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mardi 30 novembre 2010
11 Février 1955 Meeting Secret du Président Eisenhowers avec des ETs
President Eisenhowers Secret Meeting with ETs 1955 Video
Disclose.tv - President Eisenhowers Secret Meeting with ETs 1955 Video
Art Campbell apporte avec lui à la X-conférence de cette année, une histoire étonnante soutenue par des témoignages. Manuel Kirklin, était un Medic de l'armée de l'air spécialiste de haut-niveau travaillant à Holloman AFB en 1955. Kirklin détaille plusieurs rapports de témoins oculaires sur le Président Eisenhower à Holloman sur le 11 Février 1955 pendant la troisième année d'Ike de son premier mandat. Après l'arrivée de Ike à Holloman, deux ovnis ont survolé la ligne de vol, l'un a atterri près de l'avion de Iks, Columbine III, et Ike monta à bord. Ce qui était fascinant sur l'incident a été que le président s'est faufilé loin d'une trentaine de journalistes lors d'une expédition de chasse aux oiseaux à proximité de Thomasville, GA, pendant des tensions internationales concernant Formose (Taiwan). L'enquête de Campbell comprend des informations obtenues par le biais des gardes affectés au président, les enregistrements de vols complets et deux autres témoins indépendants qui font une déposition vidéos LIVE enregistrées. Cette histoire et la piste de l'investiguation qui a suivie, fournie une preuve convaincante que le président Eisenhower a en effet rencontré des êtres d'une autre planète à Holloman AFB en 1955.
Disclose.tv - President Eisenhowers Secret Meeting with ETs 1955 Video
Art Campbell apporte avec lui à la X-conférence de cette année, une histoire étonnante soutenue par des témoignages. Manuel Kirklin, était un Medic de l'armée de l'air spécialiste de haut-niveau travaillant à Holloman AFB en 1955. Kirklin détaille plusieurs rapports de témoins oculaires sur le Président Eisenhower à Holloman sur le 11 Février 1955 pendant la troisième année d'Ike de son premier mandat. Après l'arrivée de Ike à Holloman, deux ovnis ont survolé la ligne de vol, l'un a atterri près de l'avion de Iks, Columbine III, et Ike monta à bord. Ce qui était fascinant sur l'incident a été que le président s'est faufilé loin d'une trentaine de journalistes lors d'une expédition de chasse aux oiseaux à proximité de Thomasville, GA, pendant des tensions internationales concernant Formose (Taiwan). L'enquête de Campbell comprend des informations obtenues par le biais des gardes affectés au président, les enregistrements de vols complets et deux autres témoins indépendants qui font une déposition vidéos LIVE enregistrées. Cette histoire et la piste de l'investiguation qui a suivie, fournie une preuve convaincante que le président Eisenhower a en effet rencontré des êtres d'une autre planète à Holloman AFB en 1955.
La X-Conférence est heureuse d'accueillir les Ufologues Art Campbell et Manuel Kirklin
La X-Conférence est produite par X-PPAC (Extraterrestrial Phenomena Political Action Committee) et Le Paradigm Research Group, qui a pour mission d'éduquer le Congrès, la presse et le public sur le gouvernement qui a imposé «L'embargo sur La vérité " et d'obtenir la reconnaissance formelle par le gouvernement des États-Unis d'une présence extraterrestre engageant la race humaine - Full Disclosure.
UFOTV est heureux de présenter toutes les présentations qui ont été donnés par tous les orateurs invités à chacun des événements X-conférence. Stay tuned as we continue to upload further video coverage.
Nous nous excusons pour les publicités au cours de cette présentation en ligne. Comme indiqué sur notre page de la chaîne principale, les recettes publicitaires de ce programme contribue à couvrir les coûts de production sur l'événement annuel X-conférence.
DVD à partir de cet événement historique et continu X-conférence sera disponible sous peu. Aller à http://www.UFOTV.com. Mots-clés - "X-Conférence"
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English Version----------------
Art Campbell Brings with him to this years X-Conference an astounding story backed up with witness testimony. Manuel Kirklin, was an Air Force Medic and high altitude chamber specialist stationed at Holloman AFB in 1955. Kirklin details several eye witness reports of President Eisenhower at Holloman on or about February 11th, 1955 in Ike's third year of his first term. After Ike's arrival at Holloman, two UFOs flew over the flight line; one landed near Iks's plane, Columbine III, and Ike went aboard. What was intriguing about the incident was that the President snuck away from thirty or so reporters while on a bird hunting expedition near Thomasville, GA during high international tension over Formosa (Taiwan). Campbell's investigation includes information through guards assigned to the president, the complete flight records and two additional independent witnesses who give LIVE video taped testimony. This story and the trail of investigation that followed provide compelling proof that President Eisenhower did indeed met with beings from another planet at Holloman AFB in 1955.
The X-Conference is pleased to welcome UFO Researchers Art Campbell and Manuel Kirklin
The X-Conference is produced by X-PPAC (Extraterrestrial Phenomena Political Action Committee) and The Paradigm Research Group, who's mission is to educate Congress, the Press and the Public about the Government imposed "Truth Embargo" and to bring about formal acknowledgment by the U. S. Government of an Extraterrestrial presence engaging the Human Race - Full Disclosure. UFOTV is pleased to present what will be all of the presentations that were given by all the invited speakers at each of the X-Conference events. Stay tuned as we continue to upload further video coverage.
We apologize for the commercials during this online presentation. As stated on our main channel page, the advertising revenue from this program helps to cover the heavy production costs of putting on the yearly X-Conference event.
DVDs from this historic and ongoing X-Conference event will be available shortly. Go to http://www.UFOTV.com. Keyword - "X-Conference"
Source:
http://ufo-planetx.blogspot.com/2010/11/president-eisenhowers-secret-meeting.html?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+ConspiracyCentral+%28CONSPIRACY+CENTRAL%29
Libellés :
Disclosure
Rio Rico and Hawaii!
Ufo North-East of Rio Rico,AZ
Massive UFO Sightings In Hawaii! UFO's 2010 Hawaii!
What Happend Over Hawaii Massive UFO Sighting?
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..:: La Otra Realidad ::..»Archivo del blog » CELEBRA EL DIA DEL EXTRATERRESTRE 5 DE DICIEMBRE
Mala Zorteils via Reinaldo Rios :
Honrando la proclama emitida en Lajas, Puerto Rico hace unos años atrás, el profesor Reinaldo Ríos creador de la medida y propuesta de esta celebración quiere recordar el hecho como uno histórico. Dicho acontecimiento coincide con la fecha de nacimiento de su creador. Es debido a ello que el domingo
vendredi 26 novembre 2010
MESSAGES DES HIÉRARCHIES Préparez-vous !
MESSAGES DES HIÉRARCHIES
Préparez-vous !
20/11/2010
Je vois un être très grand, et ce qui m’impressionne c’est sa force et sa volonté. Il me montre son vaisseau ; c’est un magnifique vaisseau de lumière. Je n’ose pas dire son nom. Je n’aime pas dire les noms. Il me dit :
« Tu peux dire mon nom ! Je suis celui que vous appelez Ashtar Shéran. Je comprends ce canal qui n’aime pas dire le nom de ceux qui communiquent avec elle, parce que mon nom a été tellement mal utilisé !
Ce soir, c’est la projection de ce que je suis réellement qui est auprès de vous".
Il me dit :
«Je me manifeste aujourd’hui auprès de vous pour vous annoncer notre venue en masse dans un temps maintenant très court.
Préparez-vous ! Nous nous préparons en masse pour nous manifester aux yeux de toute l’humanité. Soyez certains que ce sera un choc émotionnel pour tous nos frères de la Terre !
Nous n’allons pas, comme certains de nos frères l’ont fait par le passé, contacter les dirigeants de tous les pays de ce petit monde, parce que cela a déjà été fait et que certains pays, notamment celui que vous appelez les Etats-Unis d’Amérique, ne veulent encore pas dire la vérité sur notre présence. Lorsque je parle de notre présence, je parle des êtres faisant partie de la Confédération Galactique qui ont pour mission d’aider les mondes, et également de la présence des êtres qui ne sont pas là pour aider les mondes mais pour les dominer.
Nous nous manifesterons en masse, que ce soit le jour ou la nuit.
Si je viens m’exprimer ce soir, c’est pour que vous n’ayez aucune crainte : Le moment du choc émotionnel passé, il faudra simplement vous recentrer et surtout garder l’Amour et la confiance.
Au départ, il y aura de la confusion entre nos vaisseaux et ceux de ceux de nos frères inamicaux pour les humains. Nous les appelons nos frères parce que nous sommes tous frères par rapport à la Source ; certains d’entre nous, d'aileurs, essaient également d’aller les aider.
Sur certains mondes, l’ouverture spirituelle a beaucoup plus de mal à se faire que sur votre petite planète. Sur votre petite planète il y a beaucoup d’ingrédients qui vous permettent d’évoluer, et le plus important c’est l’Amour que vous avez pu vous donner les uns aux autres, l’Amour que vous donnez à votre famille, à vos amis. Cette capacité d’aimer à plusieurs niveaux est très spécifique à la planète Terre et à ceux qui vivent sur elle. Pourquoi ? Parce que votre Mère la Terre a elle-même un immense Amour qu’elle communique à toute vie venant sur ce monde.
Ce moment de confusion passé, vous n’aurez plus aucun doute, et soyez certains que vous vous dirigerez vers nous, si cela doit être, en toute sérénité et en toute confiance. Cependant les moments qui vont venir seront tellement, tellement extraordinaires, tellement particuliers et aussi tellement difficiles, que mes frères et moi ne pouvons même pas vous donner le déroulement de ce qui se passera pour votre humanité.
Pourquoi vous verrez-nous de plus en plus ? Parce que la troisième dimension va de plus en plus disparaître pour laisser place à la quatrième puis à la cinquième dimension. Nous étions en attente en quatrième dimension, donc invisibles pour vos yeux humains, mais maintenant que tout change, que tout s’élève d’un cran, vous nous verrez. Bien sûr nous pourrions rester en cinquième dimension, cela ne nous poserait aucun problème, mais maintenant nous sommes actifs sur le plan où vous vous trouvez.
Enormément de travailleurs de Lumière vont se réveiller, tout comme vous vous réveillez ; ils vont se réveiller et auront une grande facilité pour communiquer avec nous.
Lorsque le moment crucial sera venu, beaucoup, beaucoup d’entre vous recevront le même message. A ce moment-là, il y aura énormément de signes pour vous guider, parce qu’il arrivera un moment où il sera même difficile de communiquer avec ce que vous appeler vos téléphones. Ce sera douloureux pour vous parce que vous aurez l’impression d’être abandonnés, de ne pas pouvoir communiquer avec ceux que vous aimez humainement.
Ces grandes perturbations ne dureront pas très longtemps parce qu’ensuite vous irez vraiment vers autre chose, vers un autre monde ; il y aura de très grandes perturbations électromagnétiques ; il y aura de grandes perturbations vibratoires ; le monde que vous connaissez ne sera plus du tout le même - ni vous-mêmes d’ailleurs !
A ce moment-là, tous vos frères faisant partie de la grande Confédération Galactique seront obligés de se réunir pour projeter sur vous des pensées d’Amour et surtout de paix pour vous calmer, pour vous rassurer. Nous vous donnerons beaucoup d’énergie pour vous rassurer, pour éradiquer le plus possible les peurs et les craintes.
Je suis heureux de pouvoir m’exprimer ce soir. Il y a très longtemps que je ne l’ai pas fait en ce lieu. Je l’ai fait parce que le moment est important, très important !
Soyez attentifs à tous les signes et soyez certains qu’il y en aura énormément ! Le plus beau et le plus grand sera le signe de la venue de Celui que vous appelez votre Grand Frère d’Amour, qui pour nous est comme le commandant en chef de toutes les forces intergalactiques.
Nous vous parlons de tout cela mais vous n’avez pas vraiment notion de ce que cela peut représenter. Lorsque je m’exprime, j’essaie de le faire avec des mots simples pour que vous puissiez comprendre, mais il y a certaines choses que vous ne pouvez pas comprendre parce que vous n’êtes pas encore en mesure de le faire, parce que vous n’êtes pas encore ouverts au niveau de conscience qui vous le permettrait ».
Il me dit :
« Ce qui est demandé aux Enfants de la Terre, c’est de travailler encore et encore l’Amour, la générosité, la fraternité et l’aide, parce que c’est important pour vous, êtres humains.
Lorsque vous nous verrez, vous ne serez plus les mêmes.
J’aurai encore beaucoup de choses à vous communiquer, mais je reviendrai. Je reviendrai dans l’année que vous appelez 2011. Je vous demande encore d’être très vigilants par rapport aux signes ; soyez aussi à l’écoute de votre propre intuition, parce que beaucoup d’entre vous auront la capacité de recevoir nos informations. A ce moment-là, il faudra échanger ce que vous recevez et comparer la justesse de ce que vous recevez.
Je voudrais encore vous dire ceci avant que je ne quitte ce lieu : quoi qu’il arrive, n’ayez aucune crainte, nous sommes là et nous protègerons les nôtres, nous protégerons tous les Enfants de Lumière, tous les Travailleurs de Lumière, nous protégerons tous ceux qui se sont engagés sur ce chemin, tous ceux qui aident leurs frères par leur Amour et leur fraternité. Cette aide peut se faire au niveau de votre famille ; elle peut se faire comme vous le faites en ce lieu, au travers d’une association.
Aidez autant que vous le pouvez, aimez autant que vous le pouvez !
Maintenant moi, Ashtar Shéran, je vous salue et je vous dis : à la prochaine année terrestre ! »
Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :
- qu'il ne soit pas coupé
- qu'il n'y ait aucune modification de contenu
- que vous fassiez référence à notre site http://ducielalaterre.org
- que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu
Libellés :
Ashtar,
MESSAGES DES HIÉRARCHIES
jeudi 25 novembre 2010
Ovnis filmé le 23 janvier 2008 en INDE
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Base Secrète Ovni dans la mythique Himalaya
Kongka La est une basse arête de passage dans l’Himalaya (le cercle bleu sur la carte). Kongka La fait partie des territoires de la frontière de Ladakh disputés entre l’Inde et la Chine. La zone rouge sur la carte est la zone disputée encore sous le contrôle Chinois dans le territoire d’Askai Chin. La partie nord tenue par les Chinois est appelée Aksai Chin et la partie Indienne du Sud-Est est appelée Ladakh. C’est le territoire où les armées Indienne et Chinoise se sont le plus combattues en 1962. Cette zone est l’endroit auquel on a le moins accès dans le monde et selon un accord les deux pays ne patrouillent pas dans cette partie de la frontière. Selon plusieurs touristes, les moines Bouddhistes sont les habitants de Ladakh, l’Armée Indienne et les Militaires Chinois maintiennent la ligne de contrôle. Mais il y a quelques chose de bien plus serieux qui se passe dans cet endroit.
Selon les quelques habitants des côtés Indien et Chinois, c’est là que les OVNI sont aperçus sortant de terre, selon plusieurs d’entre eux, les bases souterraines OVNI se trouve dans cette région et aussi bien le gouvernement Indien que Chinois en est au courant.
Récemment, des pèlerins Hindous qui passaient par le passage Ouest en direction du Mont Kailash, ont rencontrés d’étranges lumières dans le ciel. Les guides locaux sur le territoire Chinois leur avouent qu’il n’y rien de nouveau là-dedans et que c’est un phénomène normal du passage par Kongka - la région de la frontière qui s’étend entre l’Inde et la Chine. Ces silencieux et étranges vaisseaux triangulaires lumineux sont ressortis des souterrains en se déplacant vers le haut presque verticalement. Quelques-uns des aventureux pèlerins voulaient se rendre à l’intérieur du site. Ils ont été dans premier temps repoussés par les postes de garde Chinois. Quand ils ont essayé d’approcher le site par le côté Indien, la patrouille de la frontière Indienne les a aussi repoussés en dépit de leur permission de voyager entre les deux pays.
A ce moment les pèlerins ont commencé à questionner le personnel de sécurité de la frontière Indienne. Ils leur ont dit qu’ils leurs avaient été ordonnés de n’autoriser personne près de cette zone et que c’est vrai qu’il y a d’étranges objets qui sorte de la terre avec des lumière amplifiées et modulées. Les Forces Spéciales des Opérations et agences de renseignements d’Inde sont en charge de cette zone.
Les gens du pays commencent à rire au sein de ce secteur quand on les interrogent à propos des observations d’OVNI. Ils sont étonnés et ne savent pas pourquoi les Gouvernements désirent tellement cacher ces faits évidences. Selon eux la présence extra-terrestre est bien connue et est en grande profondeur sous la terre. Ils croient que ni le gouvernement Indien ni le gouvernement Chinois ne veulent exposer le fait pour des raisons de politique. Quand ils rapportent ces faits aux autorités locales, on leur dit de se taire et d’oublier. C’est la région où les plaques Eurasienne et Indienne ont créé une frontière de plaques convergentes. Une frontière de plaque convergente est formée quand une plaque plonge sous une autre (subduction). En conséquence, c’est l’un des quelques endroits sur terre où la profondeur de la croute terrestre est deux fois plus épaisse qu’ailleurs. L’inverse se trouve dans des points chauds comme le Yellow Stone National Park en Amérique où la croute terrestre est fine.
Une croute terrestre plus épaisse permet la création de bases souterraines à grande profondeur dans les plaques tectoniques.
Kongka La a de magnifiques pierres et granites. Pour quelques raisons que ce soit les autorités ne font jamais d’excavations, ne creusent ni ne font de mines dans cette région. Cette région est vierge et intacte.
Récemment, à la fois l’Inde et la Chine se sont avancées pour résoudrent tous les conflits de frontière et les relations Sino-Indiennes ont reprisent une fois encore. La région d’Aksai Chin est encore disputée. L’Inde et la Chine, comme on le voit sur les cartes, ont d’immenses frontières le long de l’Himalaya et sont en négociation pour toutes ces régions. Bien que l’Inde affirme que l’Aksai Chin fait parti d’elle, la croyance commune dans le Gouvernement est que ce n’est pas une zone tampon. D’un autre côté, la Chine après avoir gagné l’Aksai Chin à l’Inde lors de la guerre de 1962, a construit une autoroute pour sa stratégie militaire. Maintenant ils utilisent une autoroute alternative pour ne pas importuner les régions à Kongka La.
Récemment dans les écoles locales, de jeunes enfants ont fait une compétition de dessin. Plus de la moitié des dessins avaient à voir avec les objets étranges dans le ciel ou sortant des montagnes. Beaucoup d’entre eux savent même que chercher et quand les voir.
Beacoup de chercheurs en ufologie croient qu’il y a des bases cachées sous l’océan et à grande profondeur sous le sol. Kongka La est sujet à des phénomènes étranges et des objets suspects sont vus venant d'énormes et inacessibles montagnes (Himalaya) et les deux Gouvernements refusent de s’avancer et dire ce qu’ils sont.
L’autre alternative est que c’est une stratégie souterraine de Forces de l’Air. Car pourquoi les deux pays permettraient ces bases sur un "no man’s land’ officiel dans cette région frontalière très sensible ? Pourquoi est-ce que dans cette région des gens de milieux très variés rapportent continuellement des observations d’OVNI ?.
source: http://newsoftomorrow.org/spip.php?article22
source: http://newsoftomorrow.org/spip.php?article22
---+++*Ovnis en Corée du Sud////-------+
UFO durante l'attacco in SUD KOREA 23/11/2010
朝韓砲擊過程中延坪島上空出現金字塔形UFO(Pyramid UFO during S.Korea attack)
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Corée du sud : avril 2009-
Crash Ovni ou simple impact météoritique ?
A la mi-avril, des fermiers travaillant dans les champs, ont signalé aux autorités ce qu’ils pensaient être un hélicoptère s'écrasant au sol dans la province de Gyeongsang , Corée du Sud. Les témoins ont déclaré avoir vu des flammes et de la fumée après l'impact.
Des hélicoptères de la sécurité civile, la police ainsi que des sauveteurs ont été dépêchés sur les lieux, ce furent 130 personnes qui fouillèrent pendant plus de trois heures le secteur sans localiser le moindre véhicule accidenté.
Aucune épave n’ayant été localisée aux environs du point d’impact, les autorités locales ont fini par conclure que l'objet pourrait n’avoir été qu’une petite météorite.
Certains ufologues sud-coréens (1) mettent en avant que les témoins ont cru avoir aperçu un engin (2) et se basant sur ce point n’hésitent pas a spéculer sur un vaisseau extraterrestre qui aurait été détruit par l’effet explosif de l’interaction entre le champ d’énergie de l’engin et celui du sol….
Source: http://www.rhedae-magazine.com/Coree-du-sud-Crash-Ovni-ou-simple-impact-meteoritique_a601.html
朝韓砲擊過程中延坪島上空出現金字塔形UFO(Pyramid UFO during S.Korea attack)
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Corée du sud : avril 2009-
Crash Ovni ou simple impact météoritique ?
A la mi-avril, des fermiers travaillant dans les champs, ont signalé aux autorités ce qu’ils pensaient être un hélicoptère s'écrasant au sol dans la province de Gyeongsang , Corée du Sud. Les témoins ont déclaré avoir vu des flammes et de la fumée après l'impact.
Des hélicoptères de la sécurité civile, la police ainsi que des sauveteurs ont été dépêchés sur les lieux, ce furent 130 personnes qui fouillèrent pendant plus de trois heures le secteur sans localiser le moindre véhicule accidenté.
Aucune épave n’ayant été localisée aux environs du point d’impact, les autorités locales ont fini par conclure que l'objet pourrait n’avoir été qu’une petite météorite.
Certains ufologues sud-coréens (1) mettent en avant que les témoins ont cru avoir aperçu un engin (2) et se basant sur ce point n’hésitent pas a spéculer sur un vaisseau extraterrestre qui aurait été détruit par l’effet explosif de l’interaction entre le champ d’énergie de l’engin et celui du sol….
Source: http://www.rhedae-magazine.com/Coree-du-sud-Crash-Ovni-ou-simple-impact-meteoritique_a601.html
samedi 20 novembre 2010
Stanley Meyer/Ann Livingston/Karla Turner/Frank Edwards
Stanley Meyer était un inventeur non-conformiste, qui a conçu un moteur automobile qui roulait uniquement à l’eau, faisant la démonstration de sa découverte avec une «dune buggy »(buggy des sables) qui possédait un moteur tirant son énergie de l’eau. Sa voiture révolutionnaire a été filmée de nombreuse fois par des programmes de télévision.
Le principe de fonctionnement tient à la composition atomique de l’eau en fait une parfaite source de carburant. La molécule d’eau est composée de deux atomes d’hydrogène et d’un atome d’oxygène, et quand la molécule d’eau est séparée en ses deux éléments (H et O) et oxydée comme carburant, l’énergie qui en resulte est deux fois et demi plus élévée que celle de l’essence. Le sous-produit de la combustion est de la vapeur d’eau – rien de plus.
Dans des recherches précédentes, le problème a toujours été de décomposer l’eau d’une manière économique. Les méthodes traditionnelles pour casser le lien de la molécule d’eau ont toujours été un échec. De donner de l’énergie à une voiture par ces méthodes ne la déplacerait pas très loin; le système électrique ne se rechargerait pas assez rapidement avec ce processus, le résultat étant une batterie vite dechargée. Après 30 ans de recherches, Meyer a découvert une méthode qui marche avec une électrolyse de l’eau qui se fait à bord de la voiture, avec un moteur qui marche avec une efficacité de 160 kilomètres par gallon… d’eau ! (1 gallon=3,785 litres).
On a dit à Meyer que les militaires projetaient d’utiliser sa technologie dans leur chars et jeeps. Il a breveté son invention, et était prêt pour la production. Il a dit qu’un Arabe lui avait offert un milliard de dollars pour mettre son idée dans un tiroir, mais il a décliné l’offre.
Meyer est mort subitement le 27 Mars 1998 à l’âge de 57 ans alors qu’il était sorti manger à l’extérieur. Il est sorti en courant du restaurant en s'exclamant qu'on l'avait empoisonné, et il est mort peu de temps après.
source: http://projectcamelot.org/lang/fr/in_tribute_stanley_meyer_fr.html
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Ann Livingston
Ann Livingston gagnait sa vie comme comptable, mais c'était une "abductée" et elle enquêtait également pour le MUFON. Elle avait publié un article intitulé "Electronic Harassment and Alien Abductions" (Harcèlement électronique et enlèvements par des Aliens) dans le journal du MUFON de novembre 1993. L'article se montrait très critique envers Julianne McKinney, directrice du Projet de Surveillance Electronique de l'Association of National Security Alumni ( l'Association des Anciens Etudiants de la Sécurité Nationale). McKinney ne tient pas compte des phénomènes OVNI, persuadée que ce que l'on considère comme tels, n'est la plupart du temps qu'un stratagème gouvernemental, qu'il s'agisse d'un engin expérimental ou d'une expérience psychologique.
Quelques faits, apparemment liés au cas, résistent. A 7 h 15 du matin le 29 décembre 1992, l'appartement de Livingston, situé près de l'aéroport O'Hare à Chicago dans l'Illinois, fut brillamment illuminé par un éclair argenté. Plus tard dans la journée, elle fut accostée sur le parking de son appartement par 5 hommes en noir (Men In Black/MIBs), qu'elle décrivit comme presque privés de visage et transportant de longs objets noirs ressemblant à des torches. On lui fit perdre conscience. On ne sait pas ce qu'on peut lui avoir fait à ce moment précis, ni pourquoi. Tout comme Mae Brussell, animatrice d'une émission radio d'enquête et l'auteure Karla Turner, Livingston est décédée au début de 1994 d'une forme foudroyante de cancer des ovaires.
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Karla TURNER
Qui a tué Karla Turner ? C’est un peu la question que l’on se pose spontanément en parcourant les évènements étranges qui ont rythmé la vie de cette femme exceptionnelle qui a marqué l’ufologie des années 90. Cette intellectuelle insoumise était ce que l’on appelle, dans le langage ufologique contemporain, une abductée, c’est-à-dire quelqu’un qui se souvient avoir été enlevée de force par des entités apparemment extraterrestres. Elle était surtout une chercheuse au parler vrai qui prit le risque de parler publiquement de son expérience et qui n’hésita pas à naviguer à contre courant des idées reçues pour défendre l’intégrité de ceux qui, comme elle, ont pénétré un monde inconnu. Elle laissera derrière elle, trois ouvrages clés encore mal connus et pourtant indispensables pour qui veut comprendre le phénomène des abductions : Into The Fringe, Taken et Masquerade of Angels. Trois livres que Karmapolis s’efforcera de traduire à commencer par Taken dont vous trouverez les premiers chapitres à la fin de cet article.
Avant de devenir un auteur respecté du cercle restreint de la recherche sur les enlèvements extraterrestres, Karla Turner menait une vie tout à fait conventionnelle. Mariée et mère d’un garçon, elle obtint sa licence à l’université de Californie à Sacramento, décrocha sa maîtrise à l’université de Nottingham et son doctorat à l’université du Texas de Denton où elle enseigna comme professeur de littérature avant de se dédier complètement à la recherche sur les rencontres rapprochées du quatrième type, à savoir les abductions.
C’est par la force des «choses» que Karla entrera, en mai 1988, dans un monde encore inimaginable pour beaucoup. En l’espace de quelques semaines, c’est la vie tranquille et bien organisée de toute une famille qui sera envahie par la résurgence de souvenirs incroyables, peuplés d’ombres fuyantes, d’entités reptiliennes, d’inquiétantes expériences «médicales», d’apparitions d’OVNIS et par la découverte d’ecchymoses et de cicatrices étranges au lever du lit. Un phénomène qui touchera Karla et Elton Turner, son mari, mais aussi leur fils et son copain de chambrée ainsi que Megan (pseudonyme), qui deviendra plus tard leur belle-fille. Pendant un peu plus d’un an, Karla Turner transcrira au jour le jour leurs expériences dans un journal qui servira de base à son premier livre, Into The Fringe (Berkley edition – 1992), qui est un compte rendu précis, vu de l’intérieur, de la vie quotidienne d’une famille sous l’emprise d’une force qui ne dit pas son nom.
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Un livre témoin, dense et inattendu où Karla Turner annonce la couleur d’entrée de jeu : «Les gens qui figurent dans ce livre sont des victimes. Ils sont aussi ma famille, mes amis et ce qui leur arrive m’importe beaucoup. Je pense que tout le monde devrait partager mon sentiment car notre histoire démontre qu’aucune famille, aucun enfant ni aucun ami n’est à l’abri du phénomène des enlèvements et cela d’autant plus que les évènements vécus par notre petit groupe se répètent, à l’instant même, dans des milliers de foyers», expliquera-t-elle en introduction, comme pour se justifier de cette confession publique et forcément impudique d’une nouvelle vie qu’elle n’a pas choisie mais qu’elle embrassera avec force et détermination.
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Un livre témoin, dense et inattendu où Karla Turner annonce la couleur d’entrée de jeu : «Les gens qui figurent dans ce livre sont des victimes. Ils sont aussi ma famille, mes amis et ce qui leur arrive m’importe beaucoup. Je pense que tout le monde devrait partager mon sentiment car notre histoire démontre qu’aucune famille, aucun enfant ni aucun ami n’est à l’abri du phénomène des enlèvements et cela d’autant plus que les évènements vécus par notre petit groupe se répètent, à l’instant même, dans des milliers de foyers», expliquera-t-elle en introduction, comme pour se justifier de cette confession publique et forcément impudique d’une nouvelle vie qu’elle n’a pas choisie mais qu’elle embrassera avec force et détermination.
Pas question donc de voir ces intrusions comme un coup de pouce providentiel du génie génétique de nos «frères de l’espace» pour surmonter le chaos spirituel, politique et écologique d’un monde en déconfiture. Ce sera d’ailleurs son cheval de bataille car pour Karla Turner, une abduction n’a rien d’un accompagnement spirituel transcendantal, c’est un viol du corps et de la conscience : «Avant de croire en la bonté des extraterrestres, nous devrions nous demander pourquoi des entités évoluées opèrent de nuit pour prodiguer leurs «soins»? Pourquoi nous paralysent-ils et nous empêchent-ils de résister? Pourquoi des anges s’amuseraient-ils à voler nos fœtus? Pourquoi manipulent-ils les organes génitaux de nos enfants et pourquoi ont-ils besoin de sonder nos rectums? La peur, la douleur et la mystification seraient-elles compatibles avec leurs desseins soi-disant spirituels?» dira-t-elle en conclusion d’un article consacré aux séquelles des enlèvements.
Turner dressera un constat dur, sans concession et peut-être amer pour certains chercheurs, psychiatres et psychologues comme Leo Sprinckle, Richard Boyland ou encore John Mack et bien d’autres. Des personnalités qui ont défendu et défendent encore l’idée d’un partenariat spirituel avec les «extraterrestres», une sorte d’association symbiotique qui, au-delà des souffrances imposées par l’exercice, permettrait à un abducté de prendre conscience de sa relation «spéciale» avec ses ravisseurs, de développer une pensée évolutive et holistique ou mieux encore, une conscience écologique profondément concernée par la survie de la planète. A écouter Karla Turner, ces théories —tout comme celles d’autres chercheurs qui ont exclusivement voulu voir dans ces rapts une opération d’hybridation de notre espèce— sont fondées sur des données incomplètes car leurs auteurs ont opportunément choisi d’écarter tout ce qui ne collait pas avec leurs déductions.
Aux antipodes de la vision, quelque peu idéaliste, de l’extraterrestre bienveillant véhiculée par certains concepts new age, les aliens de Turner sont les «maîtres de l’illusion» : fourbes, menteurs, manipulateurs et obsédés par notre sexualité, ils possèdent une technologie qui leur donne les clefs de notre conscience, de notre mémoire et de notre univers émotionnel.
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Raison de plus, dira-t-elle, de ne pas s’offrir le luxe de rejeter des témoignages ou des indices «gênants» sous prétexte qu’ils ne sont pas spirituellement corrects ou ne corroborent pas une thèse ou des hypothèses, aussi séduisantes soient-elles. Karla Turner se fera donc la porte-parole de ces témoins encombrants, de ces enlevés anonymes qui reviennent avec des problèmes gynécologiques, des maladies graves liés aux enlèvements et des histoires incroyables de transfert de consciences dans des clones. Des récits qui parlent aussi d’expérimentations mortelles dans de mystérieuses bases souterraines, de rapports sexuels forcés avec des aliens polymorphes ou illusionnistes et de la présence d’êtres humains aux côtés d’extraterrestres lors des abductions, pour ne prendre que quelques exemples d’une longue liste d’anomalies peu conformes avec les standards d’une abduction «classique».
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Raison de plus, dira-t-elle, de ne pas s’offrir le luxe de rejeter des témoignages ou des indices «gênants» sous prétexte qu’ils ne sont pas spirituellement corrects ou ne corroborent pas une thèse ou des hypothèses, aussi séduisantes soient-elles. Karla Turner se fera donc la porte-parole de ces témoins encombrants, de ces enlevés anonymes qui reviennent avec des problèmes gynécologiques, des maladies graves liés aux enlèvements et des histoires incroyables de transfert de consciences dans des clones. Des récits qui parlent aussi d’expérimentations mortelles dans de mystérieuses bases souterraines, de rapports sexuels forcés avec des aliens polymorphes ou illusionnistes et de la présence d’êtres humains aux côtés d’extraterrestres lors des abductions, pour ne prendre que quelques exemples d’une longue liste d’anomalies peu conformes avec les standards d’une abduction «classique».
L’ancienne enseignante universitaire devenue activiste ne se contentera pas de raconter son expérience. Guidée par le désir de comprendre et de trouver une réponse, elle assistera d’abord Barbara Bartholic qui, à l’époque, avait déjà réalisé plus de 250 régressions hypnotiques sur des abductés, dont la famille Turner. Rapidement, elle commencera ses propres recherches qui donneront naissance à Taken en 1994 : un deuxième livre qui expose la vie de huit américaines, huit histoires rythmées et ponctuées par l’ingérence d’une conscience extraterrestre insidieusement invasive qui, selon Turner, nous berce d’illusions à coup de réalité virtuelle pour endormir notre vigilance. Un peu comme l’ogresse des frères Grimm qui appâte Hansel et Grethel avec sa maison en pain de mie pour mieux les manger. Un ouvrage qui, visiblement, inspirera le scénariste Leslie Bohem qui écrira Taken, une mini série de télévision du même nom produite par Steven Spielberg en 2002. Une inspiration purement formelle, car si les ressemblances entre l’histoire de Pat (racontée dans Taken de Turner) et la petite hybride interprétée par l’enfant star, Dakota Fanning, ne sont évidemment pas fortuites, le scénario de la série trahira néanmoins la pensée de Karla Turner en présentant les enlèvements extraterrestres comme une évolution quasi mystique de l’humanité.
Dans la foulée de Taken, la militante multipliera les apparitions publiques et deviendra, par la qualité de ses interventions et la pertinence de ses arguments, une actrice incontournable de la recherche sur les enlèvements ainsi qu’un modèle d’authenticité et de combativité pour bon nombre d’abductés qui se reconnaîtront en elle. Certains comme Eva Lorgen (The Love Bite -ELogos & HHC Press) revendiqueront son héritage spirituel et d’autres tel James Bartley, iront jusqu’à se radicaliser : Excédés d’êtres stigmatisés par une presse qui les expose cyniquement comme des UFO believers et desconspirationnistes, ces abductés en territoires occupés ne cherchent plus à convaincre de la réalité de leurs expériences et disent «entrer en résistance» contre un cartel militaro-reptilien responsable, selon eux, du contrôle mental qu’il subissent et de l’entraînement secret de certains abductés, enrôlés contre leur gré dans des opérations spéciales. Si Karla Turner sera parmi les premières avec Melinda Leslie, Debby Jordan, Leah Haley, Katarina Wilson et Anna Jemerson à pointer du doigt le rôle des militaires dans le déroulement de certaines abductions, elle s’attachera aussi à démontrer que les «aliens» contrôlent la mémoire des abductés par l’implantation d’«images écran» et de fausses mémoires. Une réalité qu’elle s’efforcera de traduire lors de nombreuses conférences et conventions ainsi que dans son dernier livre, Masquerade of Angels, publié à compte d’auteur en 1994.
Deux ans plus tard, le 9 janvier 1996, Karla Turner s’éteindra d’un cancer fulgurant du sein en moins de six mois. Une mort prématurée et suspecte pour beaucoup parmi la communauté des enlevés qui voudront y voir un meurtre pour faire taire celle qui leurs inculquait, avec obstination, la volonté de résister contre la menace d’un prédateur invisible et redoutable pour la survie de l’homme. Des rumeurs conspirationnistes et paranoïaques? Peut-être, mais si Karla avait pu survivre à sa propre mort, c’est exactement dans ces termes qu’elle aurait dénoncé une conspiration contre sa propre vie.
Karmatoo
Vous trouverez ici, la première partie de la traduction de Taken au format PDF. Les autres chapîtres seront disponibles en plusieurs étapes sur cette même page que nous mettrons régulièrement à jour.Nous adressons tout particulièrement nos remerçiement à Jeff Polachek et Elton Turner de nous avoir permis de traduire Karla Turner et de pouvoir proposer les traductions françaises sur Karmapolis. Les versions originales des livres de Karla Turner sont sur karlaturner.org
______________________________________________________________________________Karmatoo - © Karmapolis - Mars 2006
Frank Edwards, le célèbre commentateur à la radio, est décédé d'une crise cardiaque présumée le 24 juin 1967, le jour du 20ème anniversaire de la fameuse observation de Kenneth Arnold.
Une coïncidence ? Probablement pas. Deux autres ufologues très connus sont morts le même jour : Arthur Bryant, le "contacté" et Richard Church, président du CIGIUFO. Les circonstances entourant la mort d'Edwards qui, comme James McDonald, militait pour que les réunions de sous-commissions du Congrès traitent du problème, soulèvent de grandes questions. Il se trouve que ce même jour de juin se déroulait à l'hôtel Commodore de New-York une "Convention Mondiale sur les Ovnis" (World UFO Conference), présidé par Gray Barker, auteur et éditeur d'ouvrages sur les ovnis. Barker déclara publiquement avoir reçu deux lettres et un coup de téléphone de menaces, affirmant que Frank Edwards, qui n'était pas présent, ne serait plus en vie à la fin de la convention.
jeudi 18 novembre 2010
$$$$ POUVOIR ILLUMINATIS N.W.O. 911 UFO
À propos d'une citation de John Swinton, (et non Swayton) ancien rédacteur en chef du New York Times, lors d’un banquet, le 25 septembre 1880.
À New York, lors d’un banquet, le 25 septembre 1880, le célèbre journaliste John Swinton se fâche quand on propose de boire un toast à la liberté de la presse :
« Il n’existe pas, à ce jour, en Amérique, de presse libre et indépendante. Vous le savez aussi bien que moi. Pas un seul parmi vous n’ose écrire ses opinions honnêtes et vous savez très bien que si vous le faites, elles ne seront pas publiées. On me paye un salaire pour que je ne publie pas mes opinions et nous savons tous que si nous nous aventurions à le faire, nous nous retrouverions à la rue illico. Le travail du journaliste est la destruction de la vérité, le mensonge patent, la perversion des faits et la manipulation de l’opinion au service des Puissances de l’Argent. Nous sommes les outils obéissants des Puissants et des Riches qui tirent les ficelles dans les coulisses. Nos talents, nos facultés et nos vies appartiennent à ces hommes. Nous sommes des prostituées de l’intellect. Tout cela, vous le savez aussi bien que moi ! » (Cité dans : Labor’s Untold Story, de Richard O. Boyer and Herbert M. Morais, NY, 1955/1979.)
source: http://www.conspiration.cc/
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« Le système bancaire moderne fabrique de l’argent à
partir de rien. Ce processus est peut-être le tour de
dextérité le plus étonnant qui fut jamais inventé.
La banque fut conçue dans l’iniquité et est née dans le
péché. Les banquiers possèdent la terre. Prenez-la leur,
mais laissez-leur le pouvoir de créer l’argent et, en un
tour de main, ils créeront assez d’argent pour la
racheter. Ôtez-leur ce pouvoir, et toutes les grandes
fortunes comme la mienne disparaîtront et ce serait
bénéfique car nous aurions alors un monde meilleur et
plus heureux. Mais si vous voulez continuer à être les
esclaves des banques et à payer le prix de votre propre
esclavage, laissez donc les banquiers continuer à créer
l’argent et à contrôler les crédits ».
Sir Josiah Stamp, Directeur de la Banque d’Angleterre
1928-1941, seconde fortune d’Angleterre.
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L’oligarchie de Wall Street poursuit un rêve…Le Gouvernement Mondial.
L’oligarchie de Wall Street
poursuit un rêve…
Le 17 février 1950, James Paul Warburg déclarait à la
tribune du Sénat américain : « Nous aurons un
gouvernement mondial, que cela plaise ou non. La
seule question sera de savoir s’il sera créé par
conquête ou par consentement ». Ce membre éminent
du Council on Foreign Relations (CFR) appartenait à
une célèbre famille de banquiers juifs de Hambourg,
très impliquée dans de sombres coups. En effet,
explique l’éminent historien Antony Sutton : en 1920,
l’oncle Felix Warburg prit la tête de la Kuhn, Loeb & Co,
autre banque juive considérable associée aux
Rockefeller depuis 1911 et qui servit de cheville
ouvrière dans le financement occulte de la Révolution
russe par les Etats-Unis, ainsi que dans celui du régime
nazi, au début des années trente. Pas étonnant que
Jacques Attali, admiratif devant ces puissants qui
considèrent les peuples comme du « bétail », ait publié,
il y a plus d’une vingtaine d’années, un ouvrage au titre
évocateur : Sigmund Warburg : un homme
d’influence… c’était le père de James Paul Warburg.
Après quatorze années de présidence à l’Elysée, et
peu de temps avant de mourir, François Mitterrand
décide de laisser son testament politique dans un
ouvrage écrit par Georges-Marc Benamou : Le dernier
Mitterrand, publié en 1997. Le président socialiste
confiait : « La France ne le sait pas, mais nous sommes
en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre
permanente… […] Ils sont très durs les Américains. Ils
sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le
monde… C’est une guerre sans mort apparemment et
pourtant une guerre à mort ».
Plusieurs années avant, dans une conférence de
presse du 4 février 1965, le Général de Gaulle
s’exprimait au Palais de l’Elysée. « A l’issue de la
Conférence de Gênes, en 1922, on a reconnu à la livre
et au dollar le privilège d’être tenues automatiquement
comme équivalentes à l’or pour tous paiements
extérieurs, tandis que les autres (devises) ne l’étaient
pas. Puis la livre a été dévaluée en 1931 et le dollar en
1933. Avec la Seconde Guerre mondiale, les monnaies
européennes furent ruinées par l’inflation. Possédant la
majeure partie de l’or de la planète, les Etats-Unis
tiraient un avantage évident. Il pouvait paraître naturel
que les autres Etats fissent entrer indistinctement des
dollars ou de l’or dans leurs réserves de change. Ce
système s’appelait le Gold Exchange Standard ». Mais,
estime le Général de Gaulle, « les conditions qui ont
pu, naguère, susciter le Gold Exchange Standard se
sont modifiées… Les monnaies des Etats de l’Europe
occidentale sont aujourd’hui restaurées, à tel point que
le total des réserves d’or des Six équivaut aujourd’hui à
celui des Américains. Il le dépasserait même si les Six
décidaient de transformer en métal précieux tous les
dollars qu’ils ont à leur compte ». Aujourd’hui, « il existe
un déséquilibre en quelque sorte fondamental. Pour
toutes ces raisons, la France préconise que le
système soit changé ». « La France, pour sa part, est
prête à participer activement à la vaste réforme qui
s’impose désormais dans l’intérêt du monde entier »1.
Ce que De Gaulle contestait, c’est le fait que les Etats-
Unis puissent s’endetter à volonté sur le dos des autres
nations au motif que le reste de l’économie mondiale
avait besoin de dollars pour garantir sa propre
fabrication de monnaie. En contraignant les autres
nations à accepter le dollar comme LA devise
d’échange et de réserve internationale, les Etats-Unis
se comportaient comme un dictateur percevant l’impôt
de la part des pays vassaux. En effet, poursuit le
général de Gaulle : « Le fait que beaucoup d’Etats
acceptent, par principe, des dollars au même titre que
de l’or, pour les règlements des différences qui existent
à leur profit dans la balance des paiements
américaine ; ce fait entraîne les Américains à
s’endetter gratuitement vis-à-vis de l’étranger. Car
ce que les Américains doivent, ils le payent, tout au
moins en partie, avec des dollars qu’il ne tient qu’à eux
d’émettre. Etant donné les conséquences que pourrait
avoir une crise qui surviendrait dans un pareille
domaine, nous pensons qu’il faut prendre à temps les
moyens de l’éviter. Nous estimons nécessaire que les
échanges internationaux soient établis comme c’était le
cas avant les grands malheurs du monde, sur une
base monétaire indiscutable et qui ne porte la marque
d’aucun pays en particulier. Quelle base ? En vérité, on
ne voit pas qu’il puisse y avoir, réellement, de critère,
d’étalon, autre que l’or ».
Dans cette courte conférence, le Général de Gaulle
« osait » signifier au cartel bancaire que la France
refusait désormais la vassalité envers les financiers des
deux premiers conflits mondiaux. Mais avait-il
conscience de l’existence de ce cartel ? Connaissait-il
cette déclaration du président américain Thomas
Woodrow, commentant la prise de contrôle de la
Banque centrale américaine, en décembre 1913, par le
cartel bancaire ?
« Je suis un homme très malheureux. J’ai
inconsciemment ruiné mon pays. Une grande
nation industrielle est contrôlée par son
système de crédit. Notre système de crédit est
concentré. La croissance de la nation, donc, et
toutes nos activités sont aux mains de quelques
hommes. Nous sommes devenus un des
gouvernements les plus mal dirigés, le plus
complètement contrôlé et dominé dans le
monde civilisé. Nous ne sommes plus du tout
un gouvernement d’opinion libre, ni un
gouvernement par la conviction et le vote de
la majorité, mais un gouvernement par
l’opinion et la coercition d’une poignée
d’hommes dominants ».
Comme l’Histoire l’atteste, les menaces du Général de
Gaulle ne furent pas appréciées du tout par Wall
Street2. La révolution de Mai 68, organisée par les
services secrets américains, le contraignit à quitter
la place ! Comme chacun le sait, l’agent
révolutionnaire Cohn Bendit fut un pion important de ce
coup d’Etat des banquiers américains. De nombreuses
années sont passées et Cohn Bendit est toujours fidèle
au poste pour mettre en oeuvre, si nécessaire, une
version néolibérale « écolo de gauche »… dans
l’hypothèse où l’expérience néolibérale de droite se
terminerait mal.
Quand Georges Pompidou rencontre de Gaulle en
1944, ce dernier lui confie la direction du cabinet.
Même durant la traversée du désert du général, la
collaboration des deux hommes se poursuit. Directeur
général de la banque Rothschild en 1956,
Pompidou passera de nombreux week-ends avec Guy
de Rothschild (le père de David et d’Edouard) au
château de Ferrières. C’est Pompidou qui présentera à
la famille son brillant secrétaire général adjoint,
Edouard Balladur.
Pompidou abandonne ce poste pour celui de
Premier ministre en 1962. Suite à la retraite du
général, en juin 1969, Georges Pompidou succède à de
Gaulle comme Président de la République. Dès sa
nomination, les banquiers synarchistes montrent qu’ils
ont désormais la ferme intention de « tenir » les
présidents à l’Elysée, de les choisir eux-mêmes en
faisant ratifier leur choix par le « peuple souverain ».
Pompidou est donc un ancien directeur général de la
Banque Rothschild. Sous de Gaulle, il a occupé les
fonctions de Premier ministre jusqu’au 10 juillet 1968.
Pompidou demande alors à Jacques Chaban Delmas
de constituer le gouvernement (1969-1972) et il place
Valéry Giscard d’Estaing à la tête du ministère de
l’Economie des Finances. Conseillé par M. Pébereau3,
l’actuel patron de BNP Paribas, Valéry Giscard
d’Estaing introduit l’article 25 de la loi du 3 janvier
19734 : « Le Trésor public ne peut plus présenter ses
propres effets à l’escompte de la Banque de France ».
En clair, par cet article de la loi du 3 janvier 19735,
Pompidou/Giscard retirent à la France le pouvoir de
créer la monnaie dont elle a besoin pour combler
ses propres déficits, que ce soit en fonctionnement
(salaires et retraites des fonctionnaires, loyers, etc.) ou
en investissements pour son développement (écoles,
routes, ponts, aéroports, ports, hôpitaux, bibliothèques,
etc.). Comme nous l’avons déjà dit, l’article 25 de la loi
du 3 janvier 1973 contraint la France à emprunter sur
les marchés monétaires en émettant des obligations
bons du Trésor) sur lequel évidemment elle doit payer
un intérêt à ceux qui souscrivent (40 % du montant par
des résidents, 60 % par des non-résidents), ce qui a
pour conséquence d’alourdir la dette au fil des années
d’un montant sensiblement égal au déficit, qu’il faut
couvrir par l’emprunt, c’est-à-dire par l’émission
d’obligations nouvelles auprès du public et surtout des
investisseurs institutionnels (assurances, banques,
etc)… la Haute finance apatride.
Depuis 1973, c’est plus de 1 300 milliards d’euros
d’intérêts6 qui ont été payés en 35 ans (et nous
continuons à raison de 120 millions d’euros par jour)
aux hommes les plus riches, qui d’ailleurs peuvent
ainsi nous les prêter à nouveau contre intérêt !
Précisons si besoin était que cette monnaie prêtée par
le cartel bancaire est, comme 93 % de la monnaie en
circulation, issue d’une création monétaire par les
banques privées… monnaie évidemment payante bien
que créée ex nihilo, à partir d’une simple ligne
d’écriture.
En agissant comme ils l’ont fait, les hommes du cartel
bancaire ont ôté le droit de création monétaire à la
Banque de France et livré la monnaie aux banques et
sociétés d’assurance. Hier comme aujourd’hui, Valéry
Giscard d’Estaing justifie toujours cette mesure au motif
que le « prêt direct de la Banque de France au Trésor
public a généré partout où il fut appliqué, une situation
d’inflation monétaire permanente ». C’est tout
simplement faux !
Non seulement il y a eu, mais il y a toujours une volonté
de rendre la France dépendante des financiers de la
mondialisation et du projet de gouvernance
supranationale.
« Un calcul simple montre que sans le poids des
intérêts sur la dette publique, les soldes des budgets
seraient restés positifs pendant toute la période 1980-
2005, sauf pour les années 1992 à 1996 et 2002 à
2005, au lieu d’être négatifs ». Nous aboutissons à
quelque chose qui dépasse l’entendement : la dette
cumulée de l’Etat français (1 150 milliards d’euros) est
identique aux intérêts cumulés depuis 1971 (1 142
milliards d’euros) !
En introduisant cette nouveauté de la dette et de la
perspective d’une banqueroute de l’Etat français, VGE
a fait du système monétaire actuel « une grande
éponge qui sert à faire remonter les richesses du
bas vers le haut »7. « L’ignorance des populations
permet à cette arnaque légale de continuer d’exister.
Grâce à la complicité des politiciens, nous payons aux
banques privées une licence d’utilisation du système,
des royalties, sous forme d’intérêts », explique A-J
Holbecq. Justement, parlons brièvement de l’emprunt
Giscard de 1973. Pour 6 milliards de francs empruntés
en 1973, l’Etat a finalement remboursé au total
(montant initial plus intérêts) 80 milliards de francs en
1988 ! VGE sera finalement remercié par la
BANQUE qui lui offrira la présidence française en
1974. Pour information, le directeur de la Banque
Rothschild a pour nom Nicolas Valéry d’Estaing…
La présidence mitterrandienne verra l’explosion des
déficits publics de la France ; elle cautionnera aussi
une immigration massive, balkanisant et fragilisant
chaque jour le pays. Enfin, l’arrivée de la « gauche
caviar » au pouvoir en France fera considérablement
avancer le programme européen dont on reparlera
dans le prochain numéro de LIESI. Tous les
gouvernements successifs, aux différentes couleurs8
pour mieux rouler le peuple dans la farine, jusqu’à la
victoire du clan des balladuriens avec Nicolas Sarkozy,
poursuivront dans la même voie, sans jamais remettre
en cause le PLAN de ceux qui ne cessent d’aspirer
l’argent des poches du contribuable depuis 1973. Ces
trente-sept dernières années n’ont fait que confirmer
l’allégeance de la classe politique à la Haute Banque.
Car il faut bien se souvenir de ce que disait, dans un
entretien accordé à la revue Entreprise (ancêtre de la
revue L’Expansion) il y a trente-neuf ans, précisément
sous le règne de Georges Pompidou, Edmond de
Rothschild : « LE VERROU QUI DOIT SAUTER A
PRESENT, C’EST LA NATION »9.
Incontestablement, les années 70 marquent un
tournant majeur dans le programme des mondialistes.
Cette période est caractérisée par le désordre
monétaire : les monnaies se mettant à flotter les unes
par rapport aux autres, les acteurs économiques
demandent aux banques et aux assurances d’inventer
des instruments de couverture contre les risques de
change. Une dizaine d’années après, ce seront des
produits financiers sophistiqués – dénommés produits
dérivés –. La spéculation déborde l’économie réelle :
une économie virtuelle apparaît. Ce sera le cancer
qui, à terme, doit achever l’Etat-nation ! Quant aux
produits toxiques, ce seront les métastases qui
gangrèneront l’ensemble du tissu économique. Grâce à
des lois comme celle de 1973, imposée par
Pompidou/Giscard, les stratèges à l’origine de cela
savaient que la richesse de l’Etat-nation serait
ASPIREE vers les coffres des banquiers
synarchiques.
Dès cette période, chaque dollar pour l’économie réelle
voyait un autre dollar pour l’économie financière. Et
quand le monde entre dans le XXI° siècle, le rapport
est devenu de 1 pour 120 ! C’est de la pure folie et tous
les gouvernants, comme la majorité des « grands
économistes », ont accepté cela sans dénoncer ce
crime. Car il y a réellement crime ! En effet, cette
économie financière a déchaîné l’appétit du gain. Elle
est responsable de nombreuses émeutes de la faim ici
ou là, car les produits dérivés sont aussi présents sur
les marchés de cotation des céréales, du lait, etc.
Depuis cette époque, les prix des denrées alimentaires
fluctuent dans des limites totalement
incompréhensibles que seule la spéculation explique.
Et cela ne cesse de prendre des proportions
inquiétantes. Par exemple, au début du XXI° siècle,
moins de 10 milliards de dollars étaient investis dans
les matières premières (agriculture, métaux, énergie).
Aujourd’hui, plus de 250 milliards de dollars sont
désormais investis dans ces actifs !
En avançant dans le temps, les banquiers s’aperçoivent
qu’ils n’ont même plus besoin de s’inquiéter de la
solvabilité des emprunteurs. De fait, les liquidités se
multiplient en une véritable bulle spéculative. Tous les
gouvernements occidentaux suivent les Etats-
Unis dans cette folie criminelle. Alors que l’économie
virtuelle ne cesse de croître au détriment de
l’économie réelle, alors que le citoyen se croit riche
uniquement par la grille de lecture de l’économie
virtuelle, on lance le slogans : « tout le monde
propriétaire ».
Pour essayer de tourner en ridicule des organismes de
prospective comme LIESI, on va noyer quelques
créances douteuses au milieu de créances certaines.
Bien sûr, l’affaire se réalise avec la complicité des
dirigeants des banques centrales. Normal puisqu’elles
sont elles-mêmes sous le contrôle du « cartel
bancaire ». LIESI a déjà fait état de confidences d’une
source connaissant personnellement A. Greenspan,
lequel conseillait de faire le contraire de ce que luimême
recommandait publiquement ! D’ailleurs, sitôt en
retraite, plus d’un an avant la crise des subprimes, A.
Greenspan confirmait qu’il ne fallait avoir aucune
confiance dans le « monétaire papier » et que seul l’Or
ne trahirait personne. Mais alors, pourquoi a t-il, durant
la période 1987-2006, fait le contraire de qu’il pensait ?
Parce qu’il n’était que l’employé des huit familles du
cartel bancaire qui dirigent officieusement la Banque
centrale américaine. Il était grassement payé pour faire
ce que ces familles exigeaient… dans l’ombre.
Greenspan a quitté la présidence de la Banque centrale
américaine après avoir distribué des trillions de dollars
à tous les gogos de la planète. Le système a besoin de
plus en plus d’argent, les prix des maisons s’envolent,
les cours des actions papier grimpent,… Greenspan
était là. Même remplacé par Ben Bernanke, la même
politique de destruction du papier monnaie s’accélérait !
Puis un beau jour, après s’être concertées, quelques
personnes très fortunées ordonnent simultanément,
aux quatre points cardinaux, le retrait de plusieurs
milliards du circuit virtuel. Elles n’ont pas prévenu les
banquiers centraux de leur décision ! C’est l’asphyxie…
Les banques ne se font plus confiance, le doute
s’installe. La consigne est donnée : il faut fermer le
robinet du crédit. Les marchés papier dégringolent et
les entreprises souffrent. La crise gagne l’économie
réelle et le chômage grimpe en flèche.
Le consommateur est un élément clé de l’économie
réelle. Or là aussi, un tournant s’est opéré dans les
années 70. A l’époque, les fonds d’investissement
contraignent les entreprises à modifier leurs habitudes :
privilégier les actionnaires au lieu des salariés. Les
fonctions à basse main-d’oeuvre ont alors commencé à
être délocalisées. Cette politique, imposée par les
familles oligarchiques, a accéléré la montée
vertigineuse du travail précaire et du chômage :
25 % de la population active aujourd’hui en
Occident. Au fil du temps et avec l’accélération du
scénario de crise majeure, annoncée en fanfare par D.
Rockefeller en septembre 1994, cela représente
énormément de pouvoir d’achat en moins. La pression
s’exerce alors sur les Etats-nations… Il faut accroître la
dette publique !
Ce n’est pas tout ! L’objectif du cartel bancaire étant,
nous dit le Baron de Rothschild, de faire sauter l’Etatnation,
il faut promouvoir une pensée économique
nouvelle, favorable aux banquiers, défavorables
aux Etats-nations. En 1976, on décerne le prix Nobel
d’Economie à Milton Friedman, économiste juif
américain, qui affirme le triomphe de la doctrine
économique selon laquelle « le marché s’équilibre luimême
– sans intervention publique – et cet équilibre est
optimal ». Les grandes organisations supranationales
ont pour consigne d’imposer ce changement et les
« conseillers » des gouvernements de l’Ouest sont
parvenus, de 1980 à 2010, à convaincre les dirigeants
des Etats-nations de suivre le mouvement. C’est la
période Reagan-Thatcher jusqu’à celle d’Obama et de
Sarkozy. On baisse les impôts, on creuse les déficits, la
dette publique explose. Plus de trente ans après, la
crise n’est-elle pas gérée par les étudiants de
Milton Friedman ? Plus, n’oublions pas que Milton
Friedman était le chef de file de l’Ecole de
Chicago, un groupe d’économistes proches
des néo-conservateurs états-uniens. Comme
par hasard, la solution prônée par Milton Friedman à un
scénario comme celui de 2007-2009 était : « facilités de
crédit pour doper la croissance ». C’est précisément ce
qui a été fait et cela s’appelle : l’endettement public. Par
exemple, les conseillers « du soir » de Nicolas Sarkozy
ne sont-ils pas Alain Minc et M. Pébereau ?
Au lieu de condamner les thèses de M. Milton Friedman
et des treize autres prix Nobel d’économie de la même
école, on préfère le suicide collectif pour le profit d’un
petit groupe de banquiers synarchiques ! Au lieu de
virer certains visiteurs du soir de l’Elysée qui nous
mènent au chaos, l’on préfère poursuivre sur la planche
de savon et aller au CHAOS.
Et que dire de gêneurs comme Philippe Seguin, dont le
décès arrange tant les partisans de la thèse que ceux
de l’antithèse de la dialectique hégélienne. Nous
sommes dans l’attente de la synthèse, le
néolibéralisme hybride. A la tête de la Cour des
Comptes, Philippe Séguin s’était imposé un devoir de
réserve. Beaucoup étaient cependant inquiets de ce
qu’il s’était interdit de dire en public, mais qu’il confiait à
certains proches de l’Elysée. Il est vrai que s’il avait
exprimé tout haut ce qu’il disait en privé concernant
l’état de la France et l’incohérence coupable d’une
politique de fuite en avant, qui selon lui, la mène droit
dans le mur, bien des cercles de pouvoir, très liés avec
la Haute banque, eussent été gênés. P. Séguin était
attaché au principe jugé « ringard » de l’Etat-nation
souverain, ce qui faisait de lui un « gêneur ». Il l’était
d’autant plus dans la mesure où il dirigeait une autorité
indépendante opposée aux dérives financières (le
dérapage des finances publiques) engagée par des
néo-conservateurs dont l’élite a été formée
– rappelons-le – par Karl Schmitt, un maître de l’Ordre
Noir des nazis, enseignant à l’Université de Chicago...
comme Milton Friedman ! L’enterrement de P. Séguin
a réuni une myriade d’hypocrites. N’oublions pas
qu’à la tête de la Cour des comptes, Philippe Séguin
n’avait pas été avare de petites phrases assassines à
l’égard de N. Sarkozy. De l’opacité des tarifs
6
autoroutiers, à l’explosion de la dette publique10, sans
oublier les dépenses somptuaires de la présidence
française de l’Union européenne11, et la gestion du
déficit de la Sécurité sociale12. Mais sa véritable
obsession était LA DETTE. « Si la dette est le cumul
de gestions dispendieuses, elle est à la fois inquiétante
en elle-même et un indicateur de mauvaise gestion »,
confiait-il. Fin 2007, le déficit gagne 0,4 point et
représente 2,7 % du PIB. Dès lors, Philippe Séguin
hausse le ton. En 2008, il menace de ne pas certifier
les comptes de l’Etat et fustige l’isolement de la
France au sein de l’Union européenne. Dans son
dernier rapport, le président de la Cour des Comptes
menace : « La crise de 1993 a ainsi marqué un
décrochement durable des finances publiques et une
même évolution amènerait la dette publique jusqu’à 83
% du PIB fin 2012 ». « On ne peut pas continuer à
gaspiller une partie de l’argent de la formation
professionnelle (30 milliards d’euros NDLR) qui ne
bénéficie même pas à ceux qui en ont le plus besoin !
Les aides directes à l’emploi des collectivités
territoriales représentent 6 milliards d’euros par an et
leur efficacité n’est pas démontrée. Et il n’y a pas
qu’elles... » Des économies, on peut en faire, mais eston
prêt, en France, à accepter les réformes de fond
qu’elles impliquent ? Maintenant, il sera intéressant de
voir qui le remplacera à la Cour des Comptes. En outre,
il ne faudrait peut-être pas être surpris de voir l’amie
des Américains, Mme Lagarde, remplacer François
Fillon, l’ami de P. Seguin. Tout cela va se dérouler dans
un contexte de grave crise. Même les patrons des
multinationales (tous secteurs confondus) nous disent
que la catastrophe est « très proche ». Pour preuve,
voici quelques éléments d’information publiés par Le
Canard Enchaîné.
Les grands patrons du CAC 40
ne croient pas dans leur entreprise !
Au moment où les experts et économistes du système
cherchent à répandre la sornette que la reprise arrive
en 2010, les grands patrons des multinationales du
CAC40 traduisent leur grande « confiance » dans cette
mondialisation que les économistes sarkoziens nous
vendent depuis des lustres avec leurs amis de Wall
Street. Ils DEGAGENT… ils LIQUIDENT TOUT !
En effet, Le Canard enchaîné relève que la plupart des
grands patrons se sont empressés de lever leurs stockoptions
afin de les revendre13. Bien évidemment,
plusieurs fonds d’investissement ayant observé ces
mouvements, ont fait de même. Des exemples ? Jean
René Fourtou, administrateur de Sanofi-Adventis – et
par ailleurs président de Vivendi – a, le 11 décembre
dernier, acheté 234 782 actions auxquelles lui donnent
le droit ses stock-options, et les revend dans la même
journée avec un faible bénéfice. Le président du groupe
Danone (et patron le mieux payé de France selon le
palmarès du magazine Challenge) lève 329 310 stockoptions
le 14 décembre qu’il revend lui aussi le même
jour. Les dirigeants de la BNP semblaient pressé euxaussi.
Michel Pébereau, président de la banque, lève
79 000 stock-options le 15 décembre. Il s’empresse
d’en revendre 62 000 cinq jours plus tard. Son bras
droit, Baudoin Prot revend 80 % de ses 47 300 stockoptions
quatre jours après les avoir touchés. Chez
Thalès, un membre du comité exécutif a revendu dans
la journée les 10 500 titres qu’il venait d’acquérir. Chez
Christian Dior (groupe Arnault-LVMH), le directeur
général et un administrateur ont, eux aussi, cédé plus
de 80 % des actions achetées quelques jours plus tôt.
Idem chez Bouygues, où deux administrateurs ont
liquidé illico 90 % de leurs options. Ou encore chez
Total, dont un membre du comité exécutif s’est défait,
en cinq jours, de la totalité des 40 000 actions qu’il
venait de se voir attribuer.
Ces manoeuvres ne traduisent incontestablement pas
une reprise, mais confirment notre certitude : nous
sommes à l’aube d’un nouveau crash boursier qui
devrait, nous dit-on, survenir entre le printemps et
l’été 2010, avec une accélération probable entre
juillet et le 20 août… Faites comme les grands
patrons : DÉGAGEZ URGEMMENT DES BANQUES !
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13 Heureusement, les patrons des sociétés cotées en bourse
sont obligés de déclarer à l’Autorité des marchés financiers
(AMF) et aux instances dirigeantes de leurs sociétés les
achats ou ventes d’actions auxquelles ils ont procédé. Pour
LIESI, c’est un indicateur qui vaut bien les avis d’experts et les
plus savantes analyses économiques.
9 Source : pp. 62 à 65 de cette revue du 18 juillet 1970, trois
ans avant l’article 25 de la loi du 3 janvier 1973.
7 Napoléon avertissait pourtant : « Lorsqu’un gouvernement
est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces
derniers, et non le dirigeant du gouvernement, qui contrôlent la
situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main
qui reçoit. L’argent n’a pas de patrie, les financiers n’ont pas
de patriotisme et n’ont pas de décence ».
8 Faut-il s’étonner qu’un DSK, un « candidat 2012 » du Parti
socialiste à la présidentielle française, soit l’un des commis de
la Haute banque les mieux payés au monde ? Les électeurs
socialistes de la période mitterrandienne imaginaient-ils qu’ils
seraient grugés de la sorte ? Idem pour ceux de l’UMP. D’où
l’importance de prendre du recul par rapport aux événements,
et surtout de la hauteur ! Les véritables décideurs ne sont
certainement pas les marionnettes que l’on place à l’Elysée,
pour quelques années, sous les feux de la rampe.
2 Trois présidents américains ont remis en cause le pouvoir
des banquiers internationaux : James Madison (1751-1836) ;
Abraham Lincoln (1809-1865) et John F. Kennedy (1917-
1963). Tous les trois furent assassinés par le cartel bancaire
pour avoir remis en question la création monétaire privée !
Juste avant de mourir, James Madison dira : « L’histoire révèle
que les banques privées utilisent toutes les formes d’abus,
d’intrigues, de supercheries et tous les moyens violents
possibles afin de maintenir leur contrôle sur les
gouvernements par le contrôle de l’émission monétaire ».
Quand le président Abraham Lincoln a eu besoin d’argent en
1861 pour financer la guerre civile, et que le crédit des
banques Rothschild, financiers traditionnels des guerres, lui
est devenu trop cher, il a éludé le privilège des banques
privées et fait imprimer des billets d’Etat : le greenback. Il n’a
pas survécu longtemps à cette démarche téméraire. En 1865,
il a été assassiné par un tireur isolé, abattu lui-même lors de
sa fuite. Le successeur de Lincoln, Andrew Johnson, a
immédiatement suspendu l’impression des billets pour des
raisons inexplicables.
Le 4 juin 1963, J.F. Kennedy signait le décret présidentiel
N°111 110 redonnant au gouvernement américain le pouvoir
d’émettre la monnaie et privant en grande partie de son
pouvoir le cartel des banques privées possédant la Banque
centrale américaine. Pourtant, dans une conversation dans le
Bureau ovale, le père de Kennedy le prévenait : « Si tu le fais,
ils te tueront ! » Kennedy sera assassiné le 22 novembre
1963, presque cent ans après Lincoln, dans les locaux de la
police de Dallas.
3 « Michel Pébereau, président de BNP Paribas, est devenu
– même s’il s’en défend – la conscience discrète du
capitalisme français. Cet ancien grand commis de l’Etat a des
avis sur tout. On est même allé le chercher pour expliquer
l’endettement de la France ». Polytechnicien et diplômé de
l’ENA, Inspecteur Général Honoraire des Finances, Michel
Pébereau a passé quinze ans au Ministère de l’Economie et
des Finances, à l’Inspection des Finances, puis à la Direction
du Trésor, où il a notamment créé le Comité Interministériel
d’Aménagement des Structures Industrielles, en 1975-1976
(actuel CIRI), présidé le Club de Paris (1976-1978) et dirigé le
Service des Affaires Financières et Monétaires (1980-1982).
Pendant cette période, il a également exercé diverses
fonctions au Cabinet de Valéry Giscard d’Estaing (1970-
1974), justement la période qui nous intéresse. Aujourd’hui, et
cela est très intéressant à savoir, il est Président of the
European Banking Federation (EBF). Autrement dit, nous
sommes maintenant dans les grands préparatifs de la
BANQUEROUTE des ETATS EUROPEENS.
4 Avant l’arrivée au pouvoir de la clique Pompidou/Giscard
d’Estaing et Barre, les prêts consentis par la Banque de
France aux collectivités ou au Trésor public permettaient aux
intérêts de la dette de revenir à la France. Mais à partir de
1973, VGE signe un acte de trahison nationale, une forfaiture.
« Au lieu de faire financer les besoins des collectivités
publiques par une augmentation de la fiscalité ou un prêt de la
Banque centrale, on s’adresse au privé et la collectivité paye
donc des intérêts à ces prêteurs ». Par conséquent, les
intérêts versés par l’Etat français ne vont plus, comme
auparavant, à la Banque de France, mais à des puissances
financières étrangères soucieuses de réduire en miettes la
souveraineté du pays pour mieux l’assujettir au plan de Nouvel
Ordre Mondial ! Ces mêmes puissances financières qui
partagent le rêve d’un James Paul Warburg.
5 Le 21 janvier 1793, Louis XVI était assassiné. Il n’avait pas
compris l’importance du rôle des banquiers à travers la
maçonnerie. La crise de 1789, essentiellement causée par les
banquiers de l’époque avec leurs réseaux maçonniques, n’est
pas sans rappeler cette manipulation de la monnaie par le
cartel bancaire, se traduisant aujourd’hui par une crise dont le
prolongement sera la famine du peuple, conséquence d’une
destruction de la monnaie et d’un manque de nourriture,
aboutissement de manipulations climatiques générées par le
programme HAARP – le prochain numéro de LIESI évoquera
le drame des Haïtiens. Comme le prophétisait Madeleine
Porsat (1822-1847) : « 1789 n’a renversé que la France : ce
qui vient, va être le renversement du monde ». Cette âme
privilégiée de grâces surnaturelles annonçait que la crise à
l’origine de ces événements terribles aurait un rapport avec
« la crise du commerce » et une banqueroute universelle !
1 Extraits de Discours et Messages, Charles de Gaulle – Plon,
1970 – pages 330 à 334.
source:http://www.scribd.com/doc/26449319/Lettre-LIESI-199
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Aaron Russo sur le 11 septembre, le CFR et Rockefeller
♥♥ The 911 WTC Alien Attack
À New York, lors d’un banquet, le 25 septembre 1880, le célèbre journaliste John Swinton se fâche quand on propose de boire un toast à la liberté de la presse :
« Il n’existe pas, à ce jour, en Amérique, de presse libre et indépendante. Vous le savez aussi bien que moi. Pas un seul parmi vous n’ose écrire ses opinions honnêtes et vous savez très bien que si vous le faites, elles ne seront pas publiées. On me paye un salaire pour que je ne publie pas mes opinions et nous savons tous que si nous nous aventurions à le faire, nous nous retrouverions à la rue illico. Le travail du journaliste est la destruction de la vérité, le mensonge patent, la perversion des faits et la manipulation de l’opinion au service des Puissances de l’Argent. Nous sommes les outils obéissants des Puissants et des Riches qui tirent les ficelles dans les coulisses. Nos talents, nos facultés et nos vies appartiennent à ces hommes. Nous sommes des prostituées de l’intellect. Tout cela, vous le savez aussi bien que moi ! » (Cité dans : Labor’s Untold Story, de Richard O. Boyer and Herbert M. Morais, NY, 1955/1979.)
source: http://www.conspiration.cc/
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Les politiciens contraindront les Etats à la banqueroute MAIS sauveront LA Banque
« Le système bancaire moderne fabrique de l’argent à
partir de rien. Ce processus est peut-être le tour de
dextérité le plus étonnant qui fut jamais inventé.
La banque fut conçue dans l’iniquité et est née dans le
péché. Les banquiers possèdent la terre. Prenez-la leur,
mais laissez-leur le pouvoir de créer l’argent et, en un
tour de main, ils créeront assez d’argent pour la
racheter. Ôtez-leur ce pouvoir, et toutes les grandes
fortunes comme la mienne disparaîtront et ce serait
bénéfique car nous aurions alors un monde meilleur et
plus heureux. Mais si vous voulez continuer à être les
esclaves des banques et à payer le prix de votre propre
esclavage, laissez donc les banquiers continuer à créer
l’argent et à contrôler les crédits ».
Sir Josiah Stamp, Directeur de la Banque d’Angleterre
1928-1941, seconde fortune d’Angleterre.
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L’oligarchie de Wall Street poursuit un rêve…Le Gouvernement Mondial.
L’oligarchie de Wall Street
poursuit un rêve…
Le 17 février 1950, James Paul Warburg déclarait à la
tribune du Sénat américain : « Nous aurons un
gouvernement mondial, que cela plaise ou non. La
seule question sera de savoir s’il sera créé par
conquête ou par consentement ». Ce membre éminent
du Council on Foreign Relations (CFR) appartenait à
une célèbre famille de banquiers juifs de Hambourg,
très impliquée dans de sombres coups. En effet,
explique l’éminent historien Antony Sutton : en 1920,
l’oncle Felix Warburg prit la tête de la Kuhn, Loeb & Co,
autre banque juive considérable associée aux
Rockefeller depuis 1911 et qui servit de cheville
ouvrière dans le financement occulte de la Révolution
russe par les Etats-Unis, ainsi que dans celui du régime
nazi, au début des années trente. Pas étonnant que
Jacques Attali, admiratif devant ces puissants qui
considèrent les peuples comme du « bétail », ait publié,
il y a plus d’une vingtaine d’années, un ouvrage au titre
évocateur : Sigmund Warburg : un homme
d’influence… c’était le père de James Paul Warburg.
Après quatorze années de présidence à l’Elysée, et
peu de temps avant de mourir, François Mitterrand
décide de laisser son testament politique dans un
ouvrage écrit par Georges-Marc Benamou : Le dernier
Mitterrand, publié en 1997. Le président socialiste
confiait : « La France ne le sait pas, mais nous sommes
en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre
permanente… […] Ils sont très durs les Américains. Ils
sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le
monde… C’est une guerre sans mort apparemment et
pourtant une guerre à mort ».
Plusieurs années avant, dans une conférence de
presse du 4 février 1965, le Général de Gaulle
s’exprimait au Palais de l’Elysée. « A l’issue de la
Conférence de Gênes, en 1922, on a reconnu à la livre
et au dollar le privilège d’être tenues automatiquement
comme équivalentes à l’or pour tous paiements
extérieurs, tandis que les autres (devises) ne l’étaient
pas. Puis la livre a été dévaluée en 1931 et le dollar en
1933. Avec la Seconde Guerre mondiale, les monnaies
européennes furent ruinées par l’inflation. Possédant la
majeure partie de l’or de la planète, les Etats-Unis
tiraient un avantage évident. Il pouvait paraître naturel
que les autres Etats fissent entrer indistinctement des
dollars ou de l’or dans leurs réserves de change. Ce
système s’appelait le Gold Exchange Standard ». Mais,
estime le Général de Gaulle, « les conditions qui ont
pu, naguère, susciter le Gold Exchange Standard se
sont modifiées… Les monnaies des Etats de l’Europe
occidentale sont aujourd’hui restaurées, à tel point que
le total des réserves d’or des Six équivaut aujourd’hui à
celui des Américains. Il le dépasserait même si les Six
décidaient de transformer en métal précieux tous les
dollars qu’ils ont à leur compte ». Aujourd’hui, « il existe
un déséquilibre en quelque sorte fondamental. Pour
toutes ces raisons, la France préconise que le
système soit changé ». « La France, pour sa part, est
prête à participer activement à la vaste réforme qui
s’impose désormais dans l’intérêt du monde entier »1.
Ce que De Gaulle contestait, c’est le fait que les Etats-
Unis puissent s’endetter à volonté sur le dos des autres
nations au motif que le reste de l’économie mondiale
avait besoin de dollars pour garantir sa propre
fabrication de monnaie. En contraignant les autres
nations à accepter le dollar comme LA devise
d’échange et de réserve internationale, les Etats-Unis
se comportaient comme un dictateur percevant l’impôt
de la part des pays vassaux. En effet, poursuit le
général de Gaulle : « Le fait que beaucoup d’Etats
acceptent, par principe, des dollars au même titre que
de l’or, pour les règlements des différences qui existent
à leur profit dans la balance des paiements
américaine ; ce fait entraîne les Américains à
s’endetter gratuitement vis-à-vis de l’étranger. Car
ce que les Américains doivent, ils le payent, tout au
moins en partie, avec des dollars qu’il ne tient qu’à eux
d’émettre. Etant donné les conséquences que pourrait
avoir une crise qui surviendrait dans un pareille
domaine, nous pensons qu’il faut prendre à temps les
moyens de l’éviter. Nous estimons nécessaire que les
échanges internationaux soient établis comme c’était le
cas avant les grands malheurs du monde, sur une
base monétaire indiscutable et qui ne porte la marque
d’aucun pays en particulier. Quelle base ? En vérité, on
ne voit pas qu’il puisse y avoir, réellement, de critère,
d’étalon, autre que l’or ».
Dans cette courte conférence, le Général de Gaulle
« osait » signifier au cartel bancaire que la France
refusait désormais la vassalité envers les financiers des
deux premiers conflits mondiaux. Mais avait-il
conscience de l’existence de ce cartel ? Connaissait-il
cette déclaration du président américain Thomas
Woodrow, commentant la prise de contrôle de la
Banque centrale américaine, en décembre 1913, par le
cartel bancaire ?
« Je suis un homme très malheureux. J’ai
inconsciemment ruiné mon pays. Une grande
nation industrielle est contrôlée par son
système de crédit. Notre système de crédit est
concentré. La croissance de la nation, donc, et
toutes nos activités sont aux mains de quelques
hommes. Nous sommes devenus un des
gouvernements les plus mal dirigés, le plus
complètement contrôlé et dominé dans le
monde civilisé. Nous ne sommes plus du tout
un gouvernement d’opinion libre, ni un
gouvernement par la conviction et le vote de
la majorité, mais un gouvernement par
l’opinion et la coercition d’une poignée
d’hommes dominants ».
Comme l’Histoire l’atteste, les menaces du Général de
Gaulle ne furent pas appréciées du tout par Wall
Street2. La révolution de Mai 68, organisée par les
services secrets américains, le contraignit à quitter
la place ! Comme chacun le sait, l’agent
révolutionnaire Cohn Bendit fut un pion important de ce
coup d’Etat des banquiers américains. De nombreuses
années sont passées et Cohn Bendit est toujours fidèle
au poste pour mettre en oeuvre, si nécessaire, une
version néolibérale « écolo de gauche »… dans
l’hypothèse où l’expérience néolibérale de droite se
terminerait mal.
Les banquiers internationaux
placent leurs hommes
Quand Georges Pompidou rencontre de Gaulle en
1944, ce dernier lui confie la direction du cabinet.
Même durant la traversée du désert du général, la
collaboration des deux hommes se poursuit. Directeur
général de la banque Rothschild en 1956,
Pompidou passera de nombreux week-ends avec Guy
de Rothschild (le père de David et d’Edouard) au
château de Ferrières. C’est Pompidou qui présentera à
la famille son brillant secrétaire général adjoint,
Edouard Balladur.
Pompidou abandonne ce poste pour celui de
Premier ministre en 1962. Suite à la retraite du
général, en juin 1969, Georges Pompidou succède à de
Gaulle comme Président de la République. Dès sa
nomination, les banquiers synarchistes montrent qu’ils
ont désormais la ferme intention de « tenir » les
présidents à l’Elysée, de les choisir eux-mêmes en
faisant ratifier leur choix par le « peuple souverain ».
Pompidou est donc un ancien directeur général de la
Banque Rothschild. Sous de Gaulle, il a occupé les
fonctions de Premier ministre jusqu’au 10 juillet 1968.
Pompidou demande alors à Jacques Chaban Delmas
de constituer le gouvernement (1969-1972) et il place
Valéry Giscard d’Estaing à la tête du ministère de
l’Economie des Finances. Conseillé par M. Pébereau3,
l’actuel patron de BNP Paribas, Valéry Giscard
d’Estaing introduit l’article 25 de la loi du 3 janvier
19734 : « Le Trésor public ne peut plus présenter ses
propres effets à l’escompte de la Banque de France ».
En clair, par cet article de la loi du 3 janvier 19735,
Pompidou/Giscard retirent à la France le pouvoir de
créer la monnaie dont elle a besoin pour combler
ses propres déficits, que ce soit en fonctionnement
(salaires et retraites des fonctionnaires, loyers, etc.) ou
en investissements pour son développement (écoles,
routes, ponts, aéroports, ports, hôpitaux, bibliothèques,
etc.). Comme nous l’avons déjà dit, l’article 25 de la loi
du 3 janvier 1973 contraint la France à emprunter sur
les marchés monétaires en émettant des obligations
bons du Trésor) sur lequel évidemment elle doit payer
un intérêt à ceux qui souscrivent (40 % du montant par
des résidents, 60 % par des non-résidents), ce qui a
pour conséquence d’alourdir la dette au fil des années
d’un montant sensiblement égal au déficit, qu’il faut
couvrir par l’emprunt, c’est-à-dire par l’émission
d’obligations nouvelles auprès du public et surtout des
investisseurs institutionnels (assurances, banques,
etc)… la Haute finance apatride.
Depuis 1973, c’est plus de 1 300 milliards d’euros
d’intérêts6 qui ont été payés en 35 ans (et nous
continuons à raison de 120 millions d’euros par jour)
aux hommes les plus riches, qui d’ailleurs peuvent
ainsi nous les prêter à nouveau contre intérêt !
Précisons si besoin était que cette monnaie prêtée par
le cartel bancaire est, comme 93 % de la monnaie en
circulation, issue d’une création monétaire par les
banques privées… monnaie évidemment payante bien
que créée ex nihilo, à partir d’une simple ligne
d’écriture.
En agissant comme ils l’ont fait, les hommes du cartel
bancaire ont ôté le droit de création monétaire à la
Banque de France et livré la monnaie aux banques et
sociétés d’assurance. Hier comme aujourd’hui, Valéry
Giscard d’Estaing justifie toujours cette mesure au motif
que le « prêt direct de la Banque de France au Trésor
public a généré partout où il fut appliqué, une situation
d’inflation monétaire permanente ». C’est tout
simplement faux !
Non seulement il y a eu, mais il y a toujours une volonté
de rendre la France dépendante des financiers de la
mondialisation et du projet de gouvernance
supranationale.
« Un calcul simple montre que sans le poids des
intérêts sur la dette publique, les soldes des budgets
seraient restés positifs pendant toute la période 1980-
2005, sauf pour les années 1992 à 1996 et 2002 à
2005, au lieu d’être négatifs ». Nous aboutissons à
quelque chose qui dépasse l’entendement : la dette
cumulée de l’Etat français (1 150 milliards d’euros) est
identique aux intérêts cumulés depuis 1971 (1 142
milliards d’euros) !
En introduisant cette nouveauté de la dette et de la
perspective d’une banqueroute de l’Etat français, VGE
a fait du système monétaire actuel « une grande
éponge qui sert à faire remonter les richesses du
bas vers le haut »7. « L’ignorance des populations
permet à cette arnaque légale de continuer d’exister.
Grâce à la complicité des politiciens, nous payons aux
banques privées une licence d’utilisation du système,
des royalties, sous forme d’intérêts », explique A-J
Holbecq. Justement, parlons brièvement de l’emprunt
Giscard de 1973. Pour 6 milliards de francs empruntés
en 1973, l’Etat a finalement remboursé au total
(montant initial plus intérêts) 80 milliards de francs en
1988 ! VGE sera finalement remercié par la
BANQUE qui lui offrira la présidence française en
1974. Pour information, le directeur de la Banque
Rothschild a pour nom Nicolas Valéry d’Estaing…
La présidence mitterrandienne verra l’explosion des
déficits publics de la France ; elle cautionnera aussi
une immigration massive, balkanisant et fragilisant
chaque jour le pays. Enfin, l’arrivée de la « gauche
caviar » au pouvoir en France fera considérablement
avancer le programme européen dont on reparlera
dans le prochain numéro de LIESI. Tous les
gouvernements successifs, aux différentes couleurs8
pour mieux rouler le peuple dans la farine, jusqu’à la
victoire du clan des balladuriens avec Nicolas Sarkozy,
poursuivront dans la même voie, sans jamais remettre
en cause le PLAN de ceux qui ne cessent d’aspirer
l’argent des poches du contribuable depuis 1973. Ces
trente-sept dernières années n’ont fait que confirmer
l’allégeance de la classe politique à la Haute Banque.
Car il faut bien se souvenir de ce que disait, dans un
entretien accordé à la revue Entreprise (ancêtre de la
revue L’Expansion) il y a trente-neuf ans, précisément
sous le règne de Georges Pompidou, Edmond de
Rothschild : « LE VERROU QUI DOIT SAUTER A
PRESENT, C’EST LA NATION »9.
La réalisation du mot d’ordre
d’Edmond de Rothschild :« Le verrou qui doit sauter à présent,
c’est la nation »
Incontestablement, les années 70 marquent un
tournant majeur dans le programme des mondialistes.
Cette période est caractérisée par le désordre
monétaire : les monnaies se mettant à flotter les unes
par rapport aux autres, les acteurs économiques
demandent aux banques et aux assurances d’inventer
des instruments de couverture contre les risques de
change. Une dizaine d’années après, ce seront des
produits financiers sophistiqués – dénommés produits
dérivés –. La spéculation déborde l’économie réelle :
une économie virtuelle apparaît. Ce sera le cancer
qui, à terme, doit achever l’Etat-nation ! Quant aux
produits toxiques, ce seront les métastases qui
gangrèneront l’ensemble du tissu économique. Grâce à
des lois comme celle de 1973, imposée par
Pompidou/Giscard, les stratèges à l’origine de cela
savaient que la richesse de l’Etat-nation serait
ASPIREE vers les coffres des banquiers
synarchiques.
Dès cette période, chaque dollar pour l’économie réelle
voyait un autre dollar pour l’économie financière. Et
quand le monde entre dans le XXI° siècle, le rapport
est devenu de 1 pour 120 ! C’est de la pure folie et tous
les gouvernants, comme la majorité des « grands
économistes », ont accepté cela sans dénoncer ce
crime. Car il y a réellement crime ! En effet, cette
économie financière a déchaîné l’appétit du gain. Elle
est responsable de nombreuses émeutes de la faim ici
ou là, car les produits dérivés sont aussi présents sur
les marchés de cotation des céréales, du lait, etc.
Depuis cette époque, les prix des denrées alimentaires
fluctuent dans des limites totalement
incompréhensibles que seule la spéculation explique.
Et cela ne cesse de prendre des proportions
inquiétantes. Par exemple, au début du XXI° siècle,
moins de 10 milliards de dollars étaient investis dans
les matières premières (agriculture, métaux, énergie).
Aujourd’hui, plus de 250 milliards de dollars sont
désormais investis dans ces actifs !
En avançant dans le temps, les banquiers s’aperçoivent
qu’ils n’ont même plus besoin de s’inquiéter de la
solvabilité des emprunteurs. De fait, les liquidités se
multiplient en une véritable bulle spéculative. Tous les
gouvernements occidentaux suivent les Etats-
Unis dans cette folie criminelle. Alors que l’économie
virtuelle ne cesse de croître au détriment de
l’économie réelle, alors que le citoyen se croit riche
uniquement par la grille de lecture de l’économie
virtuelle, on lance le slogans : « tout le monde
propriétaire ».
Pour essayer de tourner en ridicule des organismes de
prospective comme LIESI, on va noyer quelques
créances douteuses au milieu de créances certaines.
Bien sûr, l’affaire se réalise avec la complicité des
dirigeants des banques centrales. Normal puisqu’elles
sont elles-mêmes sous le contrôle du « cartel
bancaire ». LIESI a déjà fait état de confidences d’une
source connaissant personnellement A. Greenspan,
lequel conseillait de faire le contraire de ce que luimême
recommandait publiquement ! D’ailleurs, sitôt en
retraite, plus d’un an avant la crise des subprimes, A.
Greenspan confirmait qu’il ne fallait avoir aucune
confiance dans le « monétaire papier » et que seul l’Or
ne trahirait personne. Mais alors, pourquoi a t-il, durant
la période 1987-2006, fait le contraire de qu’il pensait ?
Parce qu’il n’était que l’employé des huit familles du
cartel bancaire qui dirigent officieusement la Banque
centrale américaine. Il était grassement payé pour faire
ce que ces familles exigeaient… dans l’ombre.
Greenspan a quitté la présidence de la Banque centrale
américaine après avoir distribué des trillions de dollars
à tous les gogos de la planète. Le système a besoin de
plus en plus d’argent, les prix des maisons s’envolent,
les cours des actions papier grimpent,… Greenspan
était là. Même remplacé par Ben Bernanke, la même
politique de destruction du papier monnaie s’accélérait !
Puis un beau jour, après s’être concertées, quelques
personnes très fortunées ordonnent simultanément,
aux quatre points cardinaux, le retrait de plusieurs
milliards du circuit virtuel. Elles n’ont pas prévenu les
banquiers centraux de leur décision ! C’est l’asphyxie…
Les banques ne se font plus confiance, le doute
s’installe. La consigne est donnée : il faut fermer le
robinet du crédit. Les marchés papier dégringolent et
les entreprises souffrent. La crise gagne l’économie
réelle et le chômage grimpe en flèche.
Le consommateur est un élément clé de l’économie
réelle. Or là aussi, un tournant s’est opéré dans les
années 70. A l’époque, les fonds d’investissement
contraignent les entreprises à modifier leurs habitudes :
privilégier les actionnaires au lieu des salariés. Les
fonctions à basse main-d’oeuvre ont alors commencé à
être délocalisées. Cette politique, imposée par les
familles oligarchiques, a accéléré la montée
vertigineuse du travail précaire et du chômage :
25 % de la population active aujourd’hui en
Occident. Au fil du temps et avec l’accélération du
scénario de crise majeure, annoncée en fanfare par D.
Rockefeller en septembre 1994, cela représente
énormément de pouvoir d’achat en moins. La pression
s’exerce alors sur les Etats-nations… Il faut accroître la
dette publique !
Ce n’est pas tout ! L’objectif du cartel bancaire étant,
nous dit le Baron de Rothschild, de faire sauter l’Etatnation,
il faut promouvoir une pensée économique
nouvelle, favorable aux banquiers, défavorables
aux Etats-nations. En 1976, on décerne le prix Nobel
d’Economie à Milton Friedman, économiste juif
américain, qui affirme le triomphe de la doctrine
économique selon laquelle « le marché s’équilibre luimême
– sans intervention publique – et cet équilibre est
optimal ». Les grandes organisations supranationales
ont pour consigne d’imposer ce changement et les
« conseillers » des gouvernements de l’Ouest sont
parvenus, de 1980 à 2010, à convaincre les dirigeants
des Etats-nations de suivre le mouvement. C’est la
période Reagan-Thatcher jusqu’à celle d’Obama et de
Sarkozy. On baisse les impôts, on creuse les déficits, la
dette publique explose. Plus de trente ans après, la
crise n’est-elle pas gérée par les étudiants de
Milton Friedman ? Plus, n’oublions pas que Milton
Friedman était le chef de file de l’Ecole de
Chicago, un groupe d’économistes proches
des néo-conservateurs états-uniens. Comme
par hasard, la solution prônée par Milton Friedman à un
scénario comme celui de 2007-2009 était : « facilités de
crédit pour doper la croissance ». C’est précisément ce
qui a été fait et cela s’appelle : l’endettement public. Par
exemple, les conseillers « du soir » de Nicolas Sarkozy
ne sont-ils pas Alain Minc et M. Pébereau ?
Au lieu de condamner les thèses de M. Milton Friedman
et des treize autres prix Nobel d’économie de la même
école, on préfère le suicide collectif pour le profit d’un
petit groupe de banquiers synarchiques ! Au lieu de
virer certains visiteurs du soir de l’Elysée qui nous
mènent au chaos, l’on préfère poursuivre sur la planche
de savon et aller au CHAOS.
Philippe Séguin est mort en menant son
ultime combat : mettre en garde contre
la dérive des finances publiques
Et que dire de gêneurs comme Philippe Seguin, dont le
décès arrange tant les partisans de la thèse que ceux
de l’antithèse de la dialectique hégélienne. Nous
sommes dans l’attente de la synthèse, le
néolibéralisme hybride. A la tête de la Cour des
Comptes, Philippe Séguin s’était imposé un devoir de
réserve. Beaucoup étaient cependant inquiets de ce
qu’il s’était interdit de dire en public, mais qu’il confiait à
certains proches de l’Elysée. Il est vrai que s’il avait
exprimé tout haut ce qu’il disait en privé concernant
l’état de la France et l’incohérence coupable d’une
politique de fuite en avant, qui selon lui, la mène droit
dans le mur, bien des cercles de pouvoir, très liés avec
la Haute banque, eussent été gênés. P. Séguin était
attaché au principe jugé « ringard » de l’Etat-nation
souverain, ce qui faisait de lui un « gêneur ». Il l’était
d’autant plus dans la mesure où il dirigeait une autorité
indépendante opposée aux dérives financières (le
dérapage des finances publiques) engagée par des
néo-conservateurs dont l’élite a été formée
– rappelons-le – par Karl Schmitt, un maître de l’Ordre
Noir des nazis, enseignant à l’Université de Chicago...
comme Milton Friedman ! L’enterrement de P. Séguin
a réuni une myriade d’hypocrites. N’oublions pas
qu’à la tête de la Cour des comptes, Philippe Séguin
n’avait pas été avare de petites phrases assassines à
l’égard de N. Sarkozy. De l’opacité des tarifs
6
autoroutiers, à l’explosion de la dette publique10, sans
oublier les dépenses somptuaires de la présidence
française de l’Union européenne11, et la gestion du
déficit de la Sécurité sociale12. Mais sa véritable
obsession était LA DETTE. « Si la dette est le cumul
de gestions dispendieuses, elle est à la fois inquiétante
en elle-même et un indicateur de mauvaise gestion »,
confiait-il. Fin 2007, le déficit gagne 0,4 point et
représente 2,7 % du PIB. Dès lors, Philippe Séguin
hausse le ton. En 2008, il menace de ne pas certifier
les comptes de l’Etat et fustige l’isolement de la
France au sein de l’Union européenne. Dans son
dernier rapport, le président de la Cour des Comptes
menace : « La crise de 1993 a ainsi marqué un
décrochement durable des finances publiques et une
même évolution amènerait la dette publique jusqu’à 83
% du PIB fin 2012 ». « On ne peut pas continuer à
gaspiller une partie de l’argent de la formation
professionnelle (30 milliards d’euros NDLR) qui ne
bénéficie même pas à ceux qui en ont le plus besoin !
Les aides directes à l’emploi des collectivités
territoriales représentent 6 milliards d’euros par an et
leur efficacité n’est pas démontrée. Et il n’y a pas
qu’elles... » Des économies, on peut en faire, mais eston
prêt, en France, à accepter les réformes de fond
qu’elles impliquent ? Maintenant, il sera intéressant de
voir qui le remplacera à la Cour des Comptes. En outre,
il ne faudrait peut-être pas être surpris de voir l’amie
des Américains, Mme Lagarde, remplacer François
Fillon, l’ami de P. Seguin. Tout cela va se dérouler dans
un contexte de grave crise. Même les patrons des
multinationales (tous secteurs confondus) nous disent
que la catastrophe est « très proche ». Pour preuve,
voici quelques éléments d’information publiés par Le
Canard Enchaîné.
Les grands patrons du CAC 40
ne croient pas dans leur entreprise !
Au moment où les experts et économistes du système
cherchent à répandre la sornette que la reprise arrive
en 2010, les grands patrons des multinationales du
CAC40 traduisent leur grande « confiance » dans cette
mondialisation que les économistes sarkoziens nous
vendent depuis des lustres avec leurs amis de Wall
Street. Ils DEGAGENT… ils LIQUIDENT TOUT !
En effet, Le Canard enchaîné relève que la plupart des
grands patrons se sont empressés de lever leurs stockoptions
afin de les revendre13. Bien évidemment,
plusieurs fonds d’investissement ayant observé ces
mouvements, ont fait de même. Des exemples ? Jean
René Fourtou, administrateur de Sanofi-Adventis – et
par ailleurs président de Vivendi – a, le 11 décembre
dernier, acheté 234 782 actions auxquelles lui donnent
le droit ses stock-options, et les revend dans la même
journée avec un faible bénéfice. Le président du groupe
Danone (et patron le mieux payé de France selon le
palmarès du magazine Challenge) lève 329 310 stockoptions
le 14 décembre qu’il revend lui aussi le même
jour. Les dirigeants de la BNP semblaient pressé euxaussi.
Michel Pébereau, président de la banque, lève
79 000 stock-options le 15 décembre. Il s’empresse
d’en revendre 62 000 cinq jours plus tard. Son bras
droit, Baudoin Prot revend 80 % de ses 47 300 stockoptions
quatre jours après les avoir touchés. Chez
Thalès, un membre du comité exécutif a revendu dans
la journée les 10 500 titres qu’il venait d’acquérir. Chez
Christian Dior (groupe Arnault-LVMH), le directeur
général et un administrateur ont, eux aussi, cédé plus
de 80 % des actions achetées quelques jours plus tôt.
Idem chez Bouygues, où deux administrateurs ont
liquidé illico 90 % de leurs options. Ou encore chez
Total, dont un membre du comité exécutif s’est défait,
en cinq jours, de la totalité des 40 000 actions qu’il
venait de se voir attribuer.
Ces manoeuvres ne traduisent incontestablement pas
une reprise, mais confirment notre certitude : nous
sommes à l’aube d’un nouveau crash boursier qui
devrait, nous dit-on, survenir entre le printemps et
l’été 2010, avec une accélération probable entre
juillet et le 20 août… Faites comme les grands
patrons : DÉGAGEZ URGEMMENT DES BANQUES !
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13 Heureusement, les patrons des sociétés cotées en bourse
sont obligés de déclarer à l’Autorité des marchés financiers
(AMF) et aux instances dirigeantes de leurs sociétés les
achats ou ventes d’actions auxquelles ils ont procédé. Pour
LIESI, c’est un indicateur qui vaut bien les avis d’experts et les
plus savantes analyses économiques.
9 Source : pp. 62 à 65 de cette revue du 18 juillet 1970, trois
ans avant l’article 25 de la loi du 3 janvier 1973.
7 Napoléon avertissait pourtant : « Lorsqu’un gouvernement
est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces
derniers, et non le dirigeant du gouvernement, qui contrôlent la
situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main
qui reçoit. L’argent n’a pas de patrie, les financiers n’ont pas
de patriotisme et n’ont pas de décence ».
8 Faut-il s’étonner qu’un DSK, un « candidat 2012 » du Parti
socialiste à la présidentielle française, soit l’un des commis de
la Haute banque les mieux payés au monde ? Les électeurs
socialistes de la période mitterrandienne imaginaient-ils qu’ils
seraient grugés de la sorte ? Idem pour ceux de l’UMP. D’où
l’importance de prendre du recul par rapport aux événements,
et surtout de la hauteur ! Les véritables décideurs ne sont
certainement pas les marionnettes que l’on place à l’Elysée,
pour quelques années, sous les feux de la rampe.
2 Trois présidents américains ont remis en cause le pouvoir
des banquiers internationaux : James Madison (1751-1836) ;
Abraham Lincoln (1809-1865) et John F. Kennedy (1917-
1963). Tous les trois furent assassinés par le cartel bancaire
pour avoir remis en question la création monétaire privée !
Juste avant de mourir, James Madison dira : « L’histoire révèle
que les banques privées utilisent toutes les formes d’abus,
d’intrigues, de supercheries et tous les moyens violents
possibles afin de maintenir leur contrôle sur les
gouvernements par le contrôle de l’émission monétaire ».
Quand le président Abraham Lincoln a eu besoin d’argent en
1861 pour financer la guerre civile, et que le crédit des
banques Rothschild, financiers traditionnels des guerres, lui
est devenu trop cher, il a éludé le privilège des banques
privées et fait imprimer des billets d’Etat : le greenback. Il n’a
pas survécu longtemps à cette démarche téméraire. En 1865,
il a été assassiné par un tireur isolé, abattu lui-même lors de
sa fuite. Le successeur de Lincoln, Andrew Johnson, a
immédiatement suspendu l’impression des billets pour des
raisons inexplicables.
Le 4 juin 1963, J.F. Kennedy signait le décret présidentiel
N°111 110 redonnant au gouvernement américain le pouvoir
d’émettre la monnaie et privant en grande partie de son
pouvoir le cartel des banques privées possédant la Banque
centrale américaine. Pourtant, dans une conversation dans le
Bureau ovale, le père de Kennedy le prévenait : « Si tu le fais,
ils te tueront ! » Kennedy sera assassiné le 22 novembre
1963, presque cent ans après Lincoln, dans les locaux de la
police de Dallas.
3 « Michel Pébereau, président de BNP Paribas, est devenu
– même s’il s’en défend – la conscience discrète du
capitalisme français. Cet ancien grand commis de l’Etat a des
avis sur tout. On est même allé le chercher pour expliquer
l’endettement de la France ». Polytechnicien et diplômé de
l’ENA, Inspecteur Général Honoraire des Finances, Michel
Pébereau a passé quinze ans au Ministère de l’Economie et
des Finances, à l’Inspection des Finances, puis à la Direction
du Trésor, où il a notamment créé le Comité Interministériel
d’Aménagement des Structures Industrielles, en 1975-1976
(actuel CIRI), présidé le Club de Paris (1976-1978) et dirigé le
Service des Affaires Financières et Monétaires (1980-1982).
Pendant cette période, il a également exercé diverses
fonctions au Cabinet de Valéry Giscard d’Estaing (1970-
1974), justement la période qui nous intéresse. Aujourd’hui, et
cela est très intéressant à savoir, il est Président of the
European Banking Federation (EBF). Autrement dit, nous
sommes maintenant dans les grands préparatifs de la
BANQUEROUTE des ETATS EUROPEENS.
4 Avant l’arrivée au pouvoir de la clique Pompidou/Giscard
d’Estaing et Barre, les prêts consentis par la Banque de
France aux collectivités ou au Trésor public permettaient aux
intérêts de la dette de revenir à la France. Mais à partir de
1973, VGE signe un acte de trahison nationale, une forfaiture.
« Au lieu de faire financer les besoins des collectivités
publiques par une augmentation de la fiscalité ou un prêt de la
Banque centrale, on s’adresse au privé et la collectivité paye
donc des intérêts à ces prêteurs ». Par conséquent, les
intérêts versés par l’Etat français ne vont plus, comme
auparavant, à la Banque de France, mais à des puissances
financières étrangères soucieuses de réduire en miettes la
souveraineté du pays pour mieux l’assujettir au plan de Nouvel
Ordre Mondial ! Ces mêmes puissances financières qui
partagent le rêve d’un James Paul Warburg.
5 Le 21 janvier 1793, Louis XVI était assassiné. Il n’avait pas
compris l’importance du rôle des banquiers à travers la
maçonnerie. La crise de 1789, essentiellement causée par les
banquiers de l’époque avec leurs réseaux maçonniques, n’est
pas sans rappeler cette manipulation de la monnaie par le
cartel bancaire, se traduisant aujourd’hui par une crise dont le
prolongement sera la famine du peuple, conséquence d’une
destruction de la monnaie et d’un manque de nourriture,
aboutissement de manipulations climatiques générées par le
programme HAARP – le prochain numéro de LIESI évoquera
le drame des Haïtiens. Comme le prophétisait Madeleine
Porsat (1822-1847) : « 1789 n’a renversé que la France : ce
qui vient, va être le renversement du monde ». Cette âme
privilégiée de grâces surnaturelles annonçait que la crise à
l’origine de ces événements terribles aurait un rapport avec
« la crise du commerce » et une banqueroute universelle !
1 Extraits de Discours et Messages, Charles de Gaulle – Plon,
1970 – pages 330 à 334.
source:http://www.scribd.com/doc/26449319/Lettre-LIESI-199
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La Conspiration des Banquiers Internationaux(2) Farrakhan
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le Professeur Reinaldo Rios célèbre le 5 décembre
comme la journée internationale extraterrestre et 2010
comme l'année des observations d'ovnis.
le 5 décembre 2010 sera organisé une veillée mondiale
...à des installations situées sur la Route
des extra-terrestres qui se trouve
sur la route nationale 303 PR municipalité Lajas, Kilomètre 7, 8 heures-21 heures 00
Venez célébrer la Journée internationale des E.T.
avec Reinaldo Ríos une grande veillée mondiale
en relation avec d'autres groupes internationaux
qui seront connectés par chat'pour un échange de vues
ou raconter des expériences.
Grâce à Internet, nous avons des représentants de différents endroits, République dominicaine, Haïti, Cuba, Iles Vierges, Etats-Unis, Mexique, Guatemala, Chili, Uruguay, Argentine, Paraguay, Venezuela, Costa Rica, El Salvador, le Canada, l'Espagne, Iltalia, France, Brésil ,La Colombie, par le biais d'un chat entre autres,nous aurons un lien vers eux dans ce monde de l'éveil.
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Téléphone 787-821-3613
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(en rapport avec cette traduction, il y a aussi dans le texte quelque chose au sujet de Noël, d'une pétition,
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CELEBRA EL DIA DEL EXTRATERRESTRE 5 DE DICIEMBRE
Honrando la proclama emitida en Lajas, Puerto Rico hace unos años atrás, el profesor Reinaldo Ríos creador de la medida y propuesta de esta celebración quiere recordar el hecho como uno histórico. Dicho acontecimiento coincide con la fecha de nacimiento de su creador. Es debido a ello que el domingo, 5 de diciembre de 2010 se celebrará una vigilia en las facilidades que ubican en la Ruta Extraterrestre que queda en la Carretera Estatal PR 303 del municipio de Lajas, kilómetro 7, hectómetro 8 a las 9:00 de la noche.
Se celebrará en honor adicional al inicio de lo denominado como la navidad extraterrestre, que consiste
en la petición de que en sus pesebres y árboles navideños en vez de estrella coloquen un ovni en representación a lo que se entiende ocurrió en esa época o como simbolismo a una nueva era espacial.
Ven y celebra el Día Internacional de los Extraterrestres junto a Reinaldo Ríos en gran vigilia mundial en conección con otros grupos internacionales que estarán conectados intercambiando impresiones u experiencias mediante un chat.
En rumbo a declarar el 2010 como el Año Internacional de los Avistamientos Ovnis. Mediante internet tendremos representantes de diversos lugares, República Dominicana, Haití, Cuba, Islas Vírgenes, Estados Unidos, México, Guatemala, Chile, Uruguay, Argentina, Paraguay, Venezuela, Costa Rica, El Salvador, Cánada, España, Iltalia, Francia,Brasil. Colombia entre otros que por medio de un chat nos enlazaremos a ellos en esta vigilia mundial.
La entrada a la velada nocturna es gratis.
Pueden acampar.
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