nous avait dit quand ça allait voler. Alors Gene et moi étions prêts. J'ai fait la mise au point dessus et j'ai vu une soucoupe voler. Elle était penchée, 40° et dorée, et il y avait ce truc qui s'en dégageait. J'ai dit:
" Vite Gene, vite, regarde ! " Et quand je me suis reculé, j'ai trébuché sur le trépied. E cette histoire est remontée à mon anniversaire parce que chaque invité à mon anniversaire est supposé raconter une histoire John Lear. [rires de Kerry] et c'était l'histoire de Bob.
Kerry: Ok. L'histoire du shériff sur la route, le revolver et la voiture, et le flic...
John: Oui. ,C'est quand le shériff du comté nous a arrêtés. C'était la troisième fois qu'on se faisait avoir. Mais, là où je voulais en venir avec cette histoire, c'est ça: Quand ils l'ont emmené le matin suivant à Indian Springs - le point central pour toute la sécurité - quand ils l'ont sorti de la voiture avec un flingue sur l'oreille, ils ont dit:
" Maintenant Bob, quand on vous a donné cette autorisation , ça voulait dire que vous n'êtes pas supposé parler à tous vos amis des soucoupes volantes. Alors vous voulez travailler ici , oui ou non? "
C'est quand Bob n'était plus mis en cause, parce que les deux derniers vols qu'il a pris pour Groom Lake, il se revoyait monter les escaliers et les descendre, mais il ne se souvenait de rien entre les deux et il disait qu'il ne voulait pas travailler pour un programme comme ça.
Kerry: Bien. Qu'en est-il des Grands Blonds? Parce que d'après ce que je comprends,
Charles Hall dit que les grands Blonds sont à Indian Wells, par là, avez-vous des infos là dessus?
John: Euh... Non. Seulement les Gris. et il les a vu trois fois. La première avec le liquide à l'odeur de pin, et la fois où il les a vu dans la pièce et l'autre fois quand George Knapp avait engagé Tavernetti pour avoir un test au détecteur de mensonges. George avait loué une salle au César Palace et Bob Lazar et Gene Huff sont arrivés de bonne heure, ils connaissaient la salle. Gene ouvre tout grand la porte , Bob regarde à l'intérieur et devient tout pâle, à deux doigts de l'évanouissement, il entre et s'assoit et Gene lui dit:
" Qu'est-ce qui t'arrive? " et Bob lui répond:
" Je viens d'avoir un flash back. Je me souviens d'avoir parlé au Gris. " Et ce qui s'était passé quand ils ont ouvert la porte, la façon dont Tavernetti avait préparé la salle... Il faisait sombre. IL y avait une table, deux chaises face à face, et de l'équipement dessus. Cette scène a déclenché cette réaction de Bob et le souvenir de quand il lisait les briefings avec le Gray en face de lui.
C'est une expérience écrasante, cette première fois où vous vous trouvez en présence d'un Gray, alors qu'habituellement vous posez des questions à un interlocuteur qui vous répond. Mais quand vous parlez à un Gris, ils prennent tout de votre esprit, et ils répondent avant même que vous ne l'ayez formulé... c'est troublant. C'était un expérience presque insurmontable. Voilà, c'est la troisième fois que Bob a ...
Kerry: Pensez-vous qu'il se ferait filmer en racontant cela ?
John: J'en doute. Mais on ne sait jamais ce qu'il fera.
Kerry: Pensez-vous que George travaille pour l'agence?
John: Non. George Knapp travaille pour Channel 8. Ah.. vous voulez dire en agent secret?
Kerry: Oui.
John: Je ne sais pas.
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George sait beaucoup de choses. Il m'a eu à son émission il y a 2 mois. Il faisait un sujet sur Sandia. Sandia est
très secret -pas le plus secret- c'est LA base secrète qui a remplacé Groom Lake zone 51. C'est sur le Paiute Mesa... J'ai une carte ici. Ils ont commencé à construire en 1980 et l'ont terminée en 1987. Ça a déjà 20 ans.
Environ quatre ou cinq mille travailleurs là-bas. Je veux dire que c'est une base souterraine ENORME, absolument gigantesque. Il y a trois gros cylindres de bureaux et des trucs qui vont jusqu'à 1600m de profondeur. Dehors sur le site des essais, il a deux pistes avec tous les nouveaux hangars et tout ce qu'il faut. C'est une opération MASSIVE.
Alors quand George y est allé pour filmer, il s'était perdu et n'a rien trouvé. Je vous montrerai, je l'ai sur un DVD. Je vous montrerai ce qu'on a fait.
Ce qui est original, c'est de savoir comment les gens sortent de là !
- Ils ne peuvent pas conduire parce que c'est trop loin.
- Ils ne peuvent pas avoir toutes ces voitures sur la Highway95 parce que ça mettrait l'activité au grand jour.
- Ils ne peuvent pas les mettre dans un 737 parce qu'ils sont déjà pleins et on ne peut pas rajouter d'avions pour cette destination.
Alors ils ont construit un train à grande vitesse qui va de Sandia à Las Vegas et ils ont mis les arrêts sous deux des hôtels principaux. [rires] Comme ça, les types ont l'air de joueurs, ou bien de clients des hôtels qui se baladent par là
Ils vont donc là, ouvrent une porte, utilisent un badge et descendent à l'endroit voulu.
Kerry: Oh. Ok. [rires]
John: C'est génial la façon dont ils s'y prennent.
Kerry: Quels hôtels? Le savez-vous?
John: Oui, mais je ne le dis pas.
Kerry: [riant] Bien. Avez-vous déjà pris le train?
John: [riant] Nah.
Kerry: Vous savez où c'est, vous savez...
John: Je devais y aller vous savez, mais j'essaie de rester clean, sans problèmes ! [prend un magazine] Voici le
Los Alamos Monitor que Dr. Teller lisait quand Bob était ...
Kerry: Ok. Oui, c'est bien.
John: J'ai un ami, Jim Goodall qui dit:
" J'arrive. On va aller sur le site des essais. " Je lui dis:
" Tu sais, avant je le faisais, mais je suis toujours en vie, alors si ça ne te fait rien j'aime mieux pas. " [montre une autre feuille] Voilà trois choses importantes que j'avais écrites sur la vitesse du temps; et j'avais dit à Bob ce que c'était, il avait répondu:
" Correct " en ajoutant:
" Tout le monde s'en fout. "
J'avais dit:
" La vitesse du temps est directement proportionnelle à l'amplitude du flux gravitationnel. " Autrement dit: La vitesse du temps est dépendante de la gravité. Là dessus Bob a ajouté:
*La théorie dit qu'il y a un trou noir pour chaque galaxie.
*La théorie dit que chaque trou noir a sa propre galaxie
*HIV la couche protéinée est sur le virus
*Le temps de recyclage de l'amplificateur de gravité est dix millièmes de secondes.
Bon, le HIV, on en a parlé?
Kerry: Non. On le peut.
Fin de 4/9
Bill Ryan et Kerry Cassidy, Project Camelot
5/9
Bon, le HIV, on en a parlé?
Kerry Cassidy: Non, mais on le peut.
John Lear: Le sida a été inventé par un médecin de la Navy appelé R.M Donner et quand BOB a lu le briefing... à la zone S-4... tous les briefings qu'il a lus faisaient de 50 à 100 pages. Couverture bleue. Ils étaient sur son bureau et il pouvait tous les prendre. Au fur et à mesure de sa progression dans l'échelle des autorisations, les briefings ...[soulève une portion d'une pile de papiers] disons que c'est un briefing, ce serait agrafé, et au fur et à mesure de la progression, ils dégrafent quelques feuilles de plus.
Le briefing sur le sida... je l'ai. Il est sûrement là dedans parce que j'ai écrit un papier sur ce qu'il nous a dit. Le sida a été développé pour éliminer un certain nombre ... d'humains. Le traitement existe, grâce au concombre
Trichosanthes Kirilowii qui ne pousse qu'en Chine. Nous avons essayé par 3 fois d'en importer mais - de toutes façons ils savent- tout a été grillé, par micro ondes ou autre système en passant la douane. C'est donc impossible d'en faire sortir; je vous lirais le traitement exact et comment ça marche.
Kerry: Nous avons un contact en ce moment qui dit avoir travaillé dessus, la fabrication de ce virus, en Afrique.
John: Possible, mais ce n'était pas en Afrique, c'était ici. Ça a été
relâché en Afrique mais fabriqué à S-4. Donc Bob et moi avons cherché R.M Donner. Et trouvé. Il habitait à Santa Fé, il était à la retraite. Nous sommes allé le voir plusieurs fois parce que Bob avait le contrat pour la réparation des sondes alpha. Et on avait pris l'habitude de conduire d'ici à Los Alamos. 16 heures de route. Bob avait un ami là bas et ça nous prenait 24 heures de reconstruire ces sondes alpha. Il y en avait 300, on les nettoyait, les recâblait et et les couvrait avec du ruban alu, puis on rentrait à Las Vegas.
Kerry: Qu'est-ce qu'une sonde alpha?
John: Ils font passer des scanners pour les radiations aux gens qui vont travailler à Los Alamos.
Kerry: Ok.
John: Bob avait ce contrat. Nous faisions ça toutes les six semaines... nous savions où Donner travaillait, nous y allions et le manquions à chaque fois. Finalement nous avons obtenu son adresse et sommes allés chez lui. Il n'était jamais là. Soit il n'ouvrait pas la porte, soit il n'était pas là, soit nous n'avions pas la bonne adresse. Nous ne l'avons jamais rencontré. Quand Bob a commencé à gagner de l'argent avec son business de photos et les sondes, nous prenions l'avion pour Albuquerque et là nous louions une voiture pour monter à Los Alamos. Alors ce jour là -et les mêmes évènements sont arrivés ce jour là- ... j'ai raconté ça dans les histoires John Lear, je raconte donc ça sur moi même.
J'ai des problèmes pour reconnaitre les gens, je n'y arrive pas, même si
je les ai connus pendant vingt cinq ans. Cela m'est difficile de les reconnaitre dans une foule. Donc pour aller à Albuquerque, Bob achetait un billet à Southwest Airlines et je montais avec mon badge. Un matin on y va, on part à sept heures et je vais à l'aéroport, ne voulant pas monter dans l'avion tant qu'il n'y est pas. Je fais les cent pas en examinant tous les passagers, je ne voyais pas Bob. Pas question de monter sans lui et je ne pouvais pas le joindre chez lui. J'ai donc demandé à l'hôtesse lorsque tout le monde était à bord (avec mon badge de pilote j'avais un siège strapontin) :
" Hey, je suis le strapontin, mais je veux être sûr que mon ami est à bord, pouvez-vous faire une annonce ? demander à Bob Lazar qu'il fasse marcher son bouton d'appel." Et bien sûr j'avais oublié que ce vol matinal pour Albuquerque était complet, principalement les types de Sandia. Et quand l'hôtesse a dit:
" Bob Lazar peut-il faire sonner son bouton d'appel? " Alors là, l'avion entier, tout le monde a éclaté de rire car ils ont cru à une blague !
Kerry: [riant] Ah c'est drôle !
John: Il a donc appelé, j'ai compris qu'il était bien là. Je m'installe sur le strapontin pour Albuquerque, nous louons une voiture, arrivons à Los Alamos. Cette journée, tout a marché à merveille, on a tout fait en huit heures. On a donc décidé de reprendre l'avion et rentrer pour diner dans notre restaurant préféré, appelé Parma's. On ramasse tout, on fait le compte rendu et on file à fond les manettes sur la descente de Los Alamos à Albuquerque, on rend la voiture, on courre à l'aéroport. Bob court en avant, donne son ticket, je cours derrière et signe pour mon strapontin et je continue jusqu'à l'avion. Je m'assoit. Ils ferment la porte. Et j'entends le Commandant:
" Bienvenue sur Southwest Airlines sur le vol 304 à destination de Los Angeles. " Et c'est là que j'ai compris, j'avais pris la mauvaise voie et le mauvais avion.
Pendant ce temps, Bob est dans l'avion, il m'attend et voit la porte qui se ferme, il ne sait pas où je suis passé. Jusqu'à Las Vegas il pense que je suis peut-être allé dans la cabine de pilotage. Ils atterrissent et comme le vol pour Vegas est plus long, je ne pouvais pas le joindre. En arrivant, il va dans le cockpit, ne m'y trouve pas et ne comprend pas comment on a pu être séparés en étant si proches.
Il rentre chez lui à l'instant où j'arrive à Los Angeles , je l'appelle:
Je dis:
" Bob?"
Lui:
" Mais qu'est-ce que tu fous?"
Je réponds:
"Et bien, je me suis trompé d'avion. Je suis à Los Angeles."
C'est la blague qui a duré cinq ans, John Lear s'est gourré d'avion. [rires deBill et Kerry ]
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Trichosanthes Kirilowii |
Voici l'information que Bob a eu à S-4. [lit le dossier]
AIDS est un virus protégé par une couche de protéine sur l'ARN, ce qui empêche les anticorps, les cellules T-4 du système immunitaire de le détecter pour l'éliminer. le traitement supposé du sida se trouve dans les sécrétions des champignons blancs qui viennent du concombre Trichosantes Kirilowii. Ces secrétions qui se développent après deux ou trois semaines sont extraites avec de l'hydrazine sulfate dans un procédé d'acidification qui dissoudra la couche protéinée sur l'ARN, exposant ainsi le noyau du virus alors détecté par les anticorps du système immunitaire.
Quelque soit la faiblesse du système immunitaire, le virus sera détruit. Une dose de 20ml en 36 heures est préconisée sans aucun antibiotique pendant la durée de la perfusion qui est de 36 heures et qui dissout la couche protéinée. J'ajoute que pendant ces vingt dernières années j'ai fait plusieurs essais pour sortir de Chine des échantillons de Trichosanthes Kirilowii, mais tous les essais se sont soldés d'un échec, les derniers échantillons ont été grillés au cours de l'enregistrement au départ.
...Maintenant: IranGate, la surprise d'octobre
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Téhéran |
En 1980, Reagan et Bush se présentèrent contre Carter et Mondale, et nous avions des otages en Iran à Téhéran. Bush prit un avion pour Paris afin d'y rencontrer non pas Khoméini mais l'un de ses représentants pour lui proposer un marché: Si Khoméini retardait la libération des otages jusqu'à l'inauguration officielle de Reagan, l'administration Reagan/Bush lui fournirait -au régime iranien- des armes et des munitions en nombre illimité tout le long de leur mandat. C'est à dire de 1980 à 1988.
Mon rôle était de livrer ces armes de Tel Aviv à Téhéran. Cette pile de dossiers ici contient les informations sur les pilotes et la façon dont ils ont conduit l'affaire.
Bush a décollé un samedi soir sur un jet Bac-111 qui ne prend que 6 ou 7 heures de vol. Sa réunion a duré 4-5 heures et il a fait le vol de retour dans un SR-1 décollant d'une base française pour la base de l'Air Force McGuire. Ce voyage n'a duré qu'une heure et 14 minutes. De cette façon, le Président pouvait se rendre à une partie de tennis le dimanche, et la presse n'y verrait que du feu pour ce déplacement.
Ils ont été élus et donc, ont fourni ces armes et munitions, ce qui faisait partie de " l'Iran Contra ". Pour retrouver la date de l'origine du contrat, le congrès n'est pas remonté plus loin qu'en 1985. J'ai emménagé en Egypte en 1981 et mon travail était d'embarquer ces armes à Tel Aviv et de les transporter à Téhéran. Les armes venaient de Zaragosa, notre base Air Force en espagne. Le Mossad s'occupait de tout. Et je n'ai jamais eu à piloter un seul avion, voici pourquoi.
Le premier avion était un CL44 argentin, et ils voulaient utiliser un vieil avion à turbopropulseur pour être sûr que tout se passerait sans problème. Quelle qu'en soit la raison, il a été abattu lors de sa sortie de mission au dessus de la Russie à 64 km au sud de Yérévan. Le Mossad ne pouvait pas comprendre pourquoi les pilotes avaient dévié de leur trajectoire; ils avaient lâché leur chargement d'armes et de munitions. Finalement, ils ont compris que les pilotes avaient été interceptés par des MIGs russes qui savaient ce qui se passait et n'étaient pas d'accord.
Les pilotes avaient dû penser:
" Et bien, on peut tout aussi bien les suivre parce qu'on a rien à bord, ils ne pourront rien prouver." Et dés qu'ils ont été vus en Russie, ils se sont fait descendre. C'était un message pour le Mossad:
" Hey, on ne veut pas que ça continue."
Voyez, toute cette pile de dossiers relate les coulisses de " la surprise d'octobre." Il y a eu deux livres. Gary Sick et Barbara Honegger ont écrit sur le sujet. Le congrès est allé jusqu'à lancer une enquête officielle en 1990 mais tout a été planqué parce que personne ne voulait remonter si loin en arrière. On ne voulait plus entendre parler de cette histoire. Mais les otages sont restés 3-4 mois de plus là bas.
Kerry: Pour que Reagan soit réélu.
John: Oui.
Kerry: Incroyable
John: Beaucoup connaissent l'histoire. Ça fait quoi? 30 ans? Et maintenant, tout le monde a oublié. J'en ai parlé parce que je mets cette histoire ici, sur les pilotes, qui ils étaient...
Minot Air Force Base
Kerry: Savez-vous quelque chose sur l'incident de
Minot récemment avec la base de l'Air Force et les armes qui...les têtes nucléaires qui...
John: Ça va loin. J'ai vu ça sur ATS, très très développé. C'était l'un de mes fils de discute préféré. Ça n'en finissait pas et y avait des types sur ATS qui savaient vraiment de quoi ils parlaient. C'était
extrêmement intéressant. Cheney est sûrement dans le coup. Impossible que ce soit quelqu'un d'autre qui ait donné l'autorisation. C'est l'un des cas les plus "double -jeu" que j'ai jamais vu.
Kerry: D'après vous, c'est une mise en scène pour quoi? pourquoi ils ont fait ça?
John: C'est bien la question, pourquoi? Ils ont déjà des armes nucléaires en Europe. Pourquoi les voler?
Kerry: Justement. Et pourquoi les faire voler du Dakota du Nord ou du Sud jusqu'à l'autre bout des Etats-Unis? Je veux dire, pourquoi faire?
John: C'est dingue. Pour ne rien faire du tout. Bon, ya sûrement une raison mais je ne sais pas ce que c'est. Mais cet incident est intéressant, un jour nous trouverons et nous dirons: " Ah c'était ça ! " On dit My'not.
Kerry: Oui. Meh-no. Dakota du Nord.
John: C'est la prononciation française, nous les américains disons My-not [rit] Je vous fais marcher.
Kerry: Je vois. Ok. Alors, vous nous emmenez où maintenant John? Qu'avez-vous à nous proposer?
...La Flotte Spatiale Secrète
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Aurora |
John: J'ai commandé ce livre. [montre le livre] Ça s'appelle :
"La Force Gravitationnelle du Soleil" de Pari Spolter. Ecrit en 1993, et voyons ce qui est écrit là...[lit]
" Ce livre est un défi sérieux à la loi de gravitation de Newton telle qu'elle est actuellement formulée." J'en suis là, voyez...[montre les pages du début] Newton
avait quelques idées sur la Lune et ça m'intéresse. Tout au long de l'histoire 36 autres personnes ont pensé qu'il y avait une gravité sur la Lune, une atmosphère, et des habitants là haut. Mais chacun d'entre eux...l'info a été discrètement supprimée.
Kerry: Pourtant, nous avons des bases là haut. C'est vraiment ce que...
John: Aucun doute là dessus. Nous avons des bases sur Mars, vous savez, l'équipe secrète d'astronautes est allée sur chaque planète où sur la plupart des planètes.
Kerry: Chaque planète?
John: Et bien plus loin que ça. Nous sommes allés sur d'autres systèmes solaires. Quand on parle des autres planètes, les gens disent:
"Il fait trop chaud sur Venus." Pas du tout. Conneries. Le soleil est une sphère électromagnétique, ce n'est pas un réacteur nucléaire. Et il n'émet pas de chaleur comme on le dit. Il émet de l'électromagnétisme et chaque planète a son propre système de filtration. Le système de filtration autour de chaque planète détermine ce que sera la température. La température de Vénus est à peu près semblable à celle de la Terre. De même pour Mars. De même pour Pluton. De même pour Mercure. Il y a des gens comme nous sur chacune des planètes.
Les planètes dont vous entendez parler, les géantes gazeuses...comme Saturne et Neptune.... Il n'y a qu'UNE géante gazeuse dans notre système solaire, et c'est la NASA. [rires de Kerry] c'est la seule géante gazeuse que l'on ait. Toutes les autres planètes, des gens vivent dessus et...
Kerry: Et bien qu'en pensez-vous? Elles sont voilées? Pensez-vous que...
John: Nous ne comptons pas. L'information est supprimée. Nous n'avons pas le droit de savoir quoi que ce soit la dessus. Les personnes dont parle Hoagland ont pris la relève. Et ils considèrent l'espace comme leur appartenant personnellement. Ils ne veulent le partager avec aucun d'entre nous. A cette minute même ils ont la technologie pour que nous soyons libérés du prix de l'essence et de l'électricité.
Kerry: C'est vrai.
John: Mais ils ne veulent le partager avec nous. C'est seulement pour l'élite et nous ne sommes pas inclus la dedans. Nous pouvons partir à la guerre, et être des cobayes pour des armes, des tests et des trucs comme ça, mais nous ne ferons pas partie du partage de cette technologie. Mais dehors, il y a un univers fantastique, des systèmes de planètes fantastiques, c'est vraiment intéressant là haut.
Bill Ryan: John, j'aimerai te poser quelques questions pour les personnes qui regardent cette interview. Nous posons ces questions pour eux. Tout d'abord, je veux signaler que notre contact, Henry Deacon, m'a dit personnellement-je ne pense pas que ce soit sur notre site parce que, pour moi c'était excentrique - Il a dit qu'il y avait la vie sur chaque planète du système solaire. Il m'a regardé dans les yeux en disant:
"Tu peux ne pas me croire mais je te promets que c'est la vérité." [John rit]
Il dit qu'il ne fait pas aussi chaud qu'on nous le dit sur Venus. Il dit que le Soleil ne fonctionne pas comme on nous l'enseigne à l'école. Il dit tout un tas de choses qui corroborent ce que vous dites. Lui, il vient de l'intérieur. Il a travaillé dans les projets noirs très secrets dans plusieurs endroits. Et donc, ses sources proviennent des documents qu'il lisait lors de ses briefings, de ses conversations avec d'autres physiciens, et ainsi de suite.
D'où tenez-vous vos informations en étant ici? Parce que c'est tellement extraordinaire et surtout si loin de ce qu'il est permis de savoir, que les gens ont besoin de savoir comment vous en arrivez là, ou qui vous informe ou bien quelles sont vos sources?
John: Pour le soleil particulièrement, ça vient d'un document dans les "Branton Files"
Kerry: D'accord. Alors vous avez rencontré Branton?
John: Non, mais nous avons beaucoup parlé ensemble. Je ne suis pas sûr de l'avoir rencontré. Mais son nom était... comment? son nom réel?
Kerry: J'ai oublié son vrai nom.
John: Je crois que c'est Dave quelque chose. Quoiqu'il en soit, nous étions très proches puis il est tombé malade quelques temps et je ne sais plus ce qu'il fait. Mais ses infos sont tellement intéressantes. Je n'ai aucune raison de croire qu'elles soient fausses. Avez-vous lu les Branton files?
Kerry: Ah, oui. Absolument.
John: C'est volumineux. J'en ai un classeur épais de 8 cm. je les ai imprimées.
Kerry: Quand même, c'est lui qui a vraiment donné au public les informations sur Dulce dans ces dossiers. Vous connaissez bien tout ça n'est-ce pas?
...La Base de Dulce
John: Toute l'histoire de la base de Dulce a débuté en 1987 quand, Linda Howe, Tom Adams, plusieurs autres et moi-même, nous nous sommes rencontrés quelques jours à Crestone dans le Colorado pour faire le point sur les Ovnis. Lors de cette réunion, (qui durait 3-4 jours) Tom Adams est venu vers moi et m'a donné un mot.[montre une pile de papiers] Je peux le trouver mais je ne l'ai pas là. Ce mot était de celui que j'appelle: "Mr X" d'Henderson au Nevada. X avait un ami qui travaillait dans une base souterraine au Nouveau Mexique... des murs carrelés et des couloirs qui n'en finissaient pas...et un peu de...
Bref, Tom me dit:
" John, je n'ai pas le temps d'aller faire des recherches là bas, peux-tu t'en occuper? " Et j'ai répondu oui.
Avant de rentrer, Linda Howe et moi avons traversé tout le Nouveau Mexique avec ma camionnette, nous avons fait un stop pour parler à Ernie Edwards, un personnage clé dans l'affaire Bennewitz. Puis, nous sommes descendus à Corona pour rendre visite à Clifford Stone. Nous avons pris la route qui va de Corona à l'autoroute pour rejoindre Roswell. Nous cherchions le "Roswell ranch" et quand nous sommes arrivés au tournant, il y avait 30 vaches mortes là. C'était DINGUE. Ce n'était pas les mutilations classiques mais elles étaient mortes. On a parlé au fermier qui disait: "Oh oui, il y a un virus qui traine par là." J'ai oublié toute l'histoire mais ça n'avait aucun sens, nous sommes partis interviewer Clifford Stone.
Puis je suis rentré à Las Vegas pour rencontrer Mr. X. Il a commencé à me parler de Dulce, du garde qui a été témoin des atrocités survenues là bas et qui était révolté et a fini par s'évader. Et il s'est échappé avec (soi-disant) sept minutes de vidéo qui montre l'entrée, 25 photos noir et blanc, et une centaine de pages d'informations.
Kerry: Sauf que maintenant, on nous dit que le tout est enterré sur le sommet d'une montagne et reste inaccessible.
John: J'y viens, j'y viens...
Bill: Ce type, c'était Thomas Castello, pas vrai?
John: Thomas Castello. Mr. X avait rencontré Thomas Costello et ils étaient devenus copains. Quand il s'était échappé, il avait six de ces boites, il en a donné une à chacun de ses amis et Mr.X était l'un d'eux. X m'a emmené à Dolan Springs où il avait caché sa boite sur le haut d'une montagne. Je ne suis pas allé sur le sommet de la montagne, je n'ai pas vu exactement où c'était, mais il m'a montré le coin.
Nous sommes rentrés et sommes restés en contact pendant environ trois- quatre mois. Finalement il m'a fait voir des dessins qu'il avait fait d'après les photos originales. Ce sont les "Dulce Papers" tristement célèbres. Et j'ai les originaux ici, ceux que j'ai dessiné d'après ces dessins. Je les ai redessinés.
Kerry: Et ce sont des dessins de quoi?
John: De l'intérieur de Dulce
Kerry: Je vois. je ne sais pas si on les a déjà vu ou pas. Peut-on les avoir pour la caméra?
John: Ouais.
Kerry: Okay. Il y a des dessins d'aliènes?
John: Non. C'est juste le labo avec les crochets des sacs et tout.
Bill: Ce sont les dessins qui ont été montrés dans
Matrix Deux? Matrix Un?
...Matrix
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Matrix, par "Valdamar Valerian", alias John Grace |
John: Oui
. Matrix One. D'ailleurs, au sujet de
Matrix, quand j'étais dans tout ce truc, un type essayait sans cesse de me contacter, John Grace, il me disait toujours:
"il faut que je vous parle." Et c'était pendant cette période difficile avec Marylee alors je lui répondais toujours:
"Ne venez pas, je ne veux pas en parler."
En fin de compte il est venu et nous avons développé une longue relation de collaboration sur l'information.
Et chaque page de
Matrix One est sortie de ce bureau. [montre la pièce entière] Et je voudrais bien avoir ce livre. Ma mère est morte et il restait un exemplaire (à l'état neuf ) qu'elle avait et je l'ai donné à l'une de mes nièces. Je n'ai donc pas l'original de
Matrix One, mais j'ai un original
Matrix Deux. Maintenant on en est à
Matrix Cinq.
John Grace était un type fascinant, il a fait beaucoup de recherches, il a travaillé pour la base de l'Air Force de Nellis. Et un jour, pendant cette période là, vers la fin 1987, il a écrit une sorte de "Compile de ses recherches" où nous en étions dans ce que nous avions trouvé. Il a tout mis par écrit. Il voulait que ça sorte mais sans y mettre son nom. Il voulait une suggestion et j'ai dit:
"Pourquoi t'appellerais pas ça K-R-I-L-L ? (parce qu'en 84, le Pentagone traitait avec un aliène nommé
C-R-L-L-L)
Il était d'accord et il invente comme ça les initiales O.H et c'est devenu "les O.H Krill Papers" On n'essayait pas d'en montrer à tout le monde, on n'essayait pas de désinformer. C'était juste ce qu'on pensait de mieux à ce moment là. On a donc inventé ce nom. Plus tard, c'est devenu un super désastre parce que Bill Cooper est entré en scène. Bill et moi même avions fait plusieurs interviews vidéos ensemble. L'une d'entre elles était:
"PM Magazine " à Salt Lake City et ils ont posé la question des "Krill Papers" durant cette interview et Bill Cooper répond qu'il a vu ce dossier dans la Navy il y a plus de vingt ans ! Alors que John Grace et moi les avions pondu deux mois avant!
De plus les "Papers" contenaient un paragraphe sur l'armement Excalibur. Cet armement était en développement par les militaires et serait capable de pénétrer le sol à une profondeur de 304mètres. Bob Lazar avait écrit à ce sujet deux mois plus tôt. Et Bill Cooper disait qu'il avait vu ça dans la marine vingt ans auparavant ! Alors j'ai pris Bill Cooper en aparté et lui ai dit:
" Mais qu'est-ce que tu racontes ! John Grace et moi avons écrit ces Krill Papers et Bob Lazar a écrit la partie sur Excalibur." et il a répondu:
"Et bien, possible, mais je les ai vu dans la Navy il y a vingt ans."
C'est là que Bill et moi, nous nous sommes séparés car je ne pouvais pas comprendre pourquoi il disait un truc pareil. Et c'est devenu connu comme étant " la maladie de l'ovni". C'est quand vous devenez si connu dans le monde ufologique et vous n'avez rien de nouveau à dire alors vous inventez.
Kerry: Ok. Je peux vous poser une question? Parce que je crois savoir que les livres
Matrix sont écrits par Val Valérian, qui est John Grace alors?
John: C'est John Grace, exact.
Kerry: Matrix5 parle de planetX, j'ai entendu. Je l'ai et je ne me souviens pas avoir vu où l'on parle de
Matrix5, enfin ça parle vraiment de tout là dedans. Mais vous dites que Planet X , c'est une fable complète; alors êtes-vous toujours en relation avec John Grace? Savez-vous pourquoi il dit que c'est vrai?
John: Non, je ne sais pas. John Grace...Vous savez j'ai commandé Matrix5 et j'ai lu les 30 premières pages, je ne pouvais pas aller plus loin... Donc, il se peut qu'il y ait une planèteX, il se peut qu'il y ait une Niburu, mais ça ne détruira pas la Terre en 2012.
Kerry: Ok. Et les météorites? Vous savez qui se dirigent sur notre planète, qui foncent vers nous.
John: Nous serons protégés. Vous n'avez pas à vous inquiéter des météorites.
Kerry: Et comment? Par qui?
John: Les types qui s'occupent de nous.
Kerry: Qui sont...? Vous parlez des aliènes? Vous parlez de Haarp?
John: Ouep. Les aliènes.
Kerry: On a une idée de quels aliènes nous protègent? Vous en avez une?
John: Probablement les Gris. Les Gris sont responsables de ce que nous appelons le corps physique, qu'ils appellent des " récipients" (Bob a lu ceci dans les briefings sur le site des essais). C'est leur travail. Ils s'assurent que tout se passe bien. Et les "récipients" contiennent les âmes. Les Gris peuvent changer les âmes d'un corps à l'autre, mais l'âme n'est pas leur responsabilité. Cela incombe à quelqu'un d'autre. Et je ne sais pas qui c'est. Les Gris ici ne sont responsables que des récipients. C'est pourquoi il n'y aura jamais de météorite qui frappera la Terre, à moins qu'il n'y ait des circonstances extrêmement inhabituelles. Il n'y aura pas de telle catastrophe.
Gardons ça en mémoire et je vais aller manger un morceau...
Bill Ryan et Kerry Cassidy, Projet Camelot