Stanley Meyer/Ann Livingston/Karla Turner/Frank Edwards
Stanley Meyer était un inventeur non-conformiste, qui a conçu un moteur automobile qui roulait uniquement à l’eau, faisant la démonstration de sa découverte avec une «dune buggy »(buggy des sables) qui possédait un moteur tirant son énergie de l’eau. Sa voiture révolutionnaire a été filmée de nombreuse fois par des programmes de télévision.
Le principe de fonctionnement tient à la composition atomique de l’eau en fait une parfaite source de carburant. La molécule d’eau est composée de deux atomes d’hydrogène et d’un atome d’oxygène, et quand la molécule d’eau est séparée en ses deux éléments (H et O) et oxydée comme carburant, l’énergie qui en resulte est deux fois et demi plus élévée que celle de l’essence. Le sous-produit de la combustion est de la vapeur d’eau – rien de plus.
Dans des recherches précédentes, le problème a toujours été de décomposer l’eau d’une manière économique. Les méthodes traditionnelles pour casser le lien de la molécule d’eau ont toujours été un échec. De donner de l’énergie à une voiture par ces méthodes ne la déplacerait pas très loin; le système électrique ne se rechargerait pas assez rapidement avec ce processus, le résultat étant une batterie vite dechargée. Après 30 ans de recherches, Meyer a découvert une méthode qui marche avec une électrolyse de l’eau qui se fait à bord de la voiture, avec un moteur qui marche avec une efficacité de 160 kilomètres par gallon… d’eau ! (1 gallon=3,785 litres).
On a dit à Meyer que les militaires projetaient d’utiliser sa technologie dans leur chars et jeeps. Il a breveté son invention, et était prêt pour la production. Il a dit qu’un Arabe lui avait offert un milliard de dollars pour mettre son idée dans un tiroir, mais il a décliné l’offre.
Meyer est mort subitement le 27 Mars 1998 à l’âge de 57 ans alors qu’il était sorti manger à l’extérieur. Il est sorti en courant du restaurant en s'exclamant qu'on l'avait empoisonné, et il est mort peu de temps après.
Ann Livingston gagnait sa vie comme comptable, mais c'était une "abductée" et elle enquêtait également pour le MUFON. Elle avait publié un article intitulé "Electronic Harassment and Alien Abductions" (Harcèlement électronique et enlèvements par des Aliens) dans le journal du MUFON de novembre 1993. L'article se montrait très critique envers Julianne McKinney, directrice du Projet de Surveillance Electronique de l'Association of National Security Alumni ( l'Association des Anciens Etudiants de la Sécurité Nationale). McKinney ne tient pas compte des phénomènes OVNI, persuadée que ce que l'on considère comme tels, n'est la plupart du temps qu'un stratagème gouvernemental, qu'il s'agisse d'un engin expérimental ou d'une expérience psychologique.
Quelques faits, apparemment liés au cas, résistent. A 7 h 15 du matin le 29 décembre 1992, l'appartement de Livingston, situé près de l'aéroport O'Hare à Chicago dans l'Illinois, fut brillamment illuminé par un éclair argenté. Plus tard dans la journée, elle fut accostée sur le parking de son appartement par 5 hommes en noir (Men In Black/MIBs), qu'elle décrivit comme presque privés de visage et transportant de longs objets noirs ressemblant à des torches. On lui fit perdre conscience. On ne sait pas ce qu'on peut lui avoir fait à ce moment précis, ni pourquoi. Tout comme Mae Brussell, animatrice d'une émission radio d'enquête et l'auteure Karla Turner, Livingston est décédée au début de 1994 d'une forme foudroyante de cancer des ovaires. ______________________________________________________________________________
Karla TURNER
Qui a tué Karla Turner ? C’est un peu la question que l’on se pose spontanément en parcourant les évènements étranges qui ont rythmé la vie de cette femme exceptionnelle qui a marqué l’ufologie des années 90. Cette intellectuelle insoumise était ce que l’on appelle, dans le langage ufologique contemporain, une abductée, c’est-à-dire quelqu’un qui se souvient avoir été enlevée de force par des entités apparemment extraterrestres. Elle était surtout une chercheuse au parler vrai qui prit le risque de parler publiquement de son expérience et qui n’hésita pas à naviguer à contre courant des idées reçues pour défendre l’intégrité de ceux qui, comme elle, ont pénétré un monde inconnu. Elle laissera derrière elle, trois ouvrages clés encore mal connus et pourtant indispensables pour qui veut comprendre le phénomène des abductions : Into The Fringe, Taken et Masquerade of Angels. Trois livres que Karmapolis s’efforcera de traduire à commencer par Taken dont vous trouverez les premiers chapitres à la fin de cet article.
Avant de devenir un auteur respecté du cercle restreint de la recherche sur les enlèvements extraterrestres, Karla Turner menait une vie tout à fait conventionnelle. Mariée et mère d’un garçon, elle obtint sa licence à l’université de Californie à Sacramento, décrocha sa maîtrise à l’université de Nottingham et son doctorat à l’université du Texas de Denton où elle enseigna comme professeur de littérature avant de se dédier complètement à la recherche sur les rencontres rapprochées du quatrième type, à savoir les abductions.
C’est par la force des «choses» que Karla entrera, en mai 1988, dans un monde encore inimaginable pour beaucoup. En l’espace de quelques semaines, c’est la vie tranquille et bien organisée de toute une famille qui sera envahie par la résurgence de souvenirs incroyables, peuplés d’ombres fuyantes, d’entités reptiliennes, d’inquiétantes expériences «médicales», d’apparitions d’OVNIS et par la découverte d’ecchymoses et de cicatrices étranges au lever du lit. Un phénomène qui touchera Karla et Elton Turner, son mari, mais aussi leur fils et son copain de chambrée ainsi que Megan (pseudonyme), qui deviendra plus tard leur belle-fille. Pendant un peu plus d’un an, Karla Turner transcrira au jour le jour leurs expériences dans un journal qui servira de base à son premier livre, Into The Fringe (Berkley edition – 1992), qui est un compte rendu précis, vu de l’intérieur, de la vie quotidienne d’une famille sous l’emprise d’une force qui ne dit pas son nom. .
Un livre témoin, dense et inattendu où Karla Turner annonce la couleur d’entrée de jeu : «Les gens qui figurent dans ce livre sont des victimes. Ils sont aussi ma famille, mes amis et ce qui leur arrive m’importe beaucoup. Je pense que tout le monde devrait partager mon sentiment car notre histoire démontre qu’aucune famille, aucun enfant ni aucun ami n’est à l’abri du phénomène des enlèvements et cela d’autant plus que les évènements vécus par notre petit groupe se répètent, à l’instant même, dans des milliers de foyers», expliquera-t-elle en introduction, comme pour se justifier de cette confession publique et forcément impudique d’une nouvelle vie qu’elle n’a pas choisie mais qu’elle embrassera avec force et détermination.
Pas question donc de voir ces intrusions comme un coup de pouce providentiel du génie génétique de nos «frères de l’espace» pour surmonter le chaos spirituel, politique et écologique d’un monde en déconfiture. Ce sera d’ailleurs son cheval de bataille car pour Karla Turner, une abduction n’a rien d’un accompagnement spirituel transcendantal, c’est un viol du corps et de la conscience : «Avant de croire en la bonté des extraterrestres, nous devrions nous demander pourquoi des entités évoluées opèrent de nuit pour prodiguer leurs «soins»? Pourquoi nous paralysent-ils et nous empêchent-ils de résister? Pourquoi des anges s’amuseraient-ils à voler nos fœtus? Pourquoi manipulent-ils les organes génitaux de nos enfants et pourquoi ont-ils besoin de sonder nos rectums? La peur, la douleur et la mystification seraient-elles compatibles avec leurs desseins soi-disant spirituels?» dira-t-elle en conclusion d’un article consacré aux séquelles des enlèvements.
Turner dressera un constat dur, sans concession et peut-être amer pour certains chercheurs, psychiatres et psychologues comme Leo Sprinckle, Richard Boyland ou encore John Mack et bien d’autres. Des personnalités qui ont défendu et défendent encore l’idée d’un partenariat spirituel avec les «extraterrestres», une sorte d’association symbiotique qui, au-delà des souffrances imposées par l’exercice, permettrait à un abducté de prendre conscience de sa relation «spéciale» avec ses ravisseurs, de développer une pensée évolutive et holistique ou mieux encore, une conscience écologique profondément concernée par la survie de la planète. A écouter Karla Turner, ces théories —tout comme celles d’autres chercheurs qui ont exclusivement voulu voir dans ces rapts une opération d’hybridation de notre espèce— sont fondées sur des données incomplètes car leurs auteurs ont opportunément choisi d’écarter tout ce qui ne collait pas avec leurs déductions.
Aux antipodes de la vision, quelque peu idéaliste, de l’extraterrestre bienveillant véhiculée par certains concepts new age, les aliens de Turner sont les «maîtres de l’illusion» : fourbes, menteurs, manipulateurs et obsédés par notre sexualité, ils possèdent une technologie qui leur donne les clefs de notre conscience, de notre mémoire et de notre univers émotionnel. .
Raison de plus, dira-t-elle, de ne pas s’offrir le luxe de rejeter des témoignages ou des indices «gênants» sous prétexte qu’ils ne sont pas spirituellement corrects ou ne corroborent pas une thèse ou des hypothèses, aussi séduisantes soient-elles. Karla Turner se fera donc la porte-parole de ces témoins encombrants, de ces enlevés anonymes qui reviennent avec des problèmes gynécologiques, des maladies graves liés aux enlèvements et des histoires incroyables de transfert de consciences dans des clones. Des récits qui parlent aussi d’expérimentations mortelles dans de mystérieuses bases souterraines, de rapports sexuels forcés avec des aliens polymorphes ou illusionnistes et de la présence d’êtres humains aux côtés d’extraterrestres lors des abductions, pour ne prendre que quelques exemples d’une longue liste d’anomalies peu conformes avec les standards d’une abduction «classique».
L’ancienne enseignante universitaire devenue activiste ne se contentera pas de raconter son expérience. Guidée par le désir de comprendre et de trouver une réponse, elle assistera d’abord Barbara Bartholic qui, à l’époque, avait déjà réalisé plus de 250 régressions hypnotiques sur des abductés, dont la famille Turner. Rapidement, elle commencera ses propres recherches qui donneront naissance à Taken en 1994 : un deuxième livre qui expose la vie de huit américaines, huit histoires rythmées et ponctuées par l’ingérence d’une conscience extraterrestre insidieusement invasive qui, selon Turner, nous berce d’illusions à coup de réalité virtuelle pour endormir notre vigilance. Un peu comme l’ogresse des frères Grimm qui appâte Hansel et Grethel avec sa maison en pain de mie pour mieux les manger. Un ouvrage qui, visiblement, inspirera le scénariste Leslie Bohem qui écrira Taken, une mini série de télévision du même nom produite par Steven Spielberg en 2002. Une inspiration purement formelle, car si les ressemblances entre l’histoire de Pat (racontée dans Taken de Turner) et la petite hybride interprétée par l’enfant star, Dakota Fanning, ne sont évidemment pas fortuites, le scénario de la série trahira néanmoins la pensée de Karla Turner en présentant les enlèvements extraterrestres comme une évolution quasi mystique de l’humanité.
Dans la foulée de Taken, la militante multipliera les apparitions publiques et deviendra, par la qualité de ses interventions et la pertinence de ses arguments, une actrice incontournable de la recherche sur les enlèvements ainsi qu’un modèle d’authenticité et de combativité pour bon nombre d’abductés qui se reconnaîtront en elle. Certains comme Eva Lorgen(The Love Bite -ELogos & HHC Press) revendiqueront son héritage spirituel et d’autres tel James Bartley, iront jusqu’à se radicaliser : Excédés d’êtres stigmatisés par une presse qui les expose cyniquement comme des UFO believers et desconspirationnistes, ces abductés en territoires occupés ne cherchent plus à convaincre de la réalité de leurs expériences et disent «entrer en résistance» contre un cartel militaro-reptilien responsable, selon eux, du contrôle mental qu’il subissent et de l’entraînement secret de certains abductés, enrôlés contre leur gré dans des opérations spéciales. Si Karla Turner sera parmi les premières avec Melinda Leslie, Debby Jordan, Leah Haley, Katarina Wilson et Anna Jemerson à pointer du doigt le rôle des militaires dans le déroulement de certaines abductions, elle s’attachera aussi à démontrer que les «aliens» contrôlent la mémoire des abductés par l’implantation d’«images écran» et de fausses mémoires. Une réalité qu’elle s’efforcera de traduire lors de nombreuses conférences et conventions ainsi que dans son dernier livre, Masquerade of Angels, publié à compte d’auteur en 1994.
Deux ans plus tard, le 9 janvier 1996, Karla Turner s’éteindra d’un cancer fulgurant du sein en moins de six mois. Une mort prématurée et suspecte pour beaucoup parmi la communauté des enlevés qui voudront y voir un meurtre pour faire taire celle qui leurs inculquait, avec obstination, la volonté de résister contre la menace d’un prédateur invisible et redoutable pour la survie de l’homme. Des rumeurs conspirationnistes et paranoïaques? Peut-être, mais si Karla avait pu survivre à sa propre mort, c’est exactement dans ces termes qu’elle aurait dénoncé une conspiration contre sa propre vie.
Karmatoo
Vous trouverez ici, la première partie de la traduction de Taken au format PDF. Les autres chapîtres seront disponibles en plusieurs étapes sur cette même page que nous mettrons régulièrement à jour.
Nous adressons tout particulièrement nos remerçiement à Jeff Polachek et Elton Turner de nous avoir permis de traduire Karla Turner et de pouvoir proposer les traductions françaises sur Karmapolis. Les versions originales des livres de Karla Turner sont sur karlaturner.org
Frank Edwards, le célèbre commentateur à la radio, est décédé d'une crise cardiaque présumée le 24 juin 1967, le jour du 20ème anniversaire de la fameuse observation de Kenneth Arnold.
Une coïncidence ? Probablement pas. Deux autres ufologues très connus sont morts le même jour : Arthur Bryant, le "contacté" et Richard Church, président du CIGIUFO. Les circonstances entourant la mort d'Edwards qui, comme James McDonald, militait pour que les réunions de sous-commissions du Congrès traitent du problème, soulèvent de grandes questions. Il se trouve que ce même jour de juin se déroulait à l'hôtel Commodore de New-York une "Convention Mondiale sur les Ovnis" (World UFO Conference), présidé par Gray Barker, auteur et éditeur d'ouvrages sur les ovnis. Barker déclara publiquement avoir reçu deux lettres et un coup de téléphone de menaces, affirmant que Frank Edwards, qui n'était pas présent, ne serait plus en vie à la fin de la convention.
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LA FIN DE GRANDMASOLO
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BONJOUR A TOUS,
NOUS VOUS INFORMONS QUE DES MAINTENANT, LE BLOG GRANDMASOLO NE SERA PLUS
MIS A JOUR POUR DES RAISONS LIEE A L'IMPOSSIBILITE DE CONTINUER.
...
Le 30 janvier, Moubarak ordonnait à l’armée égyptienne « d’écraser » les manifestants de la Place Tahrir avec leurs chars et d’ouvrir le feu. Quelques secondes après avoir reçu cette consigne, le Général Hassan al-Rawani souleva son casque, prit son portable pour demander conseil à son père, militaire de carrière, qui lui dit : « il faut désobéir mon fils, on ne tire pas sur son propre peuple ». C’est alors que le Général, comme tant d’autres soldats, se rallia aux manifestants qui le prirent dans leurs bras. Les journalistes disent avoir été témoins de multiples scènes où les militaires retiraient leur casque pour appeler leur famille. Ils ont été le plus bel exemple de la citation d’Einstein : « Ne fais rien contre ta conscience même si l’État te le demande ». Source : Planet Positive - Agenda Plus n° 226 – Avril 2011
Mon Dieu ! Je le vois ! Devant moi, je vois celui qui vient nous dire au-revoir. Je vois le magnifique Dauphin Blanc, et il est plus beau que jamais. Il me dit :
« Vous, humains, ne soyez pas tristes !
Nous allons tous partir et vous le savez ! Ce qui me fait le plus de peine c’est la souffrance des océans qui sont vidés de la vie, et les océans ont besoin de l’Amour de tous les êtres qui y vivent.
Nous, peuples de la mer, en très grande partie nous avons décidé de quitter ce monde ».
Il me dit ceci :
« Je sais maintenant dans quel monde j’irai, et je sais ce que je serai. Je ne serai plus comme mes frères ce que vous appelez un mammifère marin. Au travers de tout ce que j’ai pu apprendre et vivre de difficile sur ce monde, tout du moins dans mon élément, l’élément marin, j’ai « bouclé la boucle » et je vais sur un monde préparé pour m’accueillir tout comme il est préparé tous ceux que vous appelez certains des grands mammifères marins qui prendront une forme pratiquement humaine.
C’est le choix de nos espèces, c’est aussi la faveur que nous ont donné les Dieux Créateurs. Cependant cela m’attriste un petit peu de quitter ce monde, de quitter ceux que j’aime encore et qui n’ont pas encore quitté ce monde.
Toi, petite terrestre, toi qui n’aime d’ailleurs pas tellement le milieu où nous nous trouvons et qui est magnifique, nous allons te dire : si tu voyais ce qui se passe réellement dans les océans ! Si tu voyais la souffrance de nos frères, que ce soit celle des grands mammifères marins, des dauphins ou ceux que vous appelez les tout petits poissons ! Il y a une volonté de quitter ce monde que vous ne pouvez même pas comprendre.
Moi je viens aujourd’hui vous dire « au-revoir ». Je suis triste et heureux, triste de laisser certains de mes frères qui ne font pas encore partie du voyage mais qui me retrouveront bien vite, et surtout triste de vous laisser aussi, vous qui marchez sur la terre ferme. Vous ne nous avez pas compris alors nous ne demandions simplement qu’à vous aimer, qu’à partager ce que nous sommes et nos connaissances.
Vous, peuples de la Terre, vous avez toujours pensé que les peuples des océans n’étaient que de vulgaires poissons, et nous vous disons : non, ce n’est pas du tout ainsi ! Certaines de nos espèces ont une intelligence extraordinaire, et même si elles n’ont pas la capacité de s’exprimer comme les hommes, de créer comme les hommes, elles ont la capacité de correspondre par une sorte de télépathie.
Nous, peuples de la mer, aurions tellement pu vous apprendre de choses sur vous-mêmes, parce que dans l’eau qui est notre élément est inscrit tout votre passé, tout ce que cette Terre a vécu, et nous avons la capacité de comprendre et d’intégrer tout ce que la Terre a vécu.
Je t’aime profondément, toi qui parles, comme j’aime profondément ceux qui écoutent. Que peut représenter l’Amour d’un dauphin ? Pour nous c’est immense, et vous n’avez pas conscience de ce que cela peut représenter.
L’océan va souffrir du manque de ses enfants, il va réagir avec colère et violence tout simplement parce qu’il n’y aura pas le peuple de la mer pour calmer sa souffrance
Il faut que vous compreniez qu’il y a un échange vibratoire, un échange d’Amour entre l’océan et les peuples de l’océan, tout comme il y a un échange d’Amour entre les divers règnes de votre élément solide, de votre Terre. Il y a un échange d’Amour entre les mondes minéral, végétal et animal. Il y a également ces mondes à l’intérieur des océans. Nous avons les mondes minéral, végétal et animal, et nous aimerions dire bien au-delà de l’animal !
Je voudrais redire ceci avant de vous quitter : mon départ n’est pas la fin de toute chose, mon départ symbolise, au contraire, le renouveau, le changement, le changement pour vous qui vivez sur la terre ferme, et aussi le changement de votre conscience.
Certains d’entre vous, humains, auront du chagrin de notre départ, de nos départs en masse et de mon départ de ce monde. Ceux-là ont compris qu’ils auraient été capables d’échanger de l’Amour avec nous, mais bientôt vous, habitants de la terre ferme, comme toute vie sur cette planète, comme pour nous, ce sera le renouveau.
Je ne serai plus sur ce monde pour vivre ce renouveau et beaucoup d’êtres humains ne seront également plus sur ce monde pour le vivre. Il y aura beaucoup de départs en masse, comme par vagues successives. Ne vous affligez pas des vagues de départs humains, ne vous affligez pas des vagues de départs de tous les peuples de la mer.
Pensez-vous que lorsqu’il n’y aura pratiquement plus de vies dans la mer il en restera beaucoup sur la terre ? Pensez-vous qu’avec l’immense pollution et votre inconscience vous avez réellement perturbé le milieu de vie du peuple de la mer ? Pensez-vous que cela pourra durer encore et encore ?
Si vous pouviez voir ce que j’ai vu, ce que mes frères ont vu, cette immense, gigantesque pollution dans le Golfe du Mexique, si pouviez voir toutes les pollutions et le non-respect total de la vie à plusieurs endroits de vos océans, vous seriez peut-être aussi tristes que nous ! Cela est caché à votre vue car il y a des mètres, des mètres et des mètres d’eau qui vous cachent la réalité des profondeurs.
Il y a les départs que vous voyez lorsque nos frères s’échouent sur vos plages, mais il y a également énormément de départs que vous ne voyez pas. Il y a aussi des départs avec l’aide de ceux que vous pourriez appeler vos frères galactiques.
Ce que nous subissons lorsqu’ils nous enlèvent, c'est incompréhensible pour vous pour le moment, c'est que nous avons l’immense chance, lorsque nous accédons à ces vaisseaux, de pouvoir être transformés, transmutés avant d’aller sur la planète qui est la nôtre. Dans les vaisseaux qui nous transforment, il y a comme des « chambres de transformation de vies ». Il en sera de même pour ceux qui seront enlevés ; ce sera plus simple parce que vous resterez des humains, mais des humains sublimés, tandis que nous passerons du règne animal (ce qui est faux), nous changerons de « catégorie » et aurons des corps humains qui ne seront pas les mêmes que les vôtres, mais qui seront tout de même des corps humanoïdes.
Moi, le Grand Dauphin Blanc, j’ai de la tristesse pour ceux du peuple de la mer qui vont encore souffrir, j’ai de la souffrir pour mes frères qui m’aiment et qui vivent sur la Terre ferme, mais j’ai cependant une immense joie car je sais ce qui m’attend.
Soyez courageux ! Ce n’est pas demain que ce monde vivra sa fin ! C’est après-demain que ce monde vivra son ultime transformation. Je ne parle pas du « demain » ou de « l’après –demain » humain, je parle d’un temps, d’une période.
Je vais vous dire aussi ceci : vous ne pourrez même plus vous nourrir des peuples des océans trop pollués. Cela aussi fait partie du Plan, il devait en être ainsi.
Je vous aime. Ne soyez pas tristes ! Votre devenir est magnifique ! Peut-être un jour nous retrouverons-nous, peut-être que vous me reconnaitrez et que je vous dirai : « un jour, sur un petit monde, je suis venu parler à une petite humaine bien gentille qui a su m’écouter et transmettre ce que j’avais à dire ».
Maintenant je vous laisse. Que mon immense Amour soit toujours près de vous ! Aimez les peuples qui vivent dans les océans, c’est la seule chose que vous pouvez faire pour eux.
Maintenant je vous dis au-revoir. »
Je l’entends maintenant de très loin, comme s’il était retourné au plus profond des océans. Sa magnifique tête semblait être sur mes genoux. Il avait des yeux d’une beauté et d’un Amour extraordinaire, et ce que vous ne croirez peut-être pas, c’était comme s’il souriait.
C’est à peine si je l’entends ; il me dit :
« N’oubliez pas d’envoyer de l’Amour à ceux qui ne sont pas encore partis, à ceux qui n’ont pas encore transité, aux peuples des océans ».
Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :