Faisons ici une rapide digression puisque j'ai déjà parlé de cela dans un autre dossier (mais comme mon site commence à ressemble à la Samaritaine j'ai du mal à m'y retrouver). Si je retrouve le passage je remplacerai ce paragraphe par un lien. En bref les twin sont construites autour d'un pilier central sur lequel s'accrochent les planchers des étages. Le "pilier" est en fait un ensemble de poutres métalliques disposées verticalement, enfermées dans une cage prismatique faite de plaques de béton. Quand les avions on pertcuté les tours leur énergie cinétique était suffisant pour qu'ils percent ces minces protections de béton (personne n'avait pensé, lors de la conception, a une éventualité pareille. Les plaques de béton n'étaient ni "porteuses", ni "armées". Elles n'avaient pas été conçues comme un blindage destiné à protéger les éléments centraux, de structure. Le kérozène des avions (il était indispensable qu'ils en soient pleins, donc qu'il s'agissent de longs courriers détournés juste après leur déceollage) s'est alors déversé dans ces cages, ces puits contenant les éléments de stucture. Tout ceci s'est transformé en four. Quand la température atteinte a été suffisante, en commençant pas le haut des tours, les éléments de structure ont cessé de jouer leu rôle. La tour s'est alors effondrée comme un château de cartes. Chaque étage, en s'effondrant, percutait l'étage immédiatement inférieur en provoquant à son tour son effondrement. Comme attentat c'est génial, non seulement par le nombre de morts, par la "mise de fond", le nombre infime des kamikazes, mais par la connaissance technique du bâtiment. Je pense que le phénomène avait été préalablement évalué par simulation sur ordinateur, pas par les pilotes des avions, bien sûr. Mais revenons au dossier EMP :
L'originalité des armes électromagnétiques réside dans le fait qu'ayant atteint un sous-élément conducteur de l'électricité, leur action peut se trouver propagée à distance par les conducteurs auxquels il se trouve relié. Si on tente de mettre hors service une installation électrique à l'aide de bombes conventionnelles, les destructions se limiteront à l'environnement immédiat du point d'impact. Pour les armes EMP le problème devient totalement différent. Tout part des premiers travaux effectués par Andréi Sakharov quarante ans plus tôt avec ses collaborateurs Altshuler, Voitenko et Bichenkov. Le concept d'effet EMP est aussi apparu dès qu'on a effectué des explosions nucléaires en haute altitude et qu'on s'est aperçu que ceci pouvait détruire des installations électriques et électroniques au sol. Par la suite les militaires ont "durci" leurs installations en les dotant d'un blindage style cage de Faraday. Tous les systèmes de conduite et de pilotage des installations et objets sensibles, tels les missiles ont été dotés d'une électronique basée sur les fibres optiques, insensible à cet effet. Mais toutes les installations civiles, qui sont en dehors de ces nouvelles technologies restent vulnérables.
Deux types de systèmes EMP "non-nucléaires" ont été développés. Le premier utilise un explosif conventionnel pour engendrer l'effet, le second utilise un générateur de micro-ondes délivrant une impulsion unique. Les possibilités offertes par ces armes EMP ont été évoquées par Carlo Kopp (Carlo Koop : "The electromagnetic bomb : a weapon of Electronic Mass Destruction (http://www.hut.fi/~zam/ew/mirror/apjemp.html) dans un papier publié par la RAAF Air Power Studies Center en 1996. L'auteur concluait que le déploiement de telles armes devrait être envisagé pour la décennie à venir en insistant sur la réduction subséquente des "dommages collatéraux". Ces armes entrent ainsi dans la catégorie des "non-lethal weapons" (armes non-mortelles).
De tels engins peuvent équiper des bombes, mais aussi être placés par des équipes opérant au sol et se livrant à des actions de sabotage d'un genre nouveau. On débouche sur ce qu'on appelle maintenant communément les " E-bombs " que les Américains envisagent d'utiliser pour mettre hors service les installations militaires souterraines de Saddam Hussein. En effet, s'il est très difficile d'atteindre à l'aide de bombes conventionnelles des installations logées dans un bunker (un simple coude dans une galerie suffit à annihiler l'effet d'une onde de choc) la vulnérabilité de ces installations enterrées devient totalement différente vis à vis d'un effecteur électromagnétique. Pour qu'une installation soit totalement protégée il lui faudrait être complètement isolée de l'extérieur, enfermée dans sa cage de Faraday. Le moindre point d'entrée permettant d'alimenter ce local en énergie électrique ou de permettre de communications avec l'extérieur est aussi un point d'accès pour l'impulsion électromagnétique destrutrice. Les cibles de ces E-bombs sont a priori :
- Les systèmes de télécommunication
- Le réseau électrique national
- Les systèmes de gestion financière
- Les engins de transport (par exemple les motrices électriques des trains), les alimentations électroniques des automobiles, etc.
- Les medias.
tout simplement parce que tous ces systèmes sont basés sur de l'électronique. On classe ces armements en deux catégories :
- HPM : High Power Microwave Weapons (armements utilisant des micro-ondes de forte puissance)
- UWB : Armes à largeur de bande ultra-large.
L'avantage des premières armes est qu'elles peuvent être employées par tous temps, que leur prix de revient est relativement bas, qu'on peut attaquer plusieurs cibles à la fois, qu'elles ne tuent pas les êtres humains et qu'ils s'agit d'une attaque discrète qui n'est pas automatiquement détectée.
Les explosions nucléaires et thermonucléaires produisent des rayonnements de forte intensité de de courtes longueurs d'onde. Ceux-ci créent un plasma autour du point de mise à feu (la "boule de feu"). Si l'arme a été conçue dans ce but cette explosion peut s'accompagner d'effets électromagnétiques très intenses, efficaces à grande distance. On appelle ces effets " EMP " (electromagnetic pulse). Les êtres vivants sont a priori insensibles à ce type d'effet mais on ne peut pas en dire autant de tout ce qui fonctionne avec de l'électricité et de l'électronique. Les masses de gaz ionisé créées peuvent aussi bloquer tous les signaux radioélectriques de courte longueur d'onde, comme les émissions radio et les signaux radar pendant des temps assez important. C'est le (fireball blackout : le black out lié à la création de la boule de feu).
L'importance de cet effet EMP dépend de l'altitude à laquelle l'engin est mis à feu. Il est d'autant plus important que l'altitude est élevée ( au dessus de 30 kilomètres). Il peut être aussi important à de basses altitudes (en dessous de 4000 mètres) mais l'effet reste modéré pour des altitudes intermédiaires. La cause de cet effet EMP est l'intense émission de rayons gamma qui suit une explosion d'engin nucléaire. Pour créer un effet EMP intense il faut jouer sur un phénomène de nature axisymétrique, non-isotrope.
Dans les altitudes intermédiaires l'atmosphère absorbe le rayonnement de manière isotrope ce qui fait qu'on observe pas, ou peu, en tant qu'effet secondaire, une émission d'ondes électromagnétiques faisant sentir leurs effets à longue distance.
Charge d'espace à symétrie sphérique (effet EMP minimal)
En rouge on a l'effet produit par un engin nucléaire. Intense mais bref. En vert l'effet lié à un impact de foudre, en bleu l'effet produit par "un système à compression de flux". Dans le cas de l'explosion nucléaire environ 0,3 % de l'énergie est convertie en cette impulsion électromagnétique dont la duré se chiffre en dizaines de nanosecondes. Les rayons gamma entrent en collision avec les électrons des molécules de l'air et les éjectent en leur communiquant une énergie importante selon un processus appelé "diffusion par effet Compton". Ces électrons libérés entrent à leur tour en collision avec des électrons liés et ceci crée de nouveaux électrons libres (phénomène de l'avalanche électronique, comme il s'en produit dans un simple tube au néon). On considère que chaque photo gamma parvient ainsi à créer 30.000 électrons libres. Cet arrachement électronique transforme le gaz en plasma.
En basse altitude les électrons, légers, se déplacent plus rapidement que les ions et il y a un "effet de charge d'espace induit" donc création d'un champ électrique dont la valeur maximale est atteinte au bout de dix nanosecondes. La proximité du sol empêche les photons gamma, qui y sont absorbés, de créer dans cette direction un effet de charge d'espace. La distribution des charges électriques n'est plus isotrope mais axisymétrique :
Le bouclage du courant s'effectue par le sol (géométrie toroïdale de la distribution du courant induit par l'explosion
Les explosions négociées en haute altitude, à plus de 30 km, donnent naissance à un effet EMP de beaucoup plus grande ampleur, de nature différente. Leurs effets destructeurs son considérablement plus importants. Environ trois cent millièmes de l'énergie de la bombe sont convertis en effet EMP ce qui donne une énergie totale de 1011 joules pour une bombe d'une mégatonne. L'effet EMP se produit alors lorsque les photons gamma interagissent avec les couches atmosphériques situées en contre-bas. Une crèpe de gaz ionisé se forme alors sous la bombe dont le diamètre dépend de l'horizon lié à l'explosion. Si celle-ci a lieu à 500 km d'altitude cette crèpe peut avoir un diamètre de 5000 km. Juste en dessous du point d'explosion l'épaisseur de la couche ionisée atteint 80 kilomètres. Le champ magnétique terrestre entre en jeu, faisant spiraler les électrons créés et accélérés par effet Compton dans cette zone, ce qui provoque une impulsion électromagnétique intense, dirigée vers le sol, d'une durée de quelques microsecondes. Ceci va avec un champ électrique dirigé verticalement dont l'intensité atteint 20 à 50 kilvolts par mètres (200 à 500 volts par centimètre !). Ce champ va perdurer jusqu'à ce que le plasma disparaisse, que le phénomène de désionisation intervienne ce qui peut prendre plusieurs minutes. Ce champ électrique est moins intense que celui que crée une explosion nucléaire à altitude moyenne. Il est dix à cent fois plus faible mais en revanche il s'etend sur une aire absolument considérable.
Les effets de tels phénomènes sur des systèmes électroniques sont difficiles à évaluer mais on estime qu'ils peuvent être considérables. On voit que les effets dus à un seul engin de forte puissance peuvent affecter tout un continent. Tout cela peut créer des courants destructeurs dans les antennes, et plus généralement dans tous les fils conducteurs, les objets métalliques (comme les avions ou même les armatures métalliques des constructions). Le réseau de distribution électrique serait endommagé dans toute la région intéressée d'une manière beaucoup plus importante que lors des classiques coups de foudre. Les actuels micropresseurs sont extrêmement sensibles aux champs électriques. Toute l'informatique serait détruite, même avec des courants induits modérés. En principe les dispositifs militaires sont censés être maintenant protégés. Mais on ignore en fait quelle serait leur capacité de résister à un effet EMP "vraie grandeur". Toute imperfection dans le blindage : défaut d'étanchéité, moisissure, crasse, débris pourrait annihiler les effets protecteurs d'un blindage. On estime qu'une explosion nucléaire en haute altitude, au dessus d'une zone industrielle, pourrait mettre celle-ci hors service pour une durée indéterminée. En outre cette couche ionisée peut bloquer les ondes radio et radar pendant un temps qui peut se chiffrer en minutes. Les communication radio seraient alors impossibles.
La technologie de base des E-bombs.
Voici d'abord ce qu'on appelle Explosive Pumped Flux Compression Generators (FCG), en français les "systèmes à compression de flux". On retrouve l'idée initiale d'Andréi Sakharov, déjà présentée par l'auteur en 1995 dans "Les Enfants du Diable", Editions Albin Michel, page 303. Cette configuration coaxiale est la plus courante. La figure suivante est extraite de l'article de Carlo Kopp, déjà cité.
Un second type de générateur est apparenté aux "tubes à choc" sur lesquels j'avais travaillé dans les années soixante et où l'on transformait également l'énergie d'un explosif en électricité. Mais à l'époque les militaires français auraient été incapables d'imaginer qu'un jour l'électromagnétisme puisse devenir une arme stratégiquement importante. Dans le tube à choc on envoie une bouffée de gaz ionisée à très grande vitesse dans l'entrefer d'un électro-aimant et on récupère le courant produit par le champ électriquèe induit V x B à l'aide d'électrodes. Mais toutes ces visions restent très schématiques. En fait tout est intégré dans un même montage. C'est de la MHD et de la physique des plasmas. Tout est bon pour produire des oscillations HF dans des "cavités résonantes". La seule différence est que les ordres de grandeur des puissances mises en jeu n'ont plus grand chose à voir avec ce qui sortait du klystron ou du magnétron alimentant les radars. En fait il y a autant d'armes à micro-ondes que de type de cibles visées. Ces cibles se comportent comme des antennes réceptrices et l'effet destructeur sera d'autant plus important que l'impulsion émise sera accordée avec celle-ci. Des E-bombs peuvent viser des installations au sol, en rase campagne. Elles peuvent alors être larguées, s'orienter vers leur cible et se déclencher lorsque la distance sera telle que les dégâts seront optimisés. Les missiles de croisière peuvent être équipés de têtes "E". Des installations irakiennes auraent permis de tester leur efficacité pendant la guerre du Golfe. D'autres engins, de plus petite taille, peuvent viser des orifices d'aération de bunkers.
D'autres engins peuvent être placés dans des bombes capables de percer plusieurs épaisseurs de béton. Penser au Bunker Buster de 4700 livres. En étant déclenchés automatiquement à un étage prédéterminé ces armes à micro-ondes peuvent détruire des installations enterrés mieux que ne le feraient des charges chimiques en agissant à l'intérieur de la cage de Faraday destinée à protéger ces installations.
POURQUOI les dix-huit kamikazes tchétchènes, qui avaient le doigt à portée de leur ceinture d'explosifs (un à deux kilos d'explosifs chacune), ont-elles été incapables de déclencher leurs engins de mort ? Ont-elles été instantanément paralysées par les gaz ? Certains otages ne décrivent pas un effet aussi stupéfiant. Ils affirment avoir eu le temps de se protéger avec des mouchoirs et s'être réveillés assez vite. Avec le tchador noir qui recouvrait leur tête, les kamikazes disposaient pourtant d'utiles moyens pour retarder l'action des gaz. D'où cette hypothèse : elles n'ont pas pu actionner leurs explosifs car les détonateurs électriques avaient été rendus inopérants. Et cette question : les forces spéciales russes ont-elles utilisé d'autres armes que le gaz ? On pense par exemple à une bombe à hyperfréquence. Les Américains ont développé cette technique avec la bombe E, surnommée « l'arme à micro-ondes », avec l'intention de l'utiliser dans une éventuelle attaque contre l'Irak. Ses effets sont dévastateurs : elle détruit toutes les installations électriques, électroniques, radio... et entraîne l'agitation des molécules d'eau qui composent les cellules humaines, provoquant une très forte élévation de la température. En revanche, les Américains disent avoir abandonné les recherches sur un dérivé de la bombe E, moins puissant, plus maniable, mais tout aussi meurtrier et dénommé FCG (Flux Compression Generator) : trop dangereux car il pourrait être utilisé par des terroristes. Mais l'idée n'a pas été perdue pour tout le monde. Ainsi, des militaires indiens, qui soupçonnent le Pakistan d'en posséder, ont mené des études sur cette « bombe E du pauvre ». Preuve que sa dissémination a déjà commencé.
Ceci étant, si les armes "E" peuvent griller des systèmes électriques de mise à feu elles sont sans effet sur les armes automatiques. Donc les gaz devaient aussi être utilisés, à forte dose pour empêcher l'un des kamikaze d'arroser les otages avant de s'évanouir. Dans ces cas là il est peut être bien difficile de doser. Les Russes se sont peut être dit :"mieux vaut trop que pas assez". On remarquera enfin que les kamikazes trouveront vite la parade vis à vis d'engins à action électromagnétique. Il suffit de mettre en oeuvre des bombes avec mise à feu purement mécanique, autrement dit dotée d'un percuteur et d'un bon ressort. Contre un tel système les engins EMP sont inefficaces. Mais ces armes EMP peuvent également abrutir les gens visés. Le problème est alors une question de dosage. Un otage n'est pas un ennemi à mettre hors de combat. L'effet EMP décroît très vite avec la distance. Comment mettre hors de combat 35 kamikazes éparpillés dans un théâtre ? Quelle puissance mettre en oeuvre ? Quelle est le seuil entre la dose incapacitante et celle qui lèse les cerveaux de manière irréversible ?
Les banques et certains lieux publics sont déjà munis de dispositifs d'alarme. On peut penser que dans un proche avenir ces lieux seront aussi dotés de "systèmes incapacitants", de toutes natures : émission de gaz, cette fois correctement dosés (mais cette mesure sera annihilée si les agresseurs portent des masques à gaz) émission de micro-ondes (contre lesquelles les agresseurs pourront se protéger en portant des cagoules faites de fin grillage de fil de cuivre, faisant office de cage de Faraday. Mais ces éléments grillagés "répondront", tels des antennes à des détecteurs placés à l'entrée des bâtiments. Mesures, contre-mesures..... une seule chose est sûre : la folie est en train de faire tache d'huile, sur notre planète.
25 février 2003 :
Entourée du plus grand secret, la "e-bombe" a été développée principalement par les chercheurs travaillant pour l'Armée de l'Air à Kirtland Air Force Base près d'Albuquerque (New Mexico). Il s'agit en fait d'utiliser des ondes électromagnétiques puissantes pour détruire des équipements électroniques, y compris lorsque ceux-ci ne sont pas en fonctionnement. Si les effets de cette bombe, dont le rayon d'action est d'environ 200 m, peuvent agir sur l'ensemble du réseau électrique d'une ville et le détruire définitivement, les militaires déclarent hésiter à l'utiliser. En effet, l'e-bombe ne porterait pas atteinte aux personnes, mais détruirait les infrastructures téléphoniques ou hospitalières vitales pour une population civile. L'e-bombe figure parmi toute une série de projets développés pour les forces armées et utilisant une énergie très élevée. Les lasers ont déjà été testés à partir d'un Boeing 747 pour neutraliser les missiles, et le Marine Corps possède le prototype d'un laser monté sur un Humvee, une sorte de jeep moderne, qui serait utilisé contre des ennemis, provoquant une telle douleur au niveau de l'épiderme que ceux-ci seraient incapables de se mouvoir. Actuellement, l'Armée teste une grenade capable d'arrêter un tank en détruisant son système électronique. Quant à la Marine, elle travaille sur l'utilisation de micro-ondes pour neutraliser des missiles. WSJ 20/02/03 (U.S. studies using 'e-bomb' in Iraq, but leans against it).
http://online.wsj.com/article/0,,SB1045693871355690103,00.html?mod=technology_main_whats_news
14 février 2003 : parution de ce papier dans Air et Cosmos. On peut considérer ce lâcher d'information comme une sorte de réponse de la DGA à mes allégations selon lesquelles la France accuserait un retard de 25 ans sur les Américains. On sort donc le gadget top secret franco-allemand, le mini canon électromagnétique pour drone de combat. Au passage il se confirme que les français sont bien avancés vers la voie de bombes E de grandes puissance, à charge non seulement chimique mais aussi évidemment nucléaire. D'où la poursuite des essais nucléaires français sur le territoire national. A noter deux choses :